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mercredi 18 avril 2012

Un résumé de l'Evangile


Dieu est SAINT et je suis pécheur,
Dieu est JUSTE et Il Se doit de me condamner,
mais Dieu est AMOUR et Il m'a donné un Sauveur.

mardi 17 avril 2012

Benjamin Franklin et les incrédules...


Une société d'incrédules était réunie, en 1778, chez d'Alembert ; Franklin, alors ambassadeur des Etats-Unis en France, y avait été invite. Il n'était bruit depuis quelques jours que d'un vers latin à la louange du célèbre inventeur du paratonnerre et qu'on peut traduire ainsi : Franklin « ravit au ciel sa foudre et leur sceptre aux tyrans. » On s'extasiait devant ce vers et cette admiration était entremêlée de blasphèmes contre Dieu.
Franklin regarda ses interlocuteurs en face
- Ce vers est une bravade à Dieu ! je lui ai arrache sa foudre ! Quand je me suis vu sur le chemin de cette découverte, savez-vous ce que j'ai senti ? J'ai eu peur, je me suis jeté à genoux. Il est vrai que je me suis dit qu'il n'y a pas plus de crime à arrêter la foudre que le cours d'une maladie, mais alors la frayeur a fait place à la reconnaissance et, du plus profond de mon âme, j'ai adoré Dieu.Mais écoutez la fin de mon histoire
- Je retournais d'Angleterre en Amérique, enivré des éloges qu'on m'avait prodigués. Tout à coup un orage éclata, la foudre fend le mat contre lequel j'étais appuyé. je me relève, car le coup m'avait renversé, et je dis: « Merci, mon Dieu, de m'avoir rappelé que tu es toujours grand, et que je ne suis qu'un vermisseau! »

lundi 16 avril 2012

Les derniers mots d'un grand scientifique français


Jacques Monod, grand biochimiste français, prix Nobel pour sa découverte du mécanisme de la génétique , et dont la thèse « Hasard et nécessité » est une négation du Dieu Créateur, a dit avant de mourir : « J'ai affirmé beaucoup de choses, mais je me rends compte que je ne sais rien ».
Ce savant n'a trouvé, dans sa science, aucune assurance, et il est mort comme un ignorant, dans la crainte et le doute.

dimanche 15 avril 2012

Un juste dosage

Un pasteur a dit : " Quand on croit que tout est acquis, on finit souvent par tout perdre.
Savoir conserver, c'est aussi savoir entretenir, donner du soin et protéger !
La valeur des choses n'est pas que dans l'idée que l'on se fait d'elles, mais aussi dans la façon dont on s'en occupe. D'autres, à force de trop vouloir garder, ont donné trop d’étreinte et ont fini par tout étouffer. Il y a là un bon dosage à trouver !
C'est dans le ni trop, ni trop peu que nous devons positionner les choses ; dans une juste mesure où la foi prend tout son sens et n'est pas qu'un moyen d'atteindre des extrémités mais aussi une force pour se maintenir au cœur des véritables priorités."

samedi 14 avril 2012

Le chrétien à l'heure de son départ terrestre


Le chrétien n'attend pas la mort ; il attend de voir, de ses yeux, ce qu'il ne discerne pour l'instant que par la foi : Jésus dans la gloire du ciel, Sauveur et Seigneur."
(auteur inconnu)

vendredi 13 avril 2012

Pourquoi Jésus est Dieu


"Jamais un dirigeant religieux, Moïse, Paul, Bouddha, Mohammed ou Confucius, etc., n'a affirmé être Dieu; à l'exception de Jésus Christ. Jésus-Christ est le seul dirigeant religieux qui ait jamais affirmé sa déité et le seul individu qui ait jamais convaincu une grande partie du monde qu'Il est Dieu."
Thomas Schultz
Théologien américain du 20éme Sicle
Jésus est Dieu en raison de son statut dans la Trinité. Le concept de la Trinité est le suivant : un Dieu en trois personnes avec le Père, le Fils et l'Esprit. Jésus est le Fils de Dieu, mais aussi Dieu le Fils, la deuxième personne de la Trinité.
Lorsque Jésus affirmait sur Terre qu'il était Dieu, il ne mentait pas mais de notre côté, qu'en est-il aujourd'hui ? Est-il ce qu'il dit la vérité ou n'est-il qu'un menteur, un imposteur ? Cette réponse t'appartient.
Article écrit par Samuel, un membre du Groupe Biblique Universitaire d'Angers

jeudi 12 avril 2012

Recommande ton sort à l’Eternel

Recommande ton sort à l’Eternel, mets en lui ta confiance, et il agira. 
Matthew Henry (1662-1714) a parfaitement commenté le passage des Psaumes (37.1-6) duquel est extrait ce verset : 
" Quand nous regardons autour de nous, nous pouvons voir que l’iniquité se développe et règne dans le monde entier. Cet état de fait, relativement ancien, ne doit pas nous étonner. Nous pouvons être inquiets, lorsque nous voyons ceux qui pratiquent l’iniquité, jouir d’un certain bonheur ; nous pouvons même être tentés de les imiter. La Parole nous met bien en garde à ce sujet. Ce genre de prospérité se flétrira un jour ou l’autre.
Si nous regardons toutes ces choses avec les yeux de la foi, nous n’aurons aucune raison d’envier les impies ; leurs pleurs et leurs gémissements seront éternels. La vie religieuse consiste en une entière confiance dans le Seigneur, suivie d’une recherche à Le servir, selon Sa volonté.

Si nous n’avons pas pris conscience d’un tel devoir, nous Lui faisons honte par notre manque de confiance.

La vie d’un homme ne consiste pas à jouir de l’abondance ; le Seigneur nous a toutefois promis la nourriture. Il nous donne plus que le nécessaire et c’est tout à fait suffisant pour celui qui se dirige vers le ciel. Se ravir en Dieu est autant un privilège qu’un devoir. Le Père n’a pas promis de satisfaire tous nos désirs d’ici-bas et tous nos caprices, mais au contraire l’appétit de nos âmes rachetées et sanctifiées.
Que peut désirer le cœur d’un homme bon ? Il ne recherche que la communion, l’amour et le service de Dieu. Engagez-vous dans ce chemin vers le Seigneur ; une telle démarche ne passera pas inaperçue aux yeux de autres.
Déposons nos fardeaux et nos soucis aux pieds du Seigneur. Nous devons nous débarrasser de tout cela devant Dieu et regarder vers le futur. Au moyen de la prière, exposons tous nos problèmes au Seigneur, en Lui faisant une entière confiance.
Nous devons être consacrés et vivre en toutes choses avec Dieu. La promesse qui en découle est merveilleuse : Il te permettra de franchir tous les obstacles, quels qu’ils soient, sur la route qui te mène vers Lui."

mercredi 11 avril 2012

Scientifique et croyant


Johann Heinrich Von Mädler (1794-1874) Astronome allemand et aussi directeur de l'observatoire de Dorpat, Auteur de la première carte lunaire.
« Un véritable naturaliste astronome ne peut être athée. Aucun autre que lui n'a pu regarder plus profondément dans l'atelier de Dieu, et n'a pu ainsi admirer la Sagesse éternelle, il ne peut que plier le genou devant la Grandeur de l'Esprit Divin. »

mardi 10 avril 2012

L'homme est un "être spirituel, appelé à une destinée personnelle"

Le docteur suisse Paul Tournier (1898-1986) a écrit dans Bible et Médecine paru en 1951 sur la manière dont la Bible voit l'homme : l'homme est 10,30-37) mettent " un être spirituel, appelé à une destinée personnelle, et revêtu par Dieu lui-même d'une valeur inestimable. La parabole de la brebis perdue (Luc 15, 3-7), celle de l'enfant prodigue (Luc 15,11-32) et celle du bon Samaritain (Luc 10,30-37) particulièrement en évidence cette sollicitude personnelle de Dieu pour chaque homme, dont la Bible entière est le reflet."
Source : Daniel Vernet, La Bible et la science

lundi 9 avril 2012

Un Dieu à quel temps ?


Dieu est un Dieu au présent. Dieu est toujours dans l'instant présent, que ce moment soit difficile ou facile, joyeux ou douloureux.
Henri Nouween

dimanche 8 avril 2012

Prêt avec intérêts


Le peintre français Eugène Delacroix dînait un jour avec le baron de Rothschild, le riche banquier. Le peintre lui confia qu'il recherchait un modèle de visage de mendiant, pour un tableau qu'il était en train de peindre. Il ajouta que le baron avait ce type de visage ! Grand amateur d'art, Rothschild consentit à poser comme mendiant.

Lors d'une séance, Delacroix s'absenta. Un de ses élèves entra dans l'atelier, s'entretint avec le “mendiant” et lui glissa une pièce de deux francs avant de partir. Le baron raconta les faits à Delacroix qui l'informa que son élève était talentueux mais pauvre. Plus tard, l'élève peintre reçut de la banque Rothschild une lettre l'invitant à venir toucher les intérêts de son geste de charité. Incrédule, il s'y rendit et se vit remettre une somme de 10. 000 francs !

La Bible dit que Dieu agit de la même manière avec nous. Tout ce que fait un disciple du Seigneur par amour pour son maître recevra sa récompense au centuple, même ce qui peut paraître insignifiant, comme donner un verre d'eau fraîche (Matthieu 10. 42 ; 19. 29). L'aumône qui plaît à Dieu est celle qui est faite dans la discrétion. C'est celle-là qui sera récompensée (Matthieu 6. 1-4). Donner ne concerne pas seulement les dons matériels, c'est une disposition de cœur qui engage toute notre personne : notre temps, nos capacités, notre affection... Comment Dieu récompensera-t-il ? Peut-être avec des bénédictions matérielles, et certainement avec des bénédictions spirituelles abondantes, selon la mesure divine (Luc 6. 38).

Auteur inconnu

samedi 7 avril 2012

L'omniscience de Dieu


" Tous ceux qui croient en Dieu croient qu’il sait ce que vous et moi nous ferons demain." - C. S. Lewis

vendredi 6 avril 2012

Reflexion sur la foi


Quelques questions-réponses sur la foi :
Qu'est-ce que la foi ? Hébreux 11/6 : Croire que Dieu existe, qu'il est de toute éternité, qu'il se laisse trouver, et qu'il exauce la prière. Au cimetière, un homme plante un panneau "Dieu est mort". Quelque temps plus tard, une liane a poussé le long du bois. Ce qui reste apparent : "Dieu est". La nature a parfois plus de sagesse que l'homme !
Hébreux 11/1 : Une ferme assurance dans le cœur, s'établissant en nous par l'autorité de la Parole et de l'onction de Dieu.
Ce qu'elle n'est pas : Uns superstition, une auto-suggestion, un sentiment passager... La foi ne fonde pas notre vie sur les sentiments ou les émotions, mais sur Jésus-Christ et sa Parole.
D'où vient la foi ? Comment avoir la foi?
Romains 10/17 : La foi vient de ce qu'on entend, de ce que Dieu dit. Nous recevons le témoignage de l'Evangile, contemplant la vie, la puissance comme la passion et la crucifixion de Jésus qui est le Christ. "Je priai pour avoir la foi, elle ne venait pas ! J'ai ouvert la Bible, et la foi est venue" (Dwight Moody).
Les résultats de la foi : elle a les promesses de la vie présente et de celle qui est à venir (1 Timothée 4/8) : salut, guérison, vie éternelle, exaucement... "Tout est possible à celui qui croit".
L'exercice de la foi :
- La prière et la Parole de la foi (Jacques 5/15).
- L'abandon confiant à Dieu notre Père céleste (Matthieu 6/25, 34).
La foi est une marche quotidienne, confiante, sereine avec Jésus notre Seigneur. Il est avec nous chaque jour.
"Par la foi et pour la foi, selon qu'il est écrit : le juste vivra par la foi".
Philippe BAK
Source : Trésor Quotidien

jeudi 5 avril 2012

Le soleil qui brille ...



Le soleil qui brille sur une prairie répand sur chaque brin d'herbe sa lumière et sa chaleur, le comblant de son éclat et de son influence bienfaisante à mesure qu'il sort de la froide terre ; de même le Dieu d'éternité comble de son amour chacun de ses enfants, « faisant briller la lumière dans nos cœurs, afin que nous éclairions les hommes par la connaissance de la gloire de Dieu, en la présence de Christ » (2 Corinthiens 4: 6)
Lisez et relisez ces mots jusqu'à ce que votre cœur apprenne et sache ce que Dieu veut faire en vous. Qui pourrait mesurer la différence de grandeur qui existe entre le soleil et un brin d'herbe, et pourtant cette petite herbe reçoit du soleil tout ce qui lui est salutaire, tout ce qu'elle peut en recevoir.
Croyez que lorsque vous vous attendez à Dieu, sa souveraine grandeur vient à vous dans votre infime bassesse et qu'entre lui et vous il y a rencontre et merveilleux accord. Avec humilité, avec un entier abandon à sa volonté, prosternez-vous devant sa gloire divine en sentant votre misère, votre absolue incapacité, et attendez en silence.
C'est quand on compte sur Dieu que Dieu s'approche. Il se révélera lui-même à vous comme le Dieu qui veut accomplir avec puissance chacune de ses promesses. Que votre cœur ne se lasse pas de se saisir tout de nouveau de cette parole : « Heureux tous ceux qui s'attendent à lui.»
Source : "S'attendre à Dieu" de Andrew Murray

mercredi 4 avril 2012

Dans les ténèbres du cachot


Lire la Bible


J'ai de la joie en ta parole, comme un homme qui trouve un grand butin.
Psaume 119. 162
J'ai caché ta parole dans mon cœur.
Psaume 119. 11
Des journalistes français, retenus en otage pendant trois ans au Liban dans des conditions extrêmement difficiles, racontent les expériences spirituelles qu'ils ont faites pendant cette longue captivité. “Les ravisseurs ont accepté de me laisser une Bible... Ma captivité était nécessaire pour que je prenne conscience de Dieu... Dieu est un roc, comme dit le Psaume.” (Roger Auques) “J'ai lu je ne sais combien de fois les mêmes romans et surtout la Bible. Avant, j'étais croyant, mais non pratiquant. Pendant ma captivité, j'ai redécouvert la prière.” (Marcel Carton) “La Bible a appuyé, nourri ma foi et l'a raffermie. La Bible s'est révélée être également le véhicule d'un encouragement spirituel : des histoires comme celles de Job, de Joseph, et bien d'autres, parlent de gens plongés dans l'adversité. Par leur foi en Dieu, ils s'accrochent à l'espérance et surmontent les tribulations. La Bible a constitué un réconfort personnel permanent. Nous ne nous étions jamais perdus de vue, Dieu et moi, mais là, nous nous sommes retrouvés.” (Jean-Paul Kauffmann) N'attendons pas les mauvais jours pour découvrir ce livre unique. Il nous met en relation avec le Dieu vivant, qui veut se révéler à tout homme, quel qu'il soit, où qu'il soit. Mais tout spécialement dans les jours sombres, tournons-nous vers ce Dieu qui veut les éclairer. “Éternel, tu es ma lampe, et l'Éternel fait resplendir mes ténèbres” (2 Samuel 22. 29).

mardi 3 avril 2012

La vie de prière (1)


Nul jour ne se lève qui soit dépourvu de la puissance du royaume éternel.
Le pasteur Jack Hayford écrivit : « Il n'y a pas de plus grand secret de croissance et de victoire, ou de résistance et de triomphe dans la vie de tous les jours, que de commencer chaque nouvelle journée avec Jésus.»

lundi 2 avril 2012

Un philosophe grec parle de Dieu


Cicéron (106-43 av. J.-C.) Homme politique, avocat et orateur latin. Proscrit par le second triumvirat, il fut assassiné. Ses discours ont servi de modèle à toute la rhétorique latine, la métaphysique et la morale grecques.
"L'existence de Dieu est si claire que je me demande si celui qui la nie n'a pas perdu la raison".

dimanche 1 avril 2012

Les souffrances humaines

" Les pires souffrances de la vie humaine sont celles que les hommes s’infligent eux-mêmes les uns aux autres. " 
Emil Brunner, théologien du 20éme Siècle.

samedi 31 mars 2012

Fénelon (1651-1715) parle de Dieu

François de Salignac de La Mothe dit Fénelon (1651-1715) fut un écrivain et un théologien français.
Il écrivit sur la foi :
" Dieu n’a pas attendu pour nous aimer que nous ayons mérité son amour. Avant que le monde fût, avant que nous eussions même l’existence, il avait pensé à nous, et il n’avait pensé qu’à nous rendre heureux.
Le plan conçu dans l’éternité a été mis à exécution dans le temps. La main libérale de Dieu a déversé sur nous des bénédictions sans nombre.
Ni notre ingratitude, ni nos infidélités, qui sont presque aussi innombrables que ses faveurs, n’ont pu épuiser la source de ses dons ou arrêter le cœur de ses grâces.
Ô amour sans bornes qui a fait de moi ce que je suis, qui m’a donné ce que je possède et qui me promet infiniment plus".
Il écrivit sur Dieu :
" Dieu ne cesse de parler ; mais le bruit des créatures au-dehors et de nos passions au-dedans nous étourdit et nous empêche de l'entendre "- Traité du ministère des pasteurs

vendredi 30 mars 2012

“Si vous voulez que je crois en Dieu, il faut que vous me le fassiez toucher”.

Connaissez-vous Nicolas Saunderson, savant et mathématicien anglais (1682-1739) ?Nicolas Saunderson, aveugle de naissance, qui fut professeur de mathématique à Cambridge, s’était fait de l’optique sa spécialité.
Le philosophe et écrivain français Denis Diderot (1713-1784) évoque une conversation qu’aurait tenue Saunderson sur son lit de mort et dans laquelle il aurait déclaré : “Si vous voulez que je crois en Dieu, il faut que vous me le fassiez toucher”.
Auteur anonyme

jeudi 29 mars 2012

Peut-on connaître Dieu ?


Un acteur de grand renom a un jour été honoré lors d’un banquet. Après les cérémonies du repas, on le sollicita à réciter quelque chose pour le plaisir des invités. Il y consentit et demanda s'il y avait quelque chose en particulier que l'assistance aimerait entendre. Il y eut un court silence et ensuite un vieil ecclésiastique se leva. « Pouvez-vous, monsieur » a-t-il dit, « récitez le Psaume 23 ? » 
Un regard étrange s’est alors fait remarquer sur le visage de l'acteur, et pour un court instant, ce dernier est demeuré muet. Se reprenant néanmoins assez rapidement, l’acteur lui répondit : « Je veux bien monsieur — et je le ferai, mais à la condition qu'après l’avoir récité, vous, mon ami, fassiez la même chose. » « Mais je ne suis pas un homme d’une grande éloquence » répondit l'ecclésiastique étonné. « Cependant, si vous le souhaitez, je ferai ainsi. » 
De façon impressionnante, l'acteur commença à réciter le Psaume tenant son public dans la fascination. Lorsqu’il eut terminé, un grand éclat d'applaudissements se fit entendre dans l’assistance. Après la cessation des applaudissements, le vieil ecclésiastique se leva pour monter sur l’estrade. L'assemblée était assise dans un profond silence. Le Psaume fut récité et quand l’ecclésiastique eut terminé, il n'y eut aucun son le plus léger d'applaudissements, mais ceux dans la salle qui avaient les yeux encore secs tenaient leurs têtes baissées.
L’acteur de grand renom, mit la main sur l'épaule du vieil ecclésiastique, et avec une voix tremblante, s'est exclamé en s’adressant aux gens dans la salle : « J'ai atteint vos yeux et vos oreilles, mes amis, mais cet homme a atteint votre cœur. Je connais le Psaume 23, mais cet homme connaît le Berger du Psaume 23. » Source : http://www.egliserepentigny.org/reflexions/archives/2005/08/07/128/peut-on-connaitre-dieu

mercredi 28 mars 2012

Croire en Dieu et croire Dieu


Je demandai un jour à un ami athée s'il n'avait jamais pensé, même un court instant, que Dieu existe.
“Oui”, répondit-il à ma grande surprise. “À la naissance de notre premier enfant, j'ai failli accepter qu'il y avait un Dieu créateur. Quand j'ai regardé cet être humain en miniature dans le berceau, quand j'ai observé ses petits doigts qui se pliaient et quand j'ai vu dans ses petits yeux qu'il nous reconnaissait vaguement, pendant plusieurs mois j'ai failli renoncer à l'athéisme. Pour un peu, mon émerveillement devant cet enfant m'aurait convaincu qu'il y a un Dieu”.
La complexité du corps humain n'est pas la seule preuve de l'existence de Dieu. Elle saute aux yeux quand on regarde le ciel. Cette lueur blanche au-dessus des étoiles et que nous appelons “voie lactée” est en réalité une galaxie composée de milliards de soleils comme le nôtre. Le roi David, dans la Bible, affirme que les étoiles parlent d'un suprême Créateur : “Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l'étendue annonce l'ouvrage de ses mains” (Psaume 19. 1).
Mais Dieu nous a montré bien plus que sa sagesse et sa puissance : il a envoyé son Fils Jésus Christ sur la terre pour révéler la splendeur de tout son être : lumière et amour. Lumière car il met en évidence les motifs cachés de notre cœur. Amour car il a donné son Fils pour nous, pour expier nos péchés. Croire à un Dieu créateur tout-puissant ne suffit pas pour recevoir la vie éternelle ; il faut croire sa Parole. Elle dit à chacun : “Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé” (Actes 16. 31).
Source : La bonne semence

mardi 27 mars 2012

La résurrection de Jésus : du doute à la certitude (4)


4- John Singleton Copley


Procureur général ; reconnu comme l'une des plus grandes intelligences juridiques de l'histoire d'Angleterre. Il est aussi connu sous le nom Lord Lyndhurst. Il fut avocat général du gouvernement britannique, procureur général de G.B., trois fois grand chancelier d'Angleterre :
"Je sais très bien ce que sont des preuves ; et j'affirme que des preuves comme celles que nous possédons sur la résurrection n'ont jamais été réfutées".
(Therefore stand, Grand rapids, Mich., Baker Book house, 1965, p425, 584 ; Wilbur Smith)

lundi 26 mars 2012

L'émerveillement d'un scientifique

Werner von Siemens (1816-1922)
Ingénieur et industriel allemand, créateur de l'électrotechnique. Il imagina le principe de la dynamo. On lui doit la première locomotive électrique et le premier tramway .

« Plus nous découvrons l'harmonieuse loi des forces de la nature, plus nous éprouvons notre modeste contribution à cet univers et notre admiration pour cette infinie sagesse qui règle toute la Création. »

dimanche 25 mars 2012

Nouveau départ



« Arrête de te focaliser sur ce qui n'a pas marché dans ta vie. Avec Dieu, il n'est jamais trop tard pour prendre un nouveau départ ! Tout ce que tu portes dans ton coeur, tes tristesses, tes frustrations, Dieu connait. Il aimerait essuyer les larmes de tes yeux. Si tu lui ouvres ton coeur. »
Auteur inconnu 


samedi 24 mars 2012

Les Paroles de Jésus sur la croix


Les Paroles de Jésus sur la Croix
Les évangiles nous rapportent des paroles que Jésus a prononcées lorsqu'il était cloué sur la croix. Nous allons voir ici ces courtes phrases qu'il nous faut méditer pour connaître qui était Jésus et quel est le sens de sa mort.
Alors même que les clous transpercent ses mains et ses pieds, il intervient en faveur de ceux qui lui font du mal. Et qui est celui qui prie ainsi ? C'est le Fils de Dieu qui va mourir. Jésus seul peut prononcer cette prière sublime, parce que le pardon en question concerne le péché le plus horrible, celui d'avoir crucifié le Fils de Dieu. La mise en croix de Jésus a montré toute la méchanceté humaine, mais elle a démontré dans son absolu l'immensité de l'amour divin : l'amour du Père qui donne le Fils pour le salut de tous ceux qui croient en lui, l'amour du Fils qui se donne volontairement pour des coupables.


Cette parole de Jésus sur la croix est une promesse de salut faite par le Juge suprême à un accusé. Non pas un pardon temporaire, mais la paix éternelle ; non la vie continuée sur la terre, mais le royaume de Dieu et la résurrection pour une vie nouvelle dans le ciel. Au début, les deux brigands crucifiés avec lui insultent Jésus. Par la suite, l'un d'entre eux change d'attitude. Il reconnaît sa culpabilité et témoigne de l'innocence de Jésus : «Nous recevons ce que méritent nos crimes, dit-il à son compagnon, mais celui-ci n'a rien fait qui ne doive se faire». A ce moment crucial, il discerne la perfection de Jésus et le prie : «Seigneur, souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton royaume». La réponse est immédiate, la promesse certaine : «Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis». Pas de phase transitoire, pas de jugement à attendre. Le brigand condamné par les hommes est absous par Dieu. Il reçoit l'assurance du salut par la parole du Sauveur lui-même. Merveilleux avenir apporté par l'œuvre de Jésus ! Jésus est le Sauveur des vies gâchées comme de celles qui ne le sont pas. Ne désespérons pas à cause du mal que nous avons commis. Il a connu l'humiliation la plus grande, l'abaissement le plus profond, la mort honteuse de la croix, afin de nous faire connaître l'amour de son Père. Pour l'éternité !


Nous ne pouvons aborder cette parole de Jésus crucifié qu'avec un profond respect. C'est une parole d'importance capitale, d'une immense densité et qui reste insondable pour nous. Depuis midi, il fait nuit sur Jérusalem. Des ténèbres surnaturelles ont recouvert le pays. Plus de moqueries, plus d'injures, les hommes sont mis de côté. Dieu soustrait son Fils aux regards humains. Ce qui se passe à ce moment-là ne peut être vu ni compris par une créature. Personne ne pourra jamais entrer dans la détresse de Jésus, pendant ces trois heure. Notre Sauveur demeura dans une solitude absolue, abandonné de son Dieu parce qu'il expiait les péchés de tous ceux qui croiraient en lui. Lui, le Fils bien-aimé du Père, était, à ce moment-là, privé de la présence de son Dieu. Pourquoi ? Parce qu'il s'était, par amour, identifié à nous, pécheurs. Il a pris sur lui la malédiction que nous méritions à cause de nos péchés. Souvenons-nous toujours de la souffrance de Jésus sur la croix. Sans les heures d'expiation, personne n'aurait pu être sauvé. Le châtiment de nos fautes serait toujours devant nos yeux. Dans ces heures d'abandon, la sainteté de Dieu brille d'un éclat insoutenable : Eternel sujet d'adoration pour nous, croyants !

J'ai soif. Jean 19.28-29
Les heures de ténèbres, celles de l’abandon de Dieu, celles du sacrifice, sont passées. Expression de souffrance, ou parole d’attente intense ? La soif, ici est associée à la réalité physique des souffrances de la croix, mais aussi à cette parole touchant la sécheresse absolue que nous lisons au Psaumes 102:5-8 « À cause de la voix de mon gémissement, mes os s'attachent à ma chair. Je suis devenu semblable au pélican du désert ; je suis comme le hibou des lieux désolés. Je veille, et je suis comme un passereau solitaire sur un toit. Tout le jour mes ennemis m'outragent ; ceux qui sont furieux contre moi jurent par moi. » Ces paroles viennent en écho à la parole précédente, Psaumes 22:1 « Mon Dieu ! mon Dieu ! pourquoi m'as-tu abandonné ? » Cette cinquième parole n’est pas une demande à l’homme, elle ne lui est pas adressée, mais les hommes l’ont entendue et y ont répondu selon que nous lisons au Psaume 69.21 : « Dans ma soif, ils m'ont abreuvé de vinaigre. » Cette parole rejoint la prière formulée quelques heures plus tôt : Père, je veux, quant à ceux que tu m'as donnés, que là où moi je suis, ils y soient aussi avec moi… (Jean 17.24) et l’annonce au Livre d’Esaïe : Il verra du fruit du travail de son âme, et sera satisfait. (Esaie 53.11). Jésus prit le vinaigre, en accomplissement du Psaume 69.
Tout est accompli. Jean 19.30
Les trois heures de ténèbres sont terminées. Dans un dernier geste d'obéissance, Jésus vient de boire le vinaigre ; il s'écrie alors : «C'est accompli». Sa mission sur la terre s'achève. A sa venue, il avait pu dire : «Je viens pour faire, ô Dieu, ta volonté» (Hébreux 10.7). Maintenant, il a achevé là tout ce que le Père lui avait donné à faire (Jean 17.4). Jésus a parfaitement glorifié Dieu. Chaque croyant peut dire : «Le Fils de Dieu... s'est livré lui-même pour moi» (Galates 2.20). Tout découle de la croix : le salut de chaque croyant, la formation de l'Eglise, l'accès au Père, l'établissement des nouveaux cieux et d'une nouvelle terre «dans lesquels la justice habite» (2 Pierre 3.13)... tout repose sur la mort de Jésus. L'œuvre de Jésus à la croix est parfaite et achevée. Notre confiance quant à notre salut éternel ne peut reposer ni sur nos actions, nos mérites ni sur quoi que ce soit qui vienne de nous-mêmes, mais simplement sur le sacrifice de Jésus Christ, parfait, complet, accepté par Dieu.

Cette dernière parole de Jésus sur la croix évoque toute l'intimité de l'amour et de la communion entre Jésus et son Père. Comme avant les trois heures de ténèbres, Jésus dit à nouveau : «Père». Jésus est mort en victime innocente pour la gloire de son Père et pour permettre aux hommes d’avoir une relation avec Dieu. En parfaite paix, en pleine conscience, Jésus va alors laisser sa vie, donner sa vie. Ayant baissé la tête, il remet son esprit au Père. C'est l'acte final de son sacrifice volontaire. Personne n'avait le pouvoir de lui ôter la vie ! (Jean 10.18), mais il l'a offerte afin que nous puissions recevoir une vie nouvelle, spirituelle, en nous confiant en lui. Jésus va au-devant de la mort, paisiblement, en vainqueur, sachant que Dieu ressuscitera son corps (Actes 2.27). Il a détruit, par sa mort, la puissance du diable (Hébreux 2.14). A la suite de Jésus, nous pouvons, devant la mort, nous confier paisiblement en notre Dieu et Père.
Si une de ces phrases t'a parlé, n'hésitez pas à laisser vos commentaires et a bientôt.

vendredi 23 mars 2012

"La vérité m'a affranchie"


Les chrétiens sont encore loin d’être parfaits ! Mais il est indéniable cependant que Jésus a le vouloir et le pouvoir de briser les carcans qui enserrent certaines personnes à condition qu’elles se remettent à Lui. Dans son livre Is Anyone here ?, l'évangéliste David Watson (1933-1984) rapporte un exemple hors du commun d’une libération opérée par Jésus dans des circonstances très particulières. David Watson avait fait la connaissance de John, incarcéré dans un quartier de Haute Sécurité dans une prison anglaise. Entretemps, John s’était converti dans sa cellule. Il écrivit ceci : « C’est mon cinquième emprisonnement. Je viens d’être condamné à huit ans de détention pour fraude. Mon apparence extérieure était des plus négligées car je ne me lavais jamais. L’intérieur de mon cœur était aussi repoussant : luxure, haine, cupidité, rancune, colère et méchanceté. » Puis cet homme raconte ce qui a changé dans sa vie, après sa conversion à Jésus-Christ. « Je cessai de lire les livres pornographiques ; je cessai de proférer des jurons et d’employer un langage ordurier ; mais le plus grand bouleversement opéré dans ma vie fut ma capacité à aimer ceux que je haïssais farouchement auparavant. J’avais l’impression d’être devenu une nouvelle personne, comme quelqu’un qui vient de naître, et cette œuvre, c’est à Jésus-Christ que je la dois. Pour la première fois de ma vie, je suis un homme libre – libre à l’égard du péché et libéré des immondices qui remplissaient mon cœur pendant tant d’années. La vérité m’a affranchie et la vérité n’est autre que Jésus-Christ en personne. » Source : Michael Green, Le grand dérapage, Editions Farel pages 106-107

jeudi 22 mars 2012

Votre destinée éternelle dépend de votre confiance totale en Jésus-Christ.


Jésus a dit :
Jean 3.16 : " Car Dieu a tellement aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne soit pas perdu mais qu'il ait la vie éternelle. 17 Dieu n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour condamner le monde, mais pour sauver le monde par lui. 18 Celui qui croit au Fils n'est pas condamné; mais celui qui ne croit pas est déjà condamné, parce qu'il n'a pas cru au Fils unique de Dieu.
Jean 6.35 : Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim et celui qui croit en moi n'aura jamais soif.
Jean 8.12 : Je suis la lumière du monde. Celui qui me suit aura la lumière de la vie et ne marchera plus jamais dans l'obscurité.
Jean 10.11 : Je suis le bon berger. Le bon berger est prêt à donner sa vie pour ses brebis.
Jean 10.9 : Je suis la porte. Celui qui entre en passant par moi sera sauvé; il pourra entrer et sortir, et il trouvera sa nourriture.
Jean 11.25 : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s'il meurt.
Jean 14.6 : Je suis le chemin, la vérité, la vie. Personne ne peut aller au Père autrement que par moi.
Jean 15.5 : Je suis la vigne, vous êtes les rameaux. Celui qui demeure uni à moi, et à qui je suis uni, porte beaucoup de fruits, car vous ne pouvez rien faire sans moi.
Jean 17.3 : La vie éternelle consiste à te connaître, toi le seul véritable Dieu, et à connaître Jésus-Christ, que tu as envoyé."
Citations extraites de la Bible

mercredi 21 mars 2012

Dieu agira-t-il ?


« Ayons foi en Dieu et et croyons que Dieu a le pouvoir, l’intelligence, la sagesse et la patience de réaliser ce pour quoi il nous a choisis. »
Thomas Austin-Sparks (1888-1971)

mardi 20 mars 2012

Bible lue à un aveugle


Un jeune homme disait ne plus croire en Dieu. Son pasteur loin de le sermonner, lui demanda s’il voulait bien aller lire quelques passages de la Bible à un aveugle. Ce qu’il fit.
Il raconta alors : "Quand j’ai commencé à lire, il y avait sur son visage une telle joie qu’il écoutait comme transfiguré… Si bien qu’avant la fin de la lecture, j’avais abandonné mes doutes"