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mercredi 11 mars 2009

Dieu laisse-t-il faire ?


Ils ont dit : ... L'Éternel ne voit pas. Ezéchiel 9. 9 Confiez-vous en lui en tout temps ... Dieu est notre refuge. Psaume 62. 8
On entend souvent dire : « Si Dieu est réellement bon et puissant comme vous le prétendez, pourquoi y a-t-il dans le monde tant de souffrance, tant de violence et de désordre moral » ?
Pourquoi ?... Parce que Dieu respecte la liberté humaine. Or cette liberté, l'homme en a usé d'abord pour lui désobéir, ensuite pour crucifier son Fils, Jésus, le Prince de paix, choisissant volontairement comme chef Satan, appelé le Prince du monde.
Dieu laisse-t-il faire ? Aujourd'hui il appelle tout homme à revenir à lui, à se repentir, à se tourner vers Jésus Christ : il invite, il ordonne même, mais il ne contraint pas.
Mais ses plans s'accomplissent ; bientôt, sa longue patience prendra fin et sa toute-puissance sera vue de tous : que ce soit pour délivrer les siens ou ... pour juger ceux qui l'auront rejeté.
Sa puissance, la création n'en est-elle pas la preuve ? Son amour, ne l'a-t-il pas montré à la croix de Jésus ? Aussi, pour le vrai chrétien, la certitude que Dieu peut tout, lui donne une paisible confiance, car il sait que cette toute-puissance divine va de pair avec son amour infini.
Voilà pourquoi chaque matin le croyant peut tranquillement confier à son Dieu tout ce qui le préoccupe ou l'accable. Il sait que tous ses problèmes, petits ou grands, Dieu peut les résoudre et qu'il le fera si c'est pour son vrai bien. 
Source : La Bonne Semence

mardi 10 mars 2009

Une histoire de trou

Un prédicateur raconte l’histoire d’un homme tombé dans un trou. Un notable passa et dit : « Quelle stupidité de tomber dans un tel pétrin ! Je regrette, mais je ne peux pas t’aider ». 
Puis un philosophe passa et regarda l’homme avec pitié, disant : « Quand tu seras sorti de ce trou, je pourrai te donner de bons conseils pour ne pas y retomber »
Après cela Jésus y passa et, sans parler, Il descendit dans le trou et y enleva le pauvre homme. Jésus veut que nous ayons cette même attitude dans notre amour et service envers Dieu et envers les autres. «Celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement » (1 Jean 2/17a)
La qualité de votre amour pour votre prochain est la qualité de votre amour pour Dieu.
Auteur inconnu

lundi 9 mars 2009

Une différence de taille !

Souvenez-vous que Jésus nous sauve de nos péchés, et non dans nos péchés.
Charles Spurgeon

dimanche 8 mars 2009

Notre caractère

« La seule chose que nous apporterons dans l'éternité, c'est notre caractère. Il est le seul moyen que nous ayons pour décider quelle sorte de personne nous serons dans toute l'éternité. C'est ce que nous sommes qui sera éprouvée par le feu. Il n'y a que les qualités de Christ qui survivront. »
Joni Earckson, Joni, page 202

samedi 7 mars 2009

Un amour qui bannit la crainte



Henry Scougal, pasteur écossais du XVIIe siècle, a écrit : « Rien n'est plus puissant pour susciter notre amour que de découvrir que nous sommes [aimés par] quelqu'un qui est parfaitement aimable. [...] Comme cela doit nous étonner et nous réjouir ; comme cela doit triompher de notre [peur] et faire fondre notre cœur. » L'amour de Dieu est l'amour parfait qui « bannit la crainte » (1 Jean 4.18).

vendredi 6 mars 2009

Prier, c'est quoi ? (3)


"Je crois qu'il est plus important de parler à Dieu au sujet des hommes que de parler aux hommes au sujet de Dieu."
D.L. Moody, grand évangéliste américain au 19ème Siècle

jeudi 5 mars 2009

"Dieu existe, je l'ai rencontré".


Apollos contribua beaucoup par la grâce aux progrès de ceux qui avaient cru... démontrant par les Ecritures que Jésus était le Christ.

Actes 18. 27, 28
Goûtez et voyez que l'Éternel est bon ! Bienheureux l'homme qui se confie en lui !Psaume 34. 8
«Dieu existe, je l'ai rencontré»
Le titre de ce feuillet est celui du célèbre livre d'André Frossard. Il mérite que nous nous y arrêtions. L'auteur ne dit pas : «Dieu existe, je l'ai démontré», mais : «Je l'ai rencontré». Il n'évoque donc pas une démonstration, mais bien une rencontre avec une personne vivante.
L'existence de Dieu constitue pour les non-croyants un difficile problème métaphysique, mais ce problème ne préoccupe plus ceux qui vivent en relation avec Dieu. Si j'ai un contact visuel, téléphonique ou épistolaire avec quelqu'un, je ne verrai aucun intérêt à ce qu'on me prouve que mon interlocuteur existe.
Les explications sur l'existence de Dieu, et surtout sur le fait que Jésus est l'envoyé de Dieu, sont utiles pour celui qui recherche la vérité. Elles peuvent aussi fortifier la foi des croyants. Cependant l'existence de Dieu se vit bien plus qu'elle ne se démontre. Il s'agit de croire Dieu, de se confier en lui en réponse à ce qu'il nous a donné comme témoignage de lui-même. Jésus lui-même remerciait son Père de ce que l'Evangile ne soit pas une question de sagesse et d'intelligence, mais qu'il soit à la portée des enfants (Matthieu 11. 25).
Savez-vous que Dieu désire que nous entrions en contact avec lui ? Cette communication a été établie par Jésus Christ, mort pour effacer nos péchés, et ressuscité. Acceptez-le comme votre Sauveur et vous comprendrez qu'il est aussi le Seigneur à qui sont dus respect et foi. Il vous mettra en relation avec Dieu que vous connaîtrez comme un Père.

mercredi 4 mars 2009

Ce que nous sommes aux yeux de Dieu, selon Jean-Paul Sartre


Je me demandais à chaque minute ce que je pouvais être aux yeux de Dieu. A présent je connais la réponse: rien. Dieu ne me voit pas, Dieu ne m'entend pas, Dieu ne me connaît pas.
Tu vois ce vide au-dessus de nos têtes ? C'est Dieu.
Tu vois cette brèche dans la porte? C'est Dieu.
Tu vois ce trou dans la terre ? C'est Dieu encore.
Le silence c'est Dieu. L'absence c'est Dieu.
Dieu c'est la solitude des hommes.
Il n'y avait que moi: J'ai décidé seul du Mal; seul, j'ai inventé le Bien.
C'est moi qui ai triché, moi qui ai fait des miracles, c'est moi qui m'accuse aujourd'hui, moi seul peut m'absoudre; moi, l'homme.
Si Dieu existe, l'homme est néant; ... (Acte III p.228)
Jean-Paul Sartre : extrait de la pièce de théâtre "Le diable et le Bon Dieu"
Es-tu d'accord avec la pensée de Sartre ?

mardi 3 mars 2009

Jésus a-t-il vraiment existé ? (partie 1)


Les témoignages
Des auteurs modernes de la fin du 18ème ont commencé à mettre en doute l'historicité de Jésus, sur des bases inexactes héritées des traditions de l'"âge des ténèbres". Puis d'autres leur ont emboîté le pas du 19ème siècle à aujourd'hui. On doit à leurs ouvrages de nouvelles figures de styles, et un nouveau genre littéraire qui ne résiste pas à l'analyse. Plutôt que de se livrer à la contre-argumentation, n'est-il pas préférable d'écouter, tout comme un juge, les différents témoignages puis de délibérer.
En effet, certains pourraient penser que l'on trouve relativement peu d'allusions à Jésus-Christ et à ses disciples dans les écrits des deux premiers siècles de notre ère que nous connaissons aujourd'hui. Les faits montrent néanmoins que, du haut de leur grandeur, les historiens profanes considéraient le christianisme naissant comme une petite secte obscure, issue des Juifs méprisés, une nouvelle et pernicieuse superstition cherchant à ruiner l'idolâtrie généralement admise à cette époque.
Par conséquent, il n'y a guère de raisons pour penser qu'un historien païen écrivant sur son temps et ne portant aucun intérêt personnel aux chrétiens, fasse de fréquentes allusions à ces derniers ou soit très précis dans son récit. A plus forte raison aurions-nous tort d'espérer que des hommes de lettres de la même époque, dont le genre littéraire n'eut peut-être rien à voir avec le christianisme, s'écartent de leur sujet pour en parler. Cependant, après examen, on s'aperçoit que bon nombre d'écrivains païens ont, d'une façon ou d'une autre, reconnu l'existence et l'expansion du christianisme au cours des deux premiers siècles.
Note : Les latins avaient un mépris non déguisé pour ce qui concernait Jérusalem. Quelques 70 ans avant notre ère, Cicéron dira de la grande ville que c'était "une bicoque". On peut aisément comprendre que l'on parla peu de ce qui se passait à Jérusalem, tout au moins d'une manière publique. Surtout qu'au début, les chrétiens ont été assimilés à une secte juive dissidente, dont le maître était mort.

lundi 2 mars 2009

Un gain à venir


Si Dieu autorise tout ce qui est dur ou pénible à venir dans nos vies, notre vrai perte sera ce que nous manquerons si nous nous rebellons.
Auteur inconnu

If God allows anything hard or distressing to come into our lives, our real loss will be what we'll miss if we rebel. 
Author Unknown

dimanche 1 mars 2009

Un double constat


« Sur la terre, l’immense majorité des hommes vit dans la misère physique ; le reste vit trop souvent dans la misère spirituelle.»
André Frossard, écrivain, journaliste français du 20ième Siècle.

samedi 28 février 2009

Un Evangile au rabais

Nous avons simplifié à l’extrême l’Evangile.
Le premier coup fatal est l’absence du message de la repentance. Il ne peut y avoir de vraie conversion sans conviction de péché.
Nous dévalorisons l’Evangile lorsque nous ne mettons pas prioritairement l’accent sur l’état de perdition de l’homme.
Il est inutile d’annoncer à des pécheurs refusant de reconnaître leur culpabilité, de croire en Jésus. Ce message est uniquement pour ceux qui savent qu’ils sont perdus.
Nous avons oublié que le message biblique est la repentance envers Dieu suivie de la foi en notre Seigneur Jésus-Christ (Actes 20:21).

William MacDonald, auteur chrétien actuel

En réponse à la question : “Que faire de l’Evangile ?”, quelqu’un a dit : “Il faut le connaître intellectuellement et émotionnellement, il faut le montrer dans sa vie et le semer dans le monde.”

vendredi 27 février 2009

La Bible est un message qui transforme des vies. (1)


" Je crois que la Bible doit être comprise et reçue selon le son sens simple et évident de ses passages; puisque je ne peux me persuader qu'un livre planifié pour instruire et convertir le monde entier devrait couvrir son vrai sens dans un tel mystère et doute que seuls les critiques et les philosophes puissent le découvrir."
Daniel Webster (1872-1852), homme d'état, avocat, orateur, nationaliste américain

jeudi 26 février 2009

Une question qui en emméne une autre


« 
La question de l’existence de Dieu demeure intimement liée à celle de la finalité de l’existence même de l’homme.» 
Auteur anonyme

mercredi 25 février 2009

Comment gérer ses peurs ? (partie 1)



Intervention de Yohann Tourne (Responsable GBU Centre-Ouest) au Forum Veritas Lille le 2 Avril 2008.

I. Deux visions de la vie. Je vais commencer par deux extrêmes : la vie vu par un athée et la vie vu par un chrétien. Certains vont se reconnaître dans les extrêmes et d’autres vont se sentir un petit peu au milieu, ou peut-être à l’extrême centre. 
  A) La vie vu par un athée Je suis un amas de molécules. Ce que je pense, ma vision du monde, n’est que le résultat d’un processus chimique qui se passe dans mon cerveau. Ma vie n’a pas de valeurs intrinsèques, d’ailleurs je suis venu là par hasard. Enfin voila, je n’ai pas demandé à vivre. C’est ce qu'on dit souvent lorsqu’on est adolescent à nos parents. Dés fois ca dure. Tout ce qui m’arrive, c’est le hasard, c’est complètement aléatoire, et j’arrive quand même à contrôler deux ou trois trucs. Mais le petit problème, c’est que plus je me connais, plus je comprends que quand j’essaie de contrôler, ca ne marche pas tout le temps. Et du coup, il arrive des catastrophes. J’ai peur de mes maladresses. On a tous des limites et on commet tous des bourdes et du coup ca nous terrorise. Si tour ce qui nous arrive dépend de nous, et qu'on a compris nos limites, eh bien on ne va pas aller loin. Nos capacités individuelles ne vont pas très loin, ce qui nous reste, c’est le hasard. Et puis, au bout d’un moment, ce sont les mouches, la mort. Et puis bon voila, on s’arrête. Et puis, ca n’a servi à rien. Voila la première vision des choses. B) La vie vue par un chrétien. Il y a un Dieu qui sait tout, qui peut tout et qui m’aime. Ce Dieu-là me connaît, je peux avoir une relation avec lui, il veut mon bonheur et du coup ca change tout. Parce que je sais à peu prés d’où je viens. J’ai été voulu même si mes parents ne m’ont pas voulu. J’ai été voulu par au moins quelqu’un, le Big Boss, par le Créateur. Ce que je fais, cela a un sens. Je peux Lui parler, je peux savoir qui Il est, je peux rentrer en relation avec Lui. Du coup, la vie en compagnie de ce Dieu-là est forcément plus calme, plus sereine. Je m’inquiète un peu moins pour l’avenir, parce que l’avenir est dans Sa main. L’avenir, c’est son boulot. Le boulot de Dieu, c’est de gérer l’avenir. Du coup ca rassure car les choses ne dépendent pas de moi. Les choses dépendent du Créateur. Et c’est toute l’histoire de la Bible. La Bible parle de la Rédemption. La Rédemption, c’est la libération, le fait d’être délivré de quelque chose. 
La Bible ne parle que de la Rédemption. Dieu libère, Dieu libère son peuple. Dieu veille sur son peuple, il prend soin de lui. Il veille sur ses enfants comme un père veille sur ses enfants. Il ne sert à rien de compter sur ses propres forces. Il faut surtout compter sur Dieu. Voila je viens de vous faire un résumé de toute la Bible en 30 secondes. La Bible raconte l’histoire de pleins de personnes qui n’ont pas compris cela. 
Et donc la Bible rappelle absolument toujours çà, rappelle à des gens qui ont tendance à oublier ce caractère essentiel de Dieu, c’est à dire sa fidélité. On voit l’histoire de ces gens qui se plantent régulièrement, parce qu'ils veulent reprendre la main, parce qu'ils font comme si Dieu n’existait pas, et du coup ils se plantent. Et Dieu leur rappelle quelle est la réalité.

mardi 24 février 2009

« Je ne crois que ce que je vois, un point c’est tout. ».


Un pasteur s’entretenait avec un athée des choses de Dieu, mais au bout d’un moment, il fut interrompu par cette phrase :
« Vous perdez votre temps, pasteur, je ne crois que ce que je vois. » 
« Êtes-vous sur ? » reprit le pasteur. 
« Assurément », répondit l’athée, « je ne crois que ce que je vois, un point c’est tout. ». 
« Avez-vous déjà vu votre cervelle ? » poursuivit le pasteur. 
« Non, bien sur », fut la réponse de l’homme. « Mais où voulez-vous en venir ? » « A ceci, Monsieur. C’est qu’à vous entendre, j’en arrive à me demander si vous en avez une. » 
L’anecdote fait sourire, mais réfléchissez.

Auteur inconnu

 

lundi 23 février 2009

L'amour de Jésus-Christ



Témoignage de Dwight L. Moody(1837-1899), pasteur et évangéliste américain : " L'autre jour, je me suis mis à réfléchir sur l'amour de Christ. J'ai pris ma Bible et j'ai commencé d'y lire ce qui se rapportait à ce sujet. Puis j'ai prié sur ces textes jusqu'à ce que la pensée de son amour infini m'ait brisé. Je ne pouvais plus rester à terre, couché sur le plancher de mon bureau, mon visage dans ma Bible ouverte, criant comme un enfant. Ce soir là, la poignée de chrétiens présents à la réunion reçut un nouveau baptême de l'Esprit. Et, au bout de deux mois, plus de cent personnes s'étaient converties. Qu'une telle révélation de l'amour de Christ soit le partage de chacun, et chacune de nos vies sera remplie du Saint-Esprit de la promesse." 

  Commentant Jean 14:6, le réformateur protestant du 16éme Siécle Jean Calvin a dit: « Christ est le chemin parce qu’il nous mène au Père; il est la vérité et la vie, parce que nous appréhendons le Père en lui… Car le Christ prouve qu’il est la vie parce que Dieu, en qui gît la source de vie, n’est point possédé ailleurs qu’en lui.».

dimanche 22 février 2009

Le frère prodigue de Dwight Moody


Dwight Moody, un évangéliste renommé, évoquait souvent un de ses souvenirs les plus douloureux de son enfance : la fuite de son frère aîné.
Chaque fois qu’on prononçait son nom, il voyait les yeux de se mère se remplir de larmes. Tous les jours, elle attendait une lettre, et jamais aucune nouvelle du fils disparu pour lui apporter la moindre consolation. Elle se réveillait la nuit pour prier :
"Mon Dieu ! Sauve mon enfant et ramène-le au foyer".

Les années passèrent et la peine de la pauvre mère ne faisait que s’accroître. Un jour, un étranger passa devant la porte de la maison. Il s’arrêta à quelques pas du seuil et de grosses larmes coulèrent sur ses joues. La mère le vit :

- C’est mon fils, cria-t-elle. C’est toi, mon fils, viens vite. Viens à moi.
L’homme resta immobile puis, entre deux sanglots, il dit :
- Non, maman, je ne franchirai le seuil que lorsque tu m’auras pardonné.

Mais la mère s’élança vers le fils prodigue et le prit dans ses bras. Elle le pressa sur son cœur et pleura avec lui.

Source : Topchretien

samedi 21 février 2009

Le pardon de Dieu


Dernièrement, j'ai vu sur une affiche pour un film cette phrase "Ne jamais pardonner, ne jamais oublier". L'histoire du film : un barbier mis injustement en prison pendant des années décide de se venger lors de sa sortie en égorgeant ces clients. Dans cette phrase, le pardon est impossible car la vengeance est la seule réponse possible. N'avons-nous jamais entendu dire cette phrase : "je te pardonne mais je n'oublie pas". Es-ce le vrai pardon ? Face à cette perspective humaine, il existe le pardon divin. En effet, Dieu est prêt à nous pardonner entièrement nos péchés (faire notre propre volonté sans savoir ce qu'est la volonté de Dieu). Nous sommes des ennemis de Dieu tant que nous ne reconnaissons pas que nous avons des péchés. Dés que cette démarche est faite, que nous demandons à Dieu son aide, notre péché est oublié. Oui mais comment ? Simplement parce que Jésus, le Fils de Dieu, est mort sur une croix il y a 2000 ans. Pourquoi ? La Bible dit :
« Tous (les Hommes) ont péché, en effet, et sont privés de la glorieuse présence de Dieu, et ils sont déclarés justes par sa grâce; c'est un don que Dieu leur fait par le moyen de la délivrance apportée par Jésus-Christ. C'est lui que Dieu a offert comme une victime destinée à expier les péchés, pour ceux qui croient en son sacrifice. Ce sacrifice montre la justice de Dieu qui a pu laisser impunis les péchés commis autrefois, au temps de sa patience. Ce sacrifice montre aussi la justice de Dieu dans le temps présent, car il lui permet d'être juste tout en déclarant juste celui qui croit en Jésus. » (Romains 3, 23-26). Justifier est un terme emprunté au vocabulaire juridique qui signifiait déclarer juste celui dont l'innocence avait été reconnue ou dont la culpabilité n'avait pu être prouvée. Dans le cas du pécheur devant Dieu, il s'agit d'un acte immérité du Dieu souverain qui «couvre» les péchés (4.7) et recouvre le pécheur de la justice parfaite de Jésus-Christ. Le mot « délivrance » désigne souvent le rachat (d'un esclave ou d'un prisonnier) au moyen d'une rançon. Expier : ce terme fait allusion à la cérémonie du grand jour du Pardon dans le judaïsme où le grand-prêtre aspergeait de sang le couvercle du coffre sacré afin de faire l'expiation des péchés du peuple. Le mot traduit par expier pourrait être rendu par apaiser la colère de Dieu contre le mal. On peut obtenir le pardon de Dieu en croyant au sacrifice de Jésus pour nos péchés. Dieu offre à l’humanité cette possibilité depuis 2000 ans. L’humanité a un choix à faire. Que décideras-tu ?
Auteur inconnu

vendredi 20 février 2009

Placer ma foi en Dieu


Le Dieu d'aujourd'hui est le Dieu d'hier, il n'a pas changé, il est toujours le même ! Notre Dieu est créateur, grand, fort, supérieur, puissant, vivant et vainqueur. Le Dieu vivant agit encore aujourd'hui en réponse à la prière de la foi. La foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas. La foi est dans mon cœur, pas dans ma tête. Elle vient quand je nourris mon cœur de la Parole de Dieu.
Placer ma foi dans une personne vivante (Jean 14/1). Mieux que de croire en Dieu, il faut croire Dieu. Il n'est pas un homme pour mentir. Le Dieu du ciel mérite notre confiance.
Placer ma foi dans la Parole de Dieu (Jean 17/17) : "Sanctifie-les par ta vérité, ta Parole est la vérité". Sa Parole est plus forte que celle des hommes.• Placer ma foi dans la puissance de Dieu (Job 42/2). Je reconnais que Dieu peut tout, c'est une vérité que je dois confesser et vivre.
Placer ma foi dans l'amour de Dieu. Dieu est Amour, il m'aime, je suis précieux pour lui. Tout ce qui m'arrive est sous contrôle et va concourir à mon bien.
Placer ma foi dans l'autorité de Dieu. mais aussi dans sa supériorité. Il faut bien que je réalise que mon Dieu est au-dessus de toute domination et qu'il a le pouvoir de me libérer du joug de l'esclavage.
Placer ma foi dans le triomphe de Dieu (Colossiens 2/15). C'est une vérité à confesser et à vivre. Il a triomphé pour me rendre vainqueur. En son Nom, je triomphe de mes ennemis, du mal, du péché, des vices, des idoles et même de la mort.
Jean-Marc FEREZ
Source : Trésor Quotidien

jeudi 19 février 2009

Utopia


En 1516, Thomas More publie en latin son roman, “Utopia” (du grec “outopos” : sans lieu, de nulle part). Il décrit le pays idéal, une île dont la capitale est Amaurote ; ses 54 villes sont bâties sur le même modèle, et More régente la vie des Utopiens par une organisation sociale sans faille. Le nom de ce pays est passé dans le langage courant, sous la forme “utopie”.

D'autres après lui ont essayé de construire une société idéale. Que d'efforts pour établir la paix mondiale, le droit des femmes, des enfants, des minorités, le droit au travail, le partage des biens...

Mais il faut bien se rendre à l'évidence, les choses ne vont pas mieux qu'avant. C'est bien une utopie que de vouloir améliorer le monde sans tenir compte de Dieu !

L'humanité ne va pas vers des jours meilleurs, malgré tous les efforts des gouvernements ou des associations en tout genre. Y a-t-il eu moins de misère, de guerres, de génocides au 20e siècle que dans les précédents ?

La Bible, la Parole de Dieu, ne nous laisse pas dans l'incertitude au sujet de la condition de l'homme : “Depuis la plante du pied jusqu'à la tête, il n'y a rien en lui qui soit sain : tout est blessure, et meurtrissure, et plaies vives” (Ésaïe 1. 6).

Mais elle nous dit aussi avec autorité ce que Dieu a fait pour l'homme : “Cette parole est certaine et digne d'être pleinement reçue : le Christ Jésus est venu dans le monde pour sauver les pécheurs” (1 Timothée 1. 15).

La foi n'est pas une utopie, mais la certitude intérieure que ce que Dieu a dit dans sa Parole est vrai.

Source : le calendrier "La Bonne Semence"

mercredi 18 février 2009

Une vie sous la grâce

Nous devons vivre par la grâce tout comme nous avons été sauvés par la grâce.
Auteur inconnu 

mardi 17 février 2009

Dieu nous vit et nous aima.


Un jour, un missionnaire parlait à un groupe de jeunes garçons. Il leur dit : “J’aimerais vous parler de l’Évangile que nous prêchons en Afrique. D’abord, que tous les enfants modèles lèvent la main.” Aucune main ne se leva. Il sourit et dit : “J’ai le même message pour vous que pour les Africains : Dieu aime tous les garçons, même désobéissants.” Cela peut surprendre, mais c’est la vérité. “Mais en ceci, Dieu prouve son amour envers nous : lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous” (Romains 5.8 ; Tite 2.11 ; 1 Timothée 2.3-4).
Auteur inconnu

lundi 16 février 2009

Des preuves concluantes

Voici une lettre écrite par l'avocat Sir Edward Clarke (1841-1931) à un pasteur :
« J’ai effectué une étude prolongée des événements du premier jour de Pâque, en tant qu’homme de loi. Pour moi les preuves sont concluantes. J’ai dû prononcer bien des verdicts à la Cour Suprême sur la base de preuves bien moins sûres. Une inférence découle d’une preuve, et tout témoin sincère ne démet jamais une évidence parce qu’il n’aime pas son implication. Les preuves des Évangiles en ce qui concerne la résurrection font partie de cette catégorie d’évidence. En tant qu’homme de loi, je les accepte sans réserve comme le témoignage d’hommes dignes de confiance au sujet de faits qu’ils furent capables de prouver » (cf. J.R.W. Stott, Le Fondement du Christianisme)

dimanche 15 février 2009

Les deux monuments de Millau

A celui qui nous aime et qui nous a lavés de nos péchés dans son sang…, à lui la gloire. Apocalypse 1. 5, 6 La parole de la croix est folie pour ceux qui périssent, mais pour nous qui obtenons le salut, elle est la puissance de Dieu. 1 Corinthiens 1. 18 Deux monuments
Si vous passez par Millau, dans le Centre de la France, vous pouvez voir deux monuments :
- Le premier est un ouvrage d'art grandiose : c'est le viaduc qui enjambe la vallée du Tarn, le pont le plus haut du monde. Tous les superlatifs ont été évoqués pour le présenter. Son architecture et sa réalisation font l'admiration des nombreux visiteurs qui se pressent pour voir cette merveille du génie de l'homme.
- Le deuxième, plus ancien, d'aspect plus modeste, est érigé près de la route qui conduit au viaduc. C'est une stèle surmontée d'une croix portant cette inscription :
Jubilé 1851
Vive Jésus.
Il nous donne son sang,
Donnons-lui notre cœur.
Vive sa croix,
Elle est notre salut,
Notre consolation,
Notre espérance.
Du premier monument, bientôt, il ne restera rien. Car un jour viendra, dont parle la Bible, où «les cieux passeront avec un bruit strident, les éléments embrasés seront dissous, et la terre et les œuvres qui sont en elle seront brûlées entièrement» (2 Pierre 3. 10). Le deuxième subira le même sort. Mais le message qu'il porte, toujours d'actualité, souvenir d'un événement qui s'est passé il y a près de 2000 ans, subsistera éternellement. «Tout ce que Dieu fait subsiste à toujours» (Ecclésiaste 3. 14).
Source : La Bonne Semence

samedi 14 février 2009

Le bonheur des autres

" Il manque quelque chose à mon bonheur : celui des autres." Saint Augustin

vendredi 13 février 2009

Prier, c'est quoi ? (2)

"Dieu ne regarde pas à une prière éloquente mais à un cœur brisé."
"Quand on prie, mieux vaut avoir du cœur et manquer de mots que d'avoir des mots et manquer de cœur."
John Bunyan, pasteur anglais au 17ème Siècle

jeudi 12 février 2009

Foi et brouillard...


Charles Inglis, l’évangéliste bien connu, racontait volontiers l’histoire suivante : "Lorsque je me rendis en Amérique pour la première fois en 1877, je me trouvai sur un navire dont le capitaine était un chrétien très fidèle. Lorsque nous eûmes passé Terre-Neuve, il me dit:
- Monsieur Inglis, la dernière fois que je naviguai ici, il y a cinq semaines, il se passa une chose tout à fait extraordinaire qui révolutionna toute ma vie de chrétien. Jusqu’alors j’avais été un chrétien quelconque. Nous avions un homme de Dieu à bord, Georges Müller, de Bristol. Je m’étais tenu sur le pont pendant les dernières vingt-quatre heures sans le quitter, lorsque je sentis quelqu’un me taper sur l’épaule. C’était Georges Müller (1805 –1898).
- Capitaine, dit-il, je dois être à Québec dimanche après-midi. C’était mercredi. - Impossible, répondis-je. - Très bien; si votre navire ne peut pas me transporter, Dieu trouvera un moyen de locomotion pour m’y amener. En cinquante-sept ans, je n’ai jamais manqué un engagement. - Je vous aiderais bien volontiers, mais comment le pourrais-je? Je suis impuissant. - Descendons dans votre cabine et prions.
Je regardai cet homme tout en me demandant à moi-même de quelle maison de santé avait pu s’échapper ce déséquilibré.
- Monsieur Müller, dis-je, vous rendez-vous compte de la densité du brouillard? - Non, répliqua-t-il, mes yeux ne sont pas sur la densité du brouillard, mais sur le Dieu vivant, qui contrôle toutes les circonstances de ma vie. Puis il se mit à genoux et prononça une prière des plus simples. Je me disais: "Voilà qui conviendrait à une classe d’enfants de huit ou neuf ans. Cette prière disait à peu près ceci: "O Seigneur, si telle est ta volonté, dissipe, je te prie, ce brouillard en cinq minutes. Tu connais l’engagement que tu as toi-même préparé pour moi à Québec pour dimanche. Je crois que c’est ta volonté."
Quand il eut terminé, je m’apprêtais à prier, mais il mit sa main sur mon épaule et me dit de ne pas le faire.
- Premièrement, ajouta-t-il, vous ne croyez pas que Dieu le fasse; et secondement, je crois qu’Il l’a fait. Il n’est donc nullement nécessaire que vous priiez pour la même chose. Je le regardai, et Georges Müller me dit : - Capitaine, voici cinquante-sept ans que je connais le Seigneur, et pas un seul jour je n’ai manqué d’avoir un entretien avec le Roi. Levez-vous, Capitaine, et ouvrez la porte, vous verrez que le brouillard s’est dissipé. Je me levai, sortis, le brouillard avait disparu. Le dimanche après-midi, Georges Müller était à Québec. (article tiré du journal des Lien des Cellules de Prière).

mercredi 11 février 2009

Un lien d'intimité

« Dieu savait qu’en nous donnant son fils unique, sous la forme d’un homme né d’une femme, il nous permettrait d’établir avec lui ce lien d’intimité et d’amour qui nous serait si difficile à instaurer avec un Dieu qui ne serait qu’esprit. »
Auteur anonyme

mardi 10 février 2009

Il entends tes prières !



« Nous passons tous par des moments difficiles. Mais nous pouvons aussi tous en sortir la tête haute, avec la grâce de Dieu ! Ne sois pas découragé. Aujourd'hui, Dieu veut que tu adoptes une mentalité de vainqueur ! La foi c'est croire que tout se qui est impossible aux yeux des hommes est possible à Dieu ! La foi, c'est aussi croire que Dieu a déjà répondu à ta prière et qu'il te donnera toujours le meilleur. »
Auteur inconnu