Tu te poses des questions sur Dieu ? Tu as entendu parler de Jésus ? Quant à la Bible, tu sais que c'est un livre chrétien. Tu veux en découvrir sur ces trois sujets et bien d'autres encore. Ce blog te propose de réfléchir sur ces sujets et plein d'autres encore. Fais-toi ta propre opinion sur les textes de ce blog. Et surtout n'hésite pas à laisser un commentaire pour les articles. Ton avis compte. Ce blog est géré par le Groupe Biblique Universitaire d'Angers.
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mardi 22 décembre 2009
Quand commence la vie éternelle ?
lundi 21 décembre 2009
Dieu est fidéle !
Hudson Taylor, missionnaire pionnier en Chine, a dit que les paroles de Jésus dans Marc 11.22 – «Ayez foi en Dieu » – pourraient être rendues par : «Accrochez-vous à la fidélité de Dieu. »
Martyn Lloyd-Jones, ancien pasteur de London's Westminster Chapel, qui appréciait la perspicacité de Taylor a dit : « La foi, c'est s'accrocher à la fidélité de Dieu et, tant qu'on fait cela, on ne peut se tromper. La foi ne regarde pas les difficultés. [...] La foi ne porte pas les regards sur elle-même ni sur la personne qui l'exerce. La foi regarde Dieu. [...] La foi s'intéresse à Dieu seulement ; elle parle de Dieu, elle loue Dieu et elle vante les vertus de Dieu. La mesure de la foi d'un homme,' est toujours égale à la mesure de sa connaissance de Dieu. [...] Il connaît Dieu si bien qu'il peut se reposer sur cette connaissance. Et ce sont les prières d'un tel homme qui sont exaucées. »
dimanche 20 décembre 2009
Une expérience spirituelle de Billy Graham
“Pendant une période sombre de ma vie, j'ai passé beaucoup de temps à prier, mais le ciel paraissait d'airain. Il me semblait que Dieu avait disparu, me laissant seul avec mes épreuves et mon fardeau. C'était la nuit obscur pour mon âme. J'écrivis alors à ma mère pour lui exposer mon problème. Jamais je n'oublierai sa réponse : 'Mon fils, bien souvent Dieu se retire pour mettre notre foi à l'épreuve. Il veut que tu lui fasses confiance même dans l'obscurité. Maintenant, mon fils, étends ta main dans le brouillard et tu verras que sa main sera là, pour te saisir'”.
samedi 19 décembre 2009
Deux péchés modernes
vendredi 18 décembre 2009
"A-t-on encore besoin d'une religion ? "

Avez-vous besoin de croire en Dieu pour penser que la sincérité vaut mieux que le mensonge, que la générosité vaut mieux que l'égoïsme, que le courage vaut mieux que la lâcheté, que la douceur et la compassion valent mieux que le violence et la cruauté, que l'amour vaut mieux que la haine ?
André Comte-Sponville, philosophe français (1952)
Philosophe humaniste et enseignant français, André Comte-Sponville a eu la foi jusqu'à 18 ans : 'L'une des rares choses dont je suis sûr en ce domaine, c'est que Dieu ne m'a jamais rien dit'.
jeudi 17 décembre 2009
"Amazing Grace"
Cela se passe à la fin du XVIIème siècle ou au début du XVIIIème. John Newton, homme riche et cruel, ne croyait pas en Dieu. Il possédait une somptueuse demeure dans l'État de la Caroline du Nord, beaucoup d'esclaves et de grandes propriétés. Sa maison était ornée de tapis, de meubles de grande valeur, de tapisseries précieuses et de candélabres d'argent. À côté de la fenêtre d'où il pouvait voir à l'infini ses champs de coton, se trouvait un magnifique piano.
Mais John Newton n'était pas souvent chez lui. Il possédait un bateau négrier et allait en Afrique où il pratiquait le commerce des esclaves. Son bateau partait vide et revenait chargé d'esclaves enchaînés.
Marchand d'esclaves, il avait fait fortune grâce à ce commerce de chair humaine. Sa maison devenait toujours plus luxueuse, ses domaines toujours plus étendus, et son cœur toujours plus dur et aride. Quand il revenait à la maison, il était chargé de cadeaux, de bijoux pour sa femme, de jouets pour ses enfants, mais son cœur n'en restait pas moins sec et froid.
Un jour, au cours d'un de ses nombreux voyages en mer qui le ramenait des côtes d'Afrique vers celles des États-Unis avec une cargaison de chair humaine, cet ivoire noir, John Newton tombe subitement malade: température élevée, délire, la fièvre typhoïde! Aussitôt, les hommes de l'équipage se consultent, une décision rapide s'impose. Un cas de typhoïde à bord signifie en quelques jours, peut-être même en quelques heures, la typhoïde pour tous et la perte de toute la charge du bateau.
La décision est prise: John Newton sera glissé dans une chaloupe et abandonné sur l'océan. Mais il ne sera pas seul, car un deuxième cas de cette terrible maladie vient d'être signalé. Une vieille femme, qui a travaillé comme cuisinière au cours de nombreux voyages, vient d'être atteinte par le même mal. Tous les deux sont donc abandonnés en pleine mer, et le navire s'éloigne lentement.
John Newton délire; la vieille femme, elle aussi, est gravement malade. Un courant pousse leur chaloupe vers une île déserte, et le soir du troisième jour de leur triste voyage, leur embarcation aborde sur la plage de l'île. Là, sur le sable, un dialogue s'engage entre les deux malades. D'un côté, un homme qui délire, de l'autre, une vieille femme qui, malgré la maladie qui l'étreint, a gardé la certitude de la foi, car cette simple femme noire n'a aucune haine à l'égard de son cruel patron. Elle possède Jésus dans son cœur depuis bien longtemps: alors qu'elle était encore enfant, elle L'a accepté comme son Sauveur.
C'est de Lui qu'elle commence à parler à John Newton. Elle lui dit qui est Jésus, l'Amour descendu sur terre; Jésus, sorti du sein de la vierge Marie; Jésus, venu pour libérer les esclaves, non seulement ceux qui sont enchaînés dans les cales des navires ou qui travaillent dans les champs de coton, mais aussi tous ceux qui, comme John Newton, sont esclaves du péché.
C'est là un message tout nouveau pour cet homme malade. Il l'entend pour la première fois. Quelque chose s'émeut dans son cœur troublé: c'est la douce voix du Seigneur qui commence à se faire entendre…
–Hélas, c'est trop tard, dit John Newton. J'ai tellement péché dans ma vie! C'est trop tard pour me repentir…
Mais la vieille esclave noire lui répond:
–Non, ce n'est jamais trop tard! Le Seigneur peut te guérir. Lui qui sur la Croix de Golgotha a porté nos péchés et nos maladies, Lui qui S'est chargé de toutes nos fautes, des miennes, des tiennes, Lui peut te guérir! Je vais le Lui demander.Et là, sur cette plage déserte, le Seigneur agit miraculeusement et guérit John Newton, tandis qu'Il reprend la vieille esclave qui vient de remplir son devoir.
Les jours passent. John Newton reprend des forces; il se nourrit de fruits et d'herbes sauvages.
Tout à coup, un jour, bien loin à l'horizon, apparaît un navire. Poussé sans doute miraculeusement par le vent, il s'approche de l'île. Sur le pont, on a vu les grands signes que fait John Newton et on lance aussitôt une chaloupe à la mer. Il est sauvé et hissé sur le navire.
Quelques semaines plus tard, John Newton est de nouveau chez lui, mais comme elle lui paraît vide sa maison, maintenant! Il y manque l'amour, il y manque Jésus. Il y a toujours les objets de luxe, les vases de prix, les candélabres d'argent, sa femme et ses enfants, mais il manque le Seigneur. Il faut qu'il L'introduise au sein de sa famille, et non seulement là, mais dans la grande communauté de ses esclaves qui travaillent dans les champs et qu'il veut libérer les uns après les autres. Il faut qu'il les réunisse pour la prière.
Et voilà que le soir, en rentrant des champs, les esclaves se groupent autour de lui, de sa femme et de ses enfants, et, ensemble, ils chantent des hymnes de louange au Seigneur et prient.
Petit à petit, les objets précieux disparaissent de sa somptueuse demeure, car John Newton, après avoir libéré ses propres esclaves, commence à payer la libération des nombreux esclaves des entreprises voisines. Tapis, objets de valeur, tapisseries s'en vont peu à peu, car tout ce qu'il a gagné avec la traite des Noirs, à présent, John Newton le vend pour libérer les hommes de leur esclavage.
Un soir, ils se réunissent nombreux dans sa maison. Il n'y a plus beaucoup de meubles: une chaise, une table et…le piano. "Ce sera maintenant le tour du piano, pense John Newton. Lui aussi sera vendu, mais avant de le vendre, j'aimerais composer un chant…"Et, tandis que ses ex-esclaves, sa femme et ses enfants l'entourent, il s'assied au piano et demande au Seigneur, en cet ultime jour où il possède encore son instrument, de lui donner une mélodie et des paroles de reconnaissance et de louange qui rappelleront pour toujours le témoignage que lui a apporté la vieille esclave au Nom de Jésus. Les paroles affluent sur ses lèvres:
Grâce merveilleuse, quelle douceur dans ce mot!
Grâce qui a sauvé un misérable tel que moi!
Autrefois, j'étais perdu, maintenant, je suis retrouvé,
J'étais aveugle, et maintenant je vois.
J'ai déjà rencontré bien des dangers,
Bien des peines et des pièges,
Mais la grâce m'a préservé jusqu'ici.
Et c'est elle qui me conduira là-haut.
Quand, resplendissants comme le soleil,
Nous aurons chanté les louanges de Dieu pendant mille ans,
Nous en serons comme au premier jour,
Et toute l'éternité de gloire sera devant nous.Par Fred Ladenius, in Réalités de la Foi, Digest, n°53, 2/91, pp. 8-10
mercredi 16 décembre 2009
Le cas du Christ est concluant
LEE STROBEL
JOURNALISTE AMÉRICAIN
THE CASE FOR CHRIST, 1998
Perhaps after reading expert after expert, listening to argument after argument, seeing the answers to question after question, and testing the evidence with your logic and common sense, you’ve found, as I have, that the case for Christ is conclusive.
LEE STROBEL
AMERICAN JOURNALIST
THE CASE FOR CHRIST, 1998
mardi 15 décembre 2009
Dieu a prouvé son amour sur la croix

John Stott,
lundi 14 décembre 2009
"Ainsi soit-il"
dimanche 13 décembre 2009
"Pourquoi n'arrivez-vous pas à dormir ?"

"Alors, maître, pourquoi ne pas Le laisser le diriger maintenant aussi ?"
Editions GM, pages 273-274
samedi 12 décembre 2009
Là où est la volonté de Dieu, ...
vendredi 11 décembre 2009
DES LARMES AU PARADIS

Étonnamment, toutefois, Clapton a dit quelques années plus tard, lors d'une interview télévisée : « Dans un sens, ce n'était même pas une chanson triste. C'était une chanson de soulagement. Quand elle dit qu'il n'y aura plus de larmes au Paradis, je pense que c'est une chanson optimiste - de réunion. »
La pensée d'une réunion céleste est effectivement puissante. Pour ceux d'entre nous qui ont placé leur confiance en Jésus-Christ pour leur salut, il y a l'espérance que nous serons réunis pour toujours dans un lieu où Dieu « essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur» (Ap 21.4). Et, par-dessus tout, c'est un endroit où nous «[verrons] sa face » et où nous serons pour toujours avec Christ lui-même (22.4).
Quand nous subissons une perte, que nous sommes chagrinés ou que nous pleurons, n'est-ce pas réconfortant de savoir que Christ nous a acquis une demeure céleste où il n'y aura plus de larmes !
le chagrin cédera la place à une joie éternelle.
jeudi 10 décembre 2009
Une force intérieure
« Le pardon est plus qu'un sentiment, c'est une force qui déclenche d'admirables effets.»
Marcelle Auclair
mercredi 9 décembre 2009
Jésus et les fondateurs des autres religions
« Bouddha, Confucius, Lao-Tseu, Mahomet, tous les fondateurs de religions sont historiquement des isolés. C’est-à-dire qu’ils apparaissent sans que la tradition religieuse précédente les annonce. Jésus est, au contraire, le point central d’un élan d’espérance et d’attente. »
mardi 8 décembre 2009
lundi 7 décembre 2009
Paul et Silas : une illustration de la joie chrétienne dans les difficultés (partie 2)
Pourquoi Paul et Silas sont-ils en prison ?
Dans les versets 13 à 24, nous voyons Paul et Silas en train d’annoncer l’Evangile dans la ville de Philippes. Paul et Silas font un jour la rencontre d’une esclave ayant un esprit lui permettant de prédire l’avenir. Elle déclare pendant des jours l’objet de la venue de Paul et Silas dans cette ville. Paul, excédé, chasse alors au nom de Jésus l’esprit de divination de cette femme. Or comme cette esclave rapportait de grands revenus à ces maitres, ces derniers amènent Paul et Silas devant les autorités judiciaires de la ville sous le prétexte de désordre religieux, occultant ainsi le vrai motif. Ils sont roués de coups et ensuite envoyés au plus profond de la prison pour avoir le moins de chances de s’échapper.
Quelle est la réaction de ces deux hommes après cette journée difficile ?
L’état d’esprit normal d’une personne accusé à tort et battu à coup de bâtons sans aucun procès serait le désespoir, le découragement. Les marques dans la chair font souffrir à chaque mouvement.
Mais que font Paul et Silas ? Le verset 25 dit « Vers le milieu de la nuit, Paul et Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu ». Leur attitude spirituelle montre que c’est tout le contraire. Ils ont mis leur espoir en Dieu et ils expriment cet espoir oralement à tous les prisonniers. Ils s’attendent à Dieu et sont rempli d’une telle joie qu’ils oublient leurs souffrances. Le texte précise que « les autres prisonniers les écoutaient. », ce qui veut dire que cette attitude les surprend. Cette joie dans la douleur les étonne au point qu’ils ont dû se demander qui étaient ces hommes pour réagir comme cela.
Que se passent-ils après cette attitude d’espoir ?
Dans les versets 26 à 34, Dieu agit et un tremblement de terre se produit. Le gardien de prison craignant de voir tous les prisonniers est sur le point de se tuer lorsque Paul lui crie de ne pas se tuer. Le gardien de prison, si arrogant au moment de leur arrivée en prison devient alors tout tremblant pour s’humilier devant Paul. Il vient de vivre quelque chose d’unique. Ces hommes sont vraiment « les envoyés du Dieu vivant », comme l’annonçait l’esclave.
L’homme demande à Paul et Silas comment être sauvé. L’Evangile est annoncé. Lui, toute sa famille, ses amis croient au message de l’Evangile. Le gardien de prison guérit les plaies non soignés de Paul et Silas. Il fait même un repas où toutes ces personnes se réjouissent d’avoir cru en Dieu.
Veux-tu toi aussi connaitre cette joie ?
Auteur inconnu
dimanche 6 décembre 2009
Paul et Silas en prison : une illustration biblique de la joie dans la difficulté (partie 1)
A Philippes
13 Le jour du *sabbat, nous nous sommes rendus hors de l'enceinte de la cité, au bord d'une rivière où nous supposions que les Juifs se réunissaient d'habitude pour la prière. Quelques femmes étaient rassemblées là. Nous nous sommes assis avec elles et nous leur avons parlé. 14 Il y avait parmi elles une marchande d'étoffes de pourpre, nommée Lydie, originaire de la ville de Thyatire et qui adorait Dieu. Elle écoutait, et le Seigneur ouvrit son cœur, de sorte qu'elle fut attentive à ce que disait Paul.
15 Elle fut baptisée avec sa famille et ceux qui en dépendaient, puis elle nous invita en disant: ---Puisque vous avez jugé que je crois au Seigneur, venez loger chez moi. Et, avec insistance, elle nous pressa d'accepter.
16 Un jour que nous nous rendions au lieu de prière, une esclave vint à notre rencontre. Elle avait en elle un esprit de divination, et ses prédictions procuraient de grands revenus à ses maîtres.
17 Elle se mit à nous suivre, Paul et nous, en criant à tue-tête: ---Ces hommes-là sont des serviteurs du Dieu très-haut: ils viennent vous annoncer comment être *sauvés!
18 Elle fit cela plusieurs jours de suite. A la fin, Paul, excédé, se retourna et dit à l'esprit: ---Je t'ordonne, au nom de Jésus-Christ, de sortir de cette femme! A l'instant même, il la quitta.
19 Lorsque les maîtres de l'esclave s'aperçurent que leurs espoirs de gains s'étaient évanouis, ils se saisirent de Paul et de *Silas et les traînèrent sur la grand-place de la ville devant les autorités.
20 Ils les présentèrent aux magistrats romains et portèrent plainte contre eux en ces termes: ---Ces gens-là sont des Juifs qui jettent le trouble dans notre ville.
21 Ils cherchent à introduire ici des coutumes que nous, qui sommes Romains, n'avons le droit ni d'accepter, ni de pratiquer!
22 La foule se souleva contre eux. Alors, les magistrats leur firent arracher les vêtements et ordonnèrent qu'on les batte à coups de bâton.
23 On les roua de coups et on les jeta en prison. Le gardien reçut l'ordre de les surveiller de près.
24 Pour se conformer à la consigne, il les enferma dans le cachot le plus reculé et leur attacha les pieds dans des blocs de bois.
25 Vers le milieu de la nuit, Paul et *Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu. Les autres prisonniers les écoutaient.
26 Tout à coup, un violent tremblement de terre secoua la prison jusque dans ses fondations. Toutes les portes s'ouvrirent à l'instant même et les chaînes de tous les prisonniers se détachèrent.
27 Le gardien se réveilla en sursaut et vit les portes de la prison grand ouvertes: alors il tira son épée et allait se tuer, car il croyait que ses prisonniers s'étaient enfuis[f].
28 Mais Paul lui cria de toutes ses forces: ---Arrête! Ne te fais pas de mal, nous sommes tous là.
29 Le gardien demanda des torches, se précipita dans le cachot et, tremblant de peur, se jeta aux pieds de Paul et de Silas.
30 Puis il les fit sortir et leur demanda: ---Messieurs, que dois-je faire pour être sauvé[g]?
31 ---Crois au Seigneur Jésus, lui répondirent-ils, et tu seras sauvé, toi et les tiens.
32 Et ils lui annoncèrent la Parole de Dieu, à lui et à tous ceux qui vivaient dans sa maison.
33 A l'heure même, en pleine nuit, le gardien les prit avec lui et lava leurs blessures. Il fut baptisé aussitôt après, lui et tous les siens.
34 Puis il fit monter Paul et Silas dans sa maison, leur offrit un repas, et se réjouit, avec toute sa famille, d'avoir cru en Dieu.
Footnotes:
- Actes 16:27 Les geôliers qui laissaient échapper un prisonnier étaient condamnés à la peine qu'aurait dû subir le fugitif.
- Actes 16:30 Autre traduction: pour sortir indemne de cette situation.
samedi 5 décembre 2009
vendredi 4 décembre 2009
jeudi 3 décembre 2009
Le secret du bonheur d'Eric Liddell
Il était aussi un athlète de haut niveau, vainqueur du 400 m lors des Jeux Olympiques d'été de 1924.
Il a été immortalisé dans le film Les Chariots de feu pour lequel sa sœur Jennie a participe au tournage.
Plus tard, une prostituée russe déclara que Liddell fut le seul homme qui l'aida sans rien demander en retour. Quand elle entra dans le camp pour la première fois, seule et repoussée, il lui mit des étagères.
Un autre interné dit, " il avait une façon douce et humoristique d'adoucir les gens irrités. "
Lors d'une rencontre bouleversante des internés, chacun demandait à ce que quelqu'un d'autre fasse quelque chose au sujet des adolescents qui causaient du trouble. Liddell proposa une solution. Il organisa des sports, des cours d'artisanat et autres pour les jeunes et passait ses soirées avec eux.
Eric Liddell devint célèbre lors des jeux olympiques de 1924, quand il gagna une médaille d'or pour la course de 400 mètres. Mais dans l'entassement du complexe, il se montra un héros dans la course chrétienne également car il gagna l'admiration des internés les plus mondains.
Qu'est-ce qui le rendit si spécial? Vous auriez pu découvrir son secret à 6h00 chaque matin. C'est le moment où il marchait sur la pointe des pieds pour ne pas déranger ses compagnons qui dormaient, s'asseyait devant une table, allumait une petite lampe pour éclairer son cahier et sa Bible. Chaque jour, Eric Liddell chercha la grâce et la force dans les richesses de la parole de Dieu.
mercredi 2 décembre 2009
mardi 1 décembre 2009
Le bâtisseur de ponts
lundi 30 novembre 2009
La Bible c'est quoi ? (1)

" Ce grand livre... est le meilleur don de Dieu fait aux hommes. Sans lui nous ne pourrions distinguer le bien du mal. "
Francis Cassette Monfort a écrit : " La moralité de la Bible est, après tout, la sécurité de la société. "
"Défendre la Bible, c'est défendre un lion: il saura bien se défendre lui-même !" a dit l'évangéliste Charles Spurgeon au 19ème Siécle.
dimanche 29 novembre 2009
Une courte et profonde réflexion sur notre vie terrestre

samedi 28 novembre 2009
L'espérance de Martin Luther (1)
Quand le Dr Martin Luther (1483-1546) était triste et abattu, il se consolait par cette seule parole : Il vit! Souvent, il écrivait ces mots à la craie devant lui: Il vit, Il vit. Il les inscrivait aussi sur les portes et les parois. Comme on lui demandait un jour la signification de ces paroles, il répondit: « Jésus vit et, s'il ne vivait pas, je ne voudrais pas vivre moi-même une heure de plus ! Mais parce qu'il vit, nous vivrons aussi par Lui! »
vendredi 27 novembre 2009
Pour les deux
Le salut est une décision personnelle.
Source : Topchrétien
jeudi 26 novembre 2009
Pardonner l'impardonnable : une histoire vraie
mercredi 25 novembre 2009
Réflexion sur la fidélité de Dieu
Reflexions : S’inquiéter prend beaucoup de temps et d’énergie. Mais l’inquiétude nous paralyse et nous empêche d’agir. S’inquiéter n’arrange rien. En général, cela nous rend encore plus mal. Par exemple, tu peux t‘inquiéter pour un examen.