Tu te poses des questions sur Dieu ? Tu as entendu parler de Jésus ? Quant à la Bible, tu sais que c'est un livre chrétien. Tu veux en découvrir sur ces trois sujets et bien d'autres encore. Ce blog te propose de réfléchir sur ces sujets et plein d'autres encore. Fais-toi ta propre opinion sur les textes de ce blog. Et surtout n'hésite pas à laisser un commentaire pour les articles. Ton avis compte. Ce blog est géré par le Groupe Biblique Universitaire d'Angers.
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vendredi 8 janvier 2010
jeudi 7 janvier 2010
Vous n'êtes pas là par hasard
Longtemps avant que vous ayez été conçu par vos parents, vous avez été conçu dans l'esprit de Dieu. C'est lui qui a pensé à vous en premier ! Si vous êtes en train de respirer en ce moment, ce n'est ni le destin, ni la chance, ni le hasard, ni une pure coïncidence, Vous êtes vivant parce que le Seigneur a voulu vous créer ! La Bible dit: «L'Eternel achèvera ce qui me concerne.»
Dieu a façonné votre corps dans les moindres détails. Il a délibérément choisi votre race, votre couleur de peau, votre type de cheveu, etc... Il a fait votre corps sur mesure, exactement comme il le souhaitait. Il a ausi déterminé quels talents naturels vous posséderiez et forgé le caractère unique de votre personnalité.
extrait de «Une vie, une passion, une destinée» (Rick Warren)
mercredi 6 janvier 2010
Nos vies
- "Ils perdent leur santé à faire de l'argent et par la suite perdent tout leur argent à tenter de la retrouver. En pensant anxieusement au futur, ils oublient le présent, de sorte qu'ils ne vivent ni le présent ni le futur. Finalement, ils vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir, et ils meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu..."
Confucius (un non chrétien philosophe)
mardi 5 janvier 2010
Où est Dieu, M. Voltaire ?
On raconte qu’un jour, se promenant à Ferney, Voltaire rencontra un petit enfant qui jouait dans le parc. - Bonjour, mon petit bonhomme. Voyons, es-tu chrétien ? - Oui, Monsieur. - Écoute, vois-tu cet arbre chargé de pommes ? Eh bien ! Elles sont toutes à toi si tu peux me dire où est Dieu. L’enfant resta un moment embarrassé, puis levant tout à coup les yeux, il dit avec vivacité : - Et vous, Monsieur, pouvez-vous me dire où il n’est pas ? Ce mot fut un coup de foudre pour Voltaire. Il se retourna, se mit à marcher à grands pas, et laissa les pommes et l’enfant qui ne se doutait pas de son triomphe.
lundi 4 janvier 2010
PARADOXES
Celui qui est la source d’Eau vive a terminé Son ministère en ayant soif.
Il a eu faim comme un simple mortel, et Il a nourri les affamés, comme seul Dieu pouvait le faire.
Il a été fatigué, et Il est notre repos.
Il a payé le tribut, et Il est le Roi.
Il a été appelé démon, et Il chassait les démons.
Il priait, et Il est Celui qui écoute la prière.
Il a pleuré, et c’est Lui qui sèche nos larmes.
Il fut vendu pour trente pièces d’argent, et Il opéra la rédemption du monde.
Il fut emmené comme un agneau à la boucherie, et Il est le Bon Berger.
Il est mort. Il a donné Sa vie et en mourant Il a détruit la mort.
( Source d’Eau Vive)
dimanche 3 janvier 2010
S'il y a un Dieu
samedi 2 janvier 2010
Victor Hugo parle de Dieu
vendredi 1 janvier 2010
jeudi 31 décembre 2009
Une joie qui se communique aux autres
La meilleure manière de montrer notre gratitude envers Dieu et envers les gens,
c'est d'accepter tout avec joie.
Ne laissez jamais le chagrin vous noyer
au point d'en oublier la joie du Christ Ressuscité. Nous aspirons tous au ciel où est Dieu,
mais nous avons le pouvoir de nous trouver
dès maintenant dans ce ciel :
Il suffit d'être heureux avec Lui,
en l'instant présent.
Mais être heureux avec Lui, maintenant,
cela veut dire : aimer comme Il aime,
aider comme Il aide, donner comme Il donne,
servir comme II sert, sauver comme Il sauve,
être avec Lui 24 heures par jour."
Mère Térésa
mercredi 30 décembre 2009
Les biens de Dieu
mardi 29 décembre 2009
Comment vit notre monde ?
lundi 28 décembre 2009
Ce que je crois par Jean-Jacques Rousseau

Moi de mon côté, très convaincu des vérités essentielles au christianisme, lesquelles servent de fondement à toute bonne morale, cherchant au surplus à nourrir mon cœur de l’esprit de l’Évangile sans tourmenter ma raison de ce qui m’y paraît obscur, enfin persuadé que quiconque aime Dieu par-dessus toute chose et son prochain comme soi-même, est un vrai chrétien, je m’efforce de l’être, laissant à part toutes ces subtilités de doctrine, tous ces importants galimatias dont les pharisiens embrouillent nos devoirs et offusquent notre foi, et mettant avec Saint Paul la foi-même au-dessous de la charité.
Heureux d’être né dans la religion la plus raisonnable et la plus sainte qui soit sur la terre, je reste inviolablement attaché au culte de mes pères : comme eux je prends l’Écriture et la raison pour les uniques règles de ma croyance ; comme eux je récuse l’autorité des hommes, et n’entends me soumettre à leurs formules qu’autant que j’en aperçois la vérité ; comme eux je me réunis de cœur avec les vrais serviteurs de Jésus-Christ et les vrais adorateurs de Dieu, pour lui offrir dans la communion des fidèles les hommages de son Église.
dimanche 27 décembre 2009
L'espérance de Martin Luther (2)
Le Dr Martin Luther disait un jour : « Si quelqu'un frappe à la porte de mon cœur et demande: qui demeure ici? je lui réponds: C'est Jésus qui demeure ici et non plus Martin Luther!»
samedi 26 décembre 2009
Laissez le passé au passé
vendredi 25 décembre 2009
Saint Augustin parle de l'Evangile
jeudi 24 décembre 2009
Une religion, ou la foi en Jésus Christ ?
--Une première réponse me vient à l'esprit : le christianisme n'est pas proprement une religion, mais une relation avec une personne, Jésus Christ. J'ajouterai trois grandes différences :
1) Les fondateurs des religions se sont présentés comme des guides vers un dieu qu'ils recherchaient eux-mêmes. En contraste, Jésus se présente comme celui qui est «descendu du ciel»
2) Les religions ne donnent pas de certitude pour le pardon des péchés ou la vie après la mort. Jésus, «celui qui vient du ciel est au-dessus de tous ; et c'est de ce qu'il a vu et entendu qu'il rend témoignage»
3) Les religions mettent toutes l'accent sur les efforts de l'homme qui doit essayer de s'améliorer, d'obéir aux règles qui lui sont prescrites (et il n'y arrive jamais). En un mot, il devrait gagner son salut. Jésus donne un pardon gratuit. Il en a lui-même payé le prix en mourant pour nos péchés sur la croix. Il communique la vie éternelle à tous ceux qui croient en lui
mercredi 23 décembre 2009
Dieu créateur
mardi 22 décembre 2009
Quand commence la vie éternelle ?
lundi 21 décembre 2009
Dieu est fidéle !
Hudson Taylor, missionnaire pionnier en Chine, a dit que les paroles de Jésus dans Marc 11.22 – «Ayez foi en Dieu » – pourraient être rendues par : «Accrochez-vous à la fidélité de Dieu. »
Martyn Lloyd-Jones, ancien pasteur de London's Westminster Chapel, qui appréciait la perspicacité de Taylor a dit : « La foi, c'est s'accrocher à la fidélité de Dieu et, tant qu'on fait cela, on ne peut se tromper. La foi ne regarde pas les difficultés. [...] La foi ne porte pas les regards sur elle-même ni sur la personne qui l'exerce. La foi regarde Dieu. [...] La foi s'intéresse à Dieu seulement ; elle parle de Dieu, elle loue Dieu et elle vante les vertus de Dieu. La mesure de la foi d'un homme,' est toujours égale à la mesure de sa connaissance de Dieu. [...] Il connaît Dieu si bien qu'il peut se reposer sur cette connaissance. Et ce sont les prières d'un tel homme qui sont exaucées. »
dimanche 20 décembre 2009
Une expérience spirituelle de Billy Graham
“Pendant une période sombre de ma vie, j'ai passé beaucoup de temps à prier, mais le ciel paraissait d'airain. Il me semblait que Dieu avait disparu, me laissant seul avec mes épreuves et mon fardeau. C'était la nuit obscur pour mon âme. J'écrivis alors à ma mère pour lui exposer mon problème. Jamais je n'oublierai sa réponse : 'Mon fils, bien souvent Dieu se retire pour mettre notre foi à l'épreuve. Il veut que tu lui fasses confiance même dans l'obscurité. Maintenant, mon fils, étends ta main dans le brouillard et tu verras que sa main sera là, pour te saisir'”.
samedi 19 décembre 2009
Deux péchés modernes
vendredi 18 décembre 2009
"A-t-on encore besoin d'une religion ? "

Avez-vous besoin de croire en Dieu pour penser que la sincérité vaut mieux que le mensonge, que la générosité vaut mieux que l'égoïsme, que le courage vaut mieux que la lâcheté, que la douceur et la compassion valent mieux que le violence et la cruauté, que l'amour vaut mieux que la haine ?
André Comte-Sponville, philosophe français (1952)
Philosophe humaniste et enseignant français, André Comte-Sponville a eu la foi jusqu'à 18 ans : 'L'une des rares choses dont je suis sûr en ce domaine, c'est que Dieu ne m'a jamais rien dit'.
jeudi 17 décembre 2009
"Amazing Grace"
Cela se passe à la fin du XVIIème siècle ou au début du XVIIIème. John Newton, homme riche et cruel, ne croyait pas en Dieu. Il possédait une somptueuse demeure dans l'État de la Caroline du Nord, beaucoup d'esclaves et de grandes propriétés. Sa maison était ornée de tapis, de meubles de grande valeur, de tapisseries précieuses et de candélabres d'argent. À côté de la fenêtre d'où il pouvait voir à l'infini ses champs de coton, se trouvait un magnifique piano.
Mais John Newton n'était pas souvent chez lui. Il possédait un bateau négrier et allait en Afrique où il pratiquait le commerce des esclaves. Son bateau partait vide et revenait chargé d'esclaves enchaînés.
Marchand d'esclaves, il avait fait fortune grâce à ce commerce de chair humaine. Sa maison devenait toujours plus luxueuse, ses domaines toujours plus étendus, et son cœur toujours plus dur et aride. Quand il revenait à la maison, il était chargé de cadeaux, de bijoux pour sa femme, de jouets pour ses enfants, mais son cœur n'en restait pas moins sec et froid.
Un jour, au cours d'un de ses nombreux voyages en mer qui le ramenait des côtes d'Afrique vers celles des États-Unis avec une cargaison de chair humaine, cet ivoire noir, John Newton tombe subitement malade: température élevée, délire, la fièvre typhoïde! Aussitôt, les hommes de l'équipage se consultent, une décision rapide s'impose. Un cas de typhoïde à bord signifie en quelques jours, peut-être même en quelques heures, la typhoïde pour tous et la perte de toute la charge du bateau.
La décision est prise: John Newton sera glissé dans une chaloupe et abandonné sur l'océan. Mais il ne sera pas seul, car un deuxième cas de cette terrible maladie vient d'être signalé. Une vieille femme, qui a travaillé comme cuisinière au cours de nombreux voyages, vient d'être atteinte par le même mal. Tous les deux sont donc abandonnés en pleine mer, et le navire s'éloigne lentement.
John Newton délire; la vieille femme, elle aussi, est gravement malade. Un courant pousse leur chaloupe vers une île déserte, et le soir du troisième jour de leur triste voyage, leur embarcation aborde sur la plage de l'île. Là, sur le sable, un dialogue s'engage entre les deux malades. D'un côté, un homme qui délire, de l'autre, une vieille femme qui, malgré la maladie qui l'étreint, a gardé la certitude de la foi, car cette simple femme noire n'a aucune haine à l'égard de son cruel patron. Elle possède Jésus dans son cœur depuis bien longtemps: alors qu'elle était encore enfant, elle L'a accepté comme son Sauveur.
C'est de Lui qu'elle commence à parler à John Newton. Elle lui dit qui est Jésus, l'Amour descendu sur terre; Jésus, sorti du sein de la vierge Marie; Jésus, venu pour libérer les esclaves, non seulement ceux qui sont enchaînés dans les cales des navires ou qui travaillent dans les champs de coton, mais aussi tous ceux qui, comme John Newton, sont esclaves du péché.
C'est là un message tout nouveau pour cet homme malade. Il l'entend pour la première fois. Quelque chose s'émeut dans son cœur troublé: c'est la douce voix du Seigneur qui commence à se faire entendre…
–Hélas, c'est trop tard, dit John Newton. J'ai tellement péché dans ma vie! C'est trop tard pour me repentir…
Mais la vieille esclave noire lui répond:
–Non, ce n'est jamais trop tard! Le Seigneur peut te guérir. Lui qui sur la Croix de Golgotha a porté nos péchés et nos maladies, Lui qui S'est chargé de toutes nos fautes, des miennes, des tiennes, Lui peut te guérir! Je vais le Lui demander.Et là, sur cette plage déserte, le Seigneur agit miraculeusement et guérit John Newton, tandis qu'Il reprend la vieille esclave qui vient de remplir son devoir.
Les jours passent. John Newton reprend des forces; il se nourrit de fruits et d'herbes sauvages.
Tout à coup, un jour, bien loin à l'horizon, apparaît un navire. Poussé sans doute miraculeusement par le vent, il s'approche de l'île. Sur le pont, on a vu les grands signes que fait John Newton et on lance aussitôt une chaloupe à la mer. Il est sauvé et hissé sur le navire.
Quelques semaines plus tard, John Newton est de nouveau chez lui, mais comme elle lui paraît vide sa maison, maintenant! Il y manque l'amour, il y manque Jésus. Il y a toujours les objets de luxe, les vases de prix, les candélabres d'argent, sa femme et ses enfants, mais il manque le Seigneur. Il faut qu'il L'introduise au sein de sa famille, et non seulement là, mais dans la grande communauté de ses esclaves qui travaillent dans les champs et qu'il veut libérer les uns après les autres. Il faut qu'il les réunisse pour la prière.
Et voilà que le soir, en rentrant des champs, les esclaves se groupent autour de lui, de sa femme et de ses enfants, et, ensemble, ils chantent des hymnes de louange au Seigneur et prient.
Petit à petit, les objets précieux disparaissent de sa somptueuse demeure, car John Newton, après avoir libéré ses propres esclaves, commence à payer la libération des nombreux esclaves des entreprises voisines. Tapis, objets de valeur, tapisseries s'en vont peu à peu, car tout ce qu'il a gagné avec la traite des Noirs, à présent, John Newton le vend pour libérer les hommes de leur esclavage.
Un soir, ils se réunissent nombreux dans sa maison. Il n'y a plus beaucoup de meubles: une chaise, une table et…le piano. "Ce sera maintenant le tour du piano, pense John Newton. Lui aussi sera vendu, mais avant de le vendre, j'aimerais composer un chant…"Et, tandis que ses ex-esclaves, sa femme et ses enfants l'entourent, il s'assied au piano et demande au Seigneur, en cet ultime jour où il possède encore son instrument, de lui donner une mélodie et des paroles de reconnaissance et de louange qui rappelleront pour toujours le témoignage que lui a apporté la vieille esclave au Nom de Jésus. Les paroles affluent sur ses lèvres:
Grâce merveilleuse, quelle douceur dans ce mot!
Grâce qui a sauvé un misérable tel que moi!
Autrefois, j'étais perdu, maintenant, je suis retrouvé,
J'étais aveugle, et maintenant je vois.
J'ai déjà rencontré bien des dangers,
Bien des peines et des pièges,
Mais la grâce m'a préservé jusqu'ici.
Et c'est elle qui me conduira là-haut.
Quand, resplendissants comme le soleil,
Nous aurons chanté les louanges de Dieu pendant mille ans,
Nous en serons comme au premier jour,
Et toute l'éternité de gloire sera devant nous.Par Fred Ladenius, in Réalités de la Foi, Digest, n°53, 2/91, pp. 8-10
mercredi 16 décembre 2009
Le cas du Christ est concluant
LEE STROBEL
JOURNALISTE AMÉRICAIN
THE CASE FOR CHRIST, 1998
Perhaps after reading expert after expert, listening to argument after argument, seeing the answers to question after question, and testing the evidence with your logic and common sense, you’ve found, as I have, that the case for Christ is conclusive.
LEE STROBEL
AMERICAN JOURNALIST
THE CASE FOR CHRIST, 1998
mardi 15 décembre 2009
Dieu a prouvé son amour sur la croix

John Stott,
lundi 14 décembre 2009
"Ainsi soit-il"
dimanche 13 décembre 2009
"Pourquoi n'arrivez-vous pas à dormir ?"

"Alors, maître, pourquoi ne pas Le laisser le diriger maintenant aussi ?"
Editions GM, pages 273-274
samedi 12 décembre 2009
Là où est la volonté de Dieu, ...
vendredi 11 décembre 2009
DES LARMES AU PARADIS

Étonnamment, toutefois, Clapton a dit quelques années plus tard, lors d'une interview télévisée : « Dans un sens, ce n'était même pas une chanson triste. C'était une chanson de soulagement. Quand elle dit qu'il n'y aura plus de larmes au Paradis, je pense que c'est une chanson optimiste - de réunion. »
La pensée d'une réunion céleste est effectivement puissante. Pour ceux d'entre nous qui ont placé leur confiance en Jésus-Christ pour leur salut, il y a l'espérance que nous serons réunis pour toujours dans un lieu où Dieu « essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur» (Ap 21.4). Et, par-dessus tout, c'est un endroit où nous «[verrons] sa face » et où nous serons pour toujours avec Christ lui-même (22.4).
Quand nous subissons une perte, que nous sommes chagrinés ou que nous pleurons, n'est-ce pas réconfortant de savoir que Christ nous a acquis une demeure céleste où il n'y aura plus de larmes !
le chagrin cédera la place à une joie éternelle.
jeudi 10 décembre 2009
Une force intérieure
« Le pardon est plus qu'un sentiment, c'est une force qui déclenche d'admirables effets.»
Marcelle Auclair