Ce site est référencé sur le
Top Chrétien Francophone

Rechercher dans ce blog

Nombre total de pages vues

206449

vendredi 8 janvier 2010

La foi de Carl Linné


« J’ai vu passer Dieu. Je ne l’ai pas vu en face, mais ce reflet de lui, saisissant soudain mon âme, l’a jetée dans la stupeur et l’admiration ».
Carl LINNÉ (fondateur de la classification des plantes)

jeudi 7 janvier 2010

Vous n'êtes pas là par hasard

Votre naissance n'a été ni une erreur, ni le fruit du hasard, et votre vie n'est pas un accident. Même si vos parents n'ont pas prévu que vous naissiez, Dieu, lui, l'a fait. Il n'a pas été surpris du tout par votre naissance. Il vous a désiré !

Longtemps avant que vous ayez été conçu par vos parents, vous avez été conçu dans l'esprit de Dieu. C'est lui qui a pensé à vous en premier ! Si vous êtes en train de respirer en ce moment, ce n'est ni le destin, ni la chance, ni le hasard, ni une pure coïncidence, Vous êtes vivant parce que le Seigneur a voulu vous créer ! La Bible dit: «L'Eternel achèvera ce qui me concerne.»

Dieu a façonné votre corps dans les moindres détails. Il a délibérément choisi votre race, votre couleur de peau, votre type de cheveu, etc... Il a fait votre corps sur mesure, exactement comme il le souhaitait. Il a ausi déterminé quels talents naturels vous posséderiez et forgé le caractère unique de votre personnalité.


extrait de «Une vie, une passion, une destinée» (Rick Warren)

mercredi 6 janvier 2010

Nos vies

Qu'est-ce qui vous surprend le plus chez les humains ?
- "Ils perdent leur santé à faire de l'argent et par la suite perdent tout leur argent à tenter de la retrouver. En pensant anxieusement au futur, ils oublient le présent, de sorte qu'ils ne vivent ni le présent ni le futur. Finalement, ils vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir, et ils meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu..."
Confucius (un non chrétien philosophe)

WILLIAM ASHLEY “BILLY” SUNDAY (1862-1935)
Il commença sa carrière dans le service publique comme un professionnel du baseball, mais il arrêta cette activité.
Il fut le le plus proéminent evangéliste en Amérique dans le début des années 1900.
L’évangéliste Billy Sunday, affamé de voir le Seigneur œuvrer dans sa vie et dans son ministère, a fait cette prière à Dieu : "Fais de moi un géant pour toi !" Et Dieu l'a fait !



mardi 5 janvier 2010

Où est Dieu, M. Voltaire ?

On raconte qu’un jour, se promenant à Ferney, Voltaire rencontra un petit enfant qui jouait dans le parc. - Bonjour, mon petit bonhomme. Voyons, es-tu chrétien ? - Oui, Monsieur. - Écoute, vois-tu cet arbre chargé de pommes ? Eh bien ! Elles sont toutes à toi si tu peux me dire où est Dieu. L’enfant resta un moment embarrassé, puis levant tout à coup les yeux, il dit avec vivacité : - Et vous, Monsieur, pouvez-vous me dire où il n’est pas ? Ce mot fut un coup de foudre pour Voltaire. Il se retourna, se mit à marcher à grands pas, et laissa les pommes et l’enfant qui ne se doutait pas de son triomphe.

Source : Topchrétien
Voltaire peint par Quentin de la Tour vers 1735

lundi 4 janvier 2010

PARADOXES

Celui qui est le pain de vie a commencé Son ministère en ayant faim.  
Celui qui est la source d’Eau vive a terminé Son ministère en ayant soif.  
Il a eu faim comme un simple mortel, et Il a nourri les affamés, comme seul Dieu pouvait le faire.  
Il a été fatigué, et Il est notre repos.
Il a payé le tribut, et Il est le Roi.  
Il a été appelé démon, et Il chassait les démons.  
Il priait, et Il est Celui qui écoute la prière.  
Il a pleuré, et c’est Lui qui sèche nos larmes. 
Il fut vendu pour trente pièces d’argent, et Il opéra la rédemption du monde.  
Il fut emmené comme un agneau à la boucherie, et Il est le Bon Berger.  
Il est mort. Il a donné Sa vie et en mourant Il a détruit la mort. 
( Source d’Eau Vive)

dimanche 3 janvier 2010

S'il y a un Dieu

S'il y a un Dieu, on peut penser qu'il cherche plutôt à entrer en conversation avec nous qu'avec les coquelicots et les rossignols. Et il doit être facile de communiquer avec lui à chaque instant. Car Dieu est partout, mais c'est dans l'homme que Dieu peut être écouté, aimé, en conversation.
Il y a des gens qui sont privés des joies de la mer et de la neige mais personne n'est privé de la rencontre avec Dieu.
On m'a dit un jour : "Il n'y a aucune preuve de l'existence de Dieu !"
J'ai répondu : "Pour dire qu'il n'y pas de Dieu, il faudrait explorer tout l'univers, retourner le fonds des mers car il pourrait s'y cacher. Mais pour dire qu'il y a un Dieu, il suffit d'une trace, d'une seule trace. On ne prouve pas Dieu.
S'il y a une seule trace de Dieu, alors nous devons dire : Dieu existe. Et si Dieu existe, il ne doit pas vivre caché.
Mais s'il existe, il doit vouloir la relation avec nous. Il a fait l'homme avec des capacités étonnantes (pour aimer, réfléchir, etc .)."
Écrit par Jacky Leprat
Source : La Onziéme Heure

samedi 2 janvier 2010

Victor Hugo parle de Dieu


«Dieu se manifeste à nous au premier degré à travers la vie de l'univers, et au deuxième degré à travers la pensée de l'homme.»

Victor Hugo, tiré de William Shakespeare (1864)

vendredi 1 janvier 2010

Un Dieu silencieux ?


Ce n'est pas Dieu qui est silencieux, c'est nous qui sommes sourds.
Auteur anonyme

jeudi 31 décembre 2009

Une joie qui se communique aux autres

"Dieu aime celui qui donne avec joie.
La meilleure manière de montrer notre gratitude envers Dieu et envers les gens,
c'est d'accepter tout avec joie.

Ne laissez jamais le chagrin vous noyer
au point d'en oublier la joie du Christ Ressuscité. Nous aspirons tous au ciel où est Dieu,
mais nous avons le pouvoir de nous trouver
dès maintenant dans ce ciel :
Il suffit d'être heureux avec Lui,
en l'instant présent.

Mais être heureux avec Lui, maintenant,
cela veut dire : aimer comme Il aime,
aider comme Il aide, donner comme Il donne,
servir comme II sert, sauver comme Il sauve,
être avec Lui 24 heures par jour."

Mère Térésa

mercredi 30 décembre 2009

Les biens de Dieu


« Les biens que Dieu promet sont plus assurés que tous ceux que le monde donne.  »
Jacques-Bénigne Bossuet

mardi 29 décembre 2009

Comment vit notre monde ?

L'écrivain anglais G.K. Chesterton (1874-1936) a dit : "Partout, on rencontre vitesse, bruit et confusion mais nulle part on ne rencontre bonheur profond et paix du cœur".

"Le monde est une prison où il n'y a ni espoir, ni saveur, ni odeur. Une prison ... pour ton esprit." Andy Wachowski (1967), producteur américain du film Matrix.

Ressens-tu aussi ces mêmes sentiments ?

lundi 28 décembre 2009

Ce que je crois par Jean-Jacques Rousseau

Monseigneur, je suis chrétien, et sincèrement chrétien, selon la doctrine de l’Évangile. Je suis chrétien, non comme un disciple des prêtres, mais comme un disciple de Jésus-Christ. Mon Maître a peu subtilisé sur le dogme, et beaucoup insisté sur les devoirs ; il prescrivait moins d’articles de foi que de bonnes œuvres ; il n’ordonnait de croire que ce qui était nécessaire pour être bon ; quand il résumait la Loi et les Prophètes, c’était bien plus dans des actes de vertu que dans des formules de croyance, et il m’a dit par lui-même et par ses apôtres que celui qui aime son frère a accompli la Loi.
Moi de mon côté, très convaincu des vérités essentielles au christianisme, lesquelles servent de fondement à toute bonne morale, cherchant au surplus à nourrir mon cœur de l’esprit de l’Évangile sans tourmenter ma raison de ce qui m’y paraît obscur, enfin persuadé que quiconque aime Dieu par-dessus toute chose et son prochain comme soi-même, est un vrai chrétien, je m’efforce de l’être, laissant à part toutes ces subtilités de doctrine, tous ces importants galimatias dont les pharisiens embrouillent nos devoirs et offusquent notre foi, et mettant avec Saint Paul la foi-même au-dessous de la charité.
Heureux d’être né dans la religion la plus raisonnable et la plus sainte qui soit sur la terre, je reste inviolablement attaché au culte de mes pères : comme eux je prends l’Écriture et la raison pour les uniques règles de ma croyance ; comme eux je récuse l’autorité des hommes, et n’entends me soumettre à leurs formules qu’autant que j’en aperçois la vérité ; comme eux je me réunis de cœur avec les vrais serviteurs de Jésus-Christ et les vrais adorateurs de Dieu, pour lui offrir dans la communion des fidèles les hommages de son Église.

Jean-Jacques Rousseau,

Lettre à Christophe de Beaumont (archevêque de Paris)

dimanche 27 décembre 2009

L'espérance de Martin Luther (2)


Le Dr Martin Luther disait un jour : « Si quelqu'un frappe à la porte de mon cœur et demande: qui demeure ici? je lui réponds: C'est Jésus qui demeure ici et non plus Martin Luther!»

samedi 26 décembre 2009

Laissez le passé au passé


"Chaque fois que nous traînons notre passé dans l'avenir, nous avons un certain deuil à faire. Lorsque nous refusons cette peine, nous nous accrochons à ce poids de la vie qui nous ralentit et prive ainsi notre vie de ses nouvelles perspectives."
Steve Arterburn

vendredi 25 décembre 2009

Saint Augustin parle de l'Evangile



Saint Augustin (354-430)

"En croyant de l'Évangile ce que vous voulez et en rejetant ce qui vous déplaît, c'est plutôt en vous que vous croyez qu'en l'Évangile. "

If you believe what you like in the gospels, and reject what you don't like, it is not the gospel you believe, but yourself.

Augustine

jeudi 24 décembre 2009

Une religion, ou la foi en Jésus Christ ?



--Qu'est-ce qui distingue le christianisme des religions non chrétiennes ? me demandait un collègue de travail.
--Une première réponse me vient à l'esprit : le christianisme n'est pas proprement une religion, mais une relation avec une personne, Jésus Christ. J'ajouterai trois grandes différences :
1) Les fondateurs des religions se sont présentés comme des guides vers un dieu qu'ils recherchaient eux-mêmes. En contraste, Jésus se présente comme celui qui est «descendu du ciel» (Jean 6. 38). Il est «le Dieu véritable et la vie éternelle» (1 Jean 5. 20).
2) Les religions ne donnent pas de certitude pour le pardon des péchés ou la vie après la mort. Jésus, «celui qui vient du ciel est au-dessus de tous ; et c'est de ce qu'il a vu et entendu qu'il rend témoignage» (Jean 3. 31-32). «Ses paroles sont certaines et véritables» (Apocalypse 21. 5). Des millions de chrétiens ont pu en éprouver la réalité.
3) Les religions mettent toutes l'accent sur les efforts de l'homme qui doit essayer de s'améliorer, d'obéir aux règles qui lui sont prescrites (et il n'y arrive jamais). En un mot, il devrait gagner son salut. Jésus donne un pardon gratuit. Il en a lui-même payé le prix en mourant pour nos péchés sur la croix. Il communique la vie éternelle à tous ceux qui croient en lui (Jean 3. 16, 36). Il nous révèle Dieu comme notre Père, un Père qui nous aime et qui prend soin de ses enfants.
Issue de "La Bonne Semence 2003"

mercredi 23 décembre 2009

Dieu créateur


"Toute la nature nous parle d'un Créateur-souverain."
Sir William Thomson dit lord Kelvin (1824-1907) Physicien anglais.










mardi 22 décembre 2009

Quand commence la vie éternelle ?



" Beaucoup de chrétiens ont cette notion erronée que la vie éternelle commence quand ils meurent. Mais ce n'est pas bibliquement précis. La vie éternelle commence quand nous sommes nés de nouveau dans le Royaume de Dieu."
David Jeremiah

" Many Christians have the mistaken notion that eternal life begins when they die. But that is not biblically accurate. Eternal life begins when we are born again into the Kingdom of God."
David Jeremiah 

lundi 21 décembre 2009

Dieu est fidéle !

Jésus prit la parole, et leur dit: Ayez foi en Dieu. Marc 11.22 Certaines paroles que Jésus a adressées à ses disciples concernant la foi en Dieu font que je me demande si je ne pourrai jamais exercer ce niveau de confiance dans la prière. Je ne me rappelle pas avoir dit à une montagne de se jeter dans la mer et l'avoir vu se produire. 
Hudson Taylor, missionnaire pionnier en Chine, a dit que les paroles de Jésus dans Marc 11.22 – «Ayez foi en Dieu » – pourraient être rendues par : «Accrochez-vous à la fidélité de Dieu. » 
Martyn Lloyd-Jones, ancien pasteur de London's Westminster Chapel, qui appréciait la perspicacité de Taylor a dit : « La foi, c'est s'accrocher à la fidélité de Dieu et, tant qu'on fait cela, on ne peut se tromper. La foi ne regarde pas les difficultés. [...] La foi ne porte pas les regards sur elle-même ni sur la personne qui l'exerce. La foi regarde Dieu. [...] La foi s'intéresse à Dieu seulement ; elle parle de Dieu, elle loue Dieu et elle vante les vertus de Dieu. La mesure de la foi d'un homme,' est toujours égale à la mesure de sa connaissance de Dieu. [...] Il connaît Dieu si bien qu'il peut se reposer sur cette connaissance. Et ce sont les prières d'un tel homme qui sont exaucées. »
http://www.bible-ouverte.ch/pain.htm 

«A toujours, ô Éternel ! ta parole subsiste dans les cieux. De génération en génération ta fidélité subsiste» (Ps 119.89,90).

dimanche 20 décembre 2009

Une expérience spirituelle de Billy Graham


“Pendant une période sombre de ma vie, j'ai passé beaucoup de temps à prier, mais le ciel paraissait d'airain. Il me semblait que Dieu avait disparu, me laissant seul avec mes épreuves et mon fardeau. C'était la nuit obscur pour mon âme. J'écrivis alors à ma mère pour lui exposer mon problème. Jamais je n'oublierai sa réponse :
'Mon fils, bien souvent Dieu se retire pour mettre notre foi à l'épreuve. Il veut que tu lui fasses confiance même dans l'obscurité. Maintenant, mon fils, étends ta main dans le brouillard et tu verras que sa main sera là, pour te saisir'”.
Billy Graham, pasteur américain

samedi 19 décembre 2009

Deux péchés modernes



Comprendre que la crainte et le souci sont des péchés a eu pour moi un effet libérateur. Aucun livre au monde n'apporte de réponse aussi merveilleuse au problème du péché que la Bible : confessez, laissez-vous purifier et permettez au Saint-Esprit de prendre le contrôle de votre cœur, car le fruit de l'Esprit est précisément le contraire de votre péché. Galates 5,22 affirme que le fruit de l'Esprit : « c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance. »
Corrie Ten Boom, Reflets de la gloire de Dieu,page 32

vendredi 18 décembre 2009

"A-t-on encore besoin d'une religion ? "


Qu'en pensez-vous ?
Avez-vous besoin de croire en Dieu pour penser que la sincérité vaut mieux que le mensonge, que la générosité vaut mieux que l'égoïsme, que le courage vaut mieux que la lâcheté, que la douceur et la compassion valent mieux que le violence et la cruauté, que l'amour vaut mieux que la haine ?
André Comte-Sponville, philosophe français (1952)

Philosophe humaniste et enseignant français, André Comte-Sponville a eu la foi jusqu'à 18 ans : 'L'une des rares choses dont je suis sûr en ce domaine, c'est que Dieu ne m'a jamais rien dit'.
Il se définit comme un athée fidèle car il se reconnaît dans une certaine tradition et histoire des valeurs gréco-judéo-chrétiennes. Il pense que l'homme peut se passer de religion, la philosophie en étant l'un des moyens.


jeudi 17 décembre 2009

"Amazing Grace"


Cela se passe à la fin du XVIIème siècle ou au début du XVIIIème. John Newton, homme riche et cruel, ne croyait pas en Dieu. Il possédait une somptueuse demeure dans l'État de la Caroline du Nord, beaucoup d'esclaves et de grandes propriétés. Sa maison était ornée de tapis, de meubles de grande valeur, de tapisseries précieuses et de candélabres d'argent. À côté de la fenêtre d'où il pouvait voir à l'infini ses champs de coton, se trouvait un magnifique piano.
Mais John Newton n'était pas souvent chez lui. Il possédait un bateau négrier et allait en Afrique où il pratiquait le commerce des esclaves. Son bateau partait vide et revenait chargé d'esclaves enchaînés.
Marchand d'esclaves, il avait fait fortune grâce à ce commerce de chair humaine. Sa maison devenait toujours plus luxueuse, ses domaines toujours plus étendus, et son cœur toujours plus dur et aride. Quand il revenait à la maison, il était chargé de cadeaux, de bijoux pour sa femme, de jouets pour ses enfants, mais son cœur n'en restait pas moins sec et froid.
Un jour, au cours d'un de ses nombreux voyages en mer qui le ramenait des côtes d'Afrique vers celles des États-Unis avec une cargaison de chair humaine, cet ivoire noir, John Newton tombe subitement malade: température élevée, délire, la fièvre typhoïde! Aussitôt, les hommes de l'équipage se consultent, une décision rapide s'impose. Un cas de typhoïde à bord signifie en quelques jours, peut-être même en quelques heures, la typhoïde pour tous et la perte de toute la charge du bateau.
La décision est prise: John Newton sera glissé dans une chaloupe et abandonné sur l'océan. Mais il ne sera pas seul, car un deuxième cas de cette terrible maladie vient d'être signalé. Une vieille femme, qui a travaillé comme cuisinière au cours de nombreux voyages, vient d'être atteinte par le même mal. Tous les deux sont donc abandonnés en pleine mer, et le navire s'éloigne lentement.
John Newton délire; la vieille femme, elle aussi, est gravement malade. Un courant pousse leur chaloupe vers une île déserte, et le soir du troisième jour de leur triste voyage, leur embarcation aborde sur la plage de l'île. Là, sur le sable, un dialogue s'engage entre les deux malades. D'un côté, un homme qui délire, de l'autre, une vieille femme qui, malgré la maladie qui l'étreint, a gardé la certitude de la foi, car cette simple femme noire n'a aucune haine à l'égard de son cruel patron. Elle possède Jésus dans son cœur depuis bien longtemps: alors qu'elle était encore enfant, elle L'a accepté comme son Sauveur.
C'est de Lui qu'elle commence à parler à John Newton. Elle lui dit qui est Jésus, l'Amour descendu sur terre; Jésus, sorti du sein de la vierge Marie; Jésus, venu pour libérer les esclaves, non seulement ceux qui sont enchaînés dans les cales des navires ou qui travaillent dans les champs de coton, mais aussi tous ceux qui, comme John Newton, sont esclaves du péché.
C'est là un message tout nouveau pour cet homme malade. Il l'entend pour la première fois. Quelque chose s'émeut dans son cœur troublé: c'est la douce voix du Seigneur qui commence à se faire entendre…
–Hélas, c'est trop tard, dit John Newton. J'ai tellement péché dans ma vie! C'est trop tard pour me repentir…
Mais la vieille esclave noire lui répond:
–Non, ce n'est jamais trop tard! Le Seigneur peut te guérir. Lui qui sur la Croix de Golgotha a porté nos péchés et nos maladies, Lui qui S'est chargé de toutes nos fautes, des miennes, des tiennes, Lui peut te guérir! Je vais le Lui demander.Et là, sur cette plage déserte, le Seigneur agit miraculeusement et guérit John Newton, tandis qu'Il reprend la vieille esclave qui vient de remplir son devoir.
Les jours passent. John Newton reprend des forces; il se nourrit de fruits et d'herbes sauvages.
Tout à coup, un jour, bien loin à l'horizon, apparaît un navire. Poussé sans doute miraculeusement par le vent, il s'approche de l'île. Sur le pont, on a vu les grands signes que fait John Newton et on lance aussitôt une chaloupe à la mer. Il est sauvé et hissé sur le navire.
Quelques semaines plus tard, John Newton est de nouveau chez lui, mais comme elle lui paraît vide sa maison, maintenant! Il y manque l'amour, il y manque Jésus. Il y a toujours les objets de luxe, les vases de prix, les candélabres d'argent, sa femme et ses enfants, mais il manque le Seigneur. Il faut qu'il L'introduise au sein de sa famille, et non seulement là, mais dans la grande communauté de ses esclaves qui travaillent dans les champs et qu'il veut libérer les uns après les autres. Il faut qu'il les réunisse pour la prière.
Et voilà que le soir, en rentrant des champs, les esclaves se groupent autour de lui, de sa femme et de ses enfants, et, ensemble, ils chantent des hymnes de louange au Seigneur et prient.
Petit à petit, les objets précieux disparaissent de sa somptueuse demeure, car John Newton, après avoir libéré ses propres esclaves, commence à payer la libération des nombreux esclaves des entreprises voisines. Tapis, objets de valeur, tapisseries s'en vont peu à peu, car tout ce qu'il a gagné avec la traite des Noirs, à présent, John Newton le vend pour libérer les hommes de leur esclavage.
Un soir, ils se réunissent nombreux dans sa maison. Il n'y a plus beaucoup de meubles: une chaise, une table et…le piano. "Ce sera maintenant le tour du piano, pense John Newton. Lui aussi sera vendu, mais avant de le vendre, j'aimerais composer un chant…"Et, tandis que ses ex-esclaves, sa femme et ses enfants l'entourent, il s'assied au piano et demande au Seigneur, en cet ultime jour où il possède encore son instrument, de lui donner une mélodie et des paroles de reconnaissance et de louange qui rappelleront pour toujours le témoignage que lui a apporté la vieille esclave au Nom de Jésus. Les paroles affluent sur ses lèvres:
Grâce merveilleuse, quelle douceur dans ce mot!
Grâce qui a sauvé un misérable tel que moi!
Autrefois, j'étais perdu, maintenant, je suis retrouvé,
J'étais aveugle, et maintenant je vois.
J'ai déjà rencontré bien des dangers,
Bien des peines et des pièges,
Mais la grâce m'a préservé jusqu'ici.
Et c'est elle qui me conduira là-haut.
Quand, resplendissants comme le soleil,
Nous aurons chanté les louanges de Dieu pendant mille ans,
Nous en serons comme au premier jour,
Et toute l'éternité de gloire sera devant nous.
Par Fred Ladenius, in Réalités de la Foi, Digest, n°53, 2/91, pp. 8-10

mercredi 16 décembre 2009

Le cas du Christ est concluant



Peut-être qu'après avoir lu expert après expert, écouté argument après argument, vu les réponses à question après question, et testé les preuves avec votre logique et votre bon sens, vous avez trouvé, comme moi, que le cas du Christ est concluant.

LEE STROBEL

JOURNALISTE AMÉRICAIN

THE CASE FOR CHRIST, 1998

Perhaps after reading expert after expert, listening to argument after argument, seeing the answers to question after question, and testing the evidence with your logic and common sense, you’ve found, as I have, that the case for Christ is conclusive.

LEE STROBEL

AMERICAN JOURNALIST

THE CASE FOR CHRIST, 1998

mardi 15 décembre 2009

Dieu a prouvé son amour sur la croix

« La croix constitue une manifestation sans précédent et sans parallèle de l’amour de Dieu ; en subissant la sanction que nous méritions et en portant la souffrance qui aurait dû nous être infligée, de manière à nous pardonner et à nous rétablir dans sa communion, Dieu a prouvé son amour. »
John Stott,
La croix de Jésus-Christ,
Éditions EBV, page 217.

lundi 14 décembre 2009

"Ainsi soit-il"


« Il y aura deux sortes de gens à la fin : ceux qui diront à Dieu "Ainsi soit-il" et ceux à qui Dieu dira, à la fin : "Ainsi soit-il". Tous ceux qui seront en enfer, l'auront choisi.»

Clive Staples Lewis (1898-1963)
Romancier anglais, auteur de la série de livres "Narnia". 
Extrait de Le Grand Divorce entre le Ciel et la Terre

dimanche 13 décembre 2009

"Pourquoi n'arrivez-vous pas à dormir ?"

Olivier Cromwell (1599-1658) fut le Lord Protecteur, c'est à dire le président, de ce qu'il appela la République en Angleterre (1650-1658).
John Milton (1608 - 1674), poéte anglais, était le secrétaire d'Etat d'Olivier Cromwell fut envoyé en Europe pour une affaire importante. Au cours du voyage, il décida de passer la nuit dans un port. Une ancienne coutume voulait qu'un serviteur l'accompagna et dormit dans la même chambre que lui. Ce dernier dormait profondément alors que le secrétaire d'Etat ne put trouver du repos. Il se tournait et se retournait dans son lit.

A la fin , le serviteur réveilla le secrétaire d'Etat et lui demanda : "Maître, pourquoi n'arrivez-vous pas à dormir ? "
" J'ai tellement peur que quelque chose n'aille pas pendant ce voyage", fut la réponse du secrétaire d'Etat.
" Maître, dit le serviteur, puis-je vous poser une ou deux questions ? Dieu dirigeait-il le monde avant que nous soyons né ? "
" Bien certainement."
" Et le gouvernera-t-il après notre mort ? "
" Assurément "
"Alors, maître, pourquoi ne pas Le laisser le diriger maintenant aussi ?"
La foi du secrétaire d'Etat fut affermie. Il retrouva la paix et, quelques minutes plus tard, lui et le serviteur étaient profondément endormis.

Source : Billy Graham
Un monde en flammes
Editions GM, pages 273-274

samedi 12 décembre 2009

Là où est la volonté de Dieu, ...

Un pasteur a dit : " Là où est la volonté du Seigneur, il y a du bonheur. Christ est notre joie, mais c’est dans le chemin de sa volonté que nous trouvons la jouissance de son amour. C’est là que nous découvrons en lui une source de joie profonde et ineffable. Lui-même est notre trésor. 
Que Christ soit littéralement notre tout, voilà le seul secret de la puissance, le seul fondement d’une joie immuable. Notre christianisme ne devrait pas être une religion de regrets, mais une joie continuelle du cœur."

vendredi 11 décembre 2009

DES LARMES AU PARADIS



(Dieu] essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur. Apocalypse 21.4
En 1991, le célèbre guitariste britannique Eric Clapton était accablé de douleur parce que son fils Conor de 4 ans était mort des suites d'une chute de la fenêtre d'un appartement. En quête d'une façon d'exprimer son chagrin, Clapton a écrit ce qui est peut-être sa ballade la plus touchante : « Des larmes au Paradis ». On dirait que chaque note est chargée du sentiment de douleur et de perte que seul un parent ayant perdu un enfant peut comprendre.
Étonnamment, toutefois, Clapton a dit quelques années plus tard, lors d'une interview télévisée : « Dans un sens, ce n'était même pas une chanson triste. C'était une chanson de soulagement. Quand elle dit qu'il n'y aura plus de larmes au Paradis, je pense que c'est une chanson optimiste - de réunion. »
La pensée d'une réunion céleste est effectivement puissante. Pour ceux d'entre nous qui ont placé leur confiance en Jésus-Christ pour leur salut, il y a l'espérance que nous serons réunis pour toujours dans un lieu où Dieu « essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur» (Ap 21.4). Et, par-dessus tout, c'est un endroit où nous «[verrons] sa face » et où nous serons pour toujours avec Christ lui-même (22.4).
Quand nous subissons une perte, que nous sommes chagrinés ou que nous pleurons, n'est-ce pas réconfortant de savoir que Christ nous a acquis une demeure céleste où il n'y aura plus de larmes !
Lorsque Dieu essuiera nos larmes,
le chagrin cédera la place à une joie éternelle.

jeudi 10 décembre 2009

Une force intérieure


« Le pardon est plus qu'un sentiment, c'est une force qui déclenche d'admirables effets.»

Marcelle Auclair 
Journaliste et femme de lettres française (1899-1983)