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mercredi 24 août 2011

Les effets négatifs du péché


"Jésus mourut sur la croix non seulement pour pardonner les péchés, mais pour casser sa fatigante puissance sur nous !
Le péché fatigue la chair. Cela nous rend faible et malade.Cela emporte petit à petit ce qui est bon, gentil et précieux. Et cela endurcit le cœur, détruisant la paix et entraînant la culpabilité, l'ennui et la honte. Cela détruit les pensées de l'Esprit, affaiblissant et noircissant l'âme, cela amène à la crainte. cela mène au scandale, disperse les familles, endurcit les enfants. Et cela mène à la mort. Le père de tout, le péché coupe toute communion avec Dieu."
David Wilkerson, pasteur américain du 20ième Siécle.

mardi 23 août 2011

Les régles de la nature


"Nous devons tirer nos règles de comportement du monde naturel. Nous devons respecter, avec l'humilité des Sages, les limites de la nature et le mystère qu'elles cachent, en reconnaissant qu'il y a quelque chose dans l'ordre du vivant qui dépasse très évidemment toute notre compétence."
Vaclav Havel, écrivain et homme politique tchèque actuel.

lundi 22 août 2011

Se libérer de nos inquiétudes


Un pasteur a écrit : "C'est extraordinaire de voir comment on peut se libérer de nos inquiétudes en comptant nos bénédictions. Immédiatement notre attention se distance de nos besoins pour se rapprocher de la grâce et de l'amour de Dieu."

dimanche 21 août 2011

Relations


Un auteur chrétien a dit : "Notre relation verticale avec Jésus Christ n'aura de seul sens que dans une relation horizontale avec les êtres humains. Aimer notre prochain et nous aimer les uns les autres, voilà ce que doit être la vie chrétienne."

samedi 20 août 2011

Identifié avec Christ

" Savoir qu'on est identifié avec Jésus-Christ, apporte à l'âme du chrétien la sûreté et la puissance. L'homme le plus instruit du monde ne connaît rien de cette gloire; tout chrétien peut la connaître. "
John Nelson Darby

vendredi 19 août 2011

Un poéme de Sören Kierkegaard


«Que servirait-il à un homme
 
De gagner le monde entier 
S’il se perd lui-même ? 
À quoi lui servirait 
De gagner du temps et tout ce qui lui est lié 
S’il passe à côté de l’éternité? 
Que gagnerait-il 
À filer toutes voiles dehors, 
Poussé par la brise de l’enthousiasme, 
À travers un monde qu’il admire 
S’il échoue sur les bancs de l’éternité? 
Que sert-il au malade de s’imaginer ce que tout le monde croit, 
À savoir qu’il est en bonne santé 
Quand le médecin l’a déclaré malade ?» 
Sören Kierkegaard
Philosophe chrétien danois
1813-1855

jeudi 18 août 2011

Jean Calvin et Martin Luther parle de la création du monde

A l’époque de Martin Luther, certains commentateurs disaient que Dieu avait tout créé en seulement un jour ou en un instant.

Martin Luther répondit :
« Si Moïse a écrit que Dieu a créé les cieux et la terre et tout ce qui s’y trouve en six jours, ne lui fais pas dire autre chose et ne t’aventure pas à commenter le récit en affirmant que les six jours n’en étaient qu’un seul. Si tu ne peux pas comprendre comment cette œuvre a pu se faire en six jours, alors accorde au Saint-Esprit l’honneur d’être plus érudit que toi. Car il t’est demandé de ne pas oublier que ce que tu lis dans l’Ecriture, Dieu Lui-même l’a écrit. Et parce que c’est Dieu qui parle, il n’y a pas lieu pour toi de faire dire à Sa parole ce que toi, tu aimerais qu’elle dise. »

« J’ai souvent dit que celui qui désire étudier les Saintes Ecritures doit s’assurer qu’il reste ami avec les mots simples autant que possible et qu’il ne s’en éloigne pas à moins qu’un article de foi l’oblige à les comprendre différemment. Nous pouvons être sûrs d’une chose : il n’y a jamais eu au monde de paroles plus claires que celles de Dieu. »
Jean Calvin (1503-1564) déclare une chose semblable :
« Bien que la durée du monde, qui décline maintenant jusqu’à sa fin ultime, n’ait pas encore atteint six mille ans, [...] l’oeuvre de Dieu a été achevée, non en un seul moment, mais en six jours. »

mercredi 17 août 2011

Tuer le temps


"Je sais, d'expérience, que courir le monde ne sert qu'à tuer le temps. On revient aussi insatisfait qu’on est parti. Il faut faire quelque chose de plus." 
Ella Maillart

mardi 16 août 2011

L'adoration pour le croyant

L'adoration est une conscience permanente de la présence de Dieu et une réponse permanente à Dieu. L'adoration est l'effusion ou le débordement de l'être entier, esprit, âme et corps, avec le sentiment d'une grâce divine dans la présence de Dieu. 
Tom Inglis

lundi 15 août 2011

Dans le besoin


"Le besoin apprend à prier."
Proverbe allemand

dimanche 14 août 2011

La foi chrétienne authentique


" Les fondements objectifs de l'assurance du croyant (chrétien) devant Dieu sont en Christ, et dans sa mort et sa résurrection pour nous, de sorte que l'assurance chrétienne n'est autre qu'une conséquence de la foi authentique. Il faut distinguer la foi authentique de la foi qui ne l'est pas. La foi chrétienne qui n'est pas authentique ne donne droit à aucune assurance devant Dieu; la vrai foi est justifiée par la validité de son objet (la conviction que Jésus est venu en chair) mais aussi par la transformation qu'elle effectue dans l'individu : les chrétiens authentiques apprennent à s'aimer les uns, les autres et à obéir à la vérité. L'assurance chrétienne n'est pas un bien abstrait, elle est intimement liée à une relation permanente et transformatrice avec le Dieu de l'alliance, qui s'est révélé en Jésus-Christ." 
Donald A. Carson et Douglas J. Moo, Introduction au Nouveau Testament, commentaire sur les épîtres de Jean, page 645

samedi 13 août 2011

Besoin de Dieu


«Il n'y a qu'un seul bien : Dieu. Tout le reste est bon lorsqu'il est dirigé vers Lui et mauvais lorsqu'il éloigne de Lui.»
C.S. Lewis (1898-1963), écrivain britannique et universitaire auteur de la série de livres Narnia.

vendredi 12 août 2011

"Je dis ce que Dieu a fait pour moi."

Dans les années 1970, un adolescent cambodgien qui avait été dans les rues pour parler de Jésus fut arrêté et emmené au bureau de police pour y être interrogé.
"Qui t'a parlé de ces choses, qui te les a enseignées ?"
L'adolescent répondit : "C'est Dieu".
"Non, je veux savoir qui t'a enseigné cela." répéta le policier.
Le jeune homme lui dit une seconde fois : "C'est Dieu."
" Quel salaire reçois-tu ?"
"Aucun. Mais je partage cette bonne nouvelle parce que je suis croyant et chrétien. Je dis ce que Dieu a fait pour moi."
Extrait de "N'oubliez pas le Cambodge", de Helen Penfold, page 74.

jeudi 11 août 2011

Apportez vos factures!



"Car Le Fils de l'homme n'est pas venu pour se faire servir, mais pour servir lui-même et donner sa vie en rançon pour beaucoup." la Bible, Marc 10: 45

 Un chrétien irlandais, riche propriétaire, fit un jour une proposition étonnante aux employés de son domaine. Aux endroits de passage, il afficha ce message : « lundi prochain de 10h à 12h, je serai dans mon bureau. Je suis prêt à payer toutes les dettes de mes ouvriers. Apportez toutes vos factures impayées ». Au jour fixé, une foule de gens est massée devant la porte du bureau.
A 10h, le propriétaire entre dans son bureau et ferme la porte derrière lui. Dehors, les gens discutent. Qu’est-ce qui se cache là-dessous ? Veut-il nous humilier ? Nous prend-il pour des fous ? Ceux qui sont le moins endettés conseillent aux autres d’aller en premier. Et le temps passe.
A 11h 45, un vieux couple arrive, intimidé devant tout ce monde qui attend. Pourquoi personne n’y va, pensent-ils ? Alors, un peu craintifs, ils ouvrent la porte et entrent dans le bureau. Le propriétaire les accueille cordialement et prend les factures. Tout est additionné et le couple reçoit un chèque signé pour le montant total. Ils n’ont plus de dettes, tout est réglé.
A 12h, la porte s’ouvre, le couple rayonnant de joie ressort et le propriétaire repart chez lui. Ces personnes n’étaient pas meilleures que les autres, ne méritaient pas plus d’être remboursées de leurs dettes. Mais elles ont pris au mot l’offre de leur maître et leurs dettes ont été annulées.
Encore aujourd’hui, Dieu nous offre sa grâce. A la croix, Jésus-Christ a donné sa vie pour effacer tous nos péchés. Si nous allons à lui avec tous nos péchés, il nous pardonne et nous délivre de toute culpabilité. Prenons son offre au sérieux !

mercredi 10 août 2011

Méditer la Bible


"La méditation de la Bible quotidienne est pour les chrétiens source d'une joie sans fin."
John R.W. Stott (1921-2011) issue de En toi je me confie

mardi 9 août 2011

Se venger ou pardonner ?


« Se venger d'une offense, c'est se mettre au niveau de son ennemi,
La lui pardonner, c'est se mettre au dessus de lui. »  
Proverbe anglais

lundi 8 août 2011

Faire la volonté de Dieu (2)



" Le lieu le plus sûr sur cette terre se situe au centre de la volonté de Dieu; le lieu le plus dangereux est en dehors de cette volonté. " (Corrie Ten Boom)

dimanche 7 août 2011

Dieu est notre Créateur


Prof. Michael P. Girouard
Girouard, professeur de biologie à l'Université de Louisiane du Sud, croit que la vie n'a pas pu apparaître par hasard, et que les structures les plus complexes et parfaites des protéines et de la cellule, les unités fondamentales de la vie, ont été créées par Dieu. Il a déclaré : « La constitution des êtres vivants est bien plus compliquée que les résultats obtenus dans les expériences de laboratoire. Quand on se tourne vers les lois de la chimie et de la physique pour une explication, c'est ce que nous apprenons : il doit sûrement y avoir une Intelligence, un Créateur ; un Créateur qui a ordonné ces lois. C'est l'explication la plus scientifique. Les lois de la physique et de la chimie nous révèlent avec assurance que l'évolution et la formation des êtres vivants à partir de matière inerte sont impossibles. Par respect envers ces découvertes scientifiques, cela ne termine pas seulement mon discours, mais cela signe aussi la fin de l'évolution. »

samedi 6 août 2011

Je lui confie tout


Bernadette Blesson

Quand Dieu rallume la flamme vacillante de notre vie, il brûle aussi ce qui nous entrave.
[ publié dans le magazine Croire et Servir n° 65 - avril 2008 ]
Benjamine d’une famille de six enfants, j’aimais aller à l’église et j’appréciais beaucoup les cantiques. Cependant, mes parents étaient animistes et mon père m’interdisait d’y aller. Il me faisait surveiller par les autres membres de la famille. Cette situation m’a découragée et j’ai grandi sans plus m’intéresser à la religion. J’avais les mêmes croyances que mes parents.
Une partie de moi s’était éteinte
En 1989, ma mère est décédée. Étant le dernier enfant, j’étais très liée à elle. Ma sœur, âgée de vingt ans de plus que moi, m’a fait la promesse de «remplacer» notre mère. Elle a tenu sa parole avec excellence. Elle était là lorsque j’avais besoin d’elle. En 2003, ma sœur est tombée gravement malade. Elle est décédée des suites de cette maladie. Ce décès prématuré a déchiré mon âme. Une partie de moi s’est éteinte avec ma sœur. Ma peine était grande. Aucune parole ne pouvait me consoler; un voile noir avait recouvert toute ma vie.
Un jour, j’ai pris une Bible que j’avais depuis des années chez moi et que je ne lisais pas. Cela m’a procuré une grande paix intérieure. Surprise de ce que je ressentais, j’en ai parlé à ma belle-sœur chrétienne pratiquante. Elle a loué le nom du Seigneur Jésus en disant qu’il est amour. Ensuite, elle m’a expliqué que Dieu m’a envoyé son Saint-Esprit qui est consolateur pour que je retrouve la paix. Il fallait simplement que je me laisse guider. C’est à ce moment que Christ est devenu le maître et le sauveur de ma vie.
Depuis ce moment, je veux rester dans la présence de Dieu et je lui confie tout. Voici deux exemples parmi bien d’autres de ce qu’il a fait pour moi.
Libérée des «masques» et du tabac
Dans ma région, à l’ouest de la Côte d’Ivoire, les «masques» représentent un grand pouvoir pour les animistes. Autrefois j’en avais plusieurs chez moi. Un soir, pendant que je priais, j’ai senti une présence pesante. J’ai eu très peur et j’ai demandé conseil à un pasteur africain, qui a jeûné et prié avec moi et ma belle-sœur (qui est en Afrique) pendant cinq jours. Après j’ai été délivrée et je me suis débarrassée de ces masques.
J’avais pris l’habitude de fumer à tel point que, quand les tabacs étaient fermés autour de chez moi, je demandais à mon fils d’aller à Paris chercher des cigarettes pour satisfaire mon désir. Un jour, pendant que je priais, une voix m’a dit:«Mais comment peux-tu demander au Saint Esprit de venir en toi, habiter ton cœur, alors que tu souilles ton corps?» J’ai alors compris qu’il fallait que je fasse quelque chose: je devais arrêter de fumer. Du jour au lendemain, je n’ai plus ressenti cette envie et je ne ressentais aucun manque.
Aujourd’hui, je prie pour tous les membres de ma famille pour qu’ils acceptent Christ eux aussi afin que leur vie soit elle aussi sauvée.

vendredi 5 août 2011

Dieu a prouvé son amour


Quelqu'un a écrit
: "L
'amour de Dieu, ce n'est pas seulement des mots - c'est un acte. L'amour de Dieu se nomme : Jésus ! En Jésus, nous voyons Dieu à coeur ouvert. Dieu a donné son fils Jésus en sacrifice, afin que nous ayons la paix, afin que nos fautes soient effacées. Ainsi, jour après jour, nous pouvons vivre du pardon de Dieu. A travers Jésus, nous sommes estimés et honorés de la part de Dieu. Il prend soin de nous et s'inquiète de nous. Il pense à nous et s'occupe de toutes les choses de notre vie. Christ est le vivant et le ressuscité. Il vient à nous, au milieu de notre solitude, et nous ne sommes plus seuls. Il nous écoute et parle avec nous."

jeudi 4 août 2011

Le pouvoir de l'argent


L'argent ôte l'âme des choses.
[Jean Basile]
Pour les hommes, il n'y a jamais eu d'institution aussi fatale que l'argent.
[Sophocle]

mercredi 3 août 2011

Un jeune compositeur de cantiques.

Ernest von Willich était un jeune garçon de douze ans, fils unique de M. Ehrenfried de Willich, et petit-fils du grand théologien Friederich Schleiermacher. C'était un enfant plein de vie et richement doué. Ses parents l'avaient conduit à la campagne, chez une tante, pour y passer ses vacances, et l'y avaient laissé jouissant du grand air, de, la belle nature et de la liberté. Mais tout à coup il perdit son entrain. Son exubérance de vie fit place à une lassitude extrême. Bientôt il se plaignit que le genou lui faisait mal. Comme on ne remarquait ni enflure, ni ecchymose sur le membre endolori, la bonne tante fit étendre son jeune malade sur un sofa, lui apporta des livres et lui recommanda le rester bien tranquille, espérant que cela ne tarderait pas à aller mieux. Mais au lieu de cela, les douleurs devinrent si violentes qu'il fallut l'emmener immédiatement à B., chez ses parents. le médecin, appelé en toute hâte, ne put se prononcer dès l'abord sur la nature du mal mystérieux qui venait de se déclarer si brusquement. Il ordonna que le jeune Ernest demeurât étendu dans une immobilité complète.

Sur le lit de maladie dont il ne devait jamais se relever, Ernest von Willich, qui avait été jusqu'alors un garçon rempli d'entrain et de vie, montra une douceur et une patience remarquables. Il souffrait ce pendant beaucoup. Au bout de quelques semaines, il se forma sur le genou malade, puis sur d'autres parties du corps, des tumeurs qui percèrent plus tard et préparèrent au pauvre malade d'indicibles tortures. Il vint même un moment où les parents affligés ne surent plus comment prendre ce pauvre corps et dans quelle position le coucher.

Et cependant, au milieu de ses souffrances atroces, l'enfant gardait une inaltérable confiance en Dieu. Jamais il ne sortait de sa bouche un murmure ou une parole d'impatience. Le bâton et la houlette du bon Berger le rassuraient ; il était plus calme, plus, résigné que, tous les siens, et il ne cessait de consoler ses parents profondément, affligés. Il semblait qu'on vit grandir son âme à mesure que le mal détruisait son pauvre corps.

Quand la souffrance lui laissait un peu de répit, Ernest de Willich se plaisait à composer des cantiques. Rien ne lui faisait plus de bien que d'exprimer de la sorte sa confiance dans le Sauveur. Puis, quand les heures de crise devenaient plus cruelles, loin de se laisser aller, il trouvait dans les vers que lui avait dictés sa foi, un motif de plus de lutter, de persévérer et de croire. Ces poésies touchantes soutenaient aussi ses parents affligés, quand ils sentaient leur courage défaillir, et, plus tard, quand leur fils unique eut fermée les yeux pour toujours, ce précieux monument de sa foi leur demeura comme une consolation.

Une de ces poésies a été mise en. musique par l'oncle d'Ernest de Willich, le maître de chapelle Radecke, et est devenue l'hymne favorite de l'empereur Frédéric. En voici la traduction:

Quand Dieu nous donne une croix, Supportons-la sans murmure; Regardons au Roi des rois
Qui console sans mesure. Quoi qu'il m'arrive, ô Seigneur, Avec Toi, plus de frayeur.
Faible est souvent notre cœur, Rempli de désespérance, Quand s'éteint toute lueur
De joyeuse confiance; Mais, Seigneur, dans ton chemin Je suis heureux sous ta main.
Quand j'espère dans la foi, Quand je t'invoque, à mon Père, Quand ta main se tend vers moi,
Plus d'angoisse et de misère; Sur toi repose mon cœur Quoi qu'il m'arrive, ô Seigneur!

L'auguste malade aimait à se la faire chanter. Dans la grande et mystérieuse épreuve qui l'avait frappé, elle descendait sur son cœur comme une brise céleste, et Dieu se servit ainsi du cantique d'un enfant mourant, comme d'un messager pour porter la consolation et la paix dans la chambre de maladie d'un empereur.

mardi 2 août 2011

Remettre sa vie entre les mains de Dieu

Si ce n’est pas votre propre gloire que vous recherchez, Dieu ne fixera aucune limite à ce qu’Il peut faire à travers nous.
Alors âgé de plus de 90 ans, George Müller s’adressa à une assemblée des pasteurs et autres serviteurs chrétiens : « Bien que je mes sois converti en novembre 1825, ce n’est que quatre ans plus tard, en 1829, que je remis ma vie totalement entre les mains de Dieu. Là, j’ai compris que je venais de me dépouiller à la fois de ma passion pour l’argent, de ma course effrénée à la gloire personnelle, de la position que j’occupais dans la vie mais aussi de tous les plaisirs du monde.
Dieu, et Lui seul, devint alors mon tout. En Lui, je trouvais tout ce dont j’avais besoin, et je ne désirais rien d’autre. Jusqu’à ce jour, par la Grâce, j’ai compris qu’Il m’accordait toujours toute chose en quantité suffisante, et ma nouvelle condition à fait de moi un homme totalement heureux. J’ai ainsi appris à ne m‘intéresser qu’aux choses d’en haut ».

lundi 1 août 2011

Deux types de découvertes

Un pasteur a dit : "Par la science, je peux apprendre l'existence de Dieu mais c'est seulement au travers de la Bible que je le rencontre réellement."

dimanche 31 juillet 2011

Appelés à servir



" Notre tendance humaine nous pousse à éviter ce qui est banal pour nous tourner vers le spectaculaire, mais ce n'est pas le style de Dieu. Un caractère chrétien démontré par les fruits de l'Esprit peut être tout aussi simplement visible dans les petites tâches que dans les grandes. La meilleure façon de découvrir la volonté de Dieu pour nos vies [est] de servir là où nous sommes. Beaucoup d'entre nous rencontrent des gens qui déclarent être appelés à faire de grandes choses pour Dieu. Néanmoins, en attendant que ces grandes choses se produisent, ils ne font rien. Ils ne sont pas disposés à faire quoi que ce soit qui serait "inférieur" à leur appel. Mais ce n'est pas le style de Dieu, il veut que nous commencions par être fidèles dans les petites choses ."
Floyd McCLUNG, Découvrez votre destinée, JEM, Burtigny, 1988.

samedi 30 juillet 2011

« Comment résumeriez-vous votre vie en quelques mots ? »


L'évangéliste et pasteur Billy Graham (1918), qui consacra sa vie à servir Dieu, fut interviewé alors qu’il était très malade un jour
. Lorsqu’on lui posa la question : « Comment résumeriez-vous votre vie en quelques mots ? », il répondit simplement, « Je suis un pécheur ayant besoin de la grâce et du pardon de Jésus. »

vendredi 29 juillet 2011

Le retour du Christ


« Si je crois au retour de Christ, c’est également à cause des signes annonciateurs que mentionne l’Écriture (la Bible). Je ne suis pas prophète et n’ajoute pas un grand crédit à ceux qui tentent de fixer une date précise pour le retour de Christ ; la Bible dit que nous n’en savons ni le jour ni l’heure. »

James D.Kennedy
Pourquoi je crois,
Éditions Vida (épuisé),
page 165.

jeudi 28 juillet 2011

Les efforts perpétuels


" Les efforts perpétuels de l'homme pour se prendre en main, aussi intense soient-ils, aboutissent à l'asservissement le plus intolérable qui l'empêche d'atteindre l'objectif qui lui était fixé.
La vraie liberté de l'Homme ne réside pas dans un pouvoir sans entrave à diriger sa vie, que ce soit dans un sens politique ou dans un sens stoïque. Elle se trouve dans une vie avec Dieu, conforme à l'intention originelle de Dieu pour l'Homme. Il ne l'acquiert qu'en renonçant à lui-même. Paradoxalement, l'Homme libre ne s'appartient pas à lui-même. Il appartient à celui qui l'a affranchi."
J. Blunk

mercredi 27 juillet 2011

Motivé pour faire sa volonté ?

« Si notre objectif est de découvrir la volonté de Dieu et de l'accomplir est pur, notre prière aura pour résultat une redirection de notre motivation et un renforcement de notre objectif. La prière dirigée par l'Esprit est le moyen principal d'être orienté. A travers la prière, nous pouvons vérifier toute direction reçue. En l'absence de prière authentique dans l'Esprit, il y a peu d'expérience de l'orientation du Saint-Esprit. »

mardi 26 juillet 2011

La vie éternelle à ceux qui croient en Lui


"Oui, Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique. Ainsi, tous ceux qui croient en lui ne se perdront pas loin de Dieu, mais ils vivront avec lui pour toujours"
(Jean 3.16).

Dans nos moments les plus heureux, nous ne voulons pas mourir.

Le désir de mourir se fait sentir uniquement quand nos souffrances nous semblent insupportables. Ce que nous souhaitons réellement, dans ces moments-là, n’est pas la mort, mais un soulagement. Nous voudrions tant que les bons moments reviennent. Nous voudrions que la douleur s’en aille. Nous voudrions que nos biens aimés reviennent du tombeau. Nous voulons la vie et le bonheur…

Nous nous trompons nous-mêmes quand nous donnons un côté romantique à la mort, en la considérant comme l'apogée d'une vie bien vécue. Elle est une ennemie. Nous lui donnons des noms doux comme si c’était un moindre mal. Pourtant elle nous coupe des merveilleux plaisirs de ce monde. Le bourreau qui fournit le coup de grâce dans notre douleur ne veille pas à la réalisation de nos aspirations, mais marque la fin de l'espoir. Les aspirations du cœur humain sont vivre et être heureux.

Dieu nous a fait ainsi : "Il a donné aussi aux humains le désir de connaître à la fois le passé et l’avenir" (Ecclésiaste 3.11). Nous sommes créés à l’image de Dieu, et Dieu qui aime la vie, vit éternellement. Et nous vivrons éternellement. L’opposé de la vie éternelle est la condamnation éternelle. C’est l’enfer. Jésus en parle mieux que quiconque, et il a expliqué clairement, que rejeter la vie éternelle qu’il offrait, aurait comme conséquence de devoir affronter la colère de Dieu : "Celui qui croit au Fils a la vie avec Dieu pour toujours. Celui qui refuse de croire au Fils ne verra pas cette vie, mais la colère de Dieu restera sur lui" (Jean 3.36).

Et cette réalité demeure éternellement. Jésus disait : "Ils partiront pour recevoir une punition qui dure toujours. Mais ceux qui ont obéi à Dieu partiront pour recevoir la vie avec Dieu pour toujours" (Matthieu 25.46). C’est une indicible réalité qui montre l'importance du péché de traiter Dieu avec indifférence et mépris. Ainsi Jésus avertit : "Si ton œil te fait tomber dans le péché, arrache-le. Pour toi, il vaut mieux entrer dans le Royaume de Dieu avec un seul œil. C’est mieux que de garder les deux yeux, et d’être jeté dans le lieu de souffrance. Là, les vers ne meurent pas et la souffrance brûle toujours comme un feu" (Marc 9.47-48).

Ainsi la vie éternelle n’est pas simplement une extension de cette vie avec son lot de souffrance et de plaisir. Comme l’enfer est le pire résultat de cette vie, ainsi la vie éternelle en est la meilleure. Elle est le bonheur suprême et sans cesse croissant, où tous les péchés et les tristesses auront disparu. Tous ce qui est mal et nocif dans cette création déchue sera enlevé. Tout ce qui est bon - tout ce qui apporte la vérité et un bonheur éternel - sera préservé, purifié et rendu plus intense.

Nous serons changés pour être capable d’une dimension de bonheur que nous ne pouvions concevoir dans cette vie : "Il y a des choses que les yeux ne voient pas. Les oreilles ne les entendent pas, les êtres humains n’y ont jamais pensé. Eh bien, ces choses-là, Dieu les a préparées en faveur de ceux qui ont de l’amour pour lui" (1 Corinthiens 2.9). Cela est vrai pour chaque moment de la vie, maintenant et toujours. Car ceux qui mettent leur confiance en Christ savent que le meilleur est à venir. Nous allons voir la gloire de Dieu qui nous satisfait pleinement.

"Et la vie pour toujours, c’est te connaître, toi, le seul vrai Dieu, et connaître celui que tu as envoyé, Jésus-Christ" (Jean 17.3). C'est pour cela que Christ a souffert et qu'il est mort.
Pourquoi nous ne pas le saisir comme notre trésor, et vivre ? 
John Piper