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dimanche 23 mars 2014

La grenouille et le scorpion

Fable populaire africaine
Un scorpion qui avait besoin de traverser une rivière, demanda à une grenouille de le mener jusqu’à l’autre rive, sur son dos.
- Il n’en est pas question, répondit la grenouille. Je te connais et je sais que si je te laisse monter sur mon dos, tu me piqueras pour me tuer.
- Mais alors, je vais mourir noyé, répondit le scorpion.
La grenouille finit par accepter, mais alors qu’ils étaient à la moitié du parcours, le scorpion la piqua, lui injectant son venin mortel.
- Mais qu’est-ce que tu as fait, malheureux, s’écria la grenouille. Maintenant, tu vas mourir, toi aussi !
- Je n’y peux rien, dit le scorpion. C’est ma nature.
Rien ne peut changer la nature de l’homme si ce n’est le miracle de la grâce (Jérémie 13.23).
Source : Topchrétien

samedi 22 mars 2014

Réparer les dégâts de la haine


Le pardon qui est suscité par l'amour est la seule manière pour réparer les dégâts qui si souvent entache nos relations.
David Jeremiah

Forgiveness prompted by love is the only way to repair the devastation that so often mars our relationships.
David Jeremiah

vendredi 21 mars 2014

Pourquoi Dieu se mêlerait-il de ma vie ?

Les paroles du prophète Jérémie, au chapitre 18 nous donne une image de la raison pour laquelle Dieu se mêle de notre vie. « Voici la parole adressée à Jérémie par l’Eternel: ‘Lève-toi et descends à la maison du potier. Là, je te ferai entendre mes paroles.’ Je suis descendu à la maison du potier et j’ai vu qu’il façonnait un objet sur un tour, mais le vase d’argile qu’il façonnait ne donnait rien dans sa main. Alors, il a recommencé un autre vase en le faisant comme il lui plaisait. Et voici la parole de l’Eternel qui m’a été adressée: ‘Ne puis-je pas agir envers vous comme ce potier, communauté d’Israël? déclare l’Eternel. Vous êtes dans ma main comme de l’argile dans la main du potier, communauté d’Israël ‘. »
Ce texte a été écrit en premier lieu aux Israélites environ 600 ans avant Jésus-Christ. Le peuple avec qui Dieu avait passé une alliance s’était détourné de Dieu et ne ressemblait à rien, comme un vase d’argile qui tourne mal. Alors, comme un potier, Dieu annonce ici à la communauté d’Israël qu’il va se mêler à nouveau de leur vie, qu’il va recommencer son œuvre de création, une œuvre de recréation. Pourquoi est-ce pertinent pour nous ? C’est que si le peuple avec qui Dieu avait passé une alliance avait besoin d’être recréé, à combien plus forte est-ce le cas pour ceux qui n’ont jamais été dans une relation d’alliance avec lui, et c’est peut-être votre cas à vous aussi.
Cette image du potier et de l’argile est d’ailleurs reprise plus tard dans le récit biblique pour parler de la relation de toute créature avec son créateur. Alors pourquoi Dieu se mêlerait-il de ma vie ? Parce qu’il est mon créateur, et qu’à ce titre il a le droit de faire ce qu’il veut de ma vie, comme un potier fait ce qu’il veut de son argile.
La réalité, c’est que nous sommes tous par nature des êtres en rébellion contre Dieu ; nous ne le reconnaissons pas comme notre maître, nous voulons décider pour nous-mêmes de la façon dont nous voulons conduire notre vie. Nous tous, nous sommes des êtres orgueilleux, égoïstes et égocentriques qui ne désirons qu’une chose : être autonome, c’est-à-dire être pour nous-mêmes notre propre loi. Cette rébellion, c’est ce qu’on appelle péché. Mais voilà, le jugement de Dieu sur notre vie de rébellion et de mépris à son égard : « le vase d’argile qu’il façonnait ne donnait rien dans sa main ». C’est pourquoi Dieu a la liberté, en tant que potier de se mêler de ma vie pour faire de moi une nouvelle création, un autre vase qui cette fois va lui plaire.
Et en ce qui me concerne, c’est ce qu’il déjà a fait : il a brisé en moi l’incrédulité, le mépris, l’indifférence que j’avais pour lui. Certes, ça ne veut pas dire que je suis parfait. En fait, durant toute cette vie, il va me façonner pour faire de moi un vase qui lui plaît, c’est-à-dire qu’il va me rendre de plus en plus semblable à l’image de son fils Jésus-Christ. Et ce faisant, en se mêlant de ma vie, il me rend enfin vraiment heureux.
Intervention prononcée par Pierre-Sovann Chauny dans le cadre des
Dialogues Veritas des universités de la Rive Gauche, à Paris, le 2 avril 2008, au 21 rue Serpente.

jeudi 20 mars 2014

Péché délibéré ?

" Un homme qui pèche délibérément et qui se détourne de Dieu, fait le bonheur de Satan."
Anonyme

mercredi 19 mars 2014

La pensée qui le préoccupait


Lorsque Daniel Webster était secrétaire d’Etat aux USA au 19ème Siècle, il fut invité à un dîner avec quelques amis, une vingtaine de personnes. Au milieu du repas, l’un des hôtes lui posa une question :
- Monsieur Webster, pourriez-vous nous dire quelle fut la pensée la plus importante qui occupât jamais votre esprit ?
Le secrétaire d'Etat passa lentement la main sur son front et répondit d’un ton très profond :
- La pensée la plus importante qui ait jamais occupé mon esprit est celle de ma responsabilité personnelle à l’égard de Dieu.

mardi 18 mars 2014

Les saisons de la vie


« Peu importe la mauvaise saison dans laquelle tu te trouves. Attends-toi à Dieu, il peut changer les circonstances de ta vie. »
Auteur inconnu

lundi 17 mars 2014

L'amour selon Dieu ( la suite)



L'amour est fort comme la mort... Beaucoup d'eaux ne peuvent éteindre l'amour et des fleuves ne le submergent pas.
Cantique des cantiques 8. 6-7
Dieu est amour.
1 Jean 4. 8
L'amour selon Dieu
La mort arrache l'homme à ses affections et à toutes les attaches qu'il peut avoir dans le monde. Mais l'amour de Dieu l'arrache à sa misère et à la mort même. Rien ne peut résister à la mort quand elle vient ; il n'y a ni remède, ni science, ni richesse qui soit capable de l'empêcher. De même, rien n'a pu résister à l'amour de Dieu, pas même l'obstacle insurmontable que nos péchés élevaient entre nous et lui. C'est l'amour qui a poussé Dieu à donner son Fils unique pour sauver des pécheurs et en faire ses propres enfants. C'est l'amour qui a poussé Jésus Christ à venir dans le monde à notre rencontre, à rester sur la croix où il est mort dans de terribles souffrances pour expier nos fautes jusqu'au bout. C'est encore l'amour qui fait que Dieu nous supporte inlassablement. Oui, véritablement, l'amour est fort comme la mort.

Faisons confiance à Dieu qui nous aime tant. Si nous acceptons son amour, qui nous offre le pardon total, nous réaliserons comme Paul que rien “ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu, qui est dans le Christ Jésus” (Romains 8. 39). Non, vraiment rien, jamais. Cet amour subsiste au milieu de n'importe quelle tempête, et il nous aide à la traverser. Nous sommes tellement aimés de Dieu que nous pouvons aussi, en retour, l'aimer lui-même et, avec la force qu'il donne, aimer tous ceux que nous rencontrons, leur montrant ainsi ce qu'il a mis dans notre cœur.

dimanche 16 mars 2014

La conversion de Charles Spurgeon (partie 2)

Voici la suite du récit de Charles Spurgeon.
"Cet heureux jour, où je trouvai le Sauveur, et appris à me cramponner à ses pieds adorés, jamais je ne l'oublierai. J'écoutai la Parole de Dieu, et ce texte précieux me conduisit à la croix de Christ. Je peux affirmer que je connus ce jour-là une joie absolument indescriptible. J'aurais pu sauter, j'aurais pu danser; aucune extériorisation, même fanatique, n'aurait pu dépasser la joie de ce moment-là. Depuis, mon expérience chrétienne s'étale sur de nombreuses années, mais pas un seul jour ne m'a donné la plénitude de joie, le délice étincelant, de ce premier jour.
J'aurais pu sauter de mon siège et crier avec le plus fanatique de ces frères méthodistes: "Je suis pardonné! Je suis pardonné! Quel monument de grâce! Un pécheur sauvé par le sang !" Mon esprit vit ses chaînes brisées en mille morceaux. Je me sentis une âme affranchie, un héritier du ciel, pardonné, accepté en Jésus-Christ, arraché de la fosse de destruction et du bourbier, mes pieds ancrés sur un roc et mon devenir bien établi.
Dans les deux heures entre mon entrée dans ce temple et mon retour à la maison, quel changement s'était produit en moi! En regardant simplement vers Jésus, j'avais été délivré du désespoir, et amené dans une telle joie que lorsque la famille me vit rentrer, ils me dirent: "Quelque chose de merveilleux t'est arrivé", et je brûlais de tout leur raconter. Oh! quelle joie ce jour-là chez nous, quand tous entendirent que le fils aîné avait trouvé le Sauveur et se savait pardonné !"La conversion de Spurgeon fut le grand tournant de sa vie. II était véritablement "une nouvelle création". Ce terrible fardeau oppressant qui, si longtemps, avait pesé sur lui, avait disparu, et maintenant tout était nouveau devant lui.
La souffrance par laquelle il passa eut, toutefois, un effet durable sur lui. Une prise de conscience de l'extrême horreur du péché s'enracina profondément dans son esprit, et lui fit haïr l'iniquité et aimer de tout son cœur la sainteté. L'incapacité des prédicateurs qu'il avait entendus à présenter l'Evangile, et cela d'une manière simple et directe, le poussa durant tout son ministère à expliquer aux pécheurs, dans chaque sermon, et de la manière la plus directe et la plus compréhensible possible, comment être sauvé. 

samedi 15 mars 2014

La conversion de Charles Spurgeon

C'est au mois de décembre 1849 que Dieu employa un changement de circonstances pour conduire Charles Spurgeon au salut et lui donner la paix. Voila le récit de Charles Spurgeon.

"Il m'arrive quelquefois de penser que j'aurais pu rester dans l'obscurité et le désespoir jusqu'à aujourd'hui, si Dieu, dans sa bonté, n'avait envoyé une tempête de neige, un certain dimanche matin, tandis que je me rendais à un certain lieu de culte. Je bifurquai dans une petite rue obscure, et entrai dans une petite Eglise méthodiste. Il y avait dans cette chapelle peut-être douze ou quinze personnes. J'avais entendu parler de ces Méthodistes Primitifs, qui chantaient si fort qu'ils vous donnaient mal à la tête. Cela n'avait pas d'importance pour moi. Je voulais seulement savoir comment je pouvais être sauvé.

Le prédicateur ne put venir ce matin-là, bloqué par la neige, je suppose. Finalement, un homme d'une grande maigreur, un cordonnier ou un tailleur, ou quelque chose de cette sorte, monta en chaire pour prêcher. Il faut, bien sûr, que les prédicateurs soient instruits, mais cet homme, lui, était vraiment primaire. Il ne pouvait pas sortir de son texte pour la simple raison qu'il n'avait pratiquement rien d'autre à dire. Le texte disait: "Regardez à moi et vous serez sauvés, vous tous qui êtes aux extrémités de la terre! "(Esaïe 45,22).
Il ne prononçait même pas les mots correctement, mais cela n'avait pas d'importance. Il me semblait qu'il y avait, dans ce texte, une lueur d'espoir pour moi.
"Le prédicateur improvisé commença ainsi: "C'est vraiment un texte tout simple. Il dit, "Regardez". C'est pas trop compliqué de regarder. C'est pas comme de lever le pied ou le doigt; c'est juste: "Regardez". C'est pas la peine d'avoir fait des études pour apprendre à regarder. Même si vous êtes le plus grand idiot du monde, vous pouvez regarder. Pas la peine de gagner des millions pour regarder. N'importe qui le peut, même un enfant.
"Mais voilà que le texte dit, "Regardez à moi." Hé ! dit-il, avec son accent de l'Essex, beaucoup d'entre vous regardez à vous-mêmes. Mais ça sert à rien de regarder là. Vous trouverez jamais aucun réconfort en vous-mêmes. Certains disent, regardez à Dieu le Père. Non, regardez à lui plus tard. Jésus-Christ dit, "Regardez à moi". Certains d'entre vous disent, "Nous devons attendre que l'Esprit fasse son œuvre". Vous occupez pas de ça pour l'instant; regardez à Christ. Le texte dit, "Regardez à moi".
"Ce brave homme poursuivit alors de la façon suivante: "Regardez à moi! Voyez les grumeaux de sang. Regardez à moi! Je suis pendu au bois. Regardez à moi! Je suis mort, enseveli. Regardez à moi! Je suis ressuscité. Regardez à moi! Je monte au ciel. Regardez à moi! Je suis assis à la droite du Père. Oh! pauvre pécheur, regarde à moi! Regarde à moi! Quand il eut réussi à délayer son discours pendant environ dix minutes, il arriva au bout de ses ressources.

M'apercevant alors dans l'assistance, et je dois dire qu'avec si peu de gens dans la salle, il devina aisément que j'étais étranger, et fixant son regard sur moi comme s il connaissait la tragédie de mon cœur, il dit: "Jeune homme, tu as l'air très malheureux". C'était vrai, mais je n'avais pas été habitué jusque-là à ce qu'on me fasse, depuis la chaire, des remarques sur mon apparence. Quoiqu'il en soit, il s'agissait d'un coup bien envoyé que je reçus en plein cœur. "Et, continua-t-il, tu seras toujours malheureux -malheureux dans la vie, et malheureux dans la mort -si tu n'obéis pas à mon texte. Mais si tu le fais aujourd'hui, au moment même, tu seras sauvé."
Puis, levant les mains en l'air, il cria comme seul un Méthodiste Primitif pouvait le faire: « Jeune homme, regarde à Jésus-Christ. Regarde! Regarde! Regarde! Tu n'as rien d'autre à faire qu'à regarder et vivre !"
"Je vis tout de suite le chemin du salut. Je ne sais pas ce qu'il dit ensuite -je n'y prêtais guère attention -tant j'étais possédé par cette unique pensée. Je m'étais attendu à devoir faire trente-six choses mais, lorsque j'entendis ce mot, "Regarde !", comme il me parut charmant! Oh ! Je regardai, et je regardai presque jusqu'à en perdre les yeux.
"En cet endroit, et à cet instant précis, le nuage disparut, l'obscurité s'enfuit, et à ce moment-là je vis le soleil. J'aurais pu me lever à l'instant même, et chanter, avec le plus enthousiaste d'entre eux, le précieux sang de Christ et la simple foi qui porte les regards sur lui seul. Oh, si quelqu'un m'avait dit auparavant: "Confie-toi en Christ, et tu seras sauvé". Pourtant, tout était sans aucun doute sagement ordonné, et je puis le dire maintenant:
"Depuis que par la foi je vis le flot Qui coule de tes blessures, Je parle de l'amour rédempteur, Et j'en parlerai jusqu'à ce que je meure... "

vendredi 14 mars 2014

L'univers

Un prédicateur de l'Evangile parlait un jour avec un homme qui se disait incroyant. « Vous êtes au contraire plus croyant que moi, lui dit-il, vous arrivez à croire que l'univers s'est fait tout seul, que tout est venu de rien, que du néant a surgi l'univers. Cela, je n'arrive pas à le croire. Vous avez donc plus de foi que moi. Ne dites plus que vous n'êtes pas croyant."

jeudi 13 mars 2014

Le soleil de l'Evangile

" Le même soleil durcit l'argile et fond la cire. De la même manière, le message de l'évangile endurcit le cœur des orgueilleux et fait fondre le cœur des humbles."
Tiré du calendrier "La Bonne Semence"

mercredi 12 mars 2014

Notre être intérieur




«Le silence de l'homme attire le silence de Dieu.»

Extrait de - Julien Green en liberté avec Marcel Jullian


«L'âme et la vie intérieure, c'est ce qu'il y a de plus profond et donc de plus difficile à exprimer. C'est inépuisable. On ne se voit pas tel que Dieu nous voit.»

Extrait d'un Entretien avec Pierre Assouline - Septembre 1993




«Le grand péché du monde moderne, c'est le refus de l'invisible.»

Extrait de Journal

mardi 11 mars 2014

Un constat spirituel

" Le christianisme doit maintenant prêcher le diagnostic -en soi une très mauvaise nouvelle - avant de pouvoir se faire entendre sur le remède."
C.S. Lewis

lundi 10 mars 2014

Un trésor au service de Dieu

 “L'homme le plus pauvre n'est pas celui qui n'a pas d'argent, mais celui qui a enterré le talent que Dieu lui a confié”.
Auteur anonyme

dimanche 9 mars 2014

Les derniers mots de John Bunyan




John Bunyan (1628-1688), l'auteur de "Voyage du Pèlerin", a dit au moment de sa mort:
"Ne pleurez pas sur moi, mais sur vous . Je vais vers le Père de notre Seigneur Jésus-Christ ; Il me recevra, bien que je sois pécheur, à cause des mérites de son Fils. J'ai la confiance que nous nous retrouverons avant qu'il soit longtemps pour chanter le cantique nouveau et être heureux pour toujours."

samedi 8 mars 2014

Un écrivain parle de Dieu


Georges BERNANOS (1888-1948) Écrivain français 
" Ce que nous appelons hasard, c'est peut-être la logique de Dieu. "

vendredi 7 mars 2014

Etre et devenir quelqu'un de précieux

Ce que tu es est un cadeau de Dieu. Ce que tu deviens est ton cadeau à Dieu.
Robert H. Schuller

jeudi 6 mars 2014

Dieu frappe à votre coeur

Écoutez, il se tient à la porte et il frappe. Si un jour vous êtes suffisamment désemparé, si un jour vous vous laissez envahir par le grand silence qui nous entoure, alors vous l’entendrez et il viendra vous prendre par la main et il vous conduira au face à face éternel.
Pierre Chaunu

mercredi 5 mars 2014

La doctrine biblique

Nous avons donné la première place à la doctrine… mais pour être utile et fructueuse, elle doit entrer entièrement dans notre cœur et manifester sa puissance dans notre vie pour transformer notre nature.
Jean Calvin

mardi 4 mars 2014

Garder un coeur reconnaissant

Dieu donne beaucoup à celui qui sait le remercier des moindres choses qu’il reçoit journellement.
Dietrich Bonhoeffer, De la Vie Communautaire

lundi 3 mars 2014

Plus que de simples mots

« Dans ce lieu intime, où je m’approche de Dieu en Christ à travers la Parole de Dieu et la prière, je peux m’offrir à Dieu pour le servir et pour être fortifié par le Saint-Esprit, afin que son amour se répande dans mon cœur et que je puisse marcher dans cet amour. » Andrew Murray

dimanche 2 mars 2014

Jésus est-il ringard ?

Quelqu'un a écrit : "Les hommes ont plus que jamais soif de Jésus. Il est la véritable réponse si nous voulons vraiment la paix sur cette terre."

samedi 1 mars 2014

Une question de point de vue

“Certains se plaignent de ce que Dieu a placé des épines sur les rosiers, alors que d'autres le louent de ce qu'Il a placé des roses parmi les épines”. 
Auteur anonyme

vendredi 28 février 2014

Le regard de Dieu sur ses enfants

« Voici, l'œil de l'Éternel est sur ceux qui le craignent, sur ceux qui s'attendent à sa gratuité, afin qu'il les retire de la mort et qu'il les entretienne en vie durant la famine.
Notre âme s'est attendue à l'Éternel, il est notre aide et notre bouclier.
Certainement notre cœur se réjouira en lui parce que nous avons mis notre confiance en son saint nom. Que ta bonté soit sur nous, Ô Éternel, comme nous nous sommes attendus à toi. »

Dieu abaisse ses regards sur ses enfants, et ceux-ci élèvent leurs regards vers lui. Quand nous nous attendons à lui, nous regardons à lui et nous rencontrons son regard paternel.

Nous attendre à Dieu, voilà ce qui détourne nos yeux et nos pensées de nous-mêmes, de nos désirs et nos besoins, pour nous occuper de notre Dieu. Nous l'adorons alors, lui et son amour qui veille sur nous, clairvoyant et prêt à subvenir à tout ce qu'il nous faut. Remarquons bien ici ce qui nous est dit de « l'œil de l'Éternel, » de ce qu'il est pour ceux sur lesquels s'arrêtent ses regards, pour ceux qui regardent à lui.
Andrew Murray, extrait de "Attends toi à Dieu"

jeudi 27 février 2014

Marcel Pagnol sur son lit de mort

Marcel Pagnol est un écrivain, dramaturge, cinéaste et académicien français, né le 28 février 1895 à Aubagne et mort le 18 avril 1974 à Paris.

Cet homme a réalisé dans le monde des arts et de la littérature des chefs d'œuvres tels que Marius, Fanny et César (La trilogie Marseillaise), des romans sur sa jeunesse comme La gloire de mon père et Le château de ma mère (adapté au cinéma après sa mort) entre autres chefs d'œuvre. Adolescent, il voulut être connu. Et il fit tout pour y réussir.
Voici le récit des deux derniers jours de sa vie, alors qu'il sait qu'il va bientôt mourrir.
Le 17 Avril 1974, il dit à un ami prêtre, Norbert Calmels (bien qu'il fut longtemps anticlérical) : "Norbert, je n'ai plus beaucoup de temps. Je suis à la fin de ma vie. Mon théâtre maintenant, c'est la mort. Norbert, aide-moi à préparer le dernier acte."
Le prêtre le confessa et Marcel Pagnol dit à un de ses amis : "Ca va mieux, Norbert a tout effacé".
Le jeudi 18 Avril 1974, à deux heures du matin, Marcel Pagnol dit à sa femme : "Jacqueline, on ne peut pas toujours tout réussir".
Puis il meurt. Il avait 79 ans.
Extrait de Marcel Pagnol par Raymond Castans
Cette dernière phrase vous fait-elle réfléchir ?

mercredi 26 février 2014

Dieu selon le scientifique James Prescott Joule


James Prescott Joule (1818-1889)
Joule, en tant que découvreur de ces lois scientifiques importantes, était un scientifique qui croyait qu'il pouvait se rapprocher de Dieu en connaissant les lois de la nature. Sa croyance l'a incité à entamer de plus grandes investigations. Il faisait partie des 717 savants qui ont signé un manifeste contre Darwin en 1864. Il a exprimé ses croyances concernant la science en ces termes : « Après la connaissance et la soumission envers la volonté de Dieu, le prochain but doit être de connaître certaines choses sur Ses attributs de sagesse, de puissance et de bonté, comme elles sont mises en évidence par Ses œuvres. Il est évident que connaître les lois naturelles ne signifie rien de moins que de connaître l'esprit de Dieu qui s'y exprime. »
Dan Graves, Scientists of Faith, Kregel Resources, 1996, p. 133

mardi 25 février 2014

Une affirmation audacieuse

Jésus a dit : « Je suis la résurrection et la vie »
George MacDonald a écrit : « Si vous croyez que le Fils de Dieu est mort et qu’il est ressuscité, tout votre avenir est rempli de l’aube d’un matin éternel, se levant derrière les collines de la vie, et d’espoirs tels que la plus grande imagination du poète n’en a pas encore le moindre soupçon. »

lundi 24 février 2014

La puissance de la croix

Si les croyants considèrent la puissance de la résurrection de Jésus Christ, la croix triomphe finalement dans leur cœur sur le diable, la chair, le péché, la mort et les injustes.
Jean Calvin

dimanche 23 février 2014

Toujours à mes côtés dans la détresse

Juste quand je suis découragé, juste quand les soucis m'oppressent
Juste quand mon chemin s'obscurcit, juste quand je suis en détresse
Alors mon Sauveur est prés de moi, Il connait chacun de mes soucis
Jésus ne m'abandonnera jamais, Il m'aide à porter mon fardeau.
J. Bruce Evans
Just when I am disheartened, just when cares oppressed,
Just when my way is darkest, just when I am distressed,
Then is my Savior near me, He knows my every care;
Jesus will never leave me; He helps my burden to bear.
J. Bruce Evans

samedi 22 février 2014

Goethe parle de Jésus

Le célèbre dramaturge allemand Johann Wolfgang Goethe a écrit dans les dernières années de sa vie : "Si jamais le Divin apparut sur terre, ce fut en la personne du Christ."