Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant
Vous pardonnant les uns aux autres... comme aussi le Christ vous a pardonné, vous aussi, faites de même. Colossiens 3. 13
Le pardon
Benjamin Dubé, un pasteur noir vivant en Afrique du Sud, ne cessait de dire : «Nous ne devons haïr personne parce que Jésus nous aime tous». On lui répondait : «Toi qui es noir, tu voudrais alors qu'on aime aussi les blancs ?»
Un soir, sa voiture fut arrêtée, on le battit à mort. Ses meurtriers prirent sa Bible et la trempèrent dans son sang. Son fils, âgé de douze ans, parvint à échapper à cet affreux massacre.
Quelques années plus tard, l'épouse de Benjamin et son fils, au cours d'une réunion, donnèrent le témoignage de leur épreuve et des consolations que le Seigneur leur avait prodiguées. Ils conclurent en chantant ce cantique : «Père, pardonne-leur». Les auditeurs écoutaient, fascinés. Quelques personnes demandèrent qu'on prie pour elles. Parmi elles, un homme hésitait. Il paraissait tourmenté. «J'ai besoin de votre Jésus, dit-il. J'ai besoin de pardon... je faisais partie de ceux qui ont tué votre mari».
«Effrayée, je me mis à trembler, raconte la veuve. Que devais-je faire ? Le Seigneur me le montra. Je pris le tueur dans mes bras et je lui dis : Je te pardonne comme Jésus nous a pardonné. Maintenant, tu es mon frère».
Nous ne pouvons qu'admirer la réaction de cette chrétienne ; elle a vraiment suivi de près l'exemple de son Sauveur. Mais nous sommes encore plus émerveillés quand nous pensons aux paroles de Jésus sur la croix : «Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font» (Luc 23. 34).
Un soir, sa voiture fut arrêtée, on le battit à mort. Ses meurtriers prirent sa Bible et la trempèrent dans son sang. Son fils, âgé de douze ans, parvint à échapper à cet affreux massacre.
Quelques années plus tard, l'épouse de Benjamin et son fils, au cours d'une réunion, donnèrent le témoignage de leur épreuve et des consolations que le Seigneur leur avait prodiguées. Ils conclurent en chantant ce cantique : «Père, pardonne-leur». Les auditeurs écoutaient, fascinés. Quelques personnes demandèrent qu'on prie pour elles. Parmi elles, un homme hésitait. Il paraissait tourmenté. «J'ai besoin de votre Jésus, dit-il. J'ai besoin de pardon... je faisais partie de ceux qui ont tué votre mari».
«Effrayée, je me mis à trembler, raconte la veuve. Que devais-je faire ? Le Seigneur me le montra. Je pris le tueur dans mes bras et je lui dis : Je te pardonne comme Jésus nous a pardonné. Maintenant, tu es mon frère».
Nous ne pouvons qu'admirer la réaction de cette chrétienne ; elle a vraiment suivi de près l'exemple de son Sauveur. Mais nous sommes encore plus émerveillés quand nous pensons aux paroles de Jésus sur la croix : «Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font»
Issue de "la Bonne Semence" 2003
"L'erreur est humaine, le pardon divin." Alexander Pope
Extrait de Essai sur la critique
Extrait de Essai sur la critique
1 commentaire:
Dans notre monde, le premier réflexe face à un crime qui touche quelqu'un de notre connaissance, c'est la vengeance personnelle, sa propre justice. ici, le pardon a une foirce plus puissante que la vengeance car en pardonnant, on ne commet pas un second meurtre mais on a l'esprit libéré, ce qui est mieux que d'avoir un meurtre sur la conscience.
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