C'était une personne qui forçait l'estime. Attachée de tout cœur à sa religion, zélée pour tous les services qui s'y rattachaient, elle s'occupait des pauvres avec une générosité peu courante et multipliait les œuvres de bienfaisance.
Son jardinier était bien différent. Il ne connaissait qu'un livre : la Bible. Il ne parlait que d'une personne, Jésus. Il avait mis en lui toute sa confiance, l'ayant reçu d'abord comme sauveur, le servant ensuite comme son maître.
La dame tomba malade. Les plus éminents médecins furent appelés. Le cas était grave et l'issue fatale. La riche propriétaire fit appeler ses domestiques pour leur faire ses adieux. Jean arriva le dernier. Lorsqu'il vit sa maîtresse aux portes de la mort, les sanglots l'empêchèrent de parler. Pourtant il avait quelque chose à dire. La dame le comprit et le mit à l'aise.
"- Madame, comme je suis triste de vous voir ainsi ! Mais je voudrais, avec tout le respect que je vous dois, vous demander si vous êtes sauvée ?".
Ces paroles firent l'effet d'une bombe tombée dans la chambre. La malade indignée se dressa sur son lit : "- tu connais ma vie, Jean, j'ai toujours fait le bien et mes œuvres témoigneront assez..." Elle retomba sur l'oreiller, épuisée par l'effort qu'elle venait de faire.
"- Mais, Madame, nos meilleures œuvres ne valent rien pour obtenir le pardon de Dieu. Il faut venir à Lui repentant et avec foi comme le brigand sur la croix".
Blessée dans son orgueil, la maîtresse arrêta son domestique et s'écria : "- Comme le brigand... Aller à Jésus comme le brigand ? Jamais. J'aime mieux mourir damnée..." Et, retombant sur sa couche, elle rendit le dernier soupir...
Son jardinier était bien différent. Il ne connaissait qu'un livre : la Bible. Il ne parlait que d'une personne, Jésus. Il avait mis en lui toute sa confiance, l'ayant reçu d'abord comme sauveur, le servant ensuite comme son maître.
La dame tomba malade. Les plus éminents médecins furent appelés. Le cas était grave et l'issue fatale. La riche propriétaire fit appeler ses domestiques pour leur faire ses adieux. Jean arriva le dernier. Lorsqu'il vit sa maîtresse aux portes de la mort, les sanglots l'empêchèrent de parler. Pourtant il avait quelque chose à dire. La dame le comprit et le mit à l'aise.
"- Madame, comme je suis triste de vous voir ainsi ! Mais je voudrais, avec tout le respect que je vous dois, vous demander si vous êtes sauvée ?".
Ces paroles firent l'effet d'une bombe tombée dans la chambre. La malade indignée se dressa sur son lit : "- tu connais ma vie, Jean, j'ai toujours fait le bien et mes œuvres témoigneront assez..." Elle retomba sur l'oreiller, épuisée par l'effort qu'elle venait de faire.
"- Mais, Madame, nos meilleures œuvres ne valent rien pour obtenir le pardon de Dieu. Il faut venir à Lui repentant et avec foi comme le brigand sur la croix".
Blessée dans son orgueil, la maîtresse arrêta son domestique et s'écria : "- Comme le brigand... Aller à Jésus comme le brigand ? Jamais. J'aime mieux mourir damnée..." Et, retombant sur sa couche, elle rendit le dernier soupir...
Source : Topchrétien
1 commentaire:
Dieu me garde d'être comme cette dame : ce n'est pas parce qu'on est attaché mordicus à une religion qu'on est dit sauvé. L'Evangile présente Christ comme seul Sauveur, attachons-nous à lui pour faire des oeuvres bonnes en toute humilité, sans l'étaler aux yeux de la société pour gagner une vaine estime, simple étiquette de bienfaiteur, qui ne trompe pas Dieu regardant au coeur de la personne. Amen !
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