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samedi 9 mai 2015

Confiance et tourment

Un pasteur a écrit : "Souvenons-nous que confiance et tourment sont deux choses incompatibles. Est-ce avoir confiance que de nous poser des questions angoissantes au sujet de notre vie chrétienne après nous être remis entre les mains du Seigneur pour qu'Il nous garde ?"

vendredi 8 mai 2015

Constat historique


«L’histoire du monde est celle d’une interminable querelle de l’homme avec son Dieu, ou avec l’idée qu’il s’en fait.»

André Frossard
Journaliste et écrivain français (1915-1995)

jeudi 7 mai 2015

Un surplus d'amour

On peut définir la grâce, avec Paul Ricoeur, comme un surplus d’amour. On peut dire aussi un sursaut d’amour, un amour qui saute par-dessus toutes les raisons qu’il pourrait y avoir de ne pas aimer, un amour capable de donner même s’il ne peut rien espérer recevoir en échange, un amour capable d’aimer ce qui n’est pas « aimable », qui n’est pas digne d’être aimé, un amour capable de faire du bien à qui vous a fait du mal. 
Robert Somerville

mercredi 6 mai 2015

Concevoir l'avenir

Pour bien commencer « demain », sors « d’aujourd’hui » ta main dans celle de Dieu.
John Wesley

mardi 5 mai 2015

La conversion de Saint Augustin



Prends et lis
Par une journée suffocante de l'été 386 en Afrique du Nord, le jeune Augustin est assis dans le jardin de son ami Alypius. Brillant professeur de rhétorique, il sent que sa vie immorale le conduit à une impasse et sa conscience est tourmentée. Dans le jardin voisin, un enfant est en train de chanter : « Prends et lis... Prends et lis. » Augustin a pris un rouleau de parchemin sur la table basse à côté de lui. Il tient dans les mains une copie de la lettre de l'apôtre Paul aux chrétiens de Rome. Il se met à lire. Ses yeux s'arrêtent sur cette phrase : « Conduisons-nous honnêtement, comme en plein jour, sans orgies ni ivrogneries, sans immoralité ni débauches, sans querelles ni jalousie. Mais revêtez le Seigneur Jésus Christ. » (Romains 13. 13-14). La conclusion est claire : il lui faut abandonner sa mauvaise conduite et suivre le Christ. Ce jour-là, le jeune homme se convertit et devient celui qu'on a appelé Saint Augustin. Les prières de sa mère sont exaucées.
Sous les apparences exaltantes du progrès des sciences et des techniques, notre siècle cache un réel désespoir, notamment parmi la jeunesse, qui compte un taux élevé de suicides et de très fortes expressions de violence, signes d'un mal-être profond. La solution est-elle dans les plaisirs, les loisirs, dans le travail ou dans un quelconque idéal... ? Le seul espoir de l'homme qui a reconnu sa faillite morale, est en Jésus Christ, le Sauveur que Dieu lui a donné.

lundi 4 mai 2015

Un postulat de foi

Avec la foi, on ne fait pas grand chose ; sans la foi, rien.
Gilbert Cesbron

dimanche 3 mai 2015

L'étape du pardon

C'est être libre de devenir conscient que nous ne devons pas être des victimes de notre passé et que nous pouvons apprendre de nouvelles manière de répondre. Mais il y a une étape au delà de cette reconnaissance … C'est l'étape du pardon. Le pardon est l'amour pratiqué envers les gens qui ont peu d'amour. Il nous rends libre sans vouloir quelque chose en retour.
Henri J. M. Nouwen

It is freeing to become aware that we do not have to be victims of our past and can learn new ways of responding. But there is a step beyond this recognition...It is the step of forgiveness. Forgiveness is love practiced among people who love poorly. It sets us free without wanting anything in return.
Henri J. M. Nouwen

samedi 2 mai 2015

Ceux qui nient Dieu

Jean Guitton (1901-1999). Écrivain français, l'un des maîtres de l'école contemporaine de philosophie. Membre de l'Académie française en 1961.
" Ceux qui nient Dieu le signalent par leurs silences obstinés ou par la révolte. Les négations, comme jadis les blasphèmes, dessinent son visage. L'absurdité de l'être sans lui est son rayonnement noir. Bientôt les pleins et les creux de l'absurde seront si bien définis qu'ils dessineront un vide qui sera le moule de Dieu."



vendredi 1 mai 2015

Bénir Dieu quoi qu'il arrive.


Ceux qui bénissent Dieu dans leurs épreuves sont bénis par Dieu au travers de leurs épreuves.
Charles Dickens

jeudi 30 avril 2015

Le secret de la paix du chrétien

Un auteur chrétien a dit : "Le secret de la paix au-dedans et de la puissance au dehors c'est de ne s'occuper partout et toujours que de ce qui est bien. Le Seigneur est proche (Philippiens 4 : 5)."

mercredi 29 avril 2015

L'aspiration du ciel

Nous aspirons tous au ciel, là où est Dieu ; mais il est en notre pouvoir d’être heureux avec Lui maintenant même. Être heureux avec Lui signifie aimer comme Il aime, aider comme Il aide, donner comme Il donne, servir comme Il sert, sauver comme Il sauve, être avec Lui 24 heures par jour, Le reconnaître sous Ses déguisements étonnants. 
Mère Térésa (1910-1997)

mardi 28 avril 2015

La réponse à l'énigme humaine


" La plus grande énigme de l'homme, c'est lui-même, le mot de cette énigme ne s'en trouve qu'en Jésus-Christ." Charles Secrétan

lundi 27 avril 2015

Une résurrection importante


Ce n'est qu'aux cinquième et sixième siècles qu'est apparu le premier crucifix et, pendant très longtemps, la figure du Christ qui y figurait n'était pas le Christ crucifié mais le Christ ressuscité d'entre les morts. 
P. J. SMITH, CITÉ DANS THE JESUS BOOK, 1978 

The story of Christ crucified was kept alive by word of mouth in the early Christian churches and homes.It was not until the fifth and sixth centuries that the first crucifix appeared, and then, for a very long time, the figure of Christ on it was not Christ crucified but Christ risen from the dead. 
P. J. SMITH, QUOTED IN THE JESUS BOOK, 1978 

dimanche 26 avril 2015

Intégrité intégrale


Christ a été la plus grande Victime d'un côté de la croix mais le plus grand Vainqueur d'un autre côté.
Rees Howells 

Christ was the greatest Victim on one side of the cross but the greatest Victor on the other. 
Rees Howells

samedi 25 avril 2015

La nécessité de la prière



" Le lieu de la vraie prière est la chambre des trésors chrétiens. Il est ici au milieu des trésors de grâce que Dieu lui a donné et c'est là que Dieu l'enrichit de plus en plus; mais dans la place secrète du très haut où il demeure, il est riche en amour, joie, paix et de tous les fruits de l'Esprit."
Clarence Dixon

" The place of real prayer is the Christian's treasure chamber. He is there in the midst of the treasures of grace which God has given him, and it is there that God enriches him more and more; but in the secret place of the Most High where he dwells, he is rich in love, joy, peace, and all the fruits of the Spirit."
Clarence Dixon 

vendredi 24 avril 2015

Un objectif à atteindre avec l'aide de Dieu

"Vaincre Satan, résister à ses tentations, manifester la vigueur de la vie chrétienne. Il nous faut pour cela être occupés du Seigneur."
Auteur anonyme

jeudi 23 avril 2015

"Ni jugement dernier, ni enfer" : Robert Ingersoll

Un des agnostiques les plus célèbres de l'histoire américaine fut Robert Green Ingersoll (1833-1899). Il donnait des conférences retentissantes dans toutes les Etats-Unis, mettant en doute la Bible et l'existence de Dieu. Un soir, alors qu'il parlait dans une petite ville de l'Etat de New York, il proclama avec éloquence qu'il ne croyait pas au jugement à venir ni à l'enfer.
Quand il eut terminé, un vieil ivrogne se leva à l'arrière de la salle et lui dit d'une voix pâteuse : " J'espère que tu as raison, mon vieux Bob, je comptes bien que tu aies raison."

Pour certaines personnes, le fait que Dieu soit un Dieu d'amour impliquerait l'absence de jugement et de punition pour le péché, pour tous les actes que nous avons commis au cours de notre vie.

Dieu est certes un Dieu d'amour mais il est aussi un Dieu de miséricorde, de pardon, de grâce sans oublier un Dieu de justice qui jugera lors du retour de Jésus chaque homme et chaque femme sur sa vie terrestre.
(Auteur anonyme)

mercredi 22 avril 2015

Alexandre Soljenitsyne parle de notre monde


Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne, (1918-2008) fut un romancier et dissident russe, auteur de L’Archipel du Goulag.
Prix Nobel de littérature, Alexandre Soljenitsyne, en 1985 déjà, a écrit :
« Les théories sociales qui avaient tant promis, ont fait la preuve de leur faillite et ne nous ont amenés qu’à une impasse. Toutes les tentatives pour sortir le monde actuel de son triste état seront vaines, à moins que, pris de repentir, nous ne rectifions l’orientation de notre conscience pour la tourner à nouveau, vers le Créateur de toutes choses. »
Citation tiré de "Sélection du Reader’s Digest"
Que pensez-vous de ce texte ?

mardi 21 avril 2015

AVEZ-VOUS LEVÉ L'ANCRE?


Figurez-vous la situation désespérée de deux matelots ivres qui voulaient traverser un bras de mer en Ecosse. C'était par une nuit sombre. Le détroit n'était pas large, et en temps ordinaire vingt minutes suffisaient pour le traverser. Au moment dont je parle, les deux matelots étaient fort pressés de rentrer chez eux.

Arrivés au bord de l'eau, ils montèrent dans leur embarcation et se mirent à ramer de toutes leurs forces, espérant atteindre l'autre rive plus vite que d'habitude. Cependant, malgré tous leurs efforts, jamais ce trajet ne leur avait paru si long.

En vain ra­maient-ils à coups redoublés, le bateau restait tou­jours en pleine eau et l'on ne sentait jamais le léger choc de la proue lorsqu'elle touche la plage. Il n'y avait pas de courant dans le petit détroit; mais nos deux matelots, toujours sous l'effet de la boisson, s'imaginaient que la marée leur était contraire.

Ils redoublèrent donc d'énergie, ils rassemblèrent toute leur vigueur pour faire de nouveau force de rames ; néanmoins ils n'attei­gnaient pas le bord. Ils étaient hors d'eux. Cer­tes, se disaient-ils, le bateau est ensorcelé, ou bien nous le sommes nous-mêmes!

— Les heures s'écoulaient, l'aube du jour commençait déjà à luire sur l'horizon, enfin la lumière croissante de l'aurore vint révéler à nos matelots, maintenant désenivrés, la cause de leur malheur. —

Hé ! ca­marade, s'écria l'un d'eux, en regardant vers l'a­vant du bateau, nous n'avons pas levé l'ancre!

C'était en effet vrai; maintenant ils savaient pourquoi toutes leurs peines avaient été inutiles.

La sottise des deux matelots vous fait rire; il y a de quoi, mais combien d'âmes sont dans le même cas ! Maint pauvre pécheur s'est efforcé de croire (quelque étrange que cela puisse paraître), mais tous ses efforts ont été vains : la paix du cœur est aussi éloignée que jamais. Tous les moyens de grâce n'ont apporté aucun secours; la prière n'a amené aucune réponse de joie. L'âme malheureuse, poussée au désespoir, jette la faute sur le diable, sur une chance fatale, sur n'im­porte quoi ; et quant à la véritable cause de son état, elle n'y songe pas, cela ne lui vient pas même à l'esprit.
Le cœur se cramponne à des espérances fondées sur une propre justice qu'on ne veut pas lâcher ; — il nourrit secrètement les choses qui le retien­nent sous la puissance de la mort ; — il ne veut pas se laisser aller avec une confiance enfantine dans les bras de Jésus.
Et vous, cher lecteur, où en êtes-vous? Avez-vous levé l'ancre? Avez-vous fait l'abandon de vous-même? Si non, tous vos efforts sont vains, vos prières inutiles. Levez donc votre ancre ; dé­tachez-vous de toute fausse confiance en tout ce qui vous a retenu jusqu'ici ; jetez-vous, tel que vous êtes, sans rames ni gouvernail, dans les bras de Jésus; et là vous éprouverez pour vous-même la réalité de cette parole : « Je ne mettrai point dehors celui qui vient à moi. » (Jean 6,37)
Et si quelqu'un n'accomplit pas d'œuvres mais place sa confiance en Dieu qui déclare justes les pécheurs, Dieu le déclare juste en portant sa foi à son crédit. (Romains 4, 5).
F. L.
Source : Le salut de Dieu, bulletin chrétien, 1873

lundi 20 avril 2015

Parler de nos projets à Dieu

La volonté de Dieu compliquera votre vie. Mais elle l’enrichira aussi. (auteur inconnu)

dimanche 19 avril 2015

C.S. Lewis parle du pardon

L'écrivain anglais C. S. Lewis a fait cette remarque sur le pardon :
"Tout le monde dit que le pardon est une belle chose jusqu'au jour où ils ont à pardonner !"

Every one says forgiveness is a lovely idea, until they have something to forgive. C.S. Lewis

samedi 18 avril 2015

Dieu contrôle-t-il tout ?


Nous n'avons pas toujours besoin de savoir où nous allons aussi longtemps que nous savons qui nous suivons. Dieu contrôle tout. Même quand nous arrivons dans des lieux étranges ou des circonstances inhabituelles, le Père n'est pas pris par surprise.
Mike Clay

We don't always need to know where we are going as long as we know whom we are following. God is in control. Even when we wind up in strange places or unusual circumstances, the Father is not caught by surprise.
Mike Clay

vendredi 17 avril 2015

Un chimiste parle de Dieu


Justus von LIEBIG (auteur de la chimie appliquée) a dit : « Celui qui s’efforce de lire les pensées de Dieu dans le livre de la nature peut seul connaître sa grandeur et sa sagesse infinies ».

jeudi 16 avril 2015

John Mason devant la mort


 
Sur son lit de mort, l’homme d’état anglais, John Mason disait : "Qu’ai-je appris pendant ma vie ? Que la foi chrétienne est le plus grand des bonheurs. Si je devais recommencer mon existence, j’échangerais la cour royale contre la solitude. A toutes les heures que j’ai passées dans le luxe des palais, je préfère une heure de communion intime avec mon Dieu. Je sens maintenant que tout m’abandonne, il ne me reste que mon Sauveur et ma foi". 

 

mercredi 15 avril 2015

Etre une lumière dans ce monde

Si notre lampe donne toute sa lumière c'est toujours autant de ténèbres en moins dans ce monde, quelque petit que soit le coin qu'elle éclaire.  
Miss Wetherell

mardi 14 avril 2015

La bonté est-elle suffisante ?



Le message du christianisme n'est pas une exhortation : efforce-toi d'être bon. Un bon conseil mais il n'y a aucun Evangile qui sauve dans ce sens là.
Halford E. Luccock

The Christian message is not an exhortation - try hard to be good. Good advice, but there is no saving gospel in that.
Halford E. Luccock

lundi 13 avril 2015

Je veux être sauvé !

Dans une ville du nord de l'Allemagne vivait, dans les années 1860, un jeune homme élevé dans la religion catholique romaine. Il ne croyait cependant ni en cette religion, ni en aucune au­tre, vivant dans l'incrédulité la plus complète, éloigné de toute pensée de Dieu, et surpassant en dépravation les plus endurcis d'entre ses compa­gnons de vice. Et pourtant (oh! que merveil­leuses sont les voies de Dieu !), comme David transperça Goliath avec la propre épée du géant, ainsi Dieu se servit de l'excès même de la per­versité de ce jeune homme pour transpercer son âme d'une terreur soudaine. Repris dans sa con­science , se voyant tout à coup dans son vrai jour, une angoisse poignante s'empara de lui. Il eut horreur de lui-même et se dit : « II n'y a pas au monde de pécheur plus coupable que moi ! S'il est vrai que les méchants iront en enfer, et que le ciel n'est réservé qu'aux bons, mon sort n'est pas douteux; l'enfer m'attend, car si jamais homme a mérité la perdition éternelle, c'est bien moi.»
Dès lors plus de repos; cette pensée terrible le poursuit et le torture nuit et jour. Comment s'en distraire ? En se replongeant plus profondé­ment dans sa vie de péché. Mais le vice a perdu tout attrait. Oh ! si seulement il pouvait espérer qu'il y eût possibilité de salut.
Il se rappelle alors ce qu'on lui a raconté au sujet de pénitences, de prières, de couvents où, dit-on, des moines trouvent moyen d'expier leurs péchés par des œuvres méritoires et des mortifi­cations excessives.
Cette pensée lui rend quelque courage ; il sent que nul labeur, nulle macéra­tion ne lui coûteront, s'il peut obtenir par là au moins une vague espérance de pardon, et il se décide à se faire moine. Mais il demande, avant tout, où se trouve le couvent dont la règle est la plus sévère et les pénitences les plus dures; ce couvent se trouvât-il à l'extrémité de la terre, il ira et y passera le reste de sa vie dans la péni­tence et la prière. Il apprend enfin que l'objet de ses recherches est un monastère de la Trappe, à environ quinze cents milles de sa demeure. Trop pauvre pour subvenir aux dépenses que nécessite ce voyage, il se résout à le faire à pied et à men­dier sa subsistance en chemin. Cela déjà lui semble être un commencement de pénitence et un pas de gagné sur le chemin du ciel.
Le voyage fut long et pénible, sous un soleil brûlant, à tra­vers des pays inconnus. Exténué, il parvient enfin en vue de l'antique monastère où il espère trouver le repos de son âme. Quant à son corps, il ne s'en embarrasse guère. Le voilà pourtant arrivé; il sonne; la porte lui est ouverte par un vieux moine, si faible et si infirme qu'il semble hors d'état de marcher.
— Que désirez-vous? demande le vieillard.
— Être sauvé, répond le voyageur. La crainte de l'enfer m'a poussé jusqu'ici pour y chercher le salut de mon âme.
Le vieux moine l'invite à entrer, et, le con­duisant dans sa cellule :
— Maintenant, dit-il, expliquez-moi vos pa­roles ?
— Eh bien! voici ce qui m'amène :Vous voyez devant vous un pécheur perdu. Ma vie a été si indigne que je n'oserais vous la raconter. Il me paraît impossible qu'un misérable tel que moi puisse jamais être pardonné; et néanmoins me voici prêt à tout endurer et à tout tenter pour obtenir mon pardon. Si donc vous voulez me rece­voir dans votre ordre, je me soumettrai, sans me plaindre, à toute pénitence que vous m'infligerez. Ne m'épargnez aucune souffrance ; dites-moi seu­lement ce que je dois faire pour être sauvé, et,quoi que ce puisse être, je le ferai.
Le vieux moine répondit :
— Vous dites que vous êtes prêt à faire tout ce que je tous dirai. Eh bien! retournez tout droit chez vous, car tout ce dont vous me parlez a été expié avant que vous vinssiez, et il ne vous reste plus rien à faire. Un autre a déjà souffert à votre place. Tout est accompli. 
- Tout est accompli, dites-vous?
- Oui, tout. Ne savez-vous pas dans quel but le Sauveur est venu dans ce monde ? Il est venu pour endurer à notre place le châtiment que nos péchés nous ont attiré. Après être mort pour nos offenses, il est ressuscité pour notre justifica­tion, ayant achevé l'œuvre que le Père lui avait donnée à faire. Il ne pouvait pas se reposer avant de l'avoir achevée. Elle est accomplie ; et main­tenant il est retourné auprès de son Père; il s'est assis à sa droite, et il nous prépare des places, afin que là où il est, nous y soyons aussi; et nous jouirons éternellement de sa gloire. Il ne vous reste donc rien à faire que de louer et remer­cier sans cesse notre Sauveur, et de vous réjouir dans la pensée que vous le rejoindrez et serez fait participant de sa gloire comme vous êtes actuellement l'objet de sa grâce. Et maintenant allez, retournez chez vous, débarrassé de toute crainte, et souvenez-vous que Christ a dit : « C'est accompli !»
Le voyageur reprit son bâton et rebroussa che­min tout joyeux, le cœur débordant de reconnaissance.
 
Et toi, lecteur, que vas-tu faire? Avez-vous accepté comme lui la quittance de votre dette, écrite avec le sang de Christ, ou bien vous efforcerez-vous encore de la payer avec de fausses pièces que Dieu ne saurait accepter? Si vous vou­lez être sauvé, croyez seulement. Celui qui croit a la vie éternelle, et il est passé de la mort à la vie. Ce n'est point une espérance, c'est une cer­titude pour l'âme qui croit.
« Vous êtes sauvés par la grâce, par la foi, et cela ne vient pas de vous; c'est le don de Dieu, non pas sur le principe des œuvres, afin que per­sonne ne se glorifie. » (Éphésiens 8, 9.)
« Ils lui dirent : Que ferons-nous pour faire les œuvres de Dieu ? » Jésus répondit, et leur dit : « C'est ici l'œuvre de Dieu, que vous croyiez en Celui qu'il a envoyé. » (Jean 6, 28 et 29.)
Source : le salut de Dieu, bulletin chrétien, 1873

dimanche 12 avril 2015

Des sportifs parlent de Jésus (4)


Kevin JOHNSON
 Joueur professionnel de Basket NBA, Star de l'équipe UCLA, All Star NBA.
"Si Christ est ma priorité et si je le suis fidèlement avec l'aide de la bible, si je fais ce qu'il dit et le cherche lui d'abord de tout mon cœur, tout prendra sa juste place"

Mary-Jo FERNANDEZ
Joueuse professionnelle de tennis, finaliste de l'Open d'Australie en 1990 et 1992, deux médailles d'or aux JO de Barcelone 92 et Atlanta 96.
"Maintenant, quoique je fasse, je vise à mettre Jésus au centre de ma vie, tout le temps."

samedi 11 avril 2015

Qu'est-ce que la conscience ?


Un président des Etats-Unis, Thomas Jefferson, a écrit au 18éme Siècle :
"Le sens moral, ou conscience, fait partie de l'être humain comme ses jambes ou ses bras. Tous les hommes en sont dotés, et ce sens est plus ou moins fort pour ses autres organes."

vendredi 10 avril 2015

Écrit sur le mur de la cellule

Tout ce qui a été écrit auparavant l'a été... afin que... par la consolation des Écritures, nous ayons espérance. Romains 15. 4 La parole est près de toi, dans ta bouche et dans ton cœur. Romains 10. 8 J'ai caché ta parole dans mon cœur. Psaume 119. 11
Écrit sur le mur de la cellule
Pendant la deuxième guerre mondiale, en avril 1943, Donald Caskie (1902-1983), jeune pasteur écossais vivant en France, est jeté en prison pour avoir aidé des prisonniers de guerre alliés à fuir la France.
“C'était, dira-t-il dans un livre, une expérience frustrante, affreusement humiliante, qui pouvait aisément conduire un homme au désespoir. Mais ma connaissance de la Bible m'a sauvé.” Un jour, sa Bible lui est enlevée.
“Mais ce livre, je l'avais dans ma tête et dans mon cœur, et il a soutenu ma foi et mon équilibre mental.”
Transféré dans une autre prison, il découvre, gravés sur les murs de sa nouvelle cellule, les noms de nombreux prisonniers.
Mais lui, il allait graver des paroles de la Bible : “Ainsi dit l'Éternel... Ne crains point car je t'ai racheté, je t'ai appelé par ton nom, tu es à moi. Quand tu passeras par les eaux, je serai avec toi, et par les rivières, elles ne te submergeront pas. Quand tu marcheras dans le feu, tu ne seras pas brûlé” (Ésaïe 43. 1, 2). Caskie pria que le Saint Esprit utilise ces mots pour un détenu qui aurait besoin de la paix de Dieu.
Plus tard, dans une autre prison, quelqu'un lui raconte son histoire, le désespoir qu'il a connu : “J'étais sur le point d'en finir avec la vie pour échapper à la torture quand je vis des paroles sur le mur qui m'arrêtèrent net, des paroles de réconfort et de force. Je ne les oublierai jamais”. Et il se mit à réciter le texte d'Ésaïe que Caskie avait gravé. La Parole de Dieu avait, une nouvelle fois, montré sa force, et la prière de Donald Caskie avait été exaucée.
Auteur inconnu