Cette histoire vraie s’est déroulée au 20eme Siècle à Londres. Un chrétien de cette ville allait visiter les quartiers pauvres de Londres pour porter secours à quelques familles dans le besoin. Il le faisait régulièrement.
Un jour de marché dans un quartier pauvre, un matin, il remarque un marchand de harengs frais qui n’arrête pas de proclamer « Harengs frais. Prix imbattable » mais sans voir personne venir lui en acheter.
Ce marchand dit alors au chrétien : « C’est étonnant. Vous savez, avoir une si belle marchandise et pas un acheteur ! Voila une heure que je ne vends rien dans ce quartier ! ».
Le chrétien lui répondit : « Les gens d’ici ne peuvent pas acheter vos harengs, ils sont encore trop chers pour eux, même au prix où vous les proposez ».
Le marchand répondit : « Alors monsieur, si c’est comme çà, je vais remporter ma marchandise. Mais quel ennui ! ».
Ce chrétien lui tendit alors un billet de 2 livres sterling et lui déclara : « Ecoutez, je vous achète tous vos poissons ».
Le marchand lui demanda à quelle adresse il devait les livrer.
La réponse du chrétien le dérouta. « Allez sur cette petite place prés d’ici et criez de toutes vos forces Harengs gratis ! Qui veut des harengs pour rien ? Et donnez-en trois à toutes les personnes qui viendront en demander. »
Le vendeur vérifia que le billet n’était pas un faux. Le billet était authentique.
Le chrétien lui demanda : « Ca marche ? Les harengs m’appartiennent et j’en fais ce que j’en veux. Mais si vous ne désirez pas faire ce que je vous demande, reprenez-les et rendez-moi mon argent ».
Le marchand dit : « Bien Monsieur, on fera comme vous voudrez ».
Le marchand fit ce que le chrétien lui avait demandé. Une première personne, une vieille dame, passa en refusant l’offre du marchand. Le marchand insista mais la dame ne changea pas d’avis. Il pensa alors « c’est incroyable ! Mais tous ne seront pas comme elle ! ». Il s’approcha d’une enfant en lui disant « Petite, porte-les à ta mère ! prends ces harengs, c’est gratuit » mais elle ne les prit pas.
La matinée se passa et le marchand revient vers midi vers le chrétien pour lui dire : « Ils n’en veulent pas ! Quand vous m’avez payé pour donner mes poissons, j’ai cru que vous étiez un peu fou. Mais je m’aperçois que ces gens le sont encore plus. » Il était découragé.
Le chrétien lui répondit : « Essayez encore ! J’irai avec vous et nous crierons tous les deux ! ».
Ils le firent quelques secondes après. Les personnes que le chrétien avait l’habitude de visiter sortirent en reconnaissant sa voix. Toutes les personnes voulaient du poisson. Très rapidement, il ne resta plus de poissons.
C’est alors que le chrétien donnait les deux derniers poissons que surgit la vielle dame qui avait refusé le poisson au départ.
Elle cria : « Mais pourquoi n’en ai-je pas aussi ? Mes enfants sont affamés comme tous les enfants de ces personnes ! ».
Le marchand répliqua : « Mais monsieur, c’est elle qui les a refusés toute à l’heure ».
Elle répliqua : « Ce n’est pas vrai ! Je ne croyais pas que c’était sérieux ! ».
Le vendeur lui répondit simplement : « Eh bien ! Tant pis pour vous. Il fallait me croire ».
La vielle dame partit sans rien.
Le marchand revient remercier le chrétien et lui dire au revoir.
Certaines personnes sont pires que cette femme. Il faut bien comprendre que la Bible nous dit que toute personne qui fait une chose de mal est condamnée par Dieu (Romains 6,23) mais aussi que « le don gratuit de Dieu, c’est la vie Eternelle en Jésus-Christ et celui qui met sa confiance en Lui est donc sauvée » (Jean 3, 36). Certains refusent ce salut gratuit. Dieu nous laisse libre par rapport à ce choix.
Source : Tournesol
1 commentaire:
Il ne faut pas hésiter à accepter ce que Dieu nous offre de plus précieux : sa Grâce salvatrice pour illuminer de bonheur notre vie présente... et pour rendre possible celle d'après dans le Ciel.
Cela demande juste en contrepartie de croire en l'aide divine qui est réelle et ce le temps que nous nous battons pour exister et être heureux sur terre. Ces expériences de prières exaucées par Dieu j'en ai vécu des tas, j'en ai raconté quelques-unes sur le blog du GBU d'Angers.
L'histoire des harengs gratis dans tous les cas est très édifiante. Amen !
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