Jésus ne perdait
aucune occasion d'approfondir en ses disciples l'empreinte de son âme
dévorée de l'amour de Dieu pour un monde perdu. Ses actes et ses paroles
étaient motivés par cette passion. Sa vie était la révélation en son
temps du plan éternel de salut de Dieu. C'était la grande leçon pour les
disciples, non pas théorique mais pratique.
Ils purent voir cet amour en pratique de bien des manières. Bien que ces démonstrations fussent parfois difficilement acceptées, par exemple lors du lavement des pieds (Jean.13:1-20), ils ne pouvaient ignorer ce qu'elles signifiaient. Ils voyaient leur Maître se refuser les agréments et les plaisirs de la vie pour devenir un serviteur parmi eux. Ils voyaient comment les choses qu'ils aimaient : satisfactions physiques, faveur populaire, prestige, étaient refusées par le Seigneur, alors que celles qu'ils cherchaient à fuir : pauvreté, humiliation, tristesse, même la mort, étaient volontairement acceptées pour eux. Tandis qu'ils L'observaient s'occupant des malades, consolant les affligés, prêchant l'évangile aux pauvres, il était clair pour eux qu'aucun service n'était trop petit ni aucun sacrifice trop grand pour le Maître lorsqu'Il l'accomplissait pour la gloire de Dieu.
Robert Coleman "Évangéliser selon le Maître" P.46-47
Ils purent voir cet amour en pratique de bien des manières. Bien que ces démonstrations fussent parfois difficilement acceptées, par exemple lors du lavement des pieds (Jean.13:1-20), ils ne pouvaient ignorer ce qu'elles signifiaient. Ils voyaient leur Maître se refuser les agréments et les plaisirs de la vie pour devenir un serviteur parmi eux. Ils voyaient comment les choses qu'ils aimaient : satisfactions physiques, faveur populaire, prestige, étaient refusées par le Seigneur, alors que celles qu'ils cherchaient à fuir : pauvreté, humiliation, tristesse, même la mort, étaient volontairement acceptées pour eux. Tandis qu'ils L'observaient s'occupant des malades, consolant les affligés, prêchant l'évangile aux pauvres, il était clair pour eux qu'aucun service n'était trop petit ni aucun sacrifice trop grand pour le Maître lorsqu'Il l'accomplissait pour la gloire de Dieu.
Robert Coleman "Évangéliser selon le Maître" P.46-47
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire