
Tu te poses des questions sur Dieu ? Tu as entendu parler de Jésus ? Quant à la Bible, tu sais que c'est un livre chrétien. Tu veux en découvrir sur ces trois sujets et bien d'autres encore. Ce blog te propose de réfléchir sur ces sujets et plein d'autres encore. Fais-toi ta propre opinion sur les textes de ce blog. Et surtout n'hésite pas à laisser un commentaire pour les articles. Ton avis compte. Ce blog est géré par le Groupe Biblique Universitaire d'Angers.
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samedi 22 août 2009
La Bible selon Jean Calvin

vendredi 21 août 2009
La fidélité de Dieu par Francis Bailet (partie 2)
DIEU EST FIDELE A SES DESSEINS, A SON PLAN
Les desseins de l’Eternel subsistent à toujours, et les projets de son cœur de génération en génération (Ps 33. 11). C’est moi le Seigneur. Je suis au départ, et je serai là encore pour les derniers événements (Es 41.4 ; version P.C.).
Son plan est un plan d’amour ! // s’accomplit conformément à ce qui a été fixé de toute éternité et qui s’est réalisé dans le Christ Jésus notre Seigneur (Ephésiens 3.11). Nous le découvrons au travers de ses promesses. La promesse à Eve : la postérité de la femme écrasera la tête du serpent. La promesse à Abraham : promesse de bénédiction pour tous les peuples. Dieu intervint par un serment pour montrer le caractère irrévocable de sa décision (Hébreux 6.17).
La Loi, survenue quatre cent trente ans plus tard n’a pas annulé la promesse faite à Abraham pour sa descendance et pour toutes les nations (lire Galates 3.15-29). Jésus-Christ est la confirmation de toutes les promesses faites à nos pères (Romains 15.8). C’est pour cela que nous sommes appelés les fils de la promesse (Galates 4.28). En Christ est le OUI à toutes les promesses de Dieu (2 Corinthiens 1.20).
jeudi 20 août 2009
Blaise Pascal parle de la foi
mercredi 19 août 2009
mardi 18 août 2009
"Je suis vivant"

James Kennedy, Pourquoi je crois,
Éditions vida, page 123.
lundi 17 août 2009
Trés simple et trés vrai
dimanche 16 août 2009
Réagissez comme Jésus

samedi 15 août 2009
Dieu ne se prouve pas, il se rencontre (partie 2)
Comment rencontrer Dieu ? Je crois en Dieu, mais je ne l’ai pas rencontré de la façon dont les autres disent l’avoir rencontré. Mais comment rencontrer personnellement Dieu. Voici le problème qui se pose à chacun de nous : «Est-ce qu’au-delà des apparences que l'univers nous livre, au-delà de l'apparence que je suis moi, au-delà de tout ce visible, quelle est la texture de l'invisible que je ne pourrais pas pénétrer par mes sens et à la limite, si cet invisible est vivant comment s'exprime t-il, comment vient-il à moi? Lorsque cette rencontre s'effectue alors à ce moment, je suis en mesure de répondre à cette question. Il y a une intelligence dans le sens où il y a un esprit créateur qui a emmené cet univers en existence et qui ne s'est pas détaché, il est présent partout. Non pas au niveau de ce que je peux trouver au fond de mon éprouvette ou au bout de mon microscope. Mais c’est une intelligence qui se révèle à l'homme, il faut qu'elle épouse la condition humaine, non pas au niveau du microscope ou de ces grains de matière mais il faut que cette révélation touche la nature humaine dans son entier, lui montre sa réalité dans son ensemble, lui montre en même temps au niveau du visible ce que peut être cet invisible dans notre vie de tous les jours et cela a été, est et sera toujours à travers Jésus Christ de l'amour de dieu. Ainsi, je vous expose l’unique chemin qui nous mènera à la rencontre de Dieu. Il nous faut un juste équilibre entre la science et la foi Pour rencontrer Dieu, il nous faut avoir la foi, c’est à dire posséder cette croyance inébranlable que Dieu existe et qu’il nous aime. Nous développerons dans une seconde partie cette notion de foi. Mais pour arriver à cette foi, il nous faut d’abord réaliser que cette capacité que l'homme a de se connaître et de connaître le monde qu'il y a autour de lui a été pervertie au moment où l'homme a mis la raison comme valeur suprême. De ce fait, il a vidé la science d'une conscience du divin la science ne peut pas emmener l'homme à connaître dieu mais elle peut l’amener à une barrière, à un vide dans lequel l'homme devine que s’il ne va pas plus loin toute son aventure est vouée à l'échec et il s'attend à cet être divin qui dépasse son entendement et lorsque l'on rentre dans cette relation avec son créateur, la science acquiert alors une conscience du divin. Science et foi sont deux compartiments distincts dans notre vie sociale et dès que l’on essaie de rapprocher ses boites ensemble, on arrive à un conflit. Ce conflit est créé par l'homme de toute pièce car science et foi sont deux formes complémentaires de connaissance : la science ne me fera connaître que ce qui est apparence (ce que la science touche ce n'est pas la réalité , elle ne touche qu'a une apparence de la réalité. Le fond même de la réalité échappe à l'investigation humaine, il faudra un autre moyen : le canal de la foi pour découvrir la réalité dans son complet. Aussi, d'un coté, ne regarder que les apparences et en déduire une éthique, disons une conduite dans la vie, ne peut amener qu'a une ruine "science sans conscience n'est que ruine de l'âme". Mais d'autre part, ne voir que l'invisible, c’est à dire rentrer dans une relation avec dieu et oublier le reste conduit à un illuminisme à caractère religieux. Dieu nous a créé pour être en équilibre dans ce domaine et réconcilier les deux. Si la réalité ultime se présente par une apparence, il faut que je découvre qu'elle est au fond cette réalité ultime et en même temps qu’ il faut que je sois responsable au niveau de son apparence, il faut que je gère la planète selon la mission que dieu confit à l'homme lorsqu'il apparaît sur terre. Voilà, comment je réconcilie la science et la foi. A partir du moment où je m'isole dans un aspect plutôt qu'un autre et que je néglige l'autre, et bien il se produit une situation de conflit. Je finis par me divorcer complètement de l'autre aspect et tout ce qui me vient de cet aspect, je le considère alors comme ennemi et c’est ainsi que le conflit naît. D'un côté, nous avons le scientifique qui ne croit qu'en la raison, qu'à ce qui se démontre et de ce fait ne peut pas accepter que l'on vienne lui parler de foi. A ce moment, il crée le conflit et inversement ; celui qui vit dans le domaine de la foi et qui se dit : « et bien finalement, la science puisqu'elle n'arrive pas à se réconcilier avec moi et bien c’est l'ennemi. ». Cela va finir par rendre l'homme extrêmement orgueilleux et cet homme là aussi crée un conflit parce qu'il refuse ce don que dieu donne à l'homme d'étudier l'univers. Ainsi, avant de pouvoir rencontrer Dieu, il nous faudra établir ce juste équilibre entre science et foi.
vendredi 14 août 2009
Extrait d'un texte du XVIe siècle sur Jean 6,35
Jean 6:35 Jésus leur dit : Moi, je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif.
jeudi 13 août 2009
A chacun sa vérité !
"A chacun sa vérité !" est le credo "post-moderne". Mais est-ce vrai ? Est-il réellement possible de penser ce que l'on veut ? Au risque d'attrister quelques personnes, cet article montre qu'un hippocampe est bien un hippocampe même dans un monde "post-moderne". S'il est une chose qui reste totalement sacrée dans ce 21è siècle, c'est la liberté individuelle. Chacun doit avoir le droit de penser ce qu'il veut, de faire ce qu'il veut. Du moment que ça lui fait du bien il n'y a pas de problème, à condition bien sûr que ça ne nuise pas au bien-être des autres. Mais comme parmi les humains "non-fascisant" il y a tout de même des visions du monde radicalement différentes, on a inventé une expression très post-moderne : "à chacun sa vérité". Cet aphorisme est une sorte de pacte de non-agression entre individus pas d'accord, il permet de ne pas avoir à dire à l'autre qu'il a tort... cependant, malgré ses airs respectables, il n'en demeure pas moins une détestable escroquerie intellectuelle ! Il n'existe pas plusieurs vérités : soit une chose existe, est réelle, soit elle ne l'est pas. Une petite définition très simple de la Vérité : "Si je dis de ce qui est que ça est ou de ce qui n'est pas que ça n'est pas, je dis vrai. Mais si je dis de ce qui est que ça n'est pas ou de ce qui n'est pas que ça est, je ne dis pas vrai." Donc, au delà de tout problème de perception, quand deux personnes ne sont pas d'accord au sujet d'un fait, d'un problème il n'y a pas 36 solutions : soit une des deux a raison et l'autre tort, soit les 2 ont torts ! Mais en aucun cas les deux ne peuvent avoir "leur vérité" alors que leurs avis sont antagonistes. Si je considère que ma table basse est en fait un four à micro-onde ou que mon voisin est en fait la panthère rose, je ne pense pas qu'on me dira "tu as ta vérité et je la respecte" ; on me présentera plutôt un psychiatre qui arrivera peut-être à me sortir de mon délire ! Il existe une vérité objective. Même si pour certains sujets nous la cherchons à tâtons, même si des questions culturelles ou historiques viennent brouiller les cartes, cette "vérité conforme à la réalité" ne peut pas être évitée sous prétexte de respect ou de tolérance. Il est complètement possible d'être tolérant tout en pensant qu'on a raison et que l'autre a tort. Il est totalement envisageable de respecter l'autre même quand on est horripilé par ses convictions. La tolérance, ce n'est pas l'indifférence ou le consensus mou. La tolérance, c'est le vrai dialogue au cours duquel on appelle un chat "un chat". Parce qu'à force de ne pas appeler un chat "un chat" on finit par croire que c'est un chien ! Et là ce n'est pas de la tolérance, c'est du n'importe quoi. Recherchez LA Vérité, ne vous défilez pas, gardez vos yeux ouverts : ça pourrait bien vous sauver la vie. C'est un certain Jésus qui l'a dit ...
mercredi 12 août 2009
Obéissance et foi
mardi 11 août 2009
La vie chrétienne, c'est quoi ?
lundi 10 août 2009
dimanche 9 août 2009
Repli salutaire
samedi 8 août 2009
"La vie a-t-elle un sens ?" par Jonathan Chaintrier (partie 3)
vendredi 7 août 2009
Le Christianisme, c’est bien, mais ... (partie 3)
II. Ce dont les gens bien ont besoin, c’est un sauveur. C’est ce que Jésus va montrer à cet homme. Jésus avait à sa disposition plusieurs façons de montrer à cet homme qu’il n’était pas aussi parfait qu’il ne le prétendait. Il aurait pu expliquer à cet homme que ce n’était pas vrai, qu’il n’avait pas respecté tous ces commandements dès sa jeunesse. Puisque Jésus savait tout, il aurait pu lui dire les différents moments où il n’avait pas honoré son père et sa mère. Ou alors, Jésus aurait pu mieux expliquer que dans ces commandements, Dieu n’exigeait pas seulement de nous qu’on s’y conforme de façon externe, mais aussi de manière intérieure.
jeudi 6 août 2009
Notre monde actuel vu par Martin Luther King

mercredi 5 août 2009
Comment prier ?
mardi 4 août 2009
L'expérience de la "Tour" par Martin Luther

J'avais été saisi par un désir, certes étonnant, de connaître Paul dans l'épître aux Romains, mais ce qui avait jusque là constitué un obstacle n'était pas un sang différent dans les entrailles, mais un seul mot, qui se trouve au chapitre I : "La justice de Dieu est révélée en lui l'Évangile". Je haïssais, en effet, ce terme "justice de Dieu", que j'avais appris, selon l'usage et la coutume de tous les docteurs, à comprendre philosophiquement comme la justice formelle et active, par laquelle Dieu est juste et punit les pécheurs et les injustes.
lundi 3 août 2009
100 % Dieu, 100% homme
Nous ne pouvons connaître Dieu, à moins qu'il se révèle à nous. Quoique nous fassions, nous aboutissons dans l'obscurité. cherchant un Dieu que nous savons être là, mais que nous ne pouvons trouver. Mais Dieu ne nous a pas laissés dans l'obscurité pour toujours. Il s'est révélé lui-même de quatre façons principales suivantes:
Dans la Création - tout le monde le voit.Dans la conscience humaine - tout le monde en a une.
Dans sa parole écrite, la Bible - ce n'est pas connu de tout le monde
En son Fils, Jésus-Christ - ce n'est pas compris de tout le monde.
dimanche 2 août 2009
Jésus a-t-il vraiment existé ? (partie 5)
Pline le Jeune, en qualité de gouverneur de la Bithynie, légat de l'empereur Trajan de Rome, demanda à l'empereur quelle était la meilleure façon de procéder avec les chrétiens. Cet échange de correspondance ayant eu lieu au plus tard quarante ans après la mort de l'apôtre Paul, sa lettre constitue donc un document classique obligeant tous ceux qui ne croient pas au récit biblique de la vie de Jésus-Christ à admettre que celui-ci a réellement vécu, que ce fut un grand maître, qu'il fit des disciples dévoués, dont la vie devait être si différente de celle des païens qu'elle attirerait l'attention des empereurs romains eux-mêmes.
samedi 1 août 2009
vendredi 31 juillet 2009
Pas Lui, Seigneur
La foi de Corrie en Christ était restée forte, même au moment de dégradation lorsque elle et les autres femmes étaient présentées toutes nues devant , des hommes cruels, gardes de prison.
La guerre est maintenant terminée et Corrie s’était consacrée pour parler de l’amour de Christ et son pardon dans les églises.
Un jour, en 1947, au cours d’un service à l’église de Munich, Corrie était stupéfait de voir l’homme du SS qui était son ancien garde de prison lorsque elle et les autres femmes étaient ligotées sous la pluie comme un bétail.
“Il m’aborda…» Que je suis reconnaissant à votre message de penser que… tel que tu l’as dis il a lavé tous mes péchés !
Sa main s’était étendue pour serrer la mienne. Et moi qui avait souvent prêché … la nécessité de pardonner, retins ma main à côté. Aussi comme la nerveuse pensée vindicative bouillonnait en moi, je revis leurs péchés.
Jésus Christ est mort pour cet homme, vais-je demander plus que cela ? «Seigneur Jésus» ai-je prié, pardonne- moi et aide moi à lui pardonner.
J’essayais de sourire, je m’efforçais à avancer ma main. Je ne le pus. Je ne sentais rien pas même la moindre chaleur d’amour. Alors j’expirai une prière silencieuse : «Jésus je ne peux pas pardonner cet homme ; donne-moi ta force de pardon»
Comme je prenais sa main, une chose étrange se passa. De mon épaule tout au long de mon bras jusque dans ma main, un courant semble passé de moi en lui, pendant que dans mon cœur s’explose un amour à cet étranger qui m’avait pratiquement traumatisé»
Et ainsi je découvris que ce n’est pas sur notre pardon non plus sur notre bonté que s’accroche la délivrance du monde mais au contraire sur les siens.
«Lorsqu’il nous dit d’aimer nos ennemis, il nous donne en même temps avec le commandement, l’amour lui-même”.
(The Hiding Place, Fleming H. Revell Co.)
jeudi 30 juillet 2009
mercredi 29 juillet 2009
Avec nous dans la peine !
mardi 28 juillet 2009
Spectateurs ou acteurs ?
lundi 27 juillet 2009
Une création qui défie toute logique.
Un homme de science demanda un jour à un vieux prédicateur pourquoi la version biblique de la création défiait tout sens de la logique.
Avec un sourire narquois, le vieil homme répondit : “Si Dieu est arrivé de nulle part, c’est qu’il n’existait rien encore d’où Il eût pu venir. Et venant de nulle part, Il s’est tenu debout sur rien du tout,puisque rien n’existait où Il eût pu poser les pieds. Et là,debout sur rien, Il tendit la main et attrapa quelque chose, là où il n’y avait rien à attraper vu que rien n’existait encore. Puis Il accrocha ce quelque chose au néant et lui intima l’ordre de rester en place et personne n’osa contredire Dieu, vu qu’il n’y avait encore personne dans le néant pour le contredire. C’est alors que Dieu sourit et se dit : “C’est très bien ainsi !”
dimanche 26 juillet 2009
Quelques pensées sur l'Evangile (3)
samedi 25 juillet 2009
Dwight L. Moody, prédicateur évangéliste (1837-1899)
1. Introduction
Un jour, plusieurs églises organisent une rencontre pour parler de Dieu avec l’évangéliste D. L. Moody.
Au même moment, un groupe de 5,000 personnes s’était organiser pour venir à la rencontre des églises et contredire le prédicateur.
Moody a prêché un message sur l’importance de construire notre vie sur le rocher de Dieu.
Il a partagé plusieurs expérience de sa vie qui démontrait que Dieu était vivant.
Il a affirmé que Dieu était la fondation la plus fiable.
Plusieurs personnes étaient touchées.
D. L. Moody a confronté ses auditeurs sur leur vie, leur foyer, leur coeur.
C’est alors que M. Moody a demandé à ceux qui voulait entendre parler de Jésus Christ de rester sur place et il a invité les autres à sortir.
Mais personne n’est sorti, tout le monde voulait rester.
Alors M. Moody a commencer à expliquer qu’il fallait croire en J-C pour être sauver.
Après avoir expliqué ce que voulait dire croire, il a invité ses auditeurs l’exprimer à haute voix.
Il a demandé « s’il y a quelqu’un ici qui veut croire, qu’il dise simplement; je veux croire. »
Une cinquantaine d’hommes l’on dit à voix haute.
Mais les cinq mile autres ont resté le cour dur.
Il a encore répété l’invitation; « s’il y a quelqu’un ici qui veut croire, qu’il dise simplement; je veux croire, je le veux. »
Encore les mêmes cinquante homme ont répété: « je veux croire.
C’est alors que quelqu’un de la salle qui était venu pour contredire le prédicateur a dit: « je ne peux pas ».
Tout de suite, M. Moody a dit qu’il avait raison de dire, je ne peux pas.
Ce n’est pas nous qui pouvons le faire mais c’est Dieu qui le fait au travers nous.
Tout ce que nous pouvons faire c’est dire: « Je veux croire » et Dieu s’occupe du reste.
Le monde se divise en deux, entre ceux qui veulent croire et ceux qui ne veulent pas croire.
Il a demandé à la foule: « qui ne veux pas croire? »
Personne n’a répondu à la grande joie de M. Moody.
Il a de nouveau demandé qui voulait croire.
Tout a coup, avec larmes, plus de cinq cent hommes se sont levé et ont dit qu’ils voulaient croire; « je veux, je veux ».
La bataille était gagné, le climat à tout changé.
Dans les huit jours qui ont suivi, plus de 2,000 de ces hommes ont accepté J.C. comme leur sauveur personnel.
Alors que cinq mile hommes voulaient contredire le prédicateur, plus de 2,000 se sont convertie.
vendredi 24 juillet 2009
Le but ultime des bénédictions
Forts de cette connaissance, nous devrions être remplis d’un immense sens d’appartenance et d’humilité. Chaque croyant peut aider les autres à connaître et à comprendre le seul vrai Dieu. Non seulement chacune de ses bénédictions nous profite personnellement, mais elle se veut un outil pour réaliser son plan. Par contre, il arrive que nous ne recevions pas ce que nous souhaitons parce que cela ne contribuerait pas à l’exécution des projets de Dieu. Lorsque nos requêtes s’inscrivent dans le cadre des intentions à long terme du Seigneur, il peut nous utiliser grandement.