
Un des ses proches amis, David Brenner, déclara au journaliste du Time : « Il avait brulé les étapes. Ce fut une véritable explosion. C’est dur d’arpenter les couloirs du métro à 19 ans et de rouler dans sa Rolls le lendemain. »

Le producteur James Komack, aussi très proche de Freddie Prinze, déclara : « Freddie ne voyait rien qui puisse le satisfaire. Il me disait « Il n’y a pas autre choses ? Est-ce tout ? » Et il précisa : « Son découragement profond conscient ou inconscient, venait de cette question qui le hantait : « qu’est-ce que je fais ici ? Où est le bonheur ? ». « Je lui ai souvent dit : « Juste ciel, Freddie, ton bonheur est ici-même ; tu es une vedette. », et il répondait : « mais non, cela ne me donne pas le bonheur. »
Le commentateur de la revue Time concluait : "C’est l’un des cas les plus extraordinaires d’une évasion hors du ghetto, mais l’évasion n’a pas suffi. "
Auteur inconnu