Les hommes ont toujours espéré une vie après la mort. Robert Ingersoll, célèbre agnostique du 19ème siècle, souhaitait que la vie continue au delà de la mort.
Dans son éloge funèbre fait à l’occasion de la mort de son frère Ebon Clarke Ingersoll le 31 Mai 1879 , il dit :
« La vie est un voile étroit entre les sommets froids et nus de deux éternités. Nous nous efforçons de voir au delà des hauteurs. Nous crions, et la seule réponse, c’est l’écho de notre lamentation. Des lèvres sans voix de la mort là ne vient pas un mot; mais la nuit d'espoir de la mort voit une étoile et écouter
l'amour peut entendre le bruissement d'une aile. Celui qui dort ici, alors qu’il mourait, prit l’approche de la mort pour le retour de la santé. Il dit : “Je vais mieux, maintenant.”
Il faut croire que, malgré les doutes et les dogmes, les larmes et les peurs, ces douces paroles peuvent se dire au sujet de tous les morts innombrables. Robert Ingersoll voulait croire au ciel.
Dans son éloge funèbre fait à l’occasion de la mort de son frère Ebon Clarke Ingersoll le 31 Mai 1879 , il dit :
« La vie est un voile étroit entre les sommets froids et nus de deux éternités. Nous nous efforçons de voir au delà des hauteurs. Nous crions, et la seule réponse, c’est l’écho de notre lamentation. Des lèvres sans voix de la mort là ne vient pas un mot; mais la nuit d'espoir de la mort voit une étoile et écouter
l'amour peut entendre le bruissement d'une aile. Celui qui dort ici, alors qu’il mourait, prit l’approche de la mort pour le retour de la santé. Il dit : “Je vais mieux, maintenant.”
Il faut croire que, malgré les doutes et les dogmes, les larmes et les peurs, ces douces paroles peuvent se dire au sujet de tous les morts innombrables. Robert Ingersoll voulait croire au ciel.