Actes 17. 30-31
Depuis notre plus tendre enfance, nous sommes habitués à faire des choix. Choix des études, choix d'un métier, choix d'une résidence, choix d'un conjoint. Il y a aussi les multiples choix de la vie journalière. C'est même le propre de l'homme. «L'homme est une créature capable de choix. C'est cela même qui le distingue des autres créatures et qui le définit» (Anthony Burgess). Alors, on peut s'interroger : la foi est-elle un choix ?
Oui, dans un sens, personne ne peut croire malgré lui ! Jésus ne veut pas, de notre part, une adhésion forcée mais une réponse franche à son appel d'amour. «Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi je vous donnerai du repos», nous dit-il (Matthieu 11. 28).
Si, d'un autre côté, un choix suppose plusieurs options possibles, nous sommes responsables de croire notre Dieu créateur. Il a des droits sur nous, et chacun aura un jour à répondre pour lui-même devant Dieu. Plus précisément, nous aurons à répondre de notre attitude par rapport à Jésus Christ. Dieu le présente aujourd'hui encore comme le Sauveur. «Il n'y a de salut en aucun autre» (Actes 4. 12). Accepter Jésus comme Sauveur est une nécessité car c'est notre avenir éternel qui est en jeu. Pour celui qui se noie, le sauveteur n'est pas une option, mais le seul espoir de salut. Pour connaître un avenir éternel dans la présence du Dieu d'amour, le seul chemin, c'est de croire en Jésus Christ qui est venu dans notre monde pour sauver de la perdition éternelle tous ceux qui se confient en lui.