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samedi 31 juillet 2010

La prière selon Jésus


Charles Stanley, un pasteur actuel, a dit : "Jésus a clairement indiqué que la prière est la partie la plus importante de la relation avec Dieu".

vendredi 30 juillet 2010

La véracité des Evangiles


Le poète californien Archibald
Hamilton Rutledge (1883-1973) a écrit en 1941 : « Pendant plus de 30 ans de ma vie, l’occupation principale de ma vie a été d’étudier et d’essayer d’enseigner la littérature. A quelqu’un d’aussi sérieusement engagé, il vient naturellement une certaine habilité à distinguer le vrai du faux, l’authenticité de l’inventé. Chaque fois que je lis les Evangiles, je suis plus convaincu que les récits concernant Jésus-Christ n’appartiennent pas au domaine de l’imagination, de la tradition ou du folklore. Il y a en eux la réalité ingénue de la vie elle-même. Ils ne peuvent être, comme le dit aussi l’apôtre Pierre, « des fables habilement conçues ». Les incidents sont tels qu’ils n’auraient jamais pu être inventés, et leurs effets sur le monde depuis 2000 ans ont été tels également qu’aucune imagination n’aurait pu les produire. Ces histoires possèdent le brevet de transparente validité qui n’appartient qu’à la vérité. »
« En la divinité du Christ, affirme Rutledge, j’ai une foi implicite, une confiance complète et raisonnée. Jésus est Dieu. »
« Pouvons-nous croire que Dieu nous proposerait une manière de vivre fondée sur une fraude ? Dieu nous offrirait-Il une religion que la raison nous obligerait à refuser. La réponse est évidente et, plus l’intelligence humaine est grande, plus elle est certaine de sa capacité de reconnaitre la vérité.
L’acceptation des grands enseignements du christianisme est facile et naturelle au moment où nous acceptons la divinité du Christ. Qu’un esprit honnête ne puisse pas L’accepter comme Dieu dépasse ma compréhension ».

Source : Archibald Rutledge, extraits du livre Christ is God.

jeudi 29 juillet 2010

Un Dieu bon en tout temps


Corrie Ten Boom (1892-1983), écrivaine et évangéliste chrétienne, nous rappelle que Dieu est bon tout le temps que nous le réalisions ou pas : "Au plus profond de nos cœurs nous croyons en un Dieu bon. Pourtant combien est petite notre compréhension de sa bonté. J'ai souvent entendu des gens dire : "Combien Dieu est bon ! Nous avons prié pour qu'il ne pleuve pas pendant le pique-nique de l'église, et regardez le beau soleil que nous avons !" Oui, Dieu est bon quand il nous donne une belle journée. Mais Dieu était bon aussi quand il a permis que ma sœur Betsie meure de faim sous mes yeux dans un camp de concentration allemand."
______________________
" Les mains de Dieu sont douces, même si ses chemins sont durs. "
Corrie ten Boom

mercredi 28 juillet 2010

La vie de D.L. Moody (1837-1899) (partie 3)


Conclusion

James S. Stewart raconte la vie et l’oeuvre de D.L. Moody à Birmingham, Angleterre. Lorsque Moody prêchait dans une campagne d’évangélisation, un sceptique était présent tous les soirs, pour observer et critiquer les méthodes de l’évangéliste. Plus tard, il est venu vers M. Moody pour lui dire : “J’ai observé cette mission que vous avez conduite, et j’en suis venu à la conclusion qu’elle est vraiment de Dieu, parce que je ne vois aucune relation entre votre personne et les résultats de votre travail. Ainsi, tout cela doit venir de Dieu !” (James S. Stewart, The Wind of the Spirit (Nashville : Abingdon Press, 1975), 23. D.L. Moody était un homme qui demandait à Dieu d’étendre son territoire. Il fit cette déclaration : “Le monde verra bientôt ce qu’un homme totalement vendu à Jésus Christ pourra accomplir. Par la grâce de Dieu je veux être cet homme !” D. L . Moody était un homme infatigable. Il se levait à 4h00 du matin pour rencontrer son Dieu, pour prier et étudier sa Bible. Sa vie a été ainsi jusqu’à la fin. Quand il était mourant d’un cancer, un orchestre de l’école Moody est venu lui chanter “Plus près de toi, mon Dieu”. Il s’est redressé : “Chantez-moi plutôt un gospel bien entraînant !” Il a fait venir son frère Luke : “Nous avons mené beaucoup de batailles ensemble ; dans cinq minutes je serai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de sa justice”. Le 16 novembre 1899, la foule était de 15,000 personnes, il a prêché son dernier sermon. Des centaines de personnes se sont converties. Le 22 décembre 1899 fut le jour le plus court de l’année. À six heure du matin, il s’endormit d’un sommeil léger. Puis ses proches l’entendirent s’écrier d’une voix très forte : " Si c’est cela la mort, il n’y a pas de vallée. C’est glorieux. J’ai passé le seuil et j’ai vu les enfants! (Deux de ses petits-enfants étaient décédés). Je vois la terre qui s'éloigne et le ciel qui s'ouvre sur le jour de mon couronnement! Dieu m’ appelle!"

mardi 27 juillet 2010

Aimer Dieu et aimer son prochain




“ Ces deux commandements sont les plus grands parce que toute l’Écriture s’appuie sur eux, c’est à dire que rien dans l’Écriture ne peut être cohérent ni même correctement obéi si ces deux commandements ne sont pas observés. Toute la révélation biblique demande une religion de cœur marquée par une allégeance totale envers Dieu, l’aimant lui et son prochain. Sans ces deux commandements, la Bible est stérile. ”
Donald Carson, théologien anglais actuel.

lundi 26 juillet 2010

Une définition à creuser


C'est lorsque nous aimons notre péché que nous sommes damnés irrémédiablement. 
Graham Greene, écrivain anglais du 20éme Siècle

dimanche 25 juillet 2010

Comment vais-je réagir face aux épreuves quotidiennes ?

L'écrivain chrétien et pasteur Charles R. Swindoll a écrit les lignes suivantes : "Ce qui est remarquable c'est que, chaque jour, nous pouvons choisir l'attitude que nous aurons pendant cette journée. Nous ne pouvons pas changer notre passé. Nous ne pouvons pas changer les actes d'autrui. Nous ne pouvons pas changer l'inévitable. La seule chose que nous pouvons modifier, c’est notre attitude face à la vie et à ces événements. Je suis convaincu que ma vie est faite à 10% de ce qui m'arrive et à 90% de ma réaction face à ce qui m'arrive. Et il en va de même pour vous. Nous sommes responsables de nos attitudes."

samedi 24 juillet 2010

Un Dieu proche et personnel

Charles H. Townes, qui a découvert le principe à l'origine du laser, est diplômé de l'Université de Berkeley. Il a déclaré sa foi en Dieu de cette manière : « En tant que personne religieuse, je ressens fortement la présence et les actions d'un Être créateur qui me dépasse et pourtant qui est toujours proche et personnel. »

vendredi 23 juillet 2010

Dieu est fidéle (3)


« L’homme manque à ses engagements en toutes choses, mais Dieu en aucune. Etre fidèle est l’une des caractéristiques éternelles de Dieu, en laquelle il place toujours une grande partie de sa gloire : sa vérité compte au nombre des trésors et des joyaux de sa couronne et Il ne tolérera jamais qu’elle soit ternie à quelque degré que ce soit ».
Charles H. Spurgeon

jeudi 22 juillet 2010

Vivons-nous la liberté ?

On rencontre beaucoup d'hommes parlant de libertés mais on en voit très peu dont la vie n'ait pas été principalement consacrée à se forger des chaînes.
Gustave Le Bon

mercredi 21 juillet 2010

Le sens de la vie selon Vaclac Havel


Vaclav Havel (né en 1936) est auteur dramatique, président de la république de Tchécoslovaquie (1993-2003).

L'élément tragique de l'homme moderne n'est pas qu'il ignore de plus en plus le sens de la vie, mais c'est que cela le dérange de moins en moins.

mardi 20 juillet 2010

Un voyage

La vie est un voyage. Ce n'est pas toujours la destination. Quand nous marchons sur le chemin de la vie, nous ferons des erreurs, nous trébucherons de nombreuses fois et nous tomberons au moins une fois. Mais une main viendra vers nous et nous relèvera, peut-être la main d'un ami, peut-être la main de Dieu. Mais il y a toujours de l'espoir et tant que vous respirerez encore, il y a une chance pour du succès, pas la défaite.
Anonyme 

Life is the journey. It isn't always the destination. As we walk this path of life, we will make mistakes, stumble many times, fall once in a while. But a hand will reach down and pull us back up, perhaps a friends hand, perhaps the hand of God. But always there is hope, and as long as there is a single breath left in you, there is the chance for success, not defeat.
Anonymous

lundi 19 juillet 2010

La Bible dans le grenier


Voici l'histoire d'une Bible délaissée dans un grenier pendant des années, qui a amené la conversion d'une famille algérienne à Oran.
Le fils de la maison était monté sur le toit pour réparer l'antenne de la télévision. En redescendant, voilà qu'il découvre sur une étagère un livre, une Bible. Il l'offre à sa soeur qui rêvait d'en avoir une. Celle-ci prenait alors des cours avec une amie chrétienne. La Bible devient le sujet fréquent de leur conversation. Pour perfectionner son anglais, cette amie lui proposa d'aller en Angleterre « au pair ». Voici notre Oranaise partie au pays de Shakespeare. Elle fait des progrès dans l'apprentissage de la langue mais aussi dans la foi. Elle est hébergé dans une famille chrétienne. Elle va à l'église avec eux et se convertit. A son retour, elle partage son expérience avec les siens. Son frère accepte Jésus comme son Sauveur. Voilà l'oeuvre d'une Bible laissée par des amis croyants avant l'exode de 1962. Une bombe à retardement qui a fait son effet au temps de Dieu. Voilà la Bible, le Livre le plus extraordinaire du monde dont le message ne périra jamais. 
Pasteur Daniel QUINTIN 
Extrait du magazine « Action Evangélique de Pentecôte » du 1er Trimestre 2010.

dimanche 18 juillet 2010

Valoriser Dieu


L'adoration est une attribution active de la valeur de Dieu dans le corps de Christ.
Ronn Huff

samedi 17 juillet 2010

Une découverte de l'astronomie


"L’astronomie nous amène à un évènement singulier. Un univers qui fut créé à partir du néant, un univers doté de l’équilibre très délicat pour produire exactement les conditions requises pour la vie, et un univers qui a un dessein alors sous-jacent."
Arno Penzias

In bulletin ’Résurrection’ de juillet-août 2008.

Arno Penzias
Physicien radioastronome américain (né à Munich en 1933).
En 1965, il découvrit fortuitement, avec R. Wilson, le rayonnement thermique du fond du ciel à 3 kelvins, confortant ainsi la théorie cosmologique de l’explosion primordiale (Big bang). Il a pris ensuite une part active au développement de la radioastronomie millimétrique et à l’étude des molécules interstellaires.
Prix Nobel de physique 1978, avec R. Wilson.
Source : Larousse & Dixel

vendredi 16 juillet 2010

Un choix humain


" Deux sortes de personnes qu'on puisse appeler raisonnables. Ceux qui servent DIEU de tout leur cœur parce qu'ils le connaissent, ou ceux qui le cherchent de tout leur cœur parce qu'ils ne le connaissent pas. "
Blaise PASCAL

jeudi 15 juillet 2010

Le pouvoir de l'argent

Faites de l'argent votre Dieu et il vous damnera comme le diable.
Henry Fielding

mercredi 14 juillet 2010

Les origines sociales au ciel


J'ai entendu raconter qu'une dame, visitée sur son lit de mort par un prédicateur de l
'Evangile, lui posa cette étrange question : « Ne pensez-vous pas qu'il existe dans le ciel deux lieux bien distincts pour les différentes classes de la société ? J'avoue que je ne puis endurer l'idée de vivre éternellement en compagnie de ma servante. »
A cela, le prédicateur répondit : « Ne vous mettez pas en peine à ce sujet, Madame ; car aussi longtemps que ce diabolique orgueil existera dans votre cœur, vous n'avez point à craindre d'aller au ciel. » Il disait vrai.
Non, l'orgueil n'entrera pas dans le ciel. Il faut que nous nous abaissions nous-mêmes, que nous voyions dans tout homme un frère, que nous sentions qu'aux yeux de Dieu nous sommes tous égaux, avant de pouvoir espérer d'être admis dans la gloire.
Extrait d'un message du pasteur baptiste Charles Spurgeon intitulé "Le ciel et l'enfer".

mardi 13 juillet 2010

Il ne suffit pas de croire en Dieu! (4)


Il en va de même dans notre relation avec Dieu. Nos péchés non avoués, nos manquements, notre culpabilité qui nous séparent de Dieu. Et tant et aussi longtemps que ces barrières se dresseront entre Dieu et nous, nous croirons que Dieu nous a abandonné, qu’Il est à des millions de kilomètres de nous, ou même qu’Il n’existe pas. Mais pire encore, si nous ne confessons pas nos péchés, et si nous ne recevons pas le pardon de Dieu, nous devrons en payer le prix, car la conséquence du péché c’est la mort spirituelle et éternelle, c’est à dire que nous serons séparés de Dieu à tout jamais, la seule source de vie, de paix et d’amour. Par notre refus de recevoir le pardon de Dieu, nous nous condamnons nous-mêmes à passer éternellement notre vie en enfer.

Dieu nous aime tous tellement qu’Il a payé le prix pour tous les péchés que nous avons commis. C’est ainsi qu’il y a deux mille ans, Dieu nous a donné son Fils unique Jésus-Christ, et afin que nous ayons le pardon gratuit et complet pour nos péchés il est mort à notre place sur la croix. Mais si nous le refusons, alors le pardon ne vaut rien.

Ainsi, c’est par choix et non par un coup de dés que nous choisissons notre destiné, non seulement terrestre, mais aussi notre vie éternelle. Nous avons trois choix:

Tout comme George Wilson, nous pouvons refuser le pardon apporté par la mort de Jésus sur la croix, et choisir de payer nous-mêmes le prix pour nos péchés;

Nous pouvons ignorer ce pardon, refuser de faire quoi que ce soit pour l’obtenir, et de plus, payer nous-mêmes le prix pour nos péchés;

Ou nous pouvons accepter le pardon de Dieu et le don de la vie éternelle.

Il ne suffit pas de croire que Dieu existe ou que Jésus est mort sur la croix pour nous sauver, Satan le croit aussi ! Sans doute que George Wilson croyait au pardon qu’on lui offrait, mais cela ne l’a pas sauvé. Il en va de même du pardon que Dieu a pour nous tous, il ne devient efficace que si nous l’acceptons. Et vous pouvez dès maintenant accepter ce pardon. Il vous suffit de priez Dieu, de reconnaître que vous avez besoin de Jésus, de confesser humblement vos fautes et d’inviter Son Fils Jésus-Christ à entrer dans votre vie et de le recevoir comme votre Sauveur et Seigneur. Si vous n’avez jamais fait cette prière, pourquoi ne pas la faire maintenant?

1. Tiré de Moody Monthly.
2. Adapté de Parables, Etc.
3. Ephésiens 2:8-9 (Paraphrasé).

http://fr.actsweb.org/ne_suffit1.php

lundi 12 juillet 2010

La femme du chef zoulou


La femme d'un chef Zoulou a assisté à une réunion de l'Armée du Salut où elle a entendu parler de Jésus et a répondu à l'appel. Quand son mari a entendu parler de cela il lui a défendu d'y retourner sous peine de mort ! Cependant, dans son désir d'entendre encore parler de Jésus, elle osa y retourner, et quand son mari a su cela il est allé à sa rencontre sur le chemin du retour et l'a battue si sauvagement qu'il l'a laissée pour morte.
A un certain moment sa curiosité l'a poussée à revenir pour voir ce qu'elle était devenue. Elle n'était pas là où il l'avait laissée, mais il a observé des brindilles cassées et a fini par la trouver allongée sous un buisson.
Se penchant sur elle avec ses yeux cruels il la regarda d'un air méchant et dit, “Et qu'est-ce que ton Jésus Christ peut faire maintenant pour toi?”
Elle a ouvert ses yeux, et en le regardant elle a dit doucement, “Il m'aide à te pardonner!”...

dimanche 11 juillet 2010

Résurrection



En suivant Jésus, nous ne sommes pas conduit là où nous voulons aller. Nous sommes conduits là où Jésus va, là où nous le rencontrons dans la surprise de la résurrection: "Mon Seigneur et mon Dieu !" (Eugene H. Peterson, The Jesus Way)

Les Juifs du premier siècle qui attendaient la résurrection la considéraient comme un seul événement : la résurrection à une vie corporelle au dernier jour. Mais dans le message de Paul, et de tous les autres premiers auteurs chrétiens après lui, la résurrection est un événement en deux étapes - ou mieux encore, un seul événement se produisant en deux fois ; comme l'écrit Paul : le Christ, prémices, puis, à sa venue, ceux qui lui appartiennent. (N. T. Wright, The Resurrection of Jesus)

samedi 10 juillet 2010

Il ne suffit pas de croire en Dieu! (3)


Difficile à comprendre, n’est-ce pas? Mais combien d’hommes, lorsqu’il s’agit de leur vie éternelle, réagissent de la même façon ? Certains ignorent le Fils de Dieu, Jésus-Christ, le seul qui peut les sauver, et leur offrir un pardon. Celui qui a payé sur la croix le prix ultime pour tous nos péchés, pour tous nos manquements. D’autres fondent tous leurs espoirs dans la religion faite par les hommes. Tandis que d’autres ne portent aucun intérêt au plan de Dieu pour leur vie, et refusent carré- ment le pardon divin. Malheureusement un nombre considérable d’individus qui croient en Dieu, mais qui ne font absolument rien pour recevoir ce pardon qui les attend. Alors que d’autres ne réalisent tout simplement pas qu’ils ont un urgent besoin de Dieu.

D’autres qui croient à la vie après la mort, au ciel ou à l’enfer, tentent leur chance et espèrent qu’au jour du jugement, leurs bonnes actions l’emporteront sur leurs mauvaises, et que Dieu les laissera entrer au ciel. Mais la vérité est toute autre, car la Bible déclare "C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous." La Parole de Dieu rajoute "C’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres."3 Parce que nous sommes tous pécheurs, il nous est impossible de nous sauver nous-mêmes. Dieu seul peut nous sauver.

Notre salut est un don de Dieu.
Nous ne pouvons le gagner
par nos bonnes œuvres

Certains autres ignorent Dieu, parce que prétendent-ils, Dieu est trop loin, inaccessible. Et si c’était le cas, ce n’est pas la faute de Dieu, mais celle des hommes qui ont érigé des barrières les séparant de Dieu. Par exemple, si nous sentons que l’être aimé s’éloigne de nous, c’est parce qu’il y a une barrière qui nous sépare. Et cette séparation peut être causée par un conflit qui perdure, par la colère, la culpabilité, la peine, ou par le manque de pardon. Si nous voulons nous rapprocher à nouveau de l’être cher, nous devons lui faire part de nos émotions, puis résoudre le problème. Sinon le fossé s’élargira, ou bien alors nous ferons semblant d’être heureux et à l’aise dans ce semblant de relation.

vendredi 9 juillet 2010

La foi selon Racine


« La foi qui n'agit point, est-ce une foi sincère ? » 
Extrait d'Athalie
Jean Racine (auteur de théâtre)

jeudi 8 juillet 2010

Il ne suffit pas de croire en Dieu! (2)


Dans les années 1830, George Wilson, fut arrêté et trouvé coupable de délits fédéraux, soit du vol de la paie des employés de l’état, et d’avoir tué un gardien. Il fut condamné à mort, mais à cette époque, la peine de mort soulevait beaucoup de tollés, à un point tel que l’affaire fut portée à l’attention du président Andrew Jackson, afin que celui-ci gracie George Wilson. Le président lui accorda le pardon, mais George Wilson le refusa.

Une telle situation ne s’était jamais présentée, alors on demanda à la Cour Suprême de statuer, à savoir si une personne avait ou non le droit de refuser un pardon présidentiel. Le juge en chef John Marshall fit part de la décision suivante des juges: "Un pardon ne vaut en soi que la valeur du papier sur lequel il est écrit, et sa seule et unique valeur est déterminée par celui qui reçoit le pardon. Et même, si nous ne pouvons comprendre les raisons qui ont motivé son choix, et puisque George Wilson a refusé le pardon, George Wilson doit donc être exécuté."2

Deux hommes! Un qui en tentant désespérément de sauver son fils, écarta le seul homme qui aurait pu l’aider. Et l’autre condamné à mort, mais qui refuse le pardon, payant ainsi de sa vie pour ses crimes.

mercredi 7 juillet 2010

Où aller ?



L'écrivain anglais C. S. Lewis (1898-1968) a écrit : «Sortir de la volonté de Dieu, c'est pénétrer nulle part.»

mardi 6 juillet 2010

Il ne suffit pas de croire en Dieu! (1)


Il ne suffit pas de croire en Dieu!
Quand la religion ne fonctionne pas


Il était presque 1h00 du matin lorsque le docteur Leo Winters, un chirurgien très doué, reçut de l’hôpital un appel téléphonique le réclamant de toute urgence. Un jeune garçon dont le corps avait été affreusement mutilé dans un accident de voiture, s’accrochait à ses minces chances de survie. C’est ici qu’entraient en jeu les talents exceptionnels d’un chirurgien que possédaient le docteur Winters. De tous les chirurgiens, il était le plus qualifié pour arracher à la mort ce garçon.
Afin d’arriver à l’hôpital le plus rapidement possible, le docteur Winters dû emprunter des rues situées dans un quartier mal famé. À sa grande surprise, alors qu’il immobilisait sa voiture à un arrêt obligatoire, où un homme portant un vieux chapeau gris et vêtu d’un vieux costume de flanelle grise, ouvrit brusquement la portière de la voiture et se mit à l’injurier.
L’homme s’écria "J’ai besoin de votre voiture " et d’un geste brusque, il extirpa le médecin de l’auto.
Dr. Winters lui révéla son identité, tenta de lui expliquer l’urgence de la situation, et lui expliqua qu’il devait se rendre immédiatement à l’hôpital afin de tenter de sauver un enfant d’une mort certaine. L’inconnu ignora toutes ses explications, puis démarra en trombe, laissant sur la chaussée le pauvre médecin penaud.
Dr. Winters chercha pendant plus d’une heure une cabine téléphonique, d’où il appela un taxi pour se rendre à l’hôpital. Il arriva à bout de souffle, mais malheureusement il était trop tard, l’enfant était mort depuis trente minutes.
L’homme portait un vieux costume
de flanelle grise, et à ses côtés se
trouvait un chapeau gris
L’infirmière de service lui révéla: "Son père arriva quelques minutes avant que le jeune garçon meurt. Il se trouve actuellement à la chapelle. Pourriez-vous aller le voir, il est confus, et il ne peut comprendre pourquoi vous ne vous êtes pas présenté à l’hôpital."
Sans dire un seul mot, le docteur se rendit directement à la chapelle. Il y trouva un homme pleurant à chaudes larmes la mort de son fils. L’homme portait un vieux costume de flanelle grise, et à ses côtés se trouvait un chapeau gris.

lundi 5 juillet 2010

La Bible est vivante et vraie

" Monsieur, si la Bible n'est pas vraie, je suis aussi fou et malade que vous pouvez le penser; mais si elle est de Dieu alors je suis sobre d'esprit."  
John Wesley (1703-1791) Père de l'Église Méthodiste
 
« Si cette parole est de Dieu, elle a autorité sur les hommes. Car derrière toute parole se tient celui qui la prononce. C’est lui, sa personne, son savoir et sa situation qui déterminent la manière dont les auditeurs recevront ainsi l’autorité de Dieu. C’est à cause de ce qu’il est que nous croyons à ce qu’Il a dit. »
John R.W. Stott « Understanding the Bible »

dimanche 4 juillet 2010

Pardonner et non excuser

Lorsque la question du pardon arrive, il y a une part qui est identique et l’autre qui est différente. Elle est identique parce que pardonner ne signifie pas excuser.
Beaucoup de gens pensent que les deux aspects sont semblables. Ils pensent que si vous leur demandez de pardonner quelqu’un qui les as trompé ou blessé, vous essayez de leur dire de faire comme s’il n’y avait jamais eut fraude ou blessure.

Mais s’il en était ainsi, il n’y aurait rien à pardonner. Ils répondront alors : « Mais je vous dis que cet homme a brisé une promesse solennelle. » Exactement : c’est précisément ce que vous devez pardonner. (Cela ne signifie pas forcément que vous devez croire en sa prochaine promesse.

Cela signifie que vous devez faire un effort pour chasser tous ressentiments dans votre cœur – tous souhaits de l’humilier, de le blesser ou de le lui faire payer.) La différence entre cette situation et celle dans laquelle vous demandez le pardon à Dieu est celle-ci : Lorsque nous sommes fautifs, nous acceptons le pardon trop facilement ; lorsque les autres le sont, nous n’acceptons pas assez facilement le pardon.

samedi 3 juillet 2010

Une leçon d'altruisme



"Il ne s'agit pas d'être heureux, mais de rendre heureux. Il ne s'agit pas d'être aimé, mais d'aimer et d'être en bénédiction à d'autres. Il ne s'agit pas de trouver sa propre satisfaction, mais d'être satisfaits lorsque nous satisfaisons les autres."
Eva von Tiele-Winckler

vendredi 2 juillet 2010

Parce qu'il nous aime


Un corps vivant n'est pas celui qui jamais ne se blesse, mais celui qui, toutes proportions gardées, se répare tout seul. De même, un chrétien n'est pas un homme qui jamais ne fait le mal; il est plutôt un homme apte à se repentir, à se relever et à tout recommencer après chaque faux-pas, parce que le Christ habite en lui, le guérissant constamment. Il lui permet de répéter (jusqu'à un certain point), la sorte de mort volontaire que le Christ lui-même a soufferte. Les gens essaient d'être bons pour plaire à Dieu au cas où il existerait, ou s'ils sont athées, pour mériter l'approbation des hommes de bien. Mais le chrétien est dans une situation différente. Il croit plutôt que tout ce qu'il fait de bien émane de la vie du Christ demeurant en lui. Il ne conçoit pas que Dieu nous aime parce que nous sommes bons, mais qu'il nous rendra bons parce qu'il nous aime: comme le toit d'une serre n'attire pas le soleil parce qu'il est brillant, mais brille parce que le soleil darde sur lui ses rayons. 
C.S. Lewis, "Les Fondements du Christianisme" 

jeudi 1 juillet 2010

L'image du champ de blé pour parler de Dieu

Un scientifique célèbre utilisa cette image pour parler de l'existence de Dieu :

Une personne qui voit un champ de blé semé ne doute pas de l'existence du fermier qui cultive le blé.
Il existe un plan et un but grandiose dans l'univers, et refuser l'existence d'un Créateur, qui imagina ce plan et ce but, aurait encore moins de sens que de refuser l'existence du fermier dans l'exemple ci-dessus.

Conclusion : Nier un Grand Concepteur est aussi illogique que d'admirer un magnifique champ de blé jaune et houleux, et en même temps nier l'existence du fermier dans la ferme sur le bas-côté.
Et toi, quel est ton avis ?