On demandait à un étudiant en théologie quelle traduction de la Bible il trouvait la meilleure. Sans hésitation, il répondit : “C'est celle de ma mère. Elle ne connaissait ni l'hébreu ni le grec, mais sa vie de chrétienne a été pour moi la meilleure des traductions de la Bible. C'était une traduction vivante. On pouvait lire en elle ce que la Bible dit”. Cette chrétienne imitait donc son Maître, Jésus Christ. En introduisant l'évangile qui porte son nom, Luc en donne le résumé : “Tout ce que Jésus commença de faire et d'enseigner” (Actes 1. 1). Faire d'abord, enseigner ensuite. Montrer par ses actes la réalité de ses convictions.
Source : La Bonne semence