Ce site est référencé sur le
Top Chrétien Francophone

Rechercher dans ce blog

Nombre total de pages vues

jeudi 28 février 2013

C.S. Lewis parle de la résurrection de Jésus

L’écrivain anglais C.S. Lewis (1898-1963) a écrit à propos de la Résurrection de Jésus :
« Le premier événement de l’Histoire du christianisme, c’est qu’un groupe d’hommes et de femmes proclament qu’ils ont vu la Résurrection. S’ils étaient morts sans convaincre d’autres personnes et sans leur faire croire à cet 'Evangile', aucun des évangiles n’aurait été écrit. »

mercredi 27 février 2013

La souffrance et l'amour

Jésus a révélé l'amour qui peut endurer la souffrance, qui préfère aimer même s'il faut souffrir plutôt que de ne pas souffrir et de ne pas aimer.
Louis Evely

mardi 26 février 2013

Walk the line, un film sur Johnny Cash

Johnny Cash, le film
Hollywood a rendu hommage à une autre immense légende de la musique américaine, le chanteur Johnny Cash (1932-2003), que le cinéma célèbre aujourd’hui avec Walk the Line.
Des champs de coton, où il aidait ses parents, au devant de la scène, nous assistons à la naissance, consécration, chute puis rédemption d’un enfant de la crise devenu une des grandes figures de la musique américaine.
Dans son livre, Johnny Cash, revient lui-même sur un demi siècle de carrière. Il nous fait vivre sa période de gloire des années 1960-1970. puis la traversée du désert dans les années 1980, l’idylle avec la scène rock alternative et les formidables succès des dernières années qui l’ont replacé en tête des hit-parades et dans le cœur d’un large public. Une carrière mouvementée, à la croisée des genres et des générations.
Tout comme son itinéraire spirituel. Il s’exprime à cœur ouvert sans passer sous silence les aspects les plus sombres de sa vie : « J’étais aussi loin de Dieu que je pouvais l’être. Cette scission vis-à-vis de Lui, la plus profonde et la plus dévastatrice de toutes les formes de solitude que j’ai éprouvées au cours des ans, me paraissent désormais complète. Elle ne l’était pas. Je croyais l’avoir abandonné, mais Lui ne l’avait pas abandonné. Je sentis que quelque chose de très puissant était en train de m’arriver, une sensation de paix absolue, de clarté, de sobriété … lentement après plusieurs échecs et rechutes j’ai retrouvé force et santé mentale, rétablissant aussi le lien qui m’unissait à Dieu … Ma plus grande joie fut de ne plus me sentir coupé de lui. Aujourd’hui, Il est mon Conseiller et le Roc Eternel sur lequel je me tiens debout. »
Après « avoir accordé ses actes à ses convictions » il en parlera haut et fort et chantera sa foi chrétienne retrouvée au travers de plusieurs albums de Gospel. Ses producteurs « auraient préféré me voir en prison que dans une église ». Mais il n’a jamais regretté d’avoir « parler clair ». Peut-on préférer « dix ou vingt ans de ventes de disques au salut éternel ? ».


Il continuera de chanter ses anciennes « chansons de hors-la-loi » que son public réclamait mais avec des gospels où il donnait tout ce qu’il avait en lui.
Cash demeure à jamais une des figures emblématiques de la musique américaine mais également un authentique Gospel à la grâce de Dieu.

lundi 25 février 2013

Mettre Jésus à l'épreuve

Un jour, au moment de la réunion d’ouverture d’une campagne d’évangélisation du pasteur américain Billy Graham, un ivrogne invétéré vint le voir et lui dit :
« Monsieur Graham, je doute qu’il y ait un mot de vrai dans tout ce que vous dites, mais je vais mettre votre Christ à l’épreuve, et s’Il accomplit tant soit peu que vous dites, je reviendrai et je signerais pour la vie. »
Quelques semaines plus tard, il me dit qu’il ne comprenait pas bien pourquoi, chaque fois qu’il commençait à boire, il lui semblait que quelque chose l’arrêtait. Jésus-Christ lui avait donné la victoire. Il retourna dans sa famille, où il vit maintenant pour Jésus. En d’autres termes, il fit demi-tour, changea de direction et de manière de penser – il s’était converti.

Source : Billy Graham, La Paix avec Dieu, Editions GM pages 122-123

dimanche 24 février 2013

Espérer en Jésus



"Quand la nuit me cache Son visage, je place ma confiance dans Sa grâce immuable. Quand tout autour de mon âme semble s’effondrer, c’est Lui qui demeure mon seul espoir. Quand tout s’enfuit loin de moi, je sais que Sa présence m’est assurée. Je garde les pieds fermement fixés sur le Christ, le rocher de mon salut, car tout le reste n’est que sable mouvant !"
Edward More

samedi 23 février 2013

C.S. Lewis parle de Jésus


Dans son livre: Voilà pourquoi je suis chrétien, C.S. Lewis écrit:
"J'essaie ici d'empêcher quiconque de dire la chose la plus stupide qu'une personne puisse dire sur Lui (Jésus-Christ): "Je suis prêt à accepter que Jésus soit un grand enseignant moral, mais je ne reconnais pas qu'il se dise Dieu."
Ceci est la seule chose à ne pas dire. Un homme ordinaire qui aurait dit le genre de choses que Jésus a dites ne serait pas reconnu comme un grand enseignant moral. Il serait plutôt un lunatique – similaire à un homme qui prétendrait être un œuf poché – ou bien il serait le Satan de l'enfer. À vous de choisir. Soit que cet homme était, et est, le Fils de Dieu, ou bien qu'Il était un homme fou ou bien pire encore …
Vous pouvez le traiter de fou, vous pouvez lui cracher dessus et le tuer en tant que démon; ou vous pouvez tomber à ses pieds et le reconnaître comme Seigneur et Dieu. Mais n'en venons pas à un non-sens protecteur en le définissant comme un grand enseignant humain. Il ne nous a pas laissé cette option. Et Il n'en avait pas l'intention."

vendredi 22 février 2013

Comment atteindre Son objectif ?

« Je crois que Dieu a une volonté et un plan individuel pour chaque vie mais que leur application dépend d'une véritable reddition de ma volonté entre ses mains en vue de la réalisation de son objectif, de la façon et à l'endroit qu'il jugera meilleurs pour nous. Mais cela n'implique pas qu'il ne nous laisse pas une liberté de choix considérable dans le cadre même de sa volonté morale. De même, il annule nos erreurs confessés afin qu'elles n'entravent pas sa volonté. » 
J. Oswald SANDERS

jeudi 21 février 2013

Témoignage du pasteur Guy Bergamini (partie 4)


Elisabeth trouva aussi le Berger de son âme. Tout ce que la drogue lui avait pris, le Seigneur de la vie le lui rendit.
Sa santé s’améliora rapidement et malgré une intervention chirurgicale grave, qui devait la laisser stérile à cause des dégâts de la drogue dans ses organes, Jésus l’a guérie.
De l’abîme, Il nous a sauvés.
Notre vie lui appartient pour toujours.
Il l’a racheté à un si grand prix.
Notre seul message est celui-ci : « Jésus est venu chercher et sauver celui qui est perdu ».

mercredi 20 février 2013

Témoignage du pasteur Guy Bergamini (partie 3)


J’étais stupéfait et nerveux à son égard mais ses larmes et ses paroles me touchèrent. Avant de la laisser sur place elle me glissa un morceau de papier où était griffonné son adresse accompagné de ces mots : quand tu veux.
Je trouvai mon dealer à l’endroit convenu en lui reprochant son absence que celui-ci contesta. En effet, on m’assura qu’il était bien là mais que ne l’avais pas vu. Bizarre ! Je compris plus tard, que Dieu, m’avait aveuglé pour ne pas rater un rendez-vous bien plus important.
Le 12 juillet 1972, en fin d’après-midi, nous nous sommes, avec E. retrouvés à l’adresse indiquée. Pendant les trois jours précédents et toute la journée, ces mots résonnaient en moi : « Jésus t’aime, Il est le chemin, la vérité la vie, la paix… » L’amour manifesté par cette femme me travaillait : Pourquoi pleurait-elle pour moi ? Quelqu’un pouvait-il m’aimer, moi, le délinquant, le haineux ? Ce soir là j’ai découvert le message, l’amour inconditionnel et le pardon immense de Jésus. J’ai compris le sens de sa mort sur la croix. J’ai été brisé par son amour pour moi. « Quelqu’un m’avait tellement aimé qu’il avait préféré donner sa vie pour moi. ». A ses pieds, je fus convaincu, lavé et purifié. Une vie nouvelle, une régénération parfaite commença. La paix entra dans mon cœur pour la première fois de ma vie. Ce jour là, je suis devenu l’enfant d’un Père merveilleux. Il me guérit instantanément des chaînes de la drogue. Sa puissance de vie triompha de ma haine, de mon amertume et de mon désir de mort. Jésus fit de moi une nouvelle créature. Combien de fois avais-je aspiré à être différent ? Combien de fois j’avais maudit ceux qui m’avaient donné la vie ?

mardi 19 février 2013

Témoignage du pasteur Guy Bergamini (partie 2)



Un rayon de soleil apparut sur ma route, lorsque pour la première fois, l’amour frappa la porte de mon cœur. J’avais un parcours de relations sexuelles mais l’amour m’était bien inconnu. Ce sentiment, pour moi, n’existait pas. E. une jeune immigrée, d’origine hongroise et serbe, s’attacha à moi.
Malheureusement, il fallait compter avec une maîtresse insensible… la drogue. Rapidement, E. fut prise, elle aussi, dans ses filets et la descente fut vertigineuse. En quelques mois, sa santé, sa scolarité, ses relations familiales, se dégradèrent. Nous vivions dans l’angoisse et la dépression. La pensée de me séparer d’elle hantait mon esprit, la culpabilité me rongeait et je voulais mettre un terme à cette misère.
Nous étions en pleine crise, lorsqu’un soir d’été, pour la première fois, je levai les yeux vers le ciel. Il était splendide. Les étoiles brillaient dans une nuit magnifique et la paix habitait le cosmos. Un souhait est monté des profondeurs de mon être tout en me frappant la poitrine : « Ah, si la paix qui là-haut pouvait être la dedans. ».
Je vivais du slogan peace and love, mais je ne savais rien, ni de la paix ni de l’amour. Tout n’était que haine, amertume, douleurs, honte, violence.
Mon seul refuge était la drogue, et je ne voulais en rien, en cette fin de semaine de juillet, manquer le rendez-vous avec mon dealer. Le trafic était intense entre les frontières suisses et allemandes où j’habitais.
Il nous fallait faire le plein. On ne « dealait » pas à cette époque avec aussi de facilité qu’aujourd’hui, mais à l’heure du rendez-vous, je n’ai vu pas l’ombre du dealer. Agacés, avec E. nous avons quitté les lieux pour marcher dans le centre ville et là, sur une place occupée par des dizaines de jeunes aux cheveux longs et guitares sèches, une femme en petit tailleur, s’approcha de moi et m’interpella avec ces paroles :
« Jeune homme, Jésus vous aime. Vous vous appelez Guy et Il m’a envoyé ici pour vous. Il est le chemin, la vérité et la vie. » Des larmes coulaient sur ses joues. « Il vous aime, il est la réponse que vous cherchez depuis si longtemps. Il peut vous apporter la paix que vous cherchez dans votre monde de drogue. »

lundi 18 février 2013

Témoignage du pasteur Guy Bergamini (partie 1)


« Il n’y a pas de Dieu, il n’y a pas de Dieu » criait ma mère, folle de chagrin lorsque mon beau-frère est revenu de l’hôpital, annonçant la mort de ma jeune sœur Liliane, âgée de 11 ans, mon aînée de trois ans.
Ce dimanche soir, une embolie l’emporta. Atteinte de leucémie, depuis plusieurs mois, la maladie a eu raison de sa jeunesse. Je la vois encore, assise sur son fauteuil roulant, les yeux révulsés, bégayant ses dernières paroles « je m’en vais, je vois Jésus, Jésus… »
D’une certaine manière, j’étais content. Elle n’aurait plus à souffrir, pas seulement de la maladie qui la rongeait mais aussi de toutes les souffrances morales et psychologiques que notre père, alcoolique et violent, nous faisait tous souffrir. Je n’ai aucun souvenir d’un moment de tendresse avec lui.
Nous subissions fréquemment des coups, des agressions verbales, des insultes. La vie était dure, sans argent, et nous étions obligés de travailler dans une grande épicerie, après l’école, pour payer les crédits. Ma mère faisait des ménages.
L’atmosphère de la maison se détériora davantage après la mort de ma sœur et ce, jusqu’au divorce de mes parents. Nous vivions dans un quartier où nombre d’immigrés italiens habitaient.
La plupart travaillaient comme mon père à l’usine Peugeot automobiles. Chaque samedi, la même rengaine, il mettait son costume, passait chez le coiffeur et commençait la tournée des bars et des cabarets de la ville.
Combien de fois, tout jeune, j’allais la nuit le rechercher, ivre mort, effondré sur un trottoir.Rapidement, à mon adolescence, la famille se disloqua.
Après des démêlés avec la justice, mon frère aîné parti pour l’Algérie, dans les commandos de Marine.
Pour ma part, la scolarité devient rapidement épique. Une vraie montagne russe. Dès l’âge de 14 ans, j’ai commencé à traîner, pas grand-chose ne m’intéressait sinon la musique des Rolling Stones, la marijuana et les filles.
Pendant trois ans mon adolescence se passa dans la violence et la petite délinquance. La haine contre toute autorité ravageait mon cœur. Mon père en paya les frais, lorsqu’un soir, ivre et violent, il s’attaqua à moi avec un couteau. Ce soir là, j’ai attenté à ses jours et je suis parti de la maison pour toujours.
Je vivais dans une petite chambre chez ma grande sœur et chez des amis. A cette période, j’ai eu peur et je n’osais pas envisager mon avenir. Je vivais au jour le jour avec une bande de hippies, accroché à la drogue et à la musique. Je courrais de festival pop en festival, de pays en pays, en espérant aller un jour aux Indes.

dimanche 17 février 2013

Sauvée sous les bombes

Ainsi dit l'Eternel : Vous m'avez abandonné et moi je vous ai aussi abandonnés ... Et les chefs ... et le roi s'humilièrent, et dirent : L'Eternel est juste. Et quand l'Eternel vit qu'ils s'étaient humiliés (il dit :) Ils se sont humiliés, je ne les détruirai pas ; je leur donnerai un peu de délivrance.
2 Chroniques 12, 5 - 7
Une jeune étudiante allemande avait, plus d'une fois, entendu l'Evangile, mais son cœur était resté fermé. Elle voulait vivre sa vie et c'est ce qu'elle fit jusqu'au jour terrible du grand bombardement de Hambourg pendant la dernière guerre. En quelques heures, la ville fut transformée en fournaise.
Dans sa fuite éperdue, la jeune fille trouva, avec quelques autres personnes, un refuge dans l'église luthérienne d'un village voisin. Ces pauvres gens, qui avaient tout perdu, pleuraient et se lamentaient.
Le pasteur vint les voir, écouta leurs plaintes et comprit leur détresse. Puis, il demanda un peu de silence : "Mes chers amis, en passant p
armi vous, j'ai entendu au milieu de vos plaintes que je comprends, une phrase dont j'aimerais vous parler. Quelqu'un de vous a dit : Dieu nous a abandonnés. Ce n'est pas vrai. Vous vous trompez. Voici la vérité : c'est nous qui avons abandonné Dieu !"
En nous racontant cet épisode cinquante ans plus tard, celle qui l'a vécu ajoute : "C'est tout ce que j'ai retenu des paroles de ce pasteur. Mais cette phrase a été comme une flèche m'atteignant en plein cœur. Pardessus le fracas des bombes, la voix de Dieu s'adressait à moi et peut-être était-ce pour la dernière fois. J'ai répondu à son appel et je ne l'ai plus jamais quitté."

samedi 16 février 2013

"Par la foi, capitaine"


 
Quand le célèbre missionnaire en Chine, Hudson Taylor, s'est embarqué pour la première fois pour la Chine sur un voilier, ils rencontrèrent une situation très dangereuse. Le vent était complètement nul, et le bateau dérivait vers des îles où les autochtones pratiquaient le cannibalisme. Alors que le bateau s'approchait du rivage, on pouvait apercevoir les indigènes qui se rassemblaient sur les rives attendant l'occasion de faire un repas de tous ceux qui se trouvaient dans le bateau.
Le capitaine est venu vers M. Taylor et lui demanda de commencer à prier, de demander à Dieu d'envoyer du vent.
La réponse de Mr Taylor était fort intéressante, il dit : "Capitaine, je prierai si vous déployez les voiles par la foi, croyant que le vent viendra."
En premier, le capitaine refusa car il ne voulait pas être la risée de l'équipage en ordonnant de déployer les voiles, alors qu'il n'y avait point de vent. Mais Taylor a insisté, "Je ne commencerai pas à prier pour le vaisseau, à moins que vous ne prépariez les voiles !" Et c'est ainsi que le capitaine s'exécuta finalement.
Pendant que Taylor était en prière, on frappa à sa porte et le capitaine entra. Il demanda à Taylor, "Etes-vous encore en train de prier pour le vent ?" "Oui" Répondit Taylor. Le capitaine continua et dit, "Alors, arrêtez de prier, car nous avons plus de vent que nous ne pouvons contrôler !" Et c'est ainsi qu'ils furent saufs !

vendredi 15 février 2013

La foi selon Benjamin Franklin


Le moyen de voir par la foi, c'est de fermer les yeux à la raison.

Benjamin Franklin

Homme politique et physicien américain (1706-1790)
Inventeur du paratonnerre


Qu'en penses-tu ?

jeudi 14 février 2013

"Toi, suis-moi"














Le théologien, médecin et missionnaire protestant Albert Schweitzer (1875-1965) disait : " Jésus-Christ est celui, envoyé par Dieu, qui vient aujourd'hui à notre rencontre, comme il était venu à l'époque à la rencontre des disciples, et leur disait : " Toi, suis-moi ! "

mercredi 13 février 2013

L'unité chrétienne

"L'unité chrétienne féconde ne peut se manifester que dans un climat de respect absolu pour la Bible. Là où des traditions humaines supplantent l'Ecriture, (la Bible) là où des autorités humaines s'arrogent le droit de déchirer telle page du texte sacré, il ne saurait y avoir l'unité telle que le Seigneur Jésus l'a voulue."
Jules Marcel Nicole (1907-1997), pasteur et ancien directeur de l'Institut Biblique de Nogent sur Marne

mardi 12 février 2013

La sens de la vie selon Emmanuel Kant


« Donnez à un homme tout ce qu’il désire et pourtant même à ce moment-là il ressentira que tout n’est pas tout, autrement dit, nous avons été fait pour expérimenter et jouir de quelque chose de plus. »
Emmanuel Kant
Philosophe allemand (1724-1804)

lundi 11 février 2013

L'existence de Dieu selon Newton



« En l’absence de toute autre preuve, mon pouce seul me convaincrait de l’existence de Dieu ».
ISAAC NEWTON (Père de la loi de la gravitation, et inventeur du télescope) 

dimanche 10 février 2013

La foi selon un philosophe français



" Quel dommage que, pour aller à Dieu, il faille passer par la foi !"Emil Michel Cioran (1911-1995)

Philosophe et écrivain roumain d’expression française

Penses-tu comme lui ?

samedi 9 février 2013

Dieu est fidèle

Oui, ta fidélité, Dieu secourable,
Plus ferme que les monts, dure à toujours.
Tout le long du chemin, grâce ineffable,
Mon âme trouve en toi force et secours.

Les astres dans les cieux, et sur la terre

Tes œuvres en tout lieu chantent en chœur
De ton pouvoir divin le grand mystère,
Proclament ta grandeur, Dieu créateur.

L'Esprit dit à mon cœur : “Poursuis ta course,

Les regards sur Jésus, ô pèlerin !
De ta paix, ton bonheur, il est la source,
Il se tient près de toi dans le chemin.”

Auprès de toi, Seigneur, la grâce abonde,

Le pardon, le salut, ta douce paix ;
De tes dons merveilleux l'Esprit m'inonde,
Déversant sur mes pas mille bienfaits !

Dieu de fidélité, de paix, de vérité,

Ton doux regard toujours veille sur moi ;
Tu m'as aimé, Seigneur, de toute éternité,
Dieu de fidélité, Dieu de ma foi.

 
Hector Arnéra

vendredi 8 février 2013

Christ dans nos souffrances

Un pasteur a écrit : "Quelle douce pensée pour nous, pauvres vases fragiles - mais qui contiennent la semence incorruptible - de savoir que Christ veille, s'il nous fait traverser des difficultés, à nous donner les moyens de les vaincre. La victoire sera celle de la foi dans le Christ Jésus. Les fatigues du chemin auront été le moyen de connaître une association plus étroite avec Christ."

jeudi 7 février 2013

Dieu est-il coupable de tout sur Terre ?

" Il ne faut pas mettre au compte de Dieu ce qui est le fait des hommes." (auteur anonyme)

mercredi 6 février 2013

Evolution ou création ?

« Le modèle évolutionniste ne colle pas avec les faits scientifiques, contrairement au modèle créationniste d’un plan intelligent ».
Arthur WILDER-SMITH(1915-1995)
Expert en chimie et pharmacologie, détenteur de 3 doctorats

mardi 5 février 2013

La meilleure preuve


Une brave femme, marchande de fruits, avait reçu un Nouveau Testament. Elle avait senti dans son cœur que là était la vérité.
Etablie dans un coin du marché avec son modeste étalage, elle profitait des moments où elle n'avait pas de clients pour donner un coup d'œil au précieux volume.
Un jour, un monsieur distingué, venu lui acheter quelques fruits, lui demanda :
- Quel livre lisez-vous donc là, ma brave femme ?
Sans hésiter, elle répondit :
- C'est la Parole de Dieu !
- La Parole de Dieu ? La Parole de Dieu ? Qui vous l'a dit ?
- C'est Lui-même !
- Comment ? Lui-même ? Alors II vous a parlé ?
La pauvre femme se trouva fort embarrassée. Elle le fut plus encore quand son client insista pour avoir des preuves qu'elle était bien loin de pouvoir lui donner.
Subitement, elle eut une inspiration :
- Et vous, Monsieur, prouvez-moi que c'est bien le soleil qui brille là-haut !
- Mais ce n'est pas difficile, ma brave femme. La meilleure preuve c'est qu'il est en train de nous éclairer et de nous réchauffer de ses rayons.
- Oh ! C'est la même chose, s'écria triomphalement la brave femme.
La meilleure preuve que ce livre est la Parole de Dieu, c'est qu'il m'éclaire et me réchauffe le cœur.
Tout interdit de cette réponse, le client s'éloigna sans plus insister.
" Ta Parole est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon sentier. "
(livre des Psaumes chapitre 119 verset 105)
" Je me réjouis de ta parole, Comme celui qui trouve un grand butin. "
(livre des Psaumes chapitre 119 verset 162)
Extrait du livre d'André THOMAS-BRES "Anecdotes qui font réfléchir" (Editions J.V.B.)

lundi 4 février 2013

Un rempart contre le déséspoir


  Un pasteur a écrit ceci : "Dans sa Parole, Dieu nous a donné des promesses sur lesquelles on peut s'appuyer lorsqu'on a besoin d'espoir et de confort. Ces promesses nous révèlent la vrai nature de Dieu et Sa relation avec nous.

Quand les problèmes ou les épreuves surviennent ou que la peur nous envahit, on saute souvent aux scénarios les plus pessimistes. On oublie que notre Père, rempli d'amour, nous tient par Sa main."

dimanche 3 février 2013

Charles Spurgeon parle de la priére


" De deux choses l'une: ou la prière vous fera renoncer au péché, ou le péché vous fera renoncer à la prière."
 
" Qui s'entretient avec Dieu en secret, se conduit droitement en public."
" O Chrétiens ! Voulez-vous être heureux ? Priez beaucoup ! Voulez-vous être victorieux du monde ? Priez toujours davantage ! Qui cesse de prier cesse de combattre. C’est la prière qui préserve de la rouille les armes de l’enfant de Dieu … La prière est le navire qui revient au port chargé du plus riche fret ; c’est le terrain qui rapporte à celui qui la cultive la plus abondante moisson." " Confiez-vous en Dieu pour les petites choses autant que pour les grandes. Vous verrez qu'il ne manque jamais. "
Charles Haddon Spurgeon (1834-1892)
Pasteur réformé Baptiste

samedi 2 février 2013

Adorer Dieu en tout temps


" Le cœur qui est en harmonie avec Dieu ne peut s’empêcher de chanter ses louanges." (auteur inconnu)

vendredi 1 février 2013

A l'aide ! C'est trop compliqué !


Je médite de toi durant les veilles de la nuit. J'ai de la joie en ta parole, comme un homme qui trouve un grand butin.
Psaume 63. 6 ; 119. 162

« J'ai bien essayé de la lire votre Bible, mais je n'y comprends rien. C'est long, ça parle de plein de choses, aidez-moi ! »

La Bible peut certes sembler difficile à lire, mais il vaut la peine de persévérer. En fait, elle se compose de deux parties, l'Ancien et le Nouveau Testament.

L'Ancien Testament nous parle des rapports entre Dieu et les hommes avant la venue de Jésus Christ sur la terre.
On y trouve des livres historiques, qui rapportent l'histoire du peuple d'Israël sur plusieurs siècles.
Puis des livres prophétiques, où sont consignés des dialogues entre Dieu et son peuple. On y trouve aussi des livres poétiques, d'une valeur morale et spirituelle élevée.

Le Nouveau Testament présente la révélation de Dieu dans son Fils : Jésus Christ. Les évangiles décrivent la vie de Jésus, sa mort, sa résurrection, son élévation au ciel. Les Actes présentent le début de l'Eglise sur la terre, et les épîtres établissent la doctrine chrétienne.
Enfin, l'Apocalypse lève le voile sur les événements de la fin des temps.

Le sens profond du message de la Bible est spirituel, accessible aux plus simples. C'est à ceux qui acceptent de devenir comme de petits enfants que Dieu se révèle (Matthieu 18. 3). Le propre d'un enfant, c'est de croire ses parents.

Adoptons la même attitude devant la Bible ; son message deviendra clair et vivant pour nous.
Oui, partez à la découverte de ce livre merveilleux. Cherchez-y votre Créateur ; il est aussi votre Sauveur et il se fera trouver de vous.

Source : La Bonne Semence