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vendredi 30 novembre 2012

Retourner à la maison

(Le fils prodigue dit : ) Je m'en irai vers mon père et je lui dirai : “Père, j'ai péché contre le ciel et devant toi... Il se leva et vint vers son père... Son père le vit et fut ému de compassion ; il courut à lui, se jeta à son cou et le couvrit de baisers.
Luc 15. 18-20
Reviens... car je suis bon, dit l'Éternel ; je ne garderai pas ma colère à toujours. Seulement, reconnais ton iniquité.
Jérémie 3. 12, 13

Retourner à la maison
Évangile selon Luc 15. 11-24


"Jésus parle d'un jeune homme qui partit de la maison familiale pour un pays lointain où, d'aventure en aventure et de sensation en sensation, il chercha à “vivre sa vie”. Mais il ne découvrit que déception et solitude. Plus il s'éloignait de la demeure de son père, plus il approchait de la demeure du désespoir. Loin de le mener dans un pays où coule le lait du bonheur, le voyage du prodigue le conduisit à l'auge où mangent les porcs.

Cette parabole est un rappel constant du fait que l'homme est fait pour la Maison du Père (Dieu) et que toute fugue vers une région lointaine n'apporte que déception et nostalgie. La parabole nous enseigne plus encore : ce jeune ne redevint lui-même que lorsqu'il décida de retourner à la maison. Il retrouva un père aimant qui l'attendait, les bras ouverts et le coeur rempli d'une immense joie. Quand l'âme trouve sa vraie demeure, il y a toujours de la joie. L'homme rebelle s'est égaré dans les régions lointaines du matérialisme, des dérives sexuelles, de l'injustice... Son voyage a provoqué dégradation morale et famine spirituelle. Mais il n'est pas trop tard pour retourner à la Maison. "
D'après un texte de Martin Luther King, pasteur et Prix Nobel de la Paix


Source : La Bonne Semence 2007



Vous reconnaissez-vous dans ce “fils prodigue” ? Revenez à Dieu. Reconnaissez vos erreurs, votre condition de pécheur. Il est ce Père aimant qui pardonne par Jésus Christ. Ce retour sera le point de départ d'une nouvelle vie, la vraie, celle qui apporte la paix, une joie durable et la sécurité.

jeudi 29 novembre 2012

La rencontre de ma vie


Voici le témoignage d'un professeur d'université :
“De tout ce qui m'est survenu, l'événement le plus important reste le jour où j'ai pris conscience que Jésus est vivant. Il n'est pas seulement une figure historique du passé, un homme bon, mais ensuite mort et disparu. Jésus Christ est le Fils de Dieu, mort pour nous tous et ressuscité d'entre les morts. Il offre maintenant la vie à quiconque se confie en lui.
J'ai fait ce pas de la foi. Alors Jésus a donné un sens concret et solide à mon existence sur la terre. Aussi, plus que toute autre chose au monde, je veux conduire ma vie pour lui. Côtoyer Jésus chaque jour constitue la relation la plus libératrice qui soit. Car il me comprend mieux que moi-même. Il m'affranchit progressivement de mes doutes, de mes incompréhensions, de mes faiblesses, et me rend capable de découvrir ce que je suis, une créature fragile. Il m'aime et me pardonne, là même où je penserais être impardonnable
Si Jésus n'était pas vivant, je ne pourrais pas écrire comme je le fais en ce moment. Son amour me garantit sécurité et espoir dans ce monde instable et changeant. Rien ne peut me séparer de lui. Vivre pour lui, avec l'incitation et l'aide de son Esprit, reste pour moi le plus incroyable défi accordé aux hommes”.
“La vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ” (Jean 17. 3).
Source : La Bonne Semence

mercredi 28 novembre 2012

"Quelle est la chose la plus importante au monde ?"


"J'ai eu l'honneur d'être un jour invité à partager le petit déjeuner de Konrad Adenauer (1876-1967) quand il était encore chancelier de l'Allemagne fédérale (entre 1949 et 1963). Je m'attendrais à trouver un homme assez raide, poli, peut-être embarrassé de parler de sujets religieux.
Après m'avoir salué, Mr Adenauer me dit brusquement : "Mr Graham, quelle est la chose la plus importante au monde ?" 

Sans même me donner le temps de répondre, il ajouta : "C'est la résurrection de Jésus-Christ. S'il est vivant, le monde a encore de l'espoir. Si Jésus est resté dans sa tombe, je ne vois pas la moindre lueur d'espérance à l'horizon."
Il m'étonna par son affirmation, à savoir que la résurrection de Jésus était un des évènements les mieux attestés de toute l'histoire.
"Quand je prendrai ma retraite, m'a-t-il dit, j'ai l'intention de passer le reste de ma vie à rassembler les preuves scientifiques de la résurrection du Christ."
C'est le fait de la résurrection de Jésus qui poussa ses disciples à parcourir le monde pour le bouleverser, comme de jeunes révolutionnaires pleins d'ardeur. Ils annonçaient que le Christ est vivant. Quel message, pas seulement à Pâques, mais chaque jour de l'année."
Billy Graham, pasteur américainAlmanach spirituel
Editions Alta
 

mardi 27 novembre 2012

Rembrandt à la crucifixion


Lorsque Rembrandt mourut en 1669, le notaire qui fit l’inventaire de ses biens écrivit : "Le seul livre qu’on ait trouvé dans sa maison est une Bible".
Très jeune, Rembrandt illustra de nombreuses scènes bibliques dans lesquelles il s’est souvent représenté lui-même au milieu des personnages. Avec cette différence que, dans ses œuvres de jeunesse, on le reconnaît parmi les spectateurs, alors qu’avec l’âge, le peintre devient un participant. On sent Rembrandt entré dans le mystère de Dieu, et qu’il peint ses tableaux, non plus de l’extérieur, mais réellement de l’intérieur.
Dans l’un deux, on voit des hommes affairés à dresser la croix sur laquelle Jésus est cloué : Rembrandt s’est peint lui-même sous les traits du personnage qui aide à mettre la croix debout. La gravité désespérée de son visage, le regard accusateur du chef des soldats, mettent l’accent sur la responsabilité individuelle de chacun. Nous avons tous contribué à la mort de Jésus…
Peu à peu, le peintre saisira cette grande vérité pour lui-même et ses tableaux laisseront apparaître un homme émerveillé, gagné par l’amour de Jésus, le Fils de Dieu.
Source : Topchretien

lundi 26 novembre 2012

C.S. Lewis raconte sa conversion au christianisme


L’écrivain C.S. Lewis a décrit dans son livre « Surpris par la joie » (1955) sa conversion au christianisme.

« J'affirmais que Dieu n'existe pas. J'étais cependant furieux contre lui parce qu'il n'existait pas, et également furieux parce qu'il avait créé le monde. »
« Imaginez-moi, tout seul, dans ma chambre d’étudiant, soir après soir, sentant, chaque fois que ma pensée s’écartait même pour une seconde de mon travail, l’approche implacable et régulière de Celui que je ne voulais à aucun prix rencontrer. Ce que j’avais tellement redouté m’arrivait finalement. Vers le temps de la Trinité, j’ai dû capituler, et admettre que Dieu est Dieu.
Je me suis mis à genoux et j’ai prié. J’étais, ce soir-là, sans doute le converti le plus récalcitrant et le plus affligé de toute l’Angleterre. Je ne voyais pas à ce moment-là ce qui est aujourd’hui pour moi la réalité le plus lumineuse : l’humilité divine qui accepte de recevoir un converti même à ces conditions-là.
L’enfant prodige, lui, est au moins rentré chez lui sur ses jambes. Mais comment célébrer assez l’amour qui ouvre tout grand le portail pour accueillir un prodigue qu’on ramène trainant les pieds, se débattant, furieux, et regardant de tous cotés pour trouver un moyen de s’enfuir ?
Les paroles compelle intrare, contrains-les d’entrer, ont été tellement utilisés abusivement par les méchants qu’elles nous répugnent ; mais, bien comprises, elles permettent de mesurer la profondeur de la miséricorde de Dieu. La dureté de Dieu est plus tendre que la douceur des hommes, et ses contraintes sont notre libération. »

dimanche 25 novembre 2012

Considérer les promesses de Dieu



"O homme, je te conjure de ne pas considérer les promesses de Dieu comme des curiosités de ce monde mais d'y croire et de les employer."
Charles Spurgeon, pasteur anglais du 19ème Siècle.

samedi 24 novembre 2012

Le constat d'un écrivain sur la Nature

Si j'ai l'impression que la Nature elle-même fait le choix décisif des possibilités à réaliser où la théorie quantique dit qu'il peut y avoir plus d'un résultat, alors je pourvoie la Nature d'une personnalité, c'est-à-dire, quelque chose qui est toujours partout. La personnalité Eternelle et omniprésente qui est omnipotente dans la prise de décisions qui n'ont pas encore été déterminées par les lois physiques est exactement ce qui, dans un langage de la religion, est appelé Dieu.
F.J. Belinfante
Écrivain scientifique
  
If I get the impression that Nature itself makes the decisive choice what possibility to realize, where quantum theory says that more than one outcome is possible, than I am ascribing personality to Nature, that is to something that is always everywhere. Omnipresent eternal personality which is omnipotent in taking the decisions that are left undetermined by physical law is exactly what in the language of religion is called God.
F.J. Belinfante
A scientist writer

vendredi 23 novembre 2012

Changement interne


"Rien n’atteint le cœur qui ne vienne du cœur, ou ne perce la conscience qui ne vienne d’une conscience vivante."
William Penn (1644-1718), réformateur protestant aux USA.

jeudi 22 novembre 2012

Quel usage de la liberté ?

Walter J. Chantry a écrit : " La liberté peut être un instrument qui donne gloire au Dieu très haut ou elle peut être un rideau utilisé pour protéger nos plaisirs charnels entretenus (1 Pierre 2,16). Tu peux découvrir, en t'analysant toi-même ton cœur, quel usage de la liberté dont tu fais dans ton cœur."

Walter J. Chantry wrote : "Liberty may be an instrument for giving glory to the Most High, or it may be a curtain used to shield base indulgence of the flesh (I Peter 2:16). You may discover by self-examination of your heart which function liberty serves in your life."

mercredi 21 novembre 2012

C.S. Lewis parle du diable



L'écrivain C.S. Lewis (auteur du monde de Narnia) a dit un jour que nous commettions généralement l’une des ces deux erreurs à l’égard du diable :
- soit nous lui accordons une attention imméritée.
- soit nous l’ignorons complètement.
Quel est ton opinion face à cette affirmation de C.S. Lewis ?

mardi 20 novembre 2012

Certitudes et incertitudes sur la mort

"Rien n’est plus certain que la mort, rien n’est plus incertain que l’heure de la mort."
(auteur anonyme)

lundi 19 novembre 2012

Aimer Dieu pour apprendre à aimer mon prochain

C'est en apprenant à aimer Dieu, que j’arrive à aimer mon prochain au moins autant que moi-même.
Le philosophe et écrivain C.S Lewis a écrit à ce sujet : « Plus nous nous débarrassons de ce que nous appelons « notre moi », et laissons le Christ s’emparer de nous, plus nous devenons vraiment nous-mêmes… Mais plus je Lui résiste en essayant de vivre replié sur moi-même, plus je me trouve dominé par mon hérédité, mon éducation, mon environnement et mes désirs naturels… Si votre « moi » est votre unique intérêt vous ne trouverez en fin de compte que haine, solitude, désespoir, rage, ruine et déchéance. Mais recherchez le Christ. Vous le trouverez et, avec lui, tout le reste vous sera donné par surcroît. »[1]
[1] Les fondements du christianisme C S Lewis Editions LLB
Conclusion : Un vieux proverbe dit : « Si tu veux être beau, arrête-toi chaque jour une minute devant la glace, 5 minutes devant ton âme, et ¼ d’heure devant Dieu.. »

dimanche 18 novembre 2012

Deux citations sur le christianisme




Une personne inconnu a écrit : “Jésus vous aime! Vous êtes les amis privilégiés de Jésus.”
“Le christianisme consiste à être en Dieu avec une personne vivante, avec Jésus-Christ.”

Que penses-tu de ces deux citations ?

samedi 17 novembre 2012

Dans les prisons d'Ouganda


"J’ai compté fermement sur le Seigneur,Il s’est penché vers moi, Il a entendu mon appel." (Psaume 40:2)
Un jour, un chrétien a visité les caves qui servent de prison à Kampala, en Ouganda. C’est un endroit horrible, où le dictateur Idi Amin faisait souffrir des innocents avant de les tuer.
Un des hommes qui allait être tué était Joshua, pasteur de l’Eglise du Plein Evangile à Kampala.
Joshua avait toujours prêché le message de l’amour et du pardon. Des miracles avaient eu lieu dans son église. Dieu était à l’oeuvre.
La police secrète d’Idi Amin avait fait part au dictateur de la formidable croissance de l’église, et celui-ci avait ordonné l’arrestation du pasteur Joshua. Il fut jeté dans cette prison, en attendant d’être exécuté. Il cria au Seigneur: "Seigneur, j’ai peur aide-moi Seigneur Je n’ai pas peur de la mort, mais j’ai peur d’être torturé avant d’être tué." Il faut dire que de nombreux prisonniers ne furent pas tués par balles, mais à coups de marteau.
"Seigneur, fais que le premier coup soit mortel, s’il te plaît."
Un miracle eut lieu dans cette sombre prison. Joshua le raconte ainsi: "Tout à coup une lumière se mit à briller dans ma sombre cellule. J’entendis une voix qui disait: tu n’es pas seul, je suis avec toi, pour toujours!"
Toute crainte disparut, je tombai à genoux en louant le Seigneur. Je dus avoir chanté du plus fort que je pouvais, car soudain la porte de ma cellule s’ouvrit et deux policiers me tirèrent dehors. Je pensai que le moment de ma mort était arrivé, mais je continuai à louer mon Seigneur. Lorsque l’officier me vit, il dit aux deux policiers: "Vous avez entendu comme il chante! Cet homme est complètement fou. Il ne sert à rien de le tuer. Jetez-le dehors!"
1. Nous ne sommes jamais seuls, jamais, jamais.
2. Il y a une puissance dans la louange à Dieu.
3. Dieu contrôle toujours la situation.
Qu’est-ce qu’un homme peut désirer de plus?

vendredi 16 novembre 2012

Plus blanc que la neige



La reine Victoria d'Angleterre (1819-1901)visita un jour, incognito, une fabrique de papier proche de sa résidence. Ignorant au départ l'identité de la visiteuse, le directeur lui montra par quels processus des chiffons d'une saleté repoussante et d'une odeur nauséabonde devenaient du papier d'un blanc éclatant. La reine en fut stupéfaite !
Quelques jours plus tard, elle reçut un paquet de feuilles de papier magnifiques, portant chacune ses initiales et son portrait. L'expéditeur n'était autre que le directeur de l'usine qui avait par la suite découvert l'identité de la visiteuse inconnue. Il joignit au colis les mots suivants : “J'espère que Votre Majesté voudra bien accepter un échantillon de mon papier. Je lui assure que chacune de ces feuilles a été faite avec ces vieux chiffons qu'elle a vus. Votre Majesté me permettra d'ajouter que la transformation de ces étoffes a été, pour plusieurs dans ma fabrique, une vraie prédication. J'y ai appris moi-même que Jésus Christ peut nous purifier, nous qui sommes flétris par le péché et encore plus souillés que ces chiffons, de telle façon que nos péchés qui sont rouges comme le cramoisi, deviennent blancs comme neige. Bien plus, j'ai compris que Dieu peut mettre dans nos cœurs son image, de même que le portrait de Votre Majesté est mis sur le papier. Et comme le papier peut plaire même à une reine et être accepté par elle, ainsi le pauvre pécheur, lavé de ses péchés par le sang de son Sauveur, peut avoir sa place préparée au ciel et être reçu par Dieu dans la gloire”.

jeudi 15 novembre 2012

La prière


Dieu juge attentivement si en répondant à notre prière celle-ci va être profitable pour nous-même et/ou les autres. Dans le cas contraire Dieu ne nous exauce pas et ce pour notre bien, prévoyant autre chose de mieux, préférable pour nous et/ou les autres personnes pour qui on prie.
Auteur inconnu

mercredi 14 novembre 2012

L'envie inconsciente du ciel chez les Hommes


L'auteur C.S. Lewis affirme qu’on a souvent envie du ciel, mais sans s’en rendre compte.
Il s’explique :
"La plupart des gens, s’ils avaient vraiment appris à lire dans leur propre cœur, sauraient qu’ils aspirent très fortement à quelque chose que ce monde ne peut leur donner. Tout ce qui s’offre à nous ici-bas ne tient jamais totalement ses promesses. Nos aspirations, lors de notre premier amour ou d’un projet de visite de pays étrangers, ou lors de l’étude d’un sujet passionnant, ne peuvent se réaliser ni par le mariage, ni par un voyage, ni par la recherche approfondie. (…) L’épouse peut être excellente, les hôtels ou le paysage de toute beauté, et la chimie un travail fort intéressant, nous restons toujours insatisfaits."
Ce que C.S. Lewis dit ici, c’est que même les plus belles joies de ce monde ne parviennent jamais à nous rendre pleinement heureux.

mardi 13 novembre 2012

Meilleur héritage : la Bible



A la fin du texte d'une Bible manuscrite dans l'église arménienne d'un village de la province de Sébaste, le copiste raconte l'histoire suivante :
"Quatre frères héritèrent de leur père une maison. Cette maison ne pouvait se diviser qu'en trois parties. Mais le père avait aussi laissé une Bible, considérée comme la quatrième part de l'héritage.

Lorsque les frères eurent tiré au sort pour déterminer la part de chacun, celui qui reçut la Bible fut ravi de sa bonne fortune et les trois autres l'envièrent terriblement..."

lundi 12 novembre 2012

L'influence de Jésus sur notre monde


"Je me demande ce qu'il resterait de la civilisation et de l'histoire si l'on éliminait l'influence directe ou indirecte de Jésus Christ sur la littérature, l'art, la vie quotidienne, la morale et la créativité dans les différentes activités de la pensée et de l'esprit."
Dr. Charles Malik (1906-1987), Libanais 

Président de l'Assemblée générale des Nations unies (1958–1959)

dimanche 11 novembre 2012

Comment bien témoigner ?


Ne parle jamais de Dieu sans parler à Dieu.
Samuel Coleridge

samedi 10 novembre 2012

Aimons la vérité

« Aimons la vérité qui nous reprend et méfions-nous de celle qui nous flatte. »
Louis Bourdaloue Prédicateur français (1632 - 1704)

vendredi 9 novembre 2012

Serviteurs terrestres du Dieu céleste

Quelqu’un a dit : « Ce n’est pas que nous rendons un service à Dieu quand nous travaillons pour Lui, mais plutôt c’est Lui qui nous honore en nous permettant de Le servir ». 
Hudson Taylor écrit à ses parents en 1860: "Nous sommes des enfants de Dieu aux ordres de Dieu pour faire l'œuvre de Dieu".

jeudi 8 novembre 2012

Une énigme


II est rempli, et pourtant vide... 
II est léger... et pourtant... lourd...
Dans l'abondance, il reste... vide...
Il entend... quand il est sourd...
Qui est-ce ?
Le cœur de l'homme, quand il n'est pas régénéré, transformé.
" Mon fils, donne-moi ton cœur. "
(livre des Proverbes chapitre 23 verset 26)
Extrait du livre d'André THOMAS-BRES "Anecdotes qui font réfléchir" (Editions J.V.B.)

mercredi 7 novembre 2012

Le but de la louange

La conductrice de louange nord-irlandaise Kathryn Scott parle ainsi de son dernier album de louange : “ Je crois que lorsqu’on conduit la louange, on fait entrer les gens dans la présence de Dieu tout en faisant de la place pour une rencontre puissante. J’ai commencé à comprendre que le Seigneur me demande d’être une partenaire dans ce processus. 'We Still Believe' est le témoin des étapes de cette démarche de foi. Ma prière, c’est que toutes les personnes qui écoutent cet album ressentent la présence de Dieu et s’engagent entièrement dans tout ce que Dieu a en réserve pour eux”.

mardi 6 novembre 2012

La foi pascalienne

"La foi est un don de Dieu." 
Blaise Pascal

lundi 5 novembre 2012

Dieu selon Alexis Carrel



Dr Alexis Carrel (1873-1944) Philosophe et biologiste français. Prix Nobel de médecine en 1912, auteur de, «La prière» et «Puissance de la prière».
" C'est par la prière que l'homme va à Dieu et que Dieu entre en lui. II est absurde de prier le matin et de se conduire le reste de la journée comme un barbare. De très courtes pensées ou invocations mentales peuvent maintenir l'homme en présence de Dieu. Toute la conduite est alors inspirée par la prière. Ainsi comprise la prière devient une manière de vivre. "



dimanche 4 novembre 2012

Des athées parlent de la Bible (3)



Thomas Henri Huxley (1825-1895)
Naturaliste anglais et grand adversaire scientifique du christianisme,
« Je dois confesser combien perplexe je me suis trouvé en cherchant une base de conduite morale pour l'état chaotique de notre temps, sans l'emploi de La Bible. »


samedi 3 novembre 2012

La foi de Ampère

"Que Dieu est grand et que notre savoir n’est rien ! La vérité de Dieu demeure éternellement. Que mon âme reste unie à Dieu et à Jésus-Christ."
André-Marie AMPÈRE (fondateur de l’électrodynamique)

vendredi 2 novembre 2012

Dieu est-il coupable de tout ce qui ne va pas dans le monde ?


En quelques mots, j’aimerais souligner juste un ou deux points.
La première chose, c’est que la vision biblique du monde connaît une tension à propos du problème du mal, car la Bible affirme à la fois la toute-puissance de Dieu, l’existence du mal et la justice. Mais voilà, si Dieu est tout-puissant, et si le mal existe, est-ce que ça n’implique pas que Dieu est injuste, qu’il est coupable de ce qui ne va pas dans le monde ? La Bible répond non à cette question.
Alors de deux choses l’une : ou bien la Bible se trompe, et vous pouvez très bien arriver à cette conclusion, ou alors la tension que maintient la vision biblique concernant le problème du mal est une tension qui rend bien compte de la complexité du monde dans lequel nous vivons.
La Bible vit avec cette tension et l’assume. Par exemple, on en trouve dans le livre du prophète Habakuk qui se plaint ainsi à Dieu de ce qui ne va pas dans le monde : « Jusqu’à quand, Eternel, vais-je crier à toi ? Tu n’écoutes pas. J’ai crié vers toi pour dénoncer la violence, mais tu ne secours pas ! Pourquoi me fais-tu voir le mal et contemples-tu l’injustice ? Pourquoi l’oppression et la violence sont-elles devant moi ? Il y a des procès et des conflits partout. Aussi, la loi est sans vie, le droit est sans force, car le méchant triomphe du juste et l’on rend des jugements corrompus » (Hab 1.2-4).
La Bible ne prétend pas répondre à la question de l’origine du mal. Elle dit au contraire qu’il faut vivre par la foi, sans savoir pourquoi Dieu permet que le monde soit comme il est, mais en sachant cependant que Dieu n’est pas le coupable de tout ce qui ne va pas dans le monde, et qu’au contraire l’homme a une grande responsabilité dans tout cela.
Car lorsqu’on pose la question : « Dieu n’est-il pas coupable de tout ce qui ne va pas dans le monde ? », on est en fait en train de se trouver une excuse, pour dire que finalement, si Dieu existe, ce n’est pas de la faute des hommes, tout ce qui ne va pas, mais c’est la faute de Dieu. Autrement dit, nous cherchons à nous débarrasser de notre responsabilité.
La Bible va cependant à l’encontre de cette réaction que nous pouvons naturellement avoir. Elle énonce que l’homme est doublement coupable de ce qui ne va pas dans le monde. Premièrement, parce que chacun de nous, individuellement, nous sommes des personnes fondamentalement égocentriques qui ne cherchons que notre intérêt et qui semons par conséquent la zizanie. Et deuxièmement, par cet égocentrisme nous attirons sur notre monde le jugement de Dieu. Et donc nous sommes d’une certaine façon responsables même du mal qui ne provient pas directement du cœur mauvais de l’homme (par exemple les tsunamis ou les épidémies) car un des jugements de Dieu sur l’humanité rebelle, c’est le dérèglement de la création. Et puisque nous sommes doublement coupables, il nous faut trouver un sauveur qui prendra sur lui notre culpabilité.
Intervention prononcée par Pierre-Sovann Chauny dans le cadre des
Dialogues Veritas des universités de la Rive Gauche, à Paris, le 4 avril 2008.

jeudi 1 novembre 2012

Espérer


“Partout, dans tous les milieux, on ne parle que de désespérance. Le monde a besoin de gens qui parlent d’espérance”
Auteur inconnu