Les
Journées Mondiales de la Jeunesse en septembre 1997 ont eu un tel
succès qu'un éditorialiste de renom les a ainsi commentées :
«
L'homme a besoin de Dieu. Il lui faut sortir de lui-même. Il rêve de
ciel, de salut, d'au-delà. C'est ce que n'ont pas compris les princes du
matérialisme. La société sans Dieu que l'on nous prépare est une
société de fantômes ».