Conclusion
James S. Stewart raconte la vie et l’oeuvre de D.L. Moody à Birmingham, Angleterre. Lorsque Moody prêchait dans une campagne d’évangélisation, un sceptique était présent tous les soirs, pour observer et critiquer les méthodes de l’évangéliste. Plus tard, il est venu vers M. Moody pour lui dire : “J’ai observé cette mission que vous avez conduite, et j’en suis venu à la conclusion qu’elle est vraiment de Dieu, parce que je ne vois aucune relation entre votre personne et les résultats de votre travail. Ainsi, tout cela doit venir de Dieu !” (James S. Stewart, The Wind of the Spirit (Nashville : Abingdon Press, 1975), 23.
D.L. Moody était un homme qui demandait à Dieu d’étendre son territoire. Il fit cette déclaration : “Le monde verra bientôt ce qu’un homme totalement vendu à Jésus Christ pourra accomplir. Par la grâce de Dieu je veux être cet homme !”
D. L . Moody était un homme infatigable.
Il se levait à 4h00 du matin pour rencontrer son Dieu, pour prier et étudier sa Bible.
Sa vie a été ainsi jusqu’à la fin.
Quand il était mourant d’un cancer, un orchestre de l’école Moody est venu lui chanter “Plus près de toi, mon Dieu”. Il s’est redressé : “Chantez-moi plutôt un gospel bien entraînant !” Il a fait venir son frère Luke : “Nous avons mené beaucoup de batailles ensemble ; dans cinq minutes je serai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de sa justice”.
Le 16 novembre 1899, la foule était de 15,000 personnes, il a prêché son dernier sermon.
Des centaines de personnes se sont converties.
Le 22 décembre 1899 fut le jour le plus court de l’année.
À six heure du matin, il s’endormit d’un sommeil léger.
Puis ses proches l’entendirent s’écrier d’une voix très forte : " Si c’est cela la mort, il n’y a pas de vallée. C’est glorieux. J’ai passé le seuil et j’ai vu les enfants! (Deux de ses petits-enfants étaient décédés). Je vois la terre qui s'éloigne et le ciel qui s'ouvre sur le jour de mon couronnement! Dieu m’ appelle!"