La résurrection du Christ a toujours été
considérée comme l’enseignement central
du christianisme. «
Si la résurrection n’est pas un fait historique,
alors la puissance de la mort demeure, et avec
elle, toutes les conséquences du péché », (James Hastings, A Dictionary of Christ and the Gospels, volume 2, page 514).
Michael Green, dans son ouvrage Man Alive, est catégorique : « Sans la foi en la résurrection, le christianisme n’existerait pas ». W. Robertson Nicolls, citant un autre auteur, déclare : « Le tombeau vide [du Christ] a toujours été le berceau de l’Eglise », (The Church’s One Foundation, page 150).