Si je suis élevé de la terre (sur une croix) , j'attirerai tous les hommes à moi-même.
Jean 12. 32
Il faut que le Fils de l'homme soit élevé (sur une croix) , afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu'il ait la vie éternelle.
Jean 3. 14-15
Le « Cristo redentor » à Rio de Janeiro
Dominant la baie de Rio de Janeiro, le monument du Christ rédempteur est une statue impressionnante de 30 mètres de haut, représentant le Christ ressuscité, les bras grands ouverts. Chacune de ses mains, qui porte la marque des clous, pèse 8 tonnes. D'une extrémité d'une main à l'autre, l'envergure est de 28 mètres. Ce monument a été conçu par un artiste brésilien et réalisé par le sculpteur français Paul Landowski.
Mais ce qui en fait tout l'intérêt, c'est sa position géographique. Placé sur un piton rocheux, en face du « Pain de sucre », il est visible de tous les quartiers de cette ville gigantesque d'environ dix millions d'habitants. Sans nous attacher à ce qui n'est que de la pierre, nous réalisons que chaque habitant de cette cité bruyante peut, s'il le désire, contempler le « Cristo redentor » qui se détache sur le ciel et penser alors à Celui qu'on a voulu représenter. Il lui suffit de lever la tête.
En parlant de sa mort sur la croix, élevé entre ciel et terre, exposé aux regards de tous, le Christ l'avait déjà annoncé : « J'attirerai tous les hommes à moi ». Il est mort. Il est ressuscité le troisième jour. Il a été élevé dans la gloire. Il est aujourd'hui vivant, et ses mains, qui portent pour toujours la marque des blessures faites par les clous, restent ouvertes, prêtes à bénir. Sommes-nous tellement habitués à ces choses que nous n'y faisons plus attention, comme sans doute beaucoup de Brésiliens qui ne remarquent plus leur immense statue ? Ou bien est-ce si difficile au milieu de notre vie trépidante de lever les yeux vers Jésus ?
Mais ce qui en fait tout l'intérêt, c'est sa position géographique. Placé sur un piton rocheux, en face du « Pain de sucre », il est visible de tous les quartiers de cette ville gigantesque d'environ dix millions d'habitants. Sans nous attacher à ce qui n'est que de la pierre, nous réalisons que chaque habitant de cette cité bruyante peut, s'il le désire, contempler le « Cristo redentor » qui se détache sur le ciel et penser alors à Celui qu'on a voulu représenter. Il lui suffit de lever la tête.
En parlant de sa mort sur la croix, élevé entre ciel et terre, exposé aux regards de tous, le Christ l'avait déjà annoncé : « J'attirerai tous les hommes à moi ». Il est mort. Il est ressuscité le troisième jour. Il a été élevé dans la gloire. Il est aujourd'hui vivant, et ses mains, qui portent pour toujours la marque des blessures faites par les clous, restent ouvertes, prêtes à bénir. Sommes-nous tellement habitués à ces choses que nous n'y faisons plus attention, comme sans doute beaucoup de Brésiliens qui ne remarquent plus leur immense statue ? Ou bien est-ce si difficile au milieu de notre vie trépidante de lever les yeux vers Jésus ?