Le célèbre prédicateur D.L. Moody a un jour fait le récit de l’histoire d'une chrétienne qui était toujours rayonnante et très optimiste, bien qu'elle fut confinée dans sa chambre à cause de la maladie. Elle vivait, raconta-t-il, dans un appartement du grenier au cinquième étage d'un vieux bâtiment à prix modique.
Une amie, qui allait la visiter fréquemment, a un jour amené une autre personne : une non chrétienne. Puisqu'il n'y avait aucun ascenseur, les deux dames, qui avaient un certain âge, commencèrent la longue montée vers le haut.
Quand elles atteignirent le deuxième étage, la femme non chrétienne émit la remarque suivante : « Quel endroit sombre et sale ! » Son amie répondit : « C'est mieux plus haut. »
Tandis qu’elles accédèrent au troisième, une nouvelle remarque fut faite par la dame : « Les choses semblent encore pires ici. » De nouveau, la réponse lui vient : « C'est mieux plus haut. »
Les deux femmes parvinrent finalement au niveau du grenier, où ils trouvèrent la chrétienne clouée au lit. Un sourire sur son visage émettait la joie qui remplissait son cœur.
Bien que la pièce fut propre, avec des fleurs posées sur l'appui de la fenêtre, la femme non chrétienne n’en revenait pas de l'environnement dans lequel cette femme vivait.
Elle lui dit donc à brûle-pourpoint : « Cela doit être très difficile pour vous de vivre dans un endroit comme celui-ci ! »
Sans un instant d’hésitation, la chrétienne lui répondit : « C'est mieux plus haut. »
Cette chrétienne, nous dit Moody, ne regardait pas aux choses temporelles. Ses yeux étaient fixés sur les réalités éternelles ! Avec les yeux de la foi, elle avait trouvé le secret de la vraie satisfaction et du contentement.
Une amie, qui allait la visiter fréquemment, a un jour amené une autre personne : une non chrétienne. Puisqu'il n'y avait aucun ascenseur, les deux dames, qui avaient un certain âge, commencèrent la longue montée vers le haut.
Quand elles atteignirent le deuxième étage, la femme non chrétienne émit la remarque suivante : « Quel endroit sombre et sale ! » Son amie répondit : « C'est mieux plus haut. »
Tandis qu’elles accédèrent au troisième, une nouvelle remarque fut faite par la dame : « Les choses semblent encore pires ici. » De nouveau, la réponse lui vient : « C'est mieux plus haut. »
Les deux femmes parvinrent finalement au niveau du grenier, où ils trouvèrent la chrétienne clouée au lit. Un sourire sur son visage émettait la joie qui remplissait son cœur.
Bien que la pièce fut propre, avec des fleurs posées sur l'appui de la fenêtre, la femme non chrétienne n’en revenait pas de l'environnement dans lequel cette femme vivait.
Elle lui dit donc à brûle-pourpoint : « Cela doit être très difficile pour vous de vivre dans un endroit comme celui-ci ! »
Sans un instant d’hésitation, la chrétienne lui répondit : « C'est mieux plus haut. »
Cette chrétienne, nous dit Moody, ne regardait pas aux choses temporelles. Ses yeux étaient fixés sur les réalités éternelles ! Avec les yeux de la foi, elle avait trouvé le secret de la vraie satisfaction et du contentement.