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jeudi 31 mai 2012

Bonne nouvelle!




Dieu a donc décidé de venir Lui-même sur terre, prendre un corps humain, vivre une vie parfaite sans péché, et payer le plein prix de tous les péchés que les hommes avaient et allaient commettre.
La Bible chrétienne nous raconte comment Dieu est descendu sur terre en la Personne de Jésus. Jésus a accompli plusieurs miracles pour prouver qu’ Il est Dieu et Il est mort d’une mort affreuse à la croix.
Que faut-il pour posséder un tel Ami, un tel Sauveur ? Venir à Lui avec vos péchés, votre misère, votre inquiétude, tout le fardeau qui pèse sur vos épaules, fardeau inconnu des hommes mais bien connu de Lui : venir à Lui, et accepter le pardon qu’Il vous offre, le salut qu’Il vous a acquis au prix de son sang.
Auteur inconnu

mercredi 30 mai 2012

Avoir un coeur neuf


Quelqu'un a écrit : “ Il est facile à Dieu de raccommoder un cœur brisé à condition qu’on lui en donne tous les morceaux ”

mardi 29 mai 2012

Les critères du bonheur

Quelqu'un a écrit : " Le bonheur dépend de ce que vous êtes et non de ce que vous avez".



dimanche 27 mai 2012

Le ciel et la Bible


La Bible parle peu de ciel. Ce qu’elle nous en dit, c’est que nous serons là où est Jésus. Le Seigneur veut avoir les siens dans sa compagnie ; et cela suffit à quelqu’un qui l’aime, Christ est là : sa présence définit le lieu ; elle répond à tout.
Auteur inconnu

samedi 26 mai 2012

Une question de point de vue

"Mieux vaut une manière imparfaite de faire les choses qu’une manière parfaite de ne rien faire."
Billy Graham

vendredi 25 mai 2012

Pardon immérité


Lorsque je dis aux gens qui ont été maltraités que leur pleine guérison exige qu’ils pardonnent à la personne qui leur a fait du tort, ils me répondent souvent : « Mais vous ignorez à quel point j’ai été blessé! » 
Ils ont raison, mais l’amertume, comme un cancer, pénètre chaque aspect de notre vie. La colère et le ressentiment s’épanchent, nuisent à nos relations et nous mènent à prendre de mauvaises décisions.
Il est impossible de se venger d’une personne sans se détruire soi-même. 
Voici pourquoi le Seigneur nous appelle à suivre son exemple et à user de grâce envers tous (Éphésiens 4.32). 
Lorsque quelqu'un nous blesse, nous pourrions croire qu’il ne mérite pas notre pardon, mais prenons conscience du fait que nous n’étions pas dignes du sacrifice de Jésus sur la croix.
La crucifixion était un mode d’exécution lent et atroce, mais le pire tourment qu’a subi Jésus a été de porter le péché du monde et de souffrir l’abandon de son Dieu (Matthieu 27.46). Jésus nous a donné le meilleur exemple de pardon lorsqu'on a tiré ses vêtements au sort et qu’il a dit : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font » (Luc 23.34). L’amour et la douceur infinis de Jésus vous aideront à surmonter votre affliction, votre colère et votre amertume.
On pardonne par choix; il s’agit d’un acte de service envers le Seigneur, d’un témoignage envers la personne qui nous a blessés et d’une étape essentielle à notre guérison. 
Même si les actes commis contre nous ont été horribles, Dieu exige que nous fassions preuve de miséricorde. Pour notre propre bien et pour sa gloire, il veut que nous abdiquions notre « droit » de punir ceux qui nous ont fait mal.

Auteur inconnu

jeudi 24 mai 2012

Remercier Dieu



Si tu remerciais Dieu pour toutes les joies qu'il te donne, il ne te resterait plus de temps pour te plaindre.

Maître Johannes Eckhart (1260 - 1327)


Théologien dominicain

mercredi 23 mai 2012

Un dieu d'amour et de justice


"L’amour de Dieu n’a aucun sens sans le Calvaire (l'endroit où est mort Jésus). Le Calvaire n’a aucun sens sans la sainte et juste colère de Dieu"
Jerry Bridges

mardi 22 mai 2012

La résurrection de Jésus : du doute à la certitude (6)

6- Lord Darling

Président du tribunal du Banc du Roi en Grande-Bretagne:
«Il existe des preuves tellement irréfutables, positives et négatives, directes et indirectes, qu'aucun jury intelligent au monde ne pourrait manquer de rendre un verdict reconnaissant pour vraie l'histoire de la résurrection.»
(A layer examines the Bible, Grand Rapids, Mich., Baker Book House, 1943, p 14 ; Linton H.Irwin).
Source : http://www.info-bible.org/histoire/resurrection.htm#_Toc74

lundi 21 mai 2012

Jésus, une histoire vraie ?


En effet, au moment fixé par Dieu, alors que nous étions encore sans force, le Christ est mort pour des pécheurs.
A peine accepterait-on de mourir pour un juste; peut-être quelqu'un aurait-il le courage de mourir pour le bien. Mais voici comment Dieu nous montre l'amour qu'il a pour nous: alors que nous étions encore des pécheurs, le Christ est mort pour nous.
Romains 5, 6-8

Fabien était en train de lire le récit de la mort de Jésus dans l'évangile.
Ce n'est pas une lecture pour toi, dit son père, ce sont des contes !
Papa, on parle de quelqu'un qui a été battu, qu'on a cloué sur une croix, est-ce que ce n'est pas une histoire vraie ? Est-ce que cet homme était méchant ?
Ne t'occupe pas de ça, rends-moi ce livre et arrête tes questions. Va jouer dehors.
Le garçon avait été profondément marqué par sa lecture ; et le père se sentait mal à l'aise.
Quelques jours après, Fabien est au lit avec une très forte fièvre et, dans son délire, il répète : "Pourquoi est-ce qu'ils l'ont tué ?"
Le père explique au médecin intrigué : "C'est une histoire qu'il a lue avant de tomber malade."
Pendant la nuit, en veillant son fils, il repense à son mensonge et se sent de plus en plus coupable d'avoir oublié Dieu ; il se voit comme il est, un homme superficiel, pécheur devant Dieu. Il prend cette évangile, le lit et découvre qui est Jésus et pourquoi il est mort sur une croix.
Quand l'enfant ouvre les yeux, le père lui dit doucement : "Tu sais, Fabien, l'histoire que tu as lue l'autre jour, eh bien, elle est vraie.
C'est qui Papa ?
C'est Jésus Christ, le Fils de Dieu.
Pourquoi ils l'ont tué ?
Le père ému, serre son garçon dans ses bras : "Il est mort pour toi et pour moi, pour nous sauver et nous préparer une place avec lui dans le ciel."
Et il lui raconte la belle histoire vraie du Seigneur Jésus.

dimanche 20 mai 2012

Comment ne plus vivre dans l'inquiétude ?


"Le contraire de l'inquiétude ce n'est pas l'insouciance, mais la confiance en Dieu. Le contraire de l'abattement, ce n'est pas l'envie de vivre, mais la dépendance par rapport à Dieu."
Auteur anonyme

samedi 19 mai 2012

Allié ou ennemi ?

" Dieu n'est pas contre nous à cause de notre péché. 
Il est avec nous contre notre péché !"
Auteur inconnu 


vendredi 18 mai 2012

La meilleure traduction de la Bible


(Aux chrétiens de Corinthes, l'apôtre Paul dit : ) Notre lettre, c'est vous : elle est écrite dans nos cœurs, connue et lue par tous les hommes ; car vous êtes manifestés comme la lettre de Christ,... écrite non avec de l'encre, mais par l'Esprit du Dieu vivant.
2 Corinthiens 3. 2, 3

On demandait à un étudiant en théologie quelle traduction de la Bible il trouvait la meilleure. Sans hésitation, il répondit : “C'est celle de ma mère. Elle ne connaissait ni l'hébreu ni le grec, mais sa vie de chrétienne a été pour moi la meilleure des traductions de la Bible. C'était une traduction vivante. On pouvait lire en elle ce que la Bible dit”. Cette chrétienne imitait donc son Maître, Jésus Christ. En introduisant l'évangile qui porte son nom, Luc en donne le résumé : “Tout ce que Jésus commença de faire et d'enseigner” (Actes 1. 1). Faire d'abord, enseigner ensuite. Montrer par ses actes la réalité de ses convictions.

Source : La Bonne semence

jeudi 17 mai 2012

L'athéisme selon Victor Hugo

"L'athéisme dresse contre Dieu un procès-verbal de carence"

Victor Hugo

Ecrivain français (19ème Siècle)

mercredi 16 mai 2012

Le pire péché humain

Un écrivain a dit : « Le pire péché que l’on puisse commettre contre les gens n’est pas de les haïr, mais plutôt d’être indifférent à leur égard ; c’est cela la plus cruelle inhumanité. »

mardi 15 mai 2012

La Bible vous attend


«Une des caractéristiques des livres scientifiques, c’est qu’ils sont très vite démodés et doivent être remplacés par de nouveaux.
C’est une cause de fierté que les progrès scientifiques soient assez rapides dans tous les domaines pour rendre les livres scientifiques périmés pour la génération qui suit. En réalité, chaque livre technique commence à être dépassé avant que l’encre soit sèche sur ses pages.
Bien qu’elle traite des sujets les plus grands et les plus importants –tels que la vie, la mort, le bien, le mal- la Bible est toujours la meilleure et la seule autorité.
Sur des tels points, les siècles de progrès, d’avancement des connaissances ne peuvent rien ajouter à ce que dit la Bible, toujours nouvelle et adaptée aux besoins du jour. En fait, elle n’est pas dépendante de la science. Le progrès technique ne peut la dépasser. Les générations se succèdent et chacune trouve la Bible qui l’attend, comme une inépuisable mine de connaissances sur les questions essentielles de la vie. »
D’après Philippe MauroLa parole qui vit.
Au seuil du vingt et unième siècle, la Bible est aussi actuelle qu’au premier siècle. Elle répond aux questions essentielles que chaque génération n’a pu manquer de se poser. La Bible est à votre disposition aujourd’hui. Comme beaucoup de ceux qui vous ont précédés, cherchez-y les vérités essentielles et indémodables dont vous avez besoin pour votre vie et pour votre avenir éternel.
Extrait de « Vivre aujourd’hui » 200342, chemin de Lautagne – 26000 VALENCE

lundi 14 mai 2012

La fin de John Knox


En 1572, à soixante-sept ans, le fidèle réformateur protestant écossais terminait sa carrière.

"Jamais encore, disait-il à ceux qui veillaient dans sa chambre, le diable ne m'avait livré un combat pareil à celui que je viens de soutenir. Souvent, il avait placé mes péchés devant moi pour m'effrayer. Maintenant, il a changé de tactique. Ce vieux serpent rusé a voulu me persuader que je mérite le ciel parce que j'ai été fidèle dans mon service. Mais, Dieu soit béni, j'ai pu repousser cette tentation en lui répondant: "Par la grâce de Dieu, je suis ce que je suis" (1 Corinthiens 15, 10). Maintenant, j'ai remporté la victoire et je serai bientôt dans le lieu où il n'y a plus de combat. Joie et repos dans le Seigneur".

Voici encore une de ses dernières recommandations à son secrétaire:

"Lisez-moi, chaque jour que j'ai encore à vivre, le chapitre 12 de l'évangile de Jean, le chapitre 53 d'Esaïe, et surtout le chapitre 14. de Jean, car c'est là que j'ai jeté l'ancre pour la première fois, et là que mon âme est encore ancrée maintenant".

Le 24 novembre 1572, vers onze heures du soir, il poussa un soupir et dit: "C'est le moment!".

Son secrétaire s'approcha de lui: "Maître, pensez aux promesses consolantes du Seigneur, que vous nous avez si souvent répétées. Puisque vous ne pouvez plus parler, faites-nous un signe pour nous montrer que vous vous reposez entièrement sur l'œuvre du Seigneur Jésus".

John Knox leva la main, et peu de temps après son âme entra dans le repos.


dimanche 13 mai 2012

La foi


Ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi, la foi au Fils de Dieu qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi.

Galates 2. 20
Le mot “foi” est souvent employé d'une manière inappropriée. Certains déclarent avoir foi en telle ou telle chose, en la science, par exemple. D'autres n'hésitent pas à dire : “J'ai foi en moi !” D'autres considèrent la foi chrétienne comme une croyance simpliste et sans fondement.
La Bible déclare la force et la substance de la foi : “La foi est l'assurance de ce qu'on espère, et la conviction de réalités qu'on ne voit pas” (Hébreux 11. 1). Elle ne dépend pas de choses visibles, c'est une conviction appuyée sur ce que Dieu a dit : “La foi vient de ce qu'on entend... par la parole de Dieu” (Romains 10. 17). Elle nous fait recevoir avec confiance et soumission les vérités qu'il nous révèle. Elle se traduit en actes.
La foi tient pour certain que Jésus Christ est Dieu, qu'il est mort crucifié pour expier nos péchés, qu'il est ressuscité et monté au ciel, et qu'il va bientôt revenir chercher tous ceux qui auront cru en lui.
La foi est le seul moyen pour échapper à la perdition, et être sauvé (Romains 10. 9). Elle est le seul moyen pour être accepté par Dieu : “Sans la foi il est impossible de lui plaire” (Hébreux 11. 6), car ne pas croire ce que Dieu déclare, c'est le tenir pour menteur. Par elle nous sommes rendus justes (Romains 5. 1), notre cœur est purifié (Actes 15. 9)et notre vie est en sécurité (1 Pierre 1. 5).
Par la foi, le croyant est rendu capable d'accomplir des œuvres agréables à Dieu (Hébreux 11).
Être sauvé par la foi, c'est un don de Dieu (Éphésiens 2. 8). Il l'accorde à tous ceux qui le lui demandent. Accepter ce que Dieu dit, ce qu'il donne, c'est avoir la foi.
Source : La Bonne Semence

samedi 12 mai 2012

Etre en souci

Être en souci est stupide. La Bible dit : « Ne vous inquiétez de rien ». Si vous êtes en souci, vous désobéissez. … En fait si la Bible est vraie – et elle l'est- la crainte, le souci, l'anxiété remettent en cause la fidélité de Dieu. Nous semblons alors dire : « Dieu, tu ne dis pas la vérité. ». Or Philipiens 4,19 dit « Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse avec gloire, en Jésus-Christ ».
Corrie Ten Boom, Reflets de la gloire de Dieu,page 31


vendredi 11 mai 2012

Quand un malheureux crie

Le cri du pauvre monte jusqu'aux oreilles de Dieu mais n'atteint pas celles de l'homme.
Anonyme

jeudi 10 mai 2012

La vraie reconnaissance


John Wesley avait environ 21 ans quand il partit étudier à l'université d'Oxford. Il venait d'une famille chrétienne, était intelligent et bien de sa personne. A cette époque, il était un peu snob et sarcastique.
Une nuit cependant, un événement commença à changer le cœur de Wesley. Alors qu'il parlait à un porteur de bagages, il découvrit que le pauvre homme n'avait qu'un seul manteau et qu'il vivait dans de si pauvres conditions qu'il n'avait même pas de lit. Pourtant, cette personne était inhabituellement joyeuse, pleine de gratitude envers Dieu.

Wesley, quelque peu immature, se moqua sans tact de l'infortune de cet homme. « Pour quelles autres raisons remerciez-vous Dieu ? » demanda-t-il avec un brin de sarcasme.
Le porteur sourit et, dans un esprit d'humilité, répondit avec joie : « je le remercie de ce qu'il m'a donné la vie et un corps, un cœur pour l'aimer, et, par dessus tout, un constant désir de le servir ! ».
Profondément touché, Wesley reconnut que cet homme connaissait la signification de la vraie reconnaissance.
De nombreuses années plus tard, en 1791, John Wesley était allongé sur son lit de mort à l'âge de 88 ans. Ceux qui l'entouraient réalisaient à quel point il avait retenu cette leçon de remercier Dieu en toutes circonstances.
Malgré son extrême faiblesse, il commença à chanter un cantique : « Je prierai mon Créateur tant que je respirerai. »

mercredi 9 mai 2012

La grande surprise


Dans un train régional allemand, deux hommes parlaient de l'au-delà. L'un d'eux affirmait avec assurance qu'après la mort tout est fini. L'autre en était moins sûr et avançait de prudentes objections.

Assis dans le même compartiment, un vieux paysan suivait la discussion avec intérêt. Son visage buriné portait les marques d'une vie de travail et de peine, mais aussi de réflexion et d'harmonie intérieure.

Le premier interlocuteur se mit à claironner : “Si quelqu'un veut encore croire à ces vieilles histoires, libre à lui. Il peut bien y croire jusqu'à sa fin. Aurait-il le courage de s'exprimer ici ? Mais pour moi, ce qui est certain, c'est que quand on est mort, on est bien mort, et qu'aucune porte ne s'ouvrira sur l'au-delà... Ou alors ce sera la surprise !”

À ce moment-là, le vieil homme ne put plus se contenir. “Si j'ai bien entendu, dit-il d'une voix profonde comme s'il se parlait à lui-même, on a débité de belles sornettes ! On pense que celui qui est mort et bien mort peut encore être surpris ? Tout n'est donc pas fini… Et cette surprise pourrait bien être celle d'un incroyant, en particulier de celui que nous venons d'entendre… Quand il mourra, et que s'ouvrira pour lui la porte de l'Éternité devant Dieu, je pense bien que là, ce sera vraiment la grande surprise. Et on ne pourra pas plaisanter.”

Le silence tomba d'un coup sur le compartiment ; personne n'avait plus envie de rire.

mardi 8 mai 2012

Voir Dieu


"Je voudrais voir votre Dieu", disait l'empereur romain Trajan (53-117 après Jésus Christ) à un rabbin juif.

"Aucun mortel ne peut le regarder" répondit celui-ci.

Comme l'empereur insistait, le rabbin ajouta : "Essayez alors de commencer par regarder un de ses ambassadeurs"; et il engagea l'empereur à observer le soleil par un ciel sans nuage.

"Je ne peux pas, avoua Trajan, la lumière m'éblouit".

"Si vous ne pouvez contempler la gloire d'une de ses créations, comment supporteriez-vous la gloire de son Créateur, qui est d'une magnificence incomparable, et que le langage humain ne peut décrire ?"

lundi 7 mai 2012

Deux éléments importants du christianisme

Alister McGrath écrit dans son livre Jeter des ponts page 164 : « Tout au long de l’histoire, le christianisme a considéré la résurrection et l’incarnation comme des éléments essentiels à sa propre compréhension historique ; toute tentative d’éliminer ou de modifier radicalement ces doctrines aboutirait à une forme de christianisme en rupture de continuité avec les formes historiques qui ont accompagné son développement. »
Il dit aussi page 169 " Un christianisme qui rejette l’incarnation de Dieu en Jésus-Christ n’est pas en mesure de placer de façon convaincante la personne de Jésus-Christ au centre de la foi chrétienne. »
C’est en s’appuyant sur cette réalité que le message de l’Evangile, la bonne nouvelle, sera prêché dans le monde entier. C'est pourquoi il dit page 170 : « La foi en la résurrection et en l’incarnation a favorisé le développement et l’expansion du christianisme, et continue de le faire. La vitalité, la profondeur et l’enthousiasme de la foi chrétienne dépendent finalement de ces doctrines. »
Car quelle serait la crédibilité d’une « nouvelle naissance » qui exclurait l’incarnation du Fils de Dieu mort pour nos péchés ?
Article écrit par Delphine, membre du GBU d'Orléans

dimanche 6 mai 2012

La vie de prière (2)


Quelqu’un a dit:
« L’acte essentiel de la prière ne consiste pas à faire plier la volonté de Dieu devant la nôtre, mais à faire plier notre volonté devant la sienne. L’idée juste de la prière d’un chrétien n’est pas: « Seigneur, fais pour moi ce que je veux », mais « Seigneur, fais en moi, avec et par moi, ce que tu veux! »

samedi 5 mai 2012

Jésus, un Sauveur vivant


Jésus qui était de Nazareth, vous savez comment Dieu l'a oint de l'Esprit Saint et de puissance, lui qui a passé de lieu en lieu, faisant du bien ... lui qu'ils ont aussi fait mourir ... mais Dieu l'a ressuscité le troisième jour. Actes 10. 38-40
Jésus, un personnage extraordinaire
A sa naissance, il effraye un roi ; encore tout jeune, il surprend les théologiens les plus savants ; adulte, il montre qu'il commande à la nature en marchant sur les vagues et en imposant le calme à la mer démontée.
Il ne possède ni champ de blé ni navire de pêche, mais il nourrit cinq mille personnes avec une telle abondance qu'on remplit ensuite douze corbeilles avec les restes des pains et des poissons.
Il guérit les malades sans aucun médicament et ne réclame rien pour ses services. Il fait marcher les boiteux, rend la vue aux aveugles, chasse les démons, ramène des morts à la vie.
Il n'a écrit aucun livre et pourtant toutes les bibliothèques du monde racontent ce qu'il a fait.
Quand il est abandonné par Dieu, la nature, œuvre de ses mains, réagit à cette douleur unique dans l'histoire : la terre se couvre de ténèbres. Quand il meurt, elle tremble. Trois jours après, il sort du tombeau.
Quoique près de deux mille ans se soient écoulés depuis sa mort sur la croix et sa résurrection, il vit toujours, proclamé Seigneur par Dieu lui-même, reconnu par les anges, redouté par les démons et adoré par ceux qu'il a sauvés.
Jésus est-il pour toi un Sauveur vivant ?
Source : La Bonne Semence 2000

vendredi 4 mai 2012

Bertrand Russel dit pourquoi il ne croit pas en Dieu



Quand on interrogeait Bertrand Russell, le brillant philosophe athée, sur ce qu’il dirait au jour du jugement quand Dieu lui demanderait : « Pourquoi n’as-tu pas cru en Moi ? »


Russell répondait : « Je lui rétorquerais : "Il n’y avait pas assez de preuves ! Pas assez de preuves !"»
Es-tu d'accord avec la réponse de Bertrand Russel ?
Merci d'avance pour ta réponse.

jeudi 3 mai 2012

Des athées parlent de la Bible (1)


Friederich Nietzsche (1844-1900)
"Par delà le bien et le mal" dans « le phénomène religieux »
« Dans l'Ancien Testament juif, le livre de la justice divine, on trouve des hommes, des choses et des paroles d'un si grand style que les textes sacrés des Grecs et des Hindous n'ont rien à mettre en regard. On est saisi de crainte et de respect en présence de ces vestiges prodigieux de ce que l'homme était jadis. »

mercredi 2 mai 2012

Si semblable et pourtant si différent


Un pasteur a écrit ces lignes : "Jésus est venu sur la terre comme un homme. Rien dans son apparence ne le différenciait des autres. Beaucoup ne voyaient en lui que le fils d'un charpentier dont on connaissait la famille. Pourtant sur cet homme, le ciel s'est ouvert et Dieu a déclaré : “Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai trouvé mon plaisir”.
Même si la plupart de ses contemporains ne l'ont pas distingué, Jésus Christ était différent des autres hommes. Seul homme conçu du Saint Esprit, dans le ventre de Marie, Jésus, Fils de Dieu, était sans péché. Il était à la fois pleinement homme et pleinement Dieu.
Pleinement dévoué à la volonté de Dieu son Père qui l'avait envoyé, il apportait l'amour divin, même à ceux qui cherchaient à le faire souffrir. Alors que l'orgueil, la haine et l'égoïsme caractérisent l'humanité tout entière, Lui s'est dévoué durant toute sa vie, humblement et sans se lasser, pour soulager les misères qu'il rencontrait. Ses paroles, son comportement, mettaient à nu la méchanceté de l'homme, en sorte qu'on a tout fait pour se débarrasser de lui. On l'a crucifié entre deux brigands. Cloué sur une croix, il a accepté de mourir pour sauver ceux qui étaient perdus.
Mais il est ressuscité et éternellement vivant, et chaque croyant peut lui dire : “Tu es plus beau que les fils des hommes” (Psaume 45. 2)."

mardi 1 mai 2012

Sören Kierkegaard parle de Dieu

«Je me suis rendu compte que j’avais de moins en moins de choses à dire, jusqu’au moment où, finalement, je me suis tu. Dans le silence, j’ai découvert la voix de Dieu.»
Sören Kierkegaard
Philosophe et théologien danois (1813-1855)