Mon enfant, Dieu est ton père
Ses bras sont toujours grands ouverts
Arrête de fuir loin de Lui
Reviens à la source de vie.
Si tu veux une vie heureuse
Une vie de bénédictions.
Écoute sa voix chaleureuse.
Tout passe par la capitulation.
Donner sa vie, sa volonté
A celui qui nous a tant aimés,
Nous aime encore tellement tant
Qu'il veut te rendre heureux en Lui dés maintenant.
Vivre heureux en Dieu
Savoir capituler
Renoncer à tout ce
Qui m’empêche de l’aimer.
Texte écrit par Samuel T. le 20 Juillet 2008 à Paris
Une petite anecdote pour illustrer ce chant.
Un dimanche soir Dwight L. Moody vient de prêcher sous une grande tente de cirque à Chicago. Son texte, «Le Fils d'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu.»
Après qu'il ait fini de parler, un petit garçon a été apporté à la plate-forme par un officier qui avait trouvé l'enfant qui déambulait, perdu dans la foule. Dwight Moody l'a pris dans ses bras et a demandé que la foule regarde l'enfant perdu. Il dit : «Le père est plus inquiet de trouver le garçon que le garçon d'être trouvé. C'est pareil qu'avec notre Père Céleste, Il vous a suivi, oh !, pécheur, pendant de longues années. Il vous suit encore ! »
À ce moment un homme avec un visage blême s'est frayé un chemin en jouant des coudes jusqu'à la plate-forme. Le garçon l'a vu et, couru se jeter dans les bras étendus de son père. La multitude qui était témoin de la scène, fut touchée dans son cœur.
«Ainsi,» cria M. Moody, «voyez comment Dieu vous reçoit si vous courrez à Lui aujourd'hui.»