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samedi 30 juin 2012

L'engagement du pardon


" Le véritable pardon, celui dont on parle dans la Bible, est un engagement à prendre chaque jour de votre vie. Les gens ont le plus besoin d’amour quand ils le méritent le moins. Personne n’a jamais dit que ce serait facile. Si Jésus avait attendu que ses ennemis se repentent, il n’aurait jamais prié à la croix : « Père pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font » (Luc 23.34). Bien sûr, il est plus facile de pardonner quand les autres reconnaissent leurs offenses. Mais si c’est une condition préalable, vous ne gagnerez jamais ! Ce que vous ne pardonnez pas, vous devez le revivre ! Pour votre bien, pardonnez, reprenez votre vie en main, et mettez-vous à marcher dans la bénédiction du Seigneur."
Bob Gass

vendredi 29 juin 2012

Le marin thaïlandais



Un jour, Dindhal, un petit garçon thaïlandais de 10 ans, reçoit un dépliant qui parle d'une personne nommée Jésus. Dindhal le lit et a la conviction que ce qu'il vient de lire est vrai. Toutefois, comme il ne comprend pas tout le sens du texte, il interroge ses parents. Ceux-ci, bouddhistes, lui conseillent d'oublier ce qu'il vient de lire.
Bien des années plus tard, Dindhal travaille sur un bateau de croisière. Au cours d'une escale en Alaska, il dispose d'un peu de temps pour visiter le port de Seward et téléphoner à ses parents. À cet effet, il entre dans la “Seaman's Mission” (Mission du Marin), où on lui offre une brochure et un Nouveau Testament écrit dans sa langue maternelle, le thaï. Ravi d'avoir un livre écrit dans sa propre langue, il en commence immédiatement la lecture. Quelle est sa surprise d'y trouver le nom de Jésus, comme dans le dépliant reçu 15 ans auparavant ! Il lit et relit tout ce qui concerne Jésus. Il apprend que Jésus est le Fils de Dieu, un Dieu qui aime tous les hommes et qui a établi un plan pour les sauver de leurs péchés. C'est pour cela que Jésus est venu sur la terre, est mort sur une croix et est ressuscité, pour que tous ceux qui mettent leur confiance en lui soient sauvés. Dindhal veut être de ceux-là et, sans plus attendre, il demande à Jésus d'être son Sauveur personnel. Et c'est plein de joie qu'il retourne à son bateau, serrant contre lui les livres qui lui ont permis d'étancher sa soif de connaître Jésus.
Roeli Elbers-Heij

jeudi 28 juin 2012

Guérir ou mourir ?

" Les blessures de Dieu nous guérissent mais les baisers du péché nous tuent." 
William Gurnall

mercredi 27 juin 2012

Un chant sur Jésus

Jésus sort de la tombe;
Il vit, il est vainqueur;
Déjà la mort succombe
Devant le Rédempteur,
Mortels, chantons sa gloire
Célébrons sa grandeur.
Où donc est la victoire?

Pourrais-je craindre encore
Le sommeil du tombeau?
Non, la mort est l'aurore
D'un jour pur et nouveau.
Christ est la délivrance
Du malheureux pécheur.
Triomphante assurance
Pour qui croit au Sauveur!

Que dans la vigilance
Je maintienne mon cœur
Par la ferme espérance
D'un éternel bonheur;
Et qu'à ma dernière heure
Jésus soit mon appui;
Qu'en son amour je meure
Pour revivre avec lui!

Auteur inconnu


mardi 26 juin 2012

Comment avoir une bonne appréhension de la Bible ?


" Vous n’appréhenderez jamais la Bible et vous ne saisirez jamais la portée de la mort de Christ à la croix avant de comprendre que Dieu est saint, juste et pur. Il ne peut pas regarder le mal." 
Billy Graham

lundi 25 juin 2012

Notre meilleur sujet de prière

"Les promesses de Dieu sont sans aucun doute nos meilleurs sujets de prière."

Auteur inconnu

dimanche 24 juin 2012

La ruse ordinaire de Satan selon Jean Calvin



«C'est la ruse ordinaire de Satan de corrompre et abâtardir par tous moyens qu'il peut la bonne semence de Dieu, afin qu'elle ne mûrisse point pour apporter fruit.»
Jean Calvin (1509-1564), théologien français
Traité des scandales.

Donne le doigt au Diable et il voudra toute la main.

samedi 23 juin 2012

"Dieu est-il mort ? "


"-Dieu est-il mort ? Non, disent-ils : pour avoir le droit de mourir il faut avoir vécu."

(Eugène Pelletan / 1813-1884 / Dieu est-il mort ?)

Cet athée affirme que Dieu n'a jamais existé et donc qu'il n'est jamais mort.
La Bible parle de Dieu qui est descendu sur Terre en devenant un homme à travers la personne de Jésus, son Fils. De plus, la Bible affirme que Dieu existait avant la création du monde (il est le Créateur) et il existera bien après la fin du monde. Dieu est éternel, comme le dit la Bible.
Auteur inconnu

vendredi 22 juin 2012

Une explication du but de la souffrance


“DIEU CHUCHOTE À NOTRE OREILLE PAR LES PLAISIRS,
IL PARLE À NOTRE CONSCIENCE,

MAIS IL HURLE DANS NOTRE DOULEUR.”

The Problem of Pain écrit par l'écrivain anglais C. S. Lewis (mort en 1963)

jeudi 21 juin 2012

Dans ta Parole, o Dieu (Arc en Ciel n° 231)

1. Dans ta Parole, O Dieu, je puise force et vie
Elle est sur mon chemin le guide et le flambeau.
Elle est comme un soleil dont la clarté bénie
Dans l’ombre de la mort fait luire un jour nouveau.

En elle, j’ai trouvé la vérité suprême,
Qui me détournera du mal et de l’erreur.
Elle est comme un miroir, où je me vois moi-même :
Je reconnais enfin combien je suis pêcheur.


2. Mais ta Parole aussi m’apporte le message
Qui me délivrera du poids de mon péché :
Tu t’es donné pour moi, d’un amour qui m’engage.
C’est toi qu'il faut choisir en toute liberté.

Et ta Parole enfin me soutient dans les luttes,
Quand le péché sur moi retrouve son pouvoir.
Par elle, je suis fort et même après les chutes,
Tu m’offres ton pardon et tu me rends l’espoir.


Jean-Jacques Hoseman (1846)

mercredi 20 juin 2012

Parler de Jésus aux autres

Un missionnaire expliquait ainsi sa motivation à témoigner de Jésus aux autres: "S'acquitter fidèlement du message que Dieu nous a confié est un rafraîchissement pour ceux qui le reçoivent, mais aussi une satisfaction pour le cœur de Celui qui nous a envoyé."

mardi 19 juin 2012

Le dernier jour


«Au dernier jour, on ne vous demandera pas ce que vous aurez su, mais ce que vous aurez fait.»
Thomas A'Kempis (1379-1471), écrivain allemand
L'imitation de Jésus-Christ

lundi 18 juin 2012

Le canari


Un chirurgien athée, pensant se rendre intéressant, se moquait de ceux qui croient que l'homme n'a pas seulement un corps, mais aussi une âme et un esprit qui forment la partie la plus importante de son être. « J'ai ouvert bien des cadavres, disait le moqueur, mais je n'ai jamais trouvé une âme dedans ».

Un chrétien convaincu qui était présent lui répondit : « Ouvrez donc le ventre d'un canari, vous n'y trouverez pas son sifflet ! »

dimanche 17 juin 2012

Le reméde à une race humaine rétrograde


Il n’y a que le Christianisme pour nous retenir sur notre pente fatale, pour enrayer le glissement insensible par lequel la race humaine rétrograde vers les bas fonds ; et le vieil Evangile est encore aujourd’hui le meilleur auxiliaire de l’instinct social.(anonyme)

samedi 16 juin 2012

Chanter pour Dieu



Charles Wesley, qui a écrit plus de 6500 cantiques, disait : "Pensez à Dieu en chantant chaque parole pour lui être agréable, en étant constamment en communion avec lui à travers les chants."

vendredi 15 juin 2012

Des athées parlent de la Bible (2)




Heinrich Heine (1797-1856), athée virulent et poète
« Tout est dans ce livre. C'est le Livre des livres: la Bible. »

jeudi 14 juin 2012

L'amour de Dieu n'est ni statique ni centré sur soi


Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point , mais qu'il ait la vie éternelle ".
Jean 3/16.
L'amour de Dieu
L'amour de Dieu n'est ni statique ni centré sur soi .
Il s'ouvre vers l'extérieur et attire les autres .
Dieu révèle ainsi la nature de l'amour véritable, le fondement de toute relation d'amour véritable.
En offrant la vie de son Fils, Dieu a payé le prix fort , le maximum qu'il pouvait faire. Jésus a accepté la sanction que nous méritions, il a payé un prix énorme pour ôter nos péchés; puis il nous a offert la vie nouvelle qu'il a acquise pour nous.
Le verbe " croire " ne désigne pas une simple croyance intellectuelle en la divinité de Christ.
Croire :
C'est placer notre confiance en lui , en sachant qu'il est le seul à pouvoir nous sauver ;
C'est lui confier nos projets présents et notre destinée éternelle;
C'est accepter ses paroles comme fiables et sûres ;
C'est compter sur sa puissance pour nous transformer ;
C'est savoir que nous sommes aimés par lui ;
C'est savoir que je suis précieux pour lui .
Alors si vous n'avez pas encore expérimenté l'amour de Dieu en son Fils Jésus-Christ , appropriez-vous cette promesse de vie éternelle (Jean3/16 )... et croyez !

Source : Didier Biava (LeTrésor Quotidien)

mercredi 13 juin 2012

Un Evangile de grâce


Dans cet Evangile Sacré nous entendons que Dieu sera gracieux envers nous par égard pour Son Fils, pardonnera et éternellement nous sauver, et nous protégera dans cette vie contre la tyrannie du Diable et le monde. À quelqu'un qui correctement apprécie cette bénédiction, tout est une bagatelle autrement. Bien qu'il soit pauvre, malade et méprisé, accablé avec les adversités, il voit qu'il garde plus qu'il a perdu. S'il n'a pas d'argent et de marchandises, il sait néanmoins qu'il a un Dieu gracieux; si son corps est malade, il sait qu'il est appelé à la vie éternelle. Son cœur a cette consolation de la constante: Seulement peu de temps, et tout sera meilleur. ( Martin Luther)

mardi 12 juin 2012

Jésus Christ : la première place lui revient


(Jésus Christ,) Lui est avant tout, et tout subsiste par lui. Et il est le chef du corps, de l'assemblée (ou église), lui qui est le commencement, le Premier-né d'entre les morts, afin qu'en tout il tienne, lui, la première place.
Colossiens 1. 17, 18

Jésus Christ : la première place lui revient

Sur cette terre où il n'y avait pas de place pour lui lors de sa naissance, Jésus Christ tiendra un jour la première place. Il en sera le Roi incontesté.

Jésus Christ tient la première place dans toute la Bible. On le trouve représenté en figure et annoncé dans tous les livres de l'Ancien Testament : dans la Genèse, par exemple, dans l'histoire de Joseph, aimé de son père, vendu par ses frères, élevé ensuite à la tête de l'Égypte. Dans l'Exode, c'est l'agneau sacrifié lors de la Pâque. Dans le Lévitique, les sacrifices et les offrandes parlent de lui. Dans les Nombres, le serpent d'airain, placé par Moïse sur une perche pour sauver ceux qui regardaient vers lui, nous fait penser à Jésus sur la croix, comme il le dira lui-même (Jean 3. 14, 15), etc.

La première place lui est donnée dans le Nouveau Testament : il faut les quatre évangiles pour nous présenter les différents aspects de sa personne et de ses gloires. Les épîtres exposent les conséquences de son œuvre. Enfin l'Apocalypse révèle comment il prendra la première place à la tête du royaume du monde, puis dans le ciel pour l'éternité.

Jésus Christ tient la première place dans la création : “Tout a été créé par lui et pour lui” (Colossiens 1. 16), et c'est lui qui soutient l'univers (Hébreux 1. 3).

Il tient la première place dans la résurrection : il est le premier ressuscité d'entre les morts. Il est le premier glorifié dans le ciel ; le premier dans l'Église (Romains 8. 29).

Maintenant, le Seigneur Jésus désire occuper la première place dans ma vie et dans la vôtre.

Source : La Bonne semence

lundi 11 juin 2012

Obéir à la vérité

Paul aimait comparer la vie chrétienne à une course dans une arène.
Remarquez que « bien courir » dans cette course ne se limite pas seulement à croire la Vérité (comme si le christianisme n’était qu’une certaine connaissance), il n’est pas non plus avoir uniquement un bon comportement (comme si le Christianisme ne se résumait qu’à une bonne conduite morale), mais c’est « obéir à la Vérité » unissant la foi et la conduite.Seulement celui qui obéit à la Vérité est un vrai chrétien. Ce qu’il croit et la façon dont il se conduit sont une seule et même pièce.Sa foi est exprimée par sa conduite, et sa conduite découle de sa foi. Pasteur John Stott (décédé en 2011)

dimanche 10 juin 2012

Les derniers mots d'un prédicateur

" La terre s’éloigne, le ciel s’ouvre, c’est le jour de mon couronnement" Dwight L. Moody (19ème Siècle)

samedi 9 juin 2012

Isaac Newton : Homme de science, homme de foi


Isaac Newton a mené de front avec succès sa foi et la science, avec un art jamais égalé par aucun autre être humain sur la planète.
Isaac Newton (1642-1727) occupa de son vivant à l’Université de Cambridge, en Angleterre, le poste très convoité de professeur de Mathématique. On a dit de lui : « Il était le scientifique le plus réputé de son époque, et on peut dire également le plus influent de l’histoire. »Sa passion pour la Bible, et spécialement pour l’explicitation biblique, la théologie, l’eschatologie et les secrets de la Bible sont au cœur de cette exposition. On estime que dans ce seul domaine, il a rédigé l’équivalent de trois millions de mots.
Un écrivain remarquait : « Newton fut un des derniers grands homme de la Renaissance, un penseur qui étudia les mathématiques, la physique, l’optique, l’alchimie, l’histoire, la théologie, l’interprétation des prophéties et qui a vu des liens entre toutes ces matières. »Un autre auteur déclarait : « Le 21ème siècle part du principe que la religion porte préjudice à la science en la corrompant. Ceci est réfuté d’extraordinaire manière par Isaac Newton qui a réussi a découvrir la composition de la lumière, a déduit les lois du mouvement, a inventé le calcul, estimé la vitesse du son et définit l’attraction universelle, tout en croyant profondément en la souveraineté d’un Etre intelligent et puissant. Loin de compromettre son intégrité scientifique, sa piété a été sa source d’inspiration pour l’étude de la nature et ce que nous appelons aujourd’hui la science. »

UNE LETTRE D’ALBERT EINSTEIN A YAHUDA
Archives d’Albert Einstein, Université hébraïque de Jérusalem
Mon cher Yahuda,
Les écrits de Newton concernant le domaine biblique me semble tout particulièrement intéressants parce qu’ils nous laissent pénétrer profondément l’esprit absolument unique de ce grand homme et sa manière de penser. L’origine divine de la Bible est une certitude pour Newton, certitude en contraste saisissant avec le scepticisme critique qui caractérisait son attitude envers les Églises. Cette confiance l’amena à la ferme conviction que les passages apparemment opaques de la Bible devaient contenir d’importantes révélations et leur clarification obtenue seulement en déchiffrant le langage symbolique de la Bible.
Et Newton a cherché à le déchiffrer, c’est à dire à l’interpréter au moyen de réflexions pointues et systématiques, en utilisant méticuleusement toutes les sources disponibles. Le processus intellectuel qui permit l’élaboration des écrits de Newton au sujet du monde physique nous restera caché, puisque Newton aurait apparemment détruit les versions originales. Mais nous découvrons dans son œuvre consacrée à la Bible et en majeure partie non publiée, une variété d’ébauches et de modifications en cours qui nous donnent un aperçu intéressant du « laboratoire mental » de ce penseur unique.
Albert Einstein, Septembre 1940

vendredi 8 juin 2012

La vie de prière (3)


Le pasteur anglais Robert Sibbes a écrit : "Lorsque nous venons à Dieu par la prière, le diable sait que nous allons puiser de la force pour combattre contre lui et, par conséquent, il s’oppose à nous du mieux qu’il le peut. »

jeudi 7 juin 2012

La Bible de Mary JONES

Posséder une Bible à soi, dans sa langue, est aisé aujourd’hui, mais il fut des époques où la bible était interdite ou rare. Pour assurer sa diffusion dans le monde entier, il fallut que des hommes de foi s’associent et fondent des Sociétés bibliques. L’origine de la plus ancienne de celles-ci - la Société Biblique Britannique et Étrangère, - est due au désir ardent d’une jeune fille d’acheter un exemplaire de la Bible.

Fille d’un modeste tisserand de Llanfihangel-y-Pennant au pays de Galles, Mary Jones était très pieuse, mais elle ne savait ni lire ni écrire, parce qu’il n’y avait pas d’école dans son village. Alors qu’elle avait dix ans, elle apprit qu’un pasteur ouvrait une école dans un village voisin. Elle s’y rendit, mais elle n’avait pas de Bible, aussi pendant six ans elle économisa une à une les petites pièces de cuivre qu’elle gagnait en rendant de menus services. Quand elle eut rassemblé la somme nécessaire à l’achat d’une Bible, elle dut se rendre à Bala, ville distante d’une quarantaine de kilomètres, auprès du pasteur Thomas Charles. Malheureusement celui-ci n’avait plus que trois exemplaires qui étaient réservés depuis longtemps. Attendri par le chagrin de Mary, le pasteur Charles consentit à lui en céder un. Toute à son bonheur, Mary regagna son village.
Deux ans plus tard, le 7 décembre 1802 , le pasteur Charles, alors qu’il assistait à Londres à une séance du comité de la Société des Traités Religieux, raconta la visite, le désespoir et la joie de la jeune fille. De cette réunion naquit l’idée de créer une société qui s’occuperait de la traduction et de l’édition de Bibles pour le monde entier. Après bien des démarches, celle-ci fut fondée le 7 mars 1804. Quant à Mary Jones, elle se maria, alla habiter à Bryncrug et eut huit enfants. L’argent que lui rapportait sa petite activité d’apicultrice, elle le mettait de côté pour l’œuvre des Sociétés biblique et pour la Mission de l’Eglise.

La Bible de Mary Jones

mercredi 6 juin 2012

La science contredit-elle l'existence de Dieu ?


Pierre Lecomte du Noüy (1883-1947)
Biologiste français. Il est arrivé par sa recherche à la conviction de l'existence de Dieu.
"Tout homme qui croit en Dieu doit comprendre qu'aucun fait scientifique, s'il est vrai, ne peut contredire Dieu."
"Qu'on nous permette de rappeler que nombre de nos plus grands savants modernes ont la foi et que les notions acquises en ces quarante dernières années, au lieu de renforcer le point de vue matérialiste, l'ont rendu scientifiquement insoutenable."

mardi 5 juin 2012

Être avec Christ


Un chrétien atteint d'une grave maladie et très affaibli était venu consulter son médecin. Étonnée par le calme et la confiance de son patient, la praticienne reçut ce beau témoignage de sa foi : “Pour moi, en réalité, il y a trois possibilités. La première, c'est que mon Seigneur vienne me chercher : alors, avec tous les croyants, je partirai pour le ciel. La deuxième, c'est que Dieu m'accorde une rémission dans l'évolution de ma maladie et qu'ainsi il me laisse encore quelques jours sur la terre, avec ma famille. Enfin, la troisième chose que j'envisage sans crainte, c'est d'être “endormi par Jésus” : la mort ne me retiendra pas, je serai avec Christ”.

Comme pouvait l'affirmer ce chrétien, les croyants n'attendent pas la mort, mais bien plutôt la venue de leur Sauveur. Elle aura lieu un jour, peut-être très proche, selon la promesse que Jésus a laissée aux siens : “Je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi” (Jean 14. 3). Cette promesse est pour tous ceux qu'il a rachetés, c'est-à-dire tous ceux qui ont confessé leurs péchés devant lui, et accepté sa grâce.

Mais si le chrétien doit passer par la mort, celle-ci ne sera qu'un passage : elle l'introduira auprès de Jésus. Il sait que sa place est prête dans la maison du Père.

lundi 4 juin 2012

Freddie Prinze ou l'histoire du homme insatisfait de la vie

Connaissez-vous Freddie Prinze, de son vrai nom Frederick Karl Pruetzel ? En 1976, à l’âge de 22 ans, il était une des vedettes les plus adulés du monde du spectacle américain. Il était le chéri des téléspectatrices et il venait de participer au grand gala offert à Washington à l’occasion de l’élection du nouveau président des USA, Jimmy Carter. Pourtant ce brillant comédien souffrait d’un vide terrible dans sa vie. Il s’est suicidé le 29 Janvier 1977 à Hollywood. La revue Time du 7 février 1977 a mis un article sur la vie et la mort de Freddie Prinze. En voici les meilleurs extraits. 
Un des ses proches amis, David Brenner, déclara au journaliste du Time : « Il avait brulé les étapes. Ce fut une véritable explosion. C’est dur d’arpenter les couloirs du métro à 19 ans et de rouler dans sa Rolls le lendemain. » 
Le producteur James Komack, aussi très proche de Freddie Prinze, déclara : « Freddie ne voyait rien qui puisse le satisfaire. Il me disait « Il n’y a pas autre choses ? Est-ce tout ? » Et il précisa : « Son découragement profond conscient ou inconscient, venait de cette question qui le hantait : « qu’est-ce que je fais ici ? Où est le bonheur ? ». « Je lui ai souvent dit : « Juste ciel, Freddie, ton bonheur est ici-même ; tu es une vedette. », et il répondait : « mais non, cela ne me donne pas le bonheur. » 
Le commentateur de la revue Time concluait : "C’est l’un des cas les plus extraordinaires d’une évasion hors du ghetto, mais l’évasion n’a pas suffi. " 
Auteur inconnu

dimanche 3 juin 2012

La messagère

Un bateau de plaisance quittait un port pour une traversée emmenant beaucoup de passagers à la recherche des plaisirs.
Sur le pont, une jeune fille distribuait des tracts évangéliques aux plaisanciers. Les uns acceptèrent, d’autres refusèrent poliment, d’aitres se moquèrent d’elle ouvertement en lançant des plaisanteries.
Malgré les moqueries dont elle était accablée, elle continuait fidèlement sa mission.
Soudain se présenta à son esprit cette parole de Dieu : « Jette ton pain sur la face des eaux (avec l’encourageante promesse qui s’ensuivait) car avec le temps tu le retrouveras ».
Aussitôt, elle sorti une petite bouteille de son sac, y glissa un traité sur lequel elle marqua son nom et son adresse, et après y avoir ajouté : « Es-tu prêt à raconter Dieu ? ». Elle le jeta à la mer. Des mois passèrent quand un jour on sonna à sa porte. Le visiteur, après s’être présenté, lui raconta son histoire.
Dans une situation précaire sans issue, il voulait mettre fin à ses jours et, se servant d’une petite embarcation qu’il avait louée, il se laissa aller à la dérive, emportée par le courant, voulant en finir avec la vie. Soudain, il aperçut quelque chose que les flots dirigeait vers son bateau, c’était la bouteille et son précieux contenu. Dieu, par ce moyen parla à son cœur et il se convertit.
Le salut de l’homme au moyen de la grâce de Dieu est une bonne nouvelle pour quiconque veut y croire.

Source : Trésor Quotidien 2000

samedi 2 juin 2012

L'inquiétude selon Jésus


"L'inquiétude, c'est la peur de manquer, elle a donc un lien avec l'accumulation de biens sous diverses facettes, accumulation 'au cas où ...'. Jésus y voit un signe d'incrédulité face à la providence divine, un manque de foi en Dieu."
Louis Schweitzer et Claude Baecher, Consommation et gestion du temps
Emmaus 2008, page 11.

vendredi 1 juin 2012

Le chemin de la foi


On entend dire parfois que, lorsqu'on devient chrétien, tous les problèmes sont résolus : plus de difficultés de relations, plus de blocages internes, une vie riche et heureuse.

Il est vrai qu'en croyant au Fils de Dieu, nous découvrons une paix nouvelle, nous goûtons une joie profonde. Mais le chemin du croyant n'est pas une avenue large et facile, exempte d'épreuves. C'est un chemin étroit, selon l'enseignement de Jésus lui-même.

Le chemin large, dont parle l'évangile, est celui où l'on suit ses désirs, où l'on pense comme le grand nombre, sans se remettre en question. En contraste, sur le chemin étroit, celui où l'on suit Jésus, on peut rencontrer l'incompréhension, le mépris, la moquerie, la mise à l'écart, et parfois même la persécution. Sur le plan personnel, nous connaissons des luttes, des renoncements, et nous pouvons nous retrouver seuls. Mais le Seigneur nous encourage, un pas après l'autre.

Le chemin de la foi est un chemin de patience et de fidélité. Quel bonheur de vivre notre vie quotidienne, dans tous ses détails, en nous confiant simplement en Dieu ! C'est ainsi que l'on progresse, que l'on acquiert l'intelligence et l'expérience de la foi, si nécessaire pour connaître la paix de l'âme. Foi vécue dans l'espérance et l'amour. Chemin de communion, aussi long que notre vie. C'est celui que Jésus Christ nous a montré et sur lequel il désire nous accompagner jusqu'au but. Il n'exclut pas des étapes très heureuses, où Dieu nous fait connaître sa bonté “qui demeure à toujours”.


Source : La Bonne Semence