Nous avons espéré à l'avance dans le Christ.
Ephésiens 1. 12
Nous avons une ferme consolation, nous qui nous sommes enfuis pour saisir l'espérance proposée, laquelle nous avons comme une ancre de l'âme, sûre et ferme.
Hébreux 6. 18, 19
Ephésiens 1. 12
Nous avons une ferme consolation, nous qui nous sommes enfuis pour saisir l'espérance proposée, laquelle nous avons comme une ancre de l'âme, sûre et ferme.
Hébreux 6. 18, 19
Ernest Gordon, prisonnier des Japonais pendant la seconde guerre mondiale, raconte dans son livre « Miracle sur la rivière Kwaï » comment certains de ses camarades d'infortune sont morts presque du jour au lendemain, sans avoir été vraiment malades. Ils n'avaient plus d'espoir et se laissaient mourir, alors que d'autres prisonniers atteints de paludisme, de dysenterie, de béribéri et autres infections s'en sont finalement sortis. Ce témoignage nous rappelle que l'espoir est vital pour l'être humain, non seulement en temps de guerre, mais aussi en temps de paix.
Alors y a-t-il encore un espoir pour le monde dont les problèmes augmentent d'année en année ? Y a-t-il un espoir pour ma vie si je l'ai gâchée par ma propre faute ? La réponse de Dieu à toutes ces interrogations est une personne : Jésus Christ. Lui seul établira une paix, une prospérité durables dans notre monde.
Lui seul peut nous faire prendre un nouveau départ, lorsque nous venons à lui tels que nous sommes. Il nous purifie, et fait de vies gâchées quelque chose de nouveau, quelque chose que Dieu peut approuver.
Il redonne l'espoir et une nouvelle chaleur au cœur. Jésus veut nous donner sa paix, nous faire goûter son amour au travers des tempêtes de la vie.
Il est notre seul espoir pour aujourd'hui et pour demain. Telle est l'expérience d'innombrables croyants de tous âges et de toutes conditions. Cette expérience peut devenir aussi la vôtre.
Source : La Bonne Semence (un calendrier chrétien)