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mercredi 12 février 2014

Dieu , juge et avocat

Un jour, un homme est jugé dans un tribunal pour un crime grave : celui d’avoir assassiné un autre homme.
Après plusieurs séances et entretiens devant le juge, le jour où celui-ci émet son verdict est arrivé : « Coupable ! », s’écrie le juge. « La sentence est la peine capital. »L’homme, atterré et sachant bien qu’il ne peut rien faire pour échapper à cette sentence, revient malgré tout une dernière fois à la charge dans un ultime effort et il
en appelle à un recours auprès du juge.
« S’il-vous-plaît, monsieur le juge, s’il-vous-plaît ! N’y a-t-il rien que je puisse faire pour éviter la peine de mort ? »Le juge lui répond alors : « Vous rien, mais moi si ! »
C’est exactement le constat que Dieu a fait pour chacun d’entre nous.
Il savait très bien que nous ne pouvions rien faire pour échapper à la sentence de mort éternelle qui nous était destinée.

Mais Dieu, qui est le juge, a décidé d’intervenir pour prendre aussi la place de l’avocat et même celle du condamné, soit notre place.
Dieu est dans le rôle du juge, mais aussi celui de l’avocat, il ne peut et ne voudra pas se contredire.
Il ne le peut et il l’a démontré à maintes et maintes reprises (Tout ce qu’Il dit, Il l'accomplit).
Il ne le voudra pas, car il connaît déjà ce qui se produira.
S’Il promet que celui qui met sa foi dans l’oeuvre de son Fils à la croix aura la vie éternelle, (voir 1 Jean 5.12) comment pourrait-il revenir sur sa Parole, d’autant plus qu’Il est à la fois l’avocat qui a pris la place du condamné (en tant que Fils) et à la fois le juge (en tant que Père) ?

«Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. » (Romains 8.1).
Donc, puisque c’est Dieu qui accorde la justification, qui accorde le pardon et qui déclare le jugement, sa justification est un autre élément de preuve de son amour qui
durera toujours.