« L’enseignement de Jésus n’est pas une éthique pour ceux qui attendent une fin du monde proche mais pour ceux qui ont fait l’expérience de la fin de ce monde et de l’avènement dans ce monde, du royaume de Dieu : pour ceux qui savent que ‘les choses anciennes sont passées’ et que le monde est devenu une ‘nouvelle création’, car Dieu y est descendu comme un roi » (Charles Harold Dodd). En d’autres termes, Jésus n’a pas annoncé la fin du monde, mais la fin d’un monde, et cela n’a pas été démenti par les faits.
« Ce qui ressort des Évangiles, c’est une peinture vivante du genre de choses que faisait Jésus, du genre de relations qu’il établissait avec les différentes sortes de gens qu’il rencontrait, et des causes de friction entre les chefs palestiniens et lui… L’ensemble de ces récits, rapportés de beaucoup de points de vue différents, est convergent : il trace l’image distincte d’une personne réelle, agissant dans un cadre identifiable… »
(C.H.Dodd, Le Fondateur du Christianisme, Seuil 1972, p.42).
« Ce qui ressort des Évangiles, c’est une peinture vivante du genre de choses que faisait Jésus, du genre de relations qu’il établissait avec les différentes sortes de gens qu’il rencontrait, et des causes de friction entre les chefs palestiniens et lui… L’ensemble de ces récits, rapportés de beaucoup de points de vue différents, est convergent : il trace l’image distincte d’une personne réelle, agissant dans un cadre identifiable… »
(C.H.Dodd, Le Fondateur du Christianisme, Seuil 1972, p.42).