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samedi 31 mars 2012

Fénelon (1651-1715) parle de Dieu

François de Salignac de La Mothe dit Fénelon (1651-1715) fut un écrivain et un théologien français.
Il écrivit sur la foi :
" Dieu n’a pas attendu pour nous aimer que nous ayons mérité son amour. Avant que le monde fût, avant que nous eussions même l’existence, il avait pensé à nous, et il n’avait pensé qu’à nous rendre heureux.
Le plan conçu dans l’éternité a été mis à exécution dans le temps. La main libérale de Dieu a déversé sur nous des bénédictions sans nombre.
Ni notre ingratitude, ni nos infidélités, qui sont presque aussi innombrables que ses faveurs, n’ont pu épuiser la source de ses dons ou arrêter le cœur de ses grâces.
Ô amour sans bornes qui a fait de moi ce que je suis, qui m’a donné ce que je possède et qui me promet infiniment plus".
Il écrivit sur Dieu :
" Dieu ne cesse de parler ; mais le bruit des créatures au-dehors et de nos passions au-dedans nous étourdit et nous empêche de l'entendre "- Traité du ministère des pasteurs

vendredi 30 mars 2012

“Si vous voulez que je crois en Dieu, il faut que vous me le fassiez toucher”.

Connaissez-vous Nicolas Saunderson, savant et mathématicien anglais (1682-1739) ?Nicolas Saunderson, aveugle de naissance, qui fut professeur de mathématique à Cambridge, s’était fait de l’optique sa spécialité.
Le philosophe et écrivain français Denis Diderot (1713-1784) évoque une conversation qu’aurait tenue Saunderson sur son lit de mort et dans laquelle il aurait déclaré : “Si vous voulez que je crois en Dieu, il faut que vous me le fassiez toucher”.
Auteur anonyme

jeudi 29 mars 2012

Peut-on connaître Dieu ?


Un acteur de grand renom a un jour été honoré lors d’un banquet. Après les cérémonies du repas, on le sollicita à réciter quelque chose pour le plaisir des invités. Il y consentit et demanda s'il y avait quelque chose en particulier que l'assistance aimerait entendre. Il y eut un court silence et ensuite un vieil ecclésiastique se leva. « Pouvez-vous, monsieur » a-t-il dit, « récitez le Psaume 23 ? » 
Un regard étrange s’est alors fait remarquer sur le visage de l'acteur, et pour un court instant, ce dernier est demeuré muet. Se reprenant néanmoins assez rapidement, l’acteur lui répondit : « Je veux bien monsieur — et je le ferai, mais à la condition qu'après l’avoir récité, vous, mon ami, fassiez la même chose. » « Mais je ne suis pas un homme d’une grande éloquence » répondit l'ecclésiastique étonné. « Cependant, si vous le souhaitez, je ferai ainsi. » 
De façon impressionnante, l'acteur commença à réciter le Psaume tenant son public dans la fascination. Lorsqu’il eut terminé, un grand éclat d'applaudissements se fit entendre dans l’assistance. Après la cessation des applaudissements, le vieil ecclésiastique se leva pour monter sur l’estrade. L'assemblée était assise dans un profond silence. Le Psaume fut récité et quand l’ecclésiastique eut terminé, il n'y eut aucun son le plus léger d'applaudissements, mais ceux dans la salle qui avaient les yeux encore secs tenaient leurs têtes baissées.
L’acteur de grand renom, mit la main sur l'épaule du vieil ecclésiastique, et avec une voix tremblante, s'est exclamé en s’adressant aux gens dans la salle : « J'ai atteint vos yeux et vos oreilles, mes amis, mais cet homme a atteint votre cœur. Je connais le Psaume 23, mais cet homme connaît le Berger du Psaume 23. » Source : http://www.egliserepentigny.org/reflexions/archives/2005/08/07/128/peut-on-connaitre-dieu

mercredi 28 mars 2012

Croire en Dieu et croire Dieu


Je demandai un jour à un ami athée s'il n'avait jamais pensé, même un court instant, que Dieu existe.
“Oui”, répondit-il à ma grande surprise. “À la naissance de notre premier enfant, j'ai failli accepter qu'il y avait un Dieu créateur. Quand j'ai regardé cet être humain en miniature dans le berceau, quand j'ai observé ses petits doigts qui se pliaient et quand j'ai vu dans ses petits yeux qu'il nous reconnaissait vaguement, pendant plusieurs mois j'ai failli renoncer à l'athéisme. Pour un peu, mon émerveillement devant cet enfant m'aurait convaincu qu'il y a un Dieu”.
La complexité du corps humain n'est pas la seule preuve de l'existence de Dieu. Elle saute aux yeux quand on regarde le ciel. Cette lueur blanche au-dessus des étoiles et que nous appelons “voie lactée” est en réalité une galaxie composée de milliards de soleils comme le nôtre. Le roi David, dans la Bible, affirme que les étoiles parlent d'un suprême Créateur : “Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l'étendue annonce l'ouvrage de ses mains” (Psaume 19. 1).
Mais Dieu nous a montré bien plus que sa sagesse et sa puissance : il a envoyé son Fils Jésus Christ sur la terre pour révéler la splendeur de tout son être : lumière et amour. Lumière car il met en évidence les motifs cachés de notre cœur. Amour car il a donné son Fils pour nous, pour expier nos péchés. Croire à un Dieu créateur tout-puissant ne suffit pas pour recevoir la vie éternelle ; il faut croire sa Parole. Elle dit à chacun : “Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé” (Actes 16. 31).
Source : La bonne semence

mardi 27 mars 2012

La résurrection de Jésus : du doute à la certitude (4)


4- John Singleton Copley


Procureur général ; reconnu comme l'une des plus grandes intelligences juridiques de l'histoire d'Angleterre. Il est aussi connu sous le nom Lord Lyndhurst. Il fut avocat général du gouvernement britannique, procureur général de G.B., trois fois grand chancelier d'Angleterre :
"Je sais très bien ce que sont des preuves ; et j'affirme que des preuves comme celles que nous possédons sur la résurrection n'ont jamais été réfutées".
(Therefore stand, Grand rapids, Mich., Baker Book house, 1965, p425, 584 ; Wilbur Smith)

lundi 26 mars 2012

L'émerveillement d'un scientifique

Werner von Siemens (1816-1922)
Ingénieur et industriel allemand, créateur de l'électrotechnique. Il imagina le principe de la dynamo. On lui doit la première locomotive électrique et le premier tramway .

« Plus nous découvrons l'harmonieuse loi des forces de la nature, plus nous éprouvons notre modeste contribution à cet univers et notre admiration pour cette infinie sagesse qui règle toute la Création. »

dimanche 25 mars 2012

Nouveau départ



« Arrête de te focaliser sur ce qui n'a pas marché dans ta vie. Avec Dieu, il n'est jamais trop tard pour prendre un nouveau départ ! Tout ce que tu portes dans ton coeur, tes tristesses, tes frustrations, Dieu connait. Il aimerait essuyer les larmes de tes yeux. Si tu lui ouvres ton coeur. »
Auteur inconnu 


samedi 24 mars 2012

Les Paroles de Jésus sur la croix


Les Paroles de Jésus sur la Croix
Les évangiles nous rapportent des paroles que Jésus a prononcées lorsqu'il était cloué sur la croix. Nous allons voir ici ces courtes phrases qu'il nous faut méditer pour connaître qui était Jésus et quel est le sens de sa mort.
Alors même que les clous transpercent ses mains et ses pieds, il intervient en faveur de ceux qui lui font du mal. Et qui est celui qui prie ainsi ? C'est le Fils de Dieu qui va mourir. Jésus seul peut prononcer cette prière sublime, parce que le pardon en question concerne le péché le plus horrible, celui d'avoir crucifié le Fils de Dieu. La mise en croix de Jésus a montré toute la méchanceté humaine, mais elle a démontré dans son absolu l'immensité de l'amour divin : l'amour du Père qui donne le Fils pour le salut de tous ceux qui croient en lui, l'amour du Fils qui se donne volontairement pour des coupables.


Cette parole de Jésus sur la croix est une promesse de salut faite par le Juge suprême à un accusé. Non pas un pardon temporaire, mais la paix éternelle ; non la vie continuée sur la terre, mais le royaume de Dieu et la résurrection pour une vie nouvelle dans le ciel. Au début, les deux brigands crucifiés avec lui insultent Jésus. Par la suite, l'un d'entre eux change d'attitude. Il reconnaît sa culpabilité et témoigne de l'innocence de Jésus : «Nous recevons ce que méritent nos crimes, dit-il à son compagnon, mais celui-ci n'a rien fait qui ne doive se faire». A ce moment crucial, il discerne la perfection de Jésus et le prie : «Seigneur, souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton royaume». La réponse est immédiate, la promesse certaine : «Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis». Pas de phase transitoire, pas de jugement à attendre. Le brigand condamné par les hommes est absous par Dieu. Il reçoit l'assurance du salut par la parole du Sauveur lui-même. Merveilleux avenir apporté par l'œuvre de Jésus ! Jésus est le Sauveur des vies gâchées comme de celles qui ne le sont pas. Ne désespérons pas à cause du mal que nous avons commis. Il a connu l'humiliation la plus grande, l'abaissement le plus profond, la mort honteuse de la croix, afin de nous faire connaître l'amour de son Père. Pour l'éternité !


Nous ne pouvons aborder cette parole de Jésus crucifié qu'avec un profond respect. C'est une parole d'importance capitale, d'une immense densité et qui reste insondable pour nous. Depuis midi, il fait nuit sur Jérusalem. Des ténèbres surnaturelles ont recouvert le pays. Plus de moqueries, plus d'injures, les hommes sont mis de côté. Dieu soustrait son Fils aux regards humains. Ce qui se passe à ce moment-là ne peut être vu ni compris par une créature. Personne ne pourra jamais entrer dans la détresse de Jésus, pendant ces trois heure. Notre Sauveur demeura dans une solitude absolue, abandonné de son Dieu parce qu'il expiait les péchés de tous ceux qui croiraient en lui. Lui, le Fils bien-aimé du Père, était, à ce moment-là, privé de la présence de son Dieu. Pourquoi ? Parce qu'il s'était, par amour, identifié à nous, pécheurs. Il a pris sur lui la malédiction que nous méritions à cause de nos péchés. Souvenons-nous toujours de la souffrance de Jésus sur la croix. Sans les heures d'expiation, personne n'aurait pu être sauvé. Le châtiment de nos fautes serait toujours devant nos yeux. Dans ces heures d'abandon, la sainteté de Dieu brille d'un éclat insoutenable : Eternel sujet d'adoration pour nous, croyants !

J'ai soif. Jean 19.28-29
Les heures de ténèbres, celles de l’abandon de Dieu, celles du sacrifice, sont passées. Expression de souffrance, ou parole d’attente intense ? La soif, ici est associée à la réalité physique des souffrances de la croix, mais aussi à cette parole touchant la sécheresse absolue que nous lisons au Psaumes 102:5-8 « À cause de la voix de mon gémissement, mes os s'attachent à ma chair. Je suis devenu semblable au pélican du désert ; je suis comme le hibou des lieux désolés. Je veille, et je suis comme un passereau solitaire sur un toit. Tout le jour mes ennemis m'outragent ; ceux qui sont furieux contre moi jurent par moi. » Ces paroles viennent en écho à la parole précédente, Psaumes 22:1 « Mon Dieu ! mon Dieu ! pourquoi m'as-tu abandonné ? » Cette cinquième parole n’est pas une demande à l’homme, elle ne lui est pas adressée, mais les hommes l’ont entendue et y ont répondu selon que nous lisons au Psaume 69.21 : « Dans ma soif, ils m'ont abreuvé de vinaigre. » Cette parole rejoint la prière formulée quelques heures plus tôt : Père, je veux, quant à ceux que tu m'as donnés, que là où moi je suis, ils y soient aussi avec moi… (Jean 17.24) et l’annonce au Livre d’Esaïe : Il verra du fruit du travail de son âme, et sera satisfait. (Esaie 53.11). Jésus prit le vinaigre, en accomplissement du Psaume 69.
Tout est accompli. Jean 19.30
Les trois heures de ténèbres sont terminées. Dans un dernier geste d'obéissance, Jésus vient de boire le vinaigre ; il s'écrie alors : «C'est accompli». Sa mission sur la terre s'achève. A sa venue, il avait pu dire : «Je viens pour faire, ô Dieu, ta volonté» (Hébreux 10.7). Maintenant, il a achevé là tout ce que le Père lui avait donné à faire (Jean 17.4). Jésus a parfaitement glorifié Dieu. Chaque croyant peut dire : «Le Fils de Dieu... s'est livré lui-même pour moi» (Galates 2.20). Tout découle de la croix : le salut de chaque croyant, la formation de l'Eglise, l'accès au Père, l'établissement des nouveaux cieux et d'une nouvelle terre «dans lesquels la justice habite» (2 Pierre 3.13)... tout repose sur la mort de Jésus. L'œuvre de Jésus à la croix est parfaite et achevée. Notre confiance quant à notre salut éternel ne peut reposer ni sur nos actions, nos mérites ni sur quoi que ce soit qui vienne de nous-mêmes, mais simplement sur le sacrifice de Jésus Christ, parfait, complet, accepté par Dieu.

Cette dernière parole de Jésus sur la croix évoque toute l'intimité de l'amour et de la communion entre Jésus et son Père. Comme avant les trois heures de ténèbres, Jésus dit à nouveau : «Père». Jésus est mort en victime innocente pour la gloire de son Père et pour permettre aux hommes d’avoir une relation avec Dieu. En parfaite paix, en pleine conscience, Jésus va alors laisser sa vie, donner sa vie. Ayant baissé la tête, il remet son esprit au Père. C'est l'acte final de son sacrifice volontaire. Personne n'avait le pouvoir de lui ôter la vie ! (Jean 10.18), mais il l'a offerte afin que nous puissions recevoir une vie nouvelle, spirituelle, en nous confiant en lui. Jésus va au-devant de la mort, paisiblement, en vainqueur, sachant que Dieu ressuscitera son corps (Actes 2.27). Il a détruit, par sa mort, la puissance du diable (Hébreux 2.14). A la suite de Jésus, nous pouvons, devant la mort, nous confier paisiblement en notre Dieu et Père.
Si une de ces phrases t'a parlé, n'hésitez pas à laisser vos commentaires et a bientôt.

vendredi 23 mars 2012

"La vérité m'a affranchie"


Les chrétiens sont encore loin d’être parfaits ! Mais il est indéniable cependant que Jésus a le vouloir et le pouvoir de briser les carcans qui enserrent certaines personnes à condition qu’elles se remettent à Lui. Dans son livre Is Anyone here ?, l'évangéliste David Watson (1933-1984) rapporte un exemple hors du commun d’une libération opérée par Jésus dans des circonstances très particulières. David Watson avait fait la connaissance de John, incarcéré dans un quartier de Haute Sécurité dans une prison anglaise. Entretemps, John s’était converti dans sa cellule. Il écrivit ceci : « C’est mon cinquième emprisonnement. Je viens d’être condamné à huit ans de détention pour fraude. Mon apparence extérieure était des plus négligées car je ne me lavais jamais. L’intérieur de mon cœur était aussi repoussant : luxure, haine, cupidité, rancune, colère et méchanceté. » Puis cet homme raconte ce qui a changé dans sa vie, après sa conversion à Jésus-Christ. « Je cessai de lire les livres pornographiques ; je cessai de proférer des jurons et d’employer un langage ordurier ; mais le plus grand bouleversement opéré dans ma vie fut ma capacité à aimer ceux que je haïssais farouchement auparavant. J’avais l’impression d’être devenu une nouvelle personne, comme quelqu’un qui vient de naître, et cette œuvre, c’est à Jésus-Christ que je la dois. Pour la première fois de ma vie, je suis un homme libre – libre à l’égard du péché et libéré des immondices qui remplissaient mon cœur pendant tant d’années. La vérité m’a affranchie et la vérité n’est autre que Jésus-Christ en personne. » Source : Michael Green, Le grand dérapage, Editions Farel pages 106-107

jeudi 22 mars 2012

Votre destinée éternelle dépend de votre confiance totale en Jésus-Christ.


Jésus a dit :
Jean 3.16 : " Car Dieu a tellement aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne soit pas perdu mais qu'il ait la vie éternelle. 17 Dieu n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour condamner le monde, mais pour sauver le monde par lui. 18 Celui qui croit au Fils n'est pas condamné; mais celui qui ne croit pas est déjà condamné, parce qu'il n'a pas cru au Fils unique de Dieu.
Jean 6.35 : Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim et celui qui croit en moi n'aura jamais soif.
Jean 8.12 : Je suis la lumière du monde. Celui qui me suit aura la lumière de la vie et ne marchera plus jamais dans l'obscurité.
Jean 10.11 : Je suis le bon berger. Le bon berger est prêt à donner sa vie pour ses brebis.
Jean 10.9 : Je suis la porte. Celui qui entre en passant par moi sera sauvé; il pourra entrer et sortir, et il trouvera sa nourriture.
Jean 11.25 : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s'il meurt.
Jean 14.6 : Je suis le chemin, la vérité, la vie. Personne ne peut aller au Père autrement que par moi.
Jean 15.5 : Je suis la vigne, vous êtes les rameaux. Celui qui demeure uni à moi, et à qui je suis uni, porte beaucoup de fruits, car vous ne pouvez rien faire sans moi.
Jean 17.3 : La vie éternelle consiste à te connaître, toi le seul véritable Dieu, et à connaître Jésus-Christ, que tu as envoyé."
Citations extraites de la Bible

mercredi 21 mars 2012

Dieu agira-t-il ?


« Ayons foi en Dieu et et croyons que Dieu a le pouvoir, l’intelligence, la sagesse et la patience de réaliser ce pour quoi il nous a choisis. »
Thomas Austin-Sparks (1888-1971)

mardi 20 mars 2012

Bible lue à un aveugle


Un jeune homme disait ne plus croire en Dieu. Son pasteur loin de le sermonner, lui demanda s’il voulait bien aller lire quelques passages de la Bible à un aveugle. Ce qu’il fit.
Il raconta alors : "Quand j’ai commencé à lire, il y avait sur son visage une telle joie qu’il écoutait comme transfiguré… Si bien qu’avant la fin de la lecture, j’avais abandonné mes doutes"

lundi 19 mars 2012

Etre plus spirituel que Dieu ?


" Il ne sert à rien d'essayer d'être plus spirituel que Dieu. Celui-ci n'a jamais voulu que l'homme soit une créature purement spirituelle. C'est pourquoi il se sert de choses matérielles telles que le pain et le vin (référence à la Sainte Cène), pour maintenir la vie nouvelle en nous. Nous pensons peut-être que ceci est grossier et sans spiritualité, mais ce n'est pas le cas ».
 
C.S. Lewis

dimanche 18 mars 2012

Le diable et son destin

Jésus Christ s'est donné lui-même pour nos péchés, afin de nous retirer du présent siècle mauvais, selon la volonté de notre Dieu et Père.
Galates 1. 3

Longtemps avant que l'homme ait désobéi, au jardin d'Eden, il existait une créature appelée « le serpent ancien, le diable ou Satan, celui qui séduit la terre habitée tout entière » (Apocalypse 12. 9).
« Car dès le commencement le diable pèche » (1 Jean 3. 8). C'est lui qui a poussé Adam et Eve à la désobéissance. Qui est-il ? Les prophètes en parlent comme d'un ange, créé parfait, doué de beauté, de sagesse et d'intelligence, astre brillant, porte-lumière (Lucifer).
Mais, fier de sa beauté, il s'est élevé orgueilleusement dans son cœur : « L'iniquité s'est trouvée en toi » (Ezéchiel 28. 15).
Il s'est dénaturé lui-même par l'égocentrisme et la méconnaissance des droits du Créateur. « Tu as dit dans ton cœur : ... je serai semblable au Très-haut » (Esaïe 14. 12-14).
Son sort est inéluctable : il sera « précipité de la montagne de Dieu » (Ezéchiel 28. 16).
Déjà vaincu à la croix par le Seigneur Jésus Christ, il sera jeté dans « le feu éternel qui est préparé pour le diable et ses anges » (Matthieu 25. 41).
Le mal est apparu pour la première fois au ciel chez Satan, puis sur la terre chez les premiers hommes.
Mais le plan de Dieu était préparé de toute éternité. Il voulait racheter sa créature déchue, et nous adopter comme ses enfants, par amour (Ephésiens 1. 4-5).
Dès lors les hommes ont la responsabilité de se tourner « des ténèbres à la lumière, du pouvoir de Satan à Dieu ».
Source : La Bonne Semence

samedi 17 mars 2012

L'angoisse de la mort


" Que feras-tu dans l’angoisse de la mort ? A ce moment-là il ne te suffit pas de croire que Dieu peut et qu’il sait te venir en aide : mais il faut que tu croies aussi qu’il veut le faire, car c’est une œuvre indiciblement grande qui doit s’accomplir pour que tu sois délivré de la mort éternelle pour que tu obtienne une félicité sans fin et que tu deviennes l’enfant et l’héritier de Dieu "
Martin Luther en 1521, dans son commentaire du Magnificat

vendredi 16 mars 2012

L'environnement du chrétien


“Le chrétien doit nager dans un océan d’ignorance et se battre contre des montagnes de préjugés et des murs d’indifférence”
Auteur anonyme

jeudi 15 mars 2012

Gérer notre temps


Si on nous avait appris que le temps appartient à Dieu et qu’il nous le donne à gérer, peut-être que nous ne serions pas toujours en train de courir après nos jours, ni de rêver avec nostalgie au bon temps de notre enfance.
Philippe Zeissig, pasteur

mercredi 14 mars 2012

Faire un pas vers Dieu


«Quand on fait un pas vers Dieu, il en fait cent vers vous.»

[ Max Jacob ]
Poéte français juif mort à Drancy (1876- 1944)



Un verset biblique dans l'épitre de Jacques 4,8 "Approchez-vous de Dieu et il s'approchera de vous".
Qu'en penses-tu ?

mardi 13 mars 2012

« J'ai dit non à Dieu »

J'ai vu que tout est l'oeuvre de Dieu, et que l'homme ne peut pas trouver l'oeuvre qui se fait sous le soleil : bien que l'homme la cherche avec peine, il ne la trouve point ; et même si le sage se propose de la connaître, il ne peut la trouver.
Ecclésiaste 8. 17


« J'ai dit non à Dieu »




Jean Rostand reconnaît dans « Inquiétudes d'un biologiste » : « Moins on croit en Dieu, plus on comprend que d'autres y croient ». Et, quant à la question de la foi, il déclare dans le même article : « Je me la pose chaque jour, sans arrêt... J'ai dit non à Dieu, mais à chaque instant la question revient. Je me dis : est-ce possible ? A propos du hasard, par exemple, je me répète : ce ne peut être le hasard qui combine les atomes. Mais alors c'est quoi... ? Biologiquement, il me semble difficile d'expliquer même une fleur par le hasard. Quelque chose me manque... une chaîne de questions viennent, toujours les mêmes. Je suis obsédé, disons le mot, obsédé, sinon par Dieu, du moins par le non-Dieu ».

Nous saluons l'honnêteté intellectuelle du savant et nous déplorons son refus d'introduire Dieu dans sa pensée. Il cherche à expliquer par lui-même le grand mystère de la vie, et c'est en vain. Mais, quand bien même il aurait compris que Dieu a appelé toutes choses à l'existence, tirant les mondes du néant, il ne connaîtrait pas encore le Dieu Sauveur. Et l'œuvre du salut de l'humanité est encore plus incompréhensible que l'œuvre de la création : Dieu sauve des êtres moralement misérables, en consentant à donner son Fils pour eux. Que peut-il y avoir de plus grand ?
Source : La Bonne Semence 2001

lundi 12 mars 2012

Qui peut te connaître ?


Qui peut te connaître, Dieu d'éternité, 
 Toi, Seigneur et Maître, Dieu de sainteté ? 
 Ta grandeur dépasse l'infini des cieux, 
 Et rien ne surpasse ton nom glorieux. 

 Loin de ta présence, l'homme est-il banni ? 
 Non, ta grâce immense a tout aplani. 
 Ô Dieu sans limite, qu'on ne peut toucher, 
 Ton cœur nous invite à nous approcher. 

 Oui, ton cœur de Père a donné Jésus, 
 Jésus, la lumière, Jésus, le salut. 
 Son sang purifie notre iniquité ; 
 Nous avons la vie pour l'éternité. 

 Ce don magnifique est pour tout croyant ; 
 Quelle part unique d'être tes enfants ! 
 Notre chant s'élance au divin séjour, 
 En reconnaissance, vers toi, Dieu d'amour.

Ruth Demaurex

dimanche 11 mars 2012

La vrai foi selon Martin Luther

" Avoir simplement confiance, mais ne rien prescrire à Dieu."
Martin Luther, réformateur protestant allemand du 16ème Siècle.

samedi 10 mars 2012

Le sens des épreuves pour les chrétiens

Nous sommes toujours sur l'enclume; par les épreuves, Dieu nous façonne pour de meilleures choses.
Henry Ward Beecher, poète anglais.

We are always in the forge, or on the anvil; by trials God is shaping us for higher things.

Henry Ward Beecher, English poet.

vendredi 9 mars 2012

L'atout de l'amour


Max Lucado a écrit : “L’arrogance est un chien qui se retourne sur son maître. L’égoïsme est un feu qui consume celui qui l’a allumé. L’amertume est un piège qui se referme sur le chasseur. Mais l’amour est le choix qui délivre de tout cela."
Source : http://www.topchretien.com/topmessages/view/2200/delivrance-accomplie-par-lamour.html

jeudi 8 mars 2012

Ce qu'apporte la prière


La prière est le pont entre la panique et la paix.
Auteur inconnu

mercredi 7 mars 2012

Jésus est Dieu



L'écrivain américain Archibald Rutledge (1883-1973) a écrit en 1941 dans son livre Christ is God :
« Pendant plus de 30 ans de ma vie, l’occupation principale de ma vie a été d’étudier et d’essayer d’enseigner la littérature. A quelqu’un d’aussi sérieusement engagé, il vient naturellement une certaine habilité à distinguer le vrai du faux, l’authenticité de l’inventé. Chaque fois que je lis les Evangiles, je suis plus convaincu que les récits concernant Jésus-Christ n’appartiennent pas au domaine de l’imagination, de la tradition ou du folklore. Il y a en eux la réalité ingénue de la vie elle-même. Ils ne peuvent être, comme le dit aussi l’apôtre Pierre, « des fables habilement conçues ». Les incidents sont tels qu’ils n’auraient jamais pu être inventés, et leurs effets sur le monde depuis 2000 ans ont été tels également qu’aucune imagination n’aurait pu les produire. Ces histoires possèdent le brevet de transparente validité qui n’appartient qu’à la vérité. »
« En la divinité du Christ, affirme Rutledge, j’ai une foi implicite,
une confiance complète et raisonnée. Jésus est Dieu. »
« Pouvons-nous croire que Dieu nous proposerait une manière de vivre fondée sur une fraude ? Dieu nous offrirait-Il une religion que la raison nous obligerait à refuser. La réponse est évidente et, plus l’intelligence humaine est grande, plus elle est certaine de sa capacité de reconnaître la vérité.
L’acceptation des grands enseignements du christianisme est facile et naturelle au moment où nous acceptons la divinité du Christ. Qu’un esprit honnête ne puisse pas L’accepter comme Dieu dépasse ma compréhension ».

mardi 6 mars 2012

Bertrand Russel parle du fait de croire


«L’homme est un animal crédule qui a besoin de croire. En l’absence de raisons valables de croire, il se satisfait de mauvaises.»

[ Bertrand Russel ]

Mathématicien et philosophe anglais (1872-1970) connu pour son grand humanisme.
Bertrand Russell explique que lorsqu'on lui demandait quel était sa religion, il hésitait entre répondre " agnostique ", ce qui caractérisait sa position philosophique au sens strict (on n'a pas de preuves de l'inexistence de Dieu) et " athée ", ce qui exprimait le fait qu'il ne pouvait pas non plus prouver que les dieux de l'Olympe n'existaient pas et qu'il mettait ceux-ci sur le même pied que le Dieu des chrétiens.
Et toi, quel est ton opinion sur cette phrase ?

lundi 5 mars 2012

Ils étaient seize soldats


Deux missionnaires en Malaisie durent un jour se rendre à la ville la plus proche de la station, ce qui signifiait parcourir une fort grande distance à travers une campagne absolument sauvage. Pour pouvoir rentrer le même soir chez eux, ils se mirent en route de très grand matin dans un chariot tiré par des bœufs. Ils arrivèrent sains et saufs à leur lieu de destination, purent encaisser à la banque l’argent qu’ils étaient venus chercher, puis ils prirent le chemin de retour. Mais la nuit tombant, ils décidèrent de bivouaquer; se remettant à la garde de Dieu, ils ne tardèrent pas à s’endormir profondément. A leur réveil, ils rendirent grâces à Dieu de les avoir si merveilleusement protégés, en constatant qu’ils n’avaient été dérangés ni par les bêtes sauvages, ni même par les bandits de grand chemin.
Quelques semaines plus tard, un homme vint se faire soigner à l’hôpital de la station; il regarda fixement le docteur qui se penchait sur lui et finit par lui dire:
- Je vous ai déjà vu.
- Non, je ne crois pas, répondit le missionnaire.
- Oh! oui, certainement, répliqua l’homme. Vous campiez sur les pentes de telle et telle colline, il y a quelques semaines.
- Oui, c’est exact, mais comment le savez-vous? Nous n’avons vu personne.
- Je vous ai suivis avec quelques camarades depuis la ville; nous vous avions vu aller à la banque, et nous savions que vous aviez de l’argent sur vous. Nous avons donc attendu la nuit pour vous attaquer et vous voler, mais lorsque nous avons découvert votre lieu de campement, nous n’avons plus osé à cause des soldats.
- Des soldats? le missionnaire se mit à rire. Il n’y avait pas de soldats avec nous.
Mais le bandit demeura inflexible dans son témoignage.
-
Oui, oui, nous les avons même comptés; il yen avait seize, et ils portaient tous des épées.
Le docteur ne le contredit plus, mais estima que l’homme avait eu une hallucination.

Par la suite, retourné à Londres, il raconta l’incident au cours d’une réunion, après laquelle un homme s’approcha de lui et lui dit:
- Quel jour avez-vous campé ?
Le missionnaire, en consultant son agenda, put donner la date exacte, et son interlocuteur, en ayant fait de même de son côté, ajouta:
- Ce soir-là nous avions une réunion de prière; quelqu’un a prié très spécialement pour vous; je tiens encore à préciser que nous étions seize, groupés pour la prière.

(Avec autorisation de l’Almanach Évangélique 1965)

dimanche 4 mars 2012

Une question théologique sur Dieu.


" Dieu ne nous rappelle jamais jusqu'où nous sommes tombés, Il nous rappelle jusqu'où nous sommes montés. Il nous appelle combien de victoires nous avons remportées, combien nous faisons bien les choses, combien nous sommes précieux à ses yeux, combien Il nous aime.
Il nous donne la paix concernant le passé, la joie pour le présent et l'espoir pour le futur.
Il savait chacune des faiblesses, chaque défaut, chaque fois où nous allions échouer, et pourtant Il a dit Je te veux. Ephésiens 1v.5 dit qu'Il nous a prédestinés à être adoptés comme ses propres enfants.
Les gens cherchent toutes sortes de réponses au travers de la relation d'aide parce qu'ils sont dépressifs. Les gens prennent toutes sortes de médicaments parce qu'ils sont dépressifs. Cependant, s'ils commençaient à sourire, la dépression commencerait à s'éloigner d'eux. La plupart des gens ne réalisent pas à quel point adopter cette attitude changerait leurs circonstances.
Personne n'a réellement échoué jusqu'au moment où il arrête d'essayer."
Auteur

samedi 3 mars 2012

La joie du pardon



L'enfant de Dieu n'est pas seulement joyeux de son pardon ; mais il est joyeux de faire la volonté du Père. C'était la joie de Christ.
Auteur anonyme

vendredi 2 mars 2012

Quand Dieu vit dans un coeur


" Dieu dans le cœur, c'est là ce qui colore les joies, sanctifie les affections, calme les douleurs, et au milieu des luttes, des tristesses et des déchirements de la vie laisse monter du cœur au visage ce sublime sourire qui peut briller même au travers des larmes !"
Ernest NAVILLE, philosophe suisse.

jeudi 1 mars 2012

Une bonne compréhension de la Bible


Un pasteur a dit : " Tout ce qu'il y a dans la Bible est vérité absolue, parce que cela vient de Dieu; cependant Dieu ne nous a pas tout révélé! (C'est à dire, tout ce qu'il y à savoir.) De plus, Il ne faut pas baser sa position sur une doctrine quelconque sur un seul passage biblique! (Risque d'une interprétation forcée.) La Bible, la Parole de Dieu, ne se contredit jamais. S'il semble avoir erreur, l'erreur se trouve dans notre interprétation."