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jeudi 30 septembre 2010

David Livingstone parle de Jésus


Tout ce que je suis je le dois à Jésus-Christ, révélé à moi dans son divin livre.

David Livingstone
1813-1873
Grand explorateur et missionaire anglais.

mercredi 29 septembre 2010

La conversion dans la Bible



W. E. VINE dans son Dictionnaire commenté des mots de l’Ancien et du Nouveau Testament, dit p. 281 sur la conversion :

« Dans le Nouveau Testament, le sujet fait principalement référence à la repentance du péché, et ce changement d’opinion implique à la fois de se détourner du péché, et de se tourner vers Dieu. »

mardi 28 septembre 2010

Tel que je suis.



Très nombreux sont ceux qui connaissent, dans les premiers cantiques du réveil :
Tel que je suis, pécheur rebelle...

La limpidité des paroles, la précision de la pensée, la puissance de la conviction et la fraîcheur de sentiments qui le caractérisent en font un cantique toujours actuel. Mais bien rares sont ceux qui connaissent l'auteur et surtout les circonstances qui ont inspiré ce dernier.

En 1834, une jeune femme du nom de Charlotte Elliott
(1789-1871) faisait ses débuts comme chanteuse dans un concert londonien.
Dans l'auditoire se trouvait un prédicateur du nom de César Milan. Écoutant la belle voix de miss Elliott, il sentit qu'il devait lui parler après le concert, au sujet de son besoin de Christ.
Quand il lui a parlé de Christ, elle a tapé du pied parterre de colère et s'en alla. Alors qu'elle partait, le pasteur lui a dit, "Je ne voulais pas vous offenser. Mais je voulais que vous sachiez que Jésus peut vous sauver si vous vous tournez vers lui."
La soirée terminée, la jeune fille rentra chez elle lasse et mélancolique. Cette nuit, elle alla au lit mais ne pût dormir. Les paroles de l'ami importun lui revinrent en mémoire. Après s'être tourné et retourné pendant des heures, elle se leva et commença à écrire un poème.

Reprise dans sa conscience ait souvenir de sa conduite, elle finit par aller, dès le lendemain, chez César Malan pour lui présenter des excuses. Puis, une crise intime et profonde s'accentuant, elle renouvela la question du geôlier de Philippe: « Que faut-il que je fasse pour être sauvé? » L'Evangile lui fut présenté dans sa simplicité; elle rentra chez elle ; après longues réflexions, elle pria et déclara se donner à Dieu telle qu'elle était.

C'est après cela que, toute vibrante encore de la crise salutaire, elle composa le cantique qu'après elle des milliers ont chanté :

Tel que je suis, pécheur rebelle
Au nom du sang versé pour moi,
Au nom de ta voix qui m'appelle,
Jésus, je viens à toi.

(Feuille religieuse.)

lundi 27 septembre 2010

Inutile de réparer


Un vieil homme possédait une petite maison délabrée. Un riche étranger vint le trouver et, à son grand étonnement, lui proposa de la lui acheter avec le terrain qui l'entourait. Le prix offert étant intéressant, le brave homme décida d'accepter l'offre, et même de faire un effort pour réparer ce qui pouvait l'être. Sans tarder, il fit quelques dépenses et se mit au travail pour consolider l'escalier branlant, remettre quelques tuiles au toit, ajuster portes et fenêtres et remplacer les vitres cassées. Ensuite il irait en maison de retraite. Mais sitôt l'acte signé et le prix versé, le nouveau propriétaire fit tout simplement raser la vieille maison. C'était le site qui l'intéressait pour une nouvelle construction. 
 N'est-ce pas ainsi que Dieu procède ? Il n'a nul besoin de nos réparations. Ce qui témoigne de nos misères d'autrefois ne l'intéresse pas. Jésus Christ, par sa mort à la croix, nous rachète avec notre passé pour tout effacer définitivement : échecs, déceptions, souvenirs dont nous avons honte. Ne cherchons pas à rendre notre ancienne personnalité plus présentable. N'essayons pas de nous améliorer aux yeux de Dieu. Livrons-lui notre existence, sans rien lui cacher. Oui, donnons-lui les clés et laissons-le reconstruire notre vie selon ses plans à lui pour qu'il en fasse une demeure digne de Celui qui veut l'habiter.
Auteur inconnu

dimanche 26 septembre 2010

Napoléon 1er, la Bible et Jésus-Christ (2)


L’union qui unit Jésus-Christ à ses rachetés est plus impérieuse
que quelque union que ce soit, et tous ceux qui croient sérieusement en Lui ressentent cet amour surnaturel. Ils aiment quelqu’un qu’ils n’ont pas vu. C’est un fait inexplicable à la raison, impossible aux forces de l’homme, et pourtant Il l’accomplit. Voilà ce que j’admire au-dessus de toute chose, moi, Napoléon. Plus j’y pense, plus je suis absolument persuadé de la divinité de Jésus-Christ. » On comprend l’impression extraordinaire qu’à dû lui faire le récit de la vie de Jésus-Christ qui, venu sur la terre pour fonder une sorte d’empire, le règne de Dieu, n’a pas voulu d’autre gloire que de donner sa propre vie pour le salut de l’humanité. Pour l’un, ses sanglantes victoires ont été le prélude d’un désastre sans nom ; pour l’Autre, cette seule mort a fondé un royaume qui, malgré toutes les oppositions, s’étend encore tous les jours. Napoléon, dont le front ne s’était jamais courbé devant personne, s’est incliné en présence de Christ, reconnaissant en Lui le Fils unique de Dieu. 
Claude-Alain Pfenniger

samedi 25 septembre 2010

Les conclusions d'un scientifique sur le cosmos


Le Dr Michael Denton, chercheur principal en génétique moléculaire humaine à l'Université d'Otago en Nouvelle Zélande, a conclu : “Toutes les preuves disponibles en sciences biologiques soutiennent la proposition centrale selon laquelle le cosmos est un tout spécialement conçu, avec pour but principal et pour objectif fondamental la vie et l'humanité, et toutes les facettes de la réalité ont leur sens et leur explication dans ce fait central.” - Michael Denton, Nature's Destiny: How the Laws of Biology Reveal Purpose in the Universe, New York: Free Press, 1998, p. 389.
"La science, qui depuis quatre cents ans semblait le grand allié de l'athéisme, est enfin devenue, en cette fin du deuxième millénaire, ce que Newton et beaucoup de ses premiers partisans avaient si ardemment souhaité : le "défenseur de la foi anthropocentrique". (page 522) Michael DENTON, L'évolution a-t-elle un sens? Fayard, 1997
Michael Denton

vendredi 24 septembre 2010

Un acte de volonté



- On ne peut rien changer, disait un incrédule à un chrétien. Je prends ce couteau, si je le lâche, il tombe, il ne résiste pas à la pesanteur.
L’autre le ramasse, le jette au plafond. Le couteau se plante sur une poutre.
- Oui, reprit l’incrédule, c’est parce que tu l’as bien voulu.
- Tu as bien compris. Toi aussi, par un acte de volonté, tu peux être sauvé.

jeudi 23 septembre 2010

La question du péché


" L’homme a toujours traité le péché comme une malchance et non comme un crime ; comme une maladie et non comme une culpabilité ; comme un cas destiné à un médecin, non à un juge.
C’est là que se trouve l’erreur essentielle de toutes les religions ou théologies humaines." 
Horatius Bonar (1808-1889)

mercredi 22 septembre 2010

Recevoir la paix de Dieu


"Dieu procure la paix à ceux qui gardent le silence devant lui."
(auteur inconnu)

mardi 21 septembre 2010

Les bienfaits de Dieu


Quelqu'un a écrit : " Notre mémoire des bienfaits de Dieu, et mêmes de nos proches, est fort courte. Je ferai tout pour ne pas les oublier. Voici les paroles d'un cantique chrétien très connu : « Compte les bienfaits de Dieu, Mets les tous devant tes yeux, Tu verras en adorant, Combien le nombre en est grand » Nous rappeler en tout temps que Dieu est bon et que ses bienfaits se renouvellent chaque jour, voila quelque chose d'important quand notre confiance en Dieu est grande."

lundi 20 septembre 2010

Faire Sa volonté

Oswald Chambers a écrit dans une méditation tirée du livre, Tout pour qu'il règne :
" Et vous ne pouvez pas le connaître, tant que vous n'aurez pas saisi ce fait que Dieu a tant aimé le monde qu'Il s'est donné à nous Lui-même totalement. Nous devons nous aussi nous abandonner à Dieu totalement, sans nous préoccuper des conséquences, car notre vie doit être absorbée dans la sienne."

dimanche 19 septembre 2010

Un simple rituel ?

L'adoration est une vénération pure, l'élévation de l'esprit sauvé vers Dieu, dans la contemplation de sa sainte perfection.
E.F. Harrison

samedi 18 septembre 2010

Un événement si unique


Harold Mattingly, dans son traité d'histoire, écrit: «Les apôtres Pierre et Paul scellèrent leur témoignage de leur sang.» Tertullien, un chrétien du 3éme Siècle, a écrit: «Nul n'accepterait de mourir à moins de savoir qu'il possède la vérité.» 
 
Simon Greenleaf, professeur de droit à Harvard, qui a enseigné pendant des années l'art de confondre un témoin et de déterminer si un témoin ment, conclut ainsi. «Les annales de la guerre militaire sont rarement à même de citer l'exemple d'une constance héroïque, d'une patience et d'un courage inébranlable égalant celui- là. Ils avaient tous les motifs possibles pour revoir soigneusement les fondements de leur foi, ainsi que les preuves des grands événements et vérités qu'ils affirmaient.»
« Bien plus qu’un charpentier » par Josh McDowell
© Campus pour Christ, p. 26

vendredi 17 septembre 2010

Le sens de la croix


« La croix est la vraie épreuve de la foi, le vrai fondement de l'espérance, le parfait épurement de la charité, en un mot le chemin du ciel ; Jésus-Christ est mort à la croix, il a porté sa croix toute sa vie. C'est à la croix qu'il veut qu'on le suive, et il met la vie éternelle à ce prix. » 
Jacques-Bénigne Bossuet 

jeudi 16 septembre 2010

La prière quotidienne

“Comme chaque jour demande son pain quotidien, de même chaque jour demande sa prière. Aucune quantité de prière faite aujourd’hui ne suffira pour la prière de demain. On n’aura pas la grâce pour demain, on ne mangera pas le pain de demain, on ne pourra pas faire la prière de demain”.

E.M. Bounds

mercredi 15 septembre 2010

Il est digne de tant d'honneurs


Jésus, qui est mort pour nos péchés est digne de recevoir la puissance, les richesses, la sagesse et la force, l'honneur, la gloire et la bénédiction. Nous ne pouvons jamais décrire trop comment est Jésus. Il est aussi digne d'être cru, de préférence à Satan, l'incrédulité, le monde ou les apparences. Il est digne que l'on mettre sa confiance en Lui avec tout, avant tout et pour tout. Il est digne d'être aimé plus que tout autre en opposition à ceux qui veulent le rivaliser. Il est digne d'être suivi, peu importe où il nous mène, à travers les bonnes et mauvaises périodes. Il est digne d'être préféré au confort, au plaisir, à la richesse, la santé et tout autre chose. Il est digne de tout ce qu'il demande, de tout ce que nous pouvons donner, tout ce que Son peuple a fait pour Lui ou souffert pour sa cause.
James Smith, in Daily Remembrances

Jesus, who died for thy sins, is worthy to receive power, and riches, and wisdom, and strength, and honour, and glory, and blessing. We can never ascribe too much to Jesus. But He is worthy also to be believed, in preference to Satan, unbelief, the world, or appearances; to be trusted with all, for all, before all; to be loved more than any other, in opposition to any that would rival Him; to be followed, wherever He may lead us, through evil report or good report; to be preferred to ease, pleasure, wealth, health, to anything and everything. Jesus is worthy to be our example, our confidant, our king, and our all. He is worthy of all He requires, all we can give, all His people have done for Him or suffered in His cause.
James Smith, in Daily Remembrances

mardi 14 septembre 2010

Les coiffeurs et le clochard


Un groupe de coiffeurs, lors d’une convention professionnelle, décidèrent de montrer la valeur de leur art de barbier. Ils dénichèrent un clochard dans un quartier malfamé, ils lui coupèrent les cheveux, le rasèrent et lui firent prendre un bain. Ils lui mirent des habits neufs venant du meilleur tailleur. Ils avaient montré d’une manière satisfaisante la valeur de leur excellence professionnelle, mais trois jours plus tard, l’homme était à nouveau dans le ruisseau.
Il avait été transformé extérieurement et avait pris une allure respectable, mais les aspirations et les désirs de son être intérieur n’avaient pas été changés. On l’avait poudré et parfumé mais non changé.

Source : Billy Graham
Un monde en flammes
Editions GM, page 201

lundi 13 septembre 2010

Pardonner pour aimer


"Nous savons que si nous voulons vraiment aimer nous devons apprendre à pardonner."
Mère Teresa. Extrait de La joie du don

dimanche 12 septembre 2010

Une crainte de la mort


Les hommes craignent la mort pour la même raison que les enfants ont peur dans les ténèbres.
[Francis Bacon.]

samedi 11 septembre 2010

Ce qui fait la force du croyant

" La joie du Seigneur est la force du croyant. En elle sont ravivés sa confiance, son courage et sa patience. Avec un cœur joyeux, aucun travail ne lasse, aucun fardeau n'accable, et Dieu lui-même est notre force et notre chant de victoire." (auteur anonyme)

vendredi 10 septembre 2010

Soigner par intérêt ?


Un visiteur de passage à une infirmière qui soignait un lépreux dit :
" - Même pour un million de dollars, je ne ferai jamais ce que vous faites."
Elle répondit avec le sourire :
"- pour un million de dollar, moi non plus! Mais pour Jésus-Christ, je le fais bien volontiers."

Source : Topchrétien

jeudi 9 septembre 2010

Comment est-il possible que Dieu soit devenu homme ?




Réponse de Matthieu Sanders, pasteur sur Paris et diplômé de la Faculté Libre de Théologie Evangélique (78).


La Bible peut être décrite comme la révélation du Plan de Dieu pour mettre fin à la condition tragique de l’humanité, rebelle et séparée de Dieu. Et c’est dans ce cadre qu’il faut réfléchir au Dieu qui s’est fait homme en Jésus-Christ.

Arrière-plan : le témoignage biblique


Les prophètes de l’Ancien Testament l’annonçaient sans relâche : Dieu lui-même viendrait se réconcilier avec l’humanité. Certains textes bibliques parlent d’une « visite » de Dieu auprès des hommes pour rétablir cette relation brisée. (e.g. Esaie 9.5-6 ; 35.4 ; Ezechiel 34.11-16 ; Zacharie 12.10)

Selon le Nouveau Testament, l’explication de ce paradoxe se trouve dans la personne de Jésus-Christ. Le Nouveau Testament le présente sans ambiguïté comme un homme à part entière. (e.g. Matt 4.2 ; Luc 2.7 ; Jean 4.6) Pourtant, de nombreux textes du NT ne laissent aucune place à l’incertitude en se référant à Jésus-Christ lui-même comme « Dieu ». (e.g. Jean 1.1 ; 20.28 ; Romains 9.5 ; Tite 2.13) Jésus est donc pleinement homme et pleinement Dieu ! Cette vérité biblique dépasse notre capacité de compréhension, mais elle reflète de manière stupéfiante ce que l’Ancien Testament annonçait : Dieu lui-même viendrait à la rencontre de l’homme pour se réconcilier avec lui…et cette réconciliation serait effectuée par l’intermédiaire d’un homme.

La foi chrétienne affirme ainsi que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est venu naître comme un homme. Il a partagé en tous points notre nature humaine, mais avec une différence décisive : contrairement au reste de l’humanité, il a vécu dans une parfaite soumission à Dieu, dans une relation absolument harmonieuse avec celui qu’il appelait son « Père ». Tout en étant homme, Jésus-Christ ne cessait pas d’être Dieu le Fils, d’être Dieu incarné.

Comment comprendre cette affirmation extraordinaire ?

En devenant un homme, le Fils de Dieu a accepté de représenter l’humanité devant Dieu ; là où nous sommes désobéissants, il a été obéissant. Là où nous cherchons avant tout notre intérêt propre, lui a cherché en toutes choses à plaire à Dieu. Il a vécu la vie à laquelle nous étions destinés, et que nous avons perdu en raison de notre rébellion contre Dieu.

Mais en quoi cela nous est-il bénéfique ?

Le Nouveau Testament affirme que Jésus-Christ est mort pour subir à notre place la punition de notre révolte contre Dieu. Lui qui vivait dans une relation de parfaite confiance avec Dieu a accepté de prendre sur lui toute la colère de Dieu contre la révolte de l’humanité. Il s’est ainsi proposé librement comme « condamné de substitution », pour que nous puissions échapper au jugement qui nous était réservé.

Quel est donc le lien avec la « double nature » de Jésus-Christ ?

Il est nécessaire de comprendre qu’il fallait que Jésus soit véritablement homme et véritablement Dieu pour que cette substitution soit opérée. En effet, si Jésus n’avait pas été véritablement homme, il n’aurait pas pu se substituer à nous. Cette substitution ne pouvait être valable que si c’était un homme qui subissait le prix de la révolte de l’homme.

Mais s’il n’avait été qu’un homme comme les autres, il n’aurait pas non plus pu se substituer à nous, puisqu’il aurait été lui-même impliqué dans notre condition désespérée, séparée de Dieu. Il fallait qu’il soit un homme qui ne soit absolument pas compromis dans la rébellion humaine…ce qui n’était possible que dans un seul cas de figure : que Dieu lui-même se fasse homme ! Et c'est parce qu'il était Dieu que sa mort, d'une valeur infinie, a pu suffire pour accomplir notre pardon et qu'il a pu vaincre la mort et revenir à la vie.

Si Dieu s’est fait homme, c’est parce que nous n’étions pas capables de nous élever à lui : il est donc venu vers nous, en assumant notre condition et en payant un prix inimaginable pour que nous puissions être réconciliés avec lui.

© Matthieu Sanders
http://www.questionsuivante.fr/le_christianisme_et_lhistoire-9.html

mercredi 8 septembre 2010

Leçons de vie


La vie est une succession de leçons qu'il faut avoir vécues pour comprendre.
Helen Keller

mardi 7 septembre 2010

Sagesse


Dans son livre anglais intitulé Days of Grace (Jours de grâce), le champion de tennis Arthur Ashe a paraphrasé Jacques 1.5 en écrivant le conseil suivant à l'intention de sa jeune fille: "Demande à Dieu la sagesse de connaître ce qui est bien, ce que Dieu veut que tu fasses, et la volonté de le faire."

Voilà le genre de prière sincère que Dieu veut entendre de ses enfants.

lundi 6 septembre 2010

Ce que n'est pas l'Evangile


L’Évangile n’est pas une bande dessinée pour adolescents attardés, mais un livre au caractère de feu… caractère de sang.

Cardinal Etchegaray

dimanche 5 septembre 2010

Heinrich Heine sur son lit de mort.


Heinrich Heine (1797-1856), un des écrivains les plus frivoles et les plus cyniques du siècle dernier, eut à passer par des années de terribles souffrances, causées par une maladie de la moelle épinière.
La maladie se prolongea, et voici ce que raconte un de ses amis qui le visitait quelques années plus tard, en 1849 :
« J'ai, dit-il, trouvé Heine à Paris, mais dans quel état ! Il était couché sur un matelas étendu par terre ; le pauvre homme était presque aveugle, et son corps était en proie aux douleurs les plus aiguës. Ses bras amaigris étaient étendus immobiles, il était atteint d'une incurable maladie de l'épine dorsale; son dos, brûlé de place en place par les médecins n'était qu'une plaie. Il offrait l'image frappante de la souffrance, et pourtant son noble et beau visage avait je ne sais quelle expression de paix et de soumission. Il me parlait de ses souffrances comme si elles eussent été celles d'un autre.

Pendant longtemps je ne pus m'expliquer tant de paix et de résignation au milieu d'une telle épreuve, et surtout de la part de celui qui s'était montre athée de profession. Il ne tarda pas à m'en donner l'explication.
Après m'avoir entretenu encore quelques temps de ses maux, et avoir ajouté qu'il savait qu'il ne se rétablirait jamais, il poursuivit de cette voix ferme et forte qui lui était restée malgré sa faiblesse :
- Mon ami, croyez-moi, c'est Heinrich Heine qui vous le dit, après y avoir réfléchi pendant des années, et après avoir examine et sonde ce qui a été écrit a ce sujet par toutes les nations. Eh bien ! j'en suis arrivé à la conclusion qu'il y a un Dieu qui juge nos actions, que notre âme est immortelle, et qu'après cette vie il y en a une autre où le bien sera récompense et le mal puni.

Oui, voilà ce que vous déclare Heinrich Heine qui a si souvent renié le Saint-Esprit. Si jamais vous avez doute de ces grandes vérités, rejetez loin de vous ces doutes, et apprenez par mon exemple, que la foi pure et simple dans la miséricorde du Seigneur, peut seule faire supporter sans plainte et sans murmure les souffrances les plus cruelles.
Profondément touché en entendant ces paroles, poursuit cet ami, je saisis avec une grande émotion sa main paralysée, et il ajouta :
« Il y a des insensés qui, après avoir passé leur vie dans l'incrédulité et dans l'erreur, et après avoir renié Dieu par leurs paroles et par leurs actions, n'ont pas le courage d'avouer qu'ils s'étaient trompes. Quant à moi éprouve le besoin de déclarer que c'est une erreur maudite qui m'a longtemps aveuglé. Maintenant seulement je vois clair, et celui qui me voit et me connaît, doit avouer que si je prononce ces paroles, ce n'est pas que mes facultés intellectuelles soient affaiblies, car jamais mon esprit n'a été plus lucide, ni sa force plus grande qu'en ce moment. »


samedi 4 septembre 2010

La logique de la foi


Les insensés pensent : Dieu n'existe pas. La Bible dit le contraire dans le livre des psaumes, chapitre 53, verset 1.
Les philosophes athées prétendent que la foi en Dieu nécessite la démission de la raison. Dieu ne pouvant être vu, disséqué ou expliqué, on en déduit qu'il ne peut être raisonnable de croire en lui.
La Bible tient le langage inverse. Elle affirme au contraire que croire en l'existence de Dieu relève davantage du bon sens que de la foi. Il est, selon elle, beaucoup plus raisonnable de déduire de l'observation de l'univers que nous sommes le produit d'un projet intelligent que du pur hasard.
Nous ne pouvons nier que chaque chose créée l'a été pour un but et a été faite en raison de ce but. L'œil est fait pour voir, l'oreille pour entendre. Nous savons tous quelle menace représente pour la vie la disparition d'un des éléments fondamentaux qui la rend possible. Que l'eau douce disparaisse, que l'air devienne irrespirable et c'en est fini des chances de survie de l'espèce humaine.
Il y a de grands dangers pour notre humanité de faire de l'homme le centre de tout. Qui peut nous dire jusqu'où, avec de bonnes raisons, peut aller sa folie ? En toutes choses, il est nécessaire pour l'homme d'avoir en face de lui un contrepoids, une autorité indépendante à qui il doive rendre compte de ses actes.
La supprimer, c'est ouvrir la porte aux projets les plus insensés et les plus déraisonnables. On n'évince pas Dieu, on ne fait que le remplacer par soi-même.

vendredi 3 septembre 2010

Qui a crée l'univers ?

Prof. Andrew Conway Ivy
Un des plus célèbres experts en physiologie au monde. Quand on lui a demandé " Y a-t-il un Créateur qui a créé l'univers ?", il a répondu " Oui, je suis certain qu'il existe un Dieu", pour ensuite continuer en disant : « Croire en l'existence de Dieu fournit la seule signification complète, ultime et rationnelle à la vie. Croire en Dieu est la seule raison ultime pour la certitude absolue que l'homme est une personne et quelque chose plus qu'un paquet de matière et d'énergie. Croire en Dieu est la source et la base ultime de la conception la plus inspirée de l'esprit humain. »

jeudi 2 septembre 2010

Un livre dépassé ?


Quelqu'un a dit : "La Bible est vieille, mais ses vérités sont toujours nouvelles."

mercredi 1 septembre 2010

Dieu existe-t-il ?


"Deux sont les choses: ou Dieu a voulu se faire connaître des hommes ou il n'a pas voulu. S'il a voulu se faire connaître et il n'a pas réussi ceci ne peut démontrer que le fait qu'il soit impuissant ; un dieu impuissant n'est pas admissible.
Si Dieu n'a pas voulu se faire connaître alors toutes les religions sont fausses. Si Dieu n'a voulu ni l'une ni l'autre, alors il ne nous reste qu'à conclure que Dieu n'existe pas."
(Dr Jules Carret / Démonstration scientifique de l'inexistence de Dieu)
Aprés avoir lu cette démonstration scientifique, est-tu d'accord avec ce que le Dr Jules Carret affirme ?
Quelque soit ta position, un court commentaire sera le bienvenu.
A bientôt sur ce blog.