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dimanche 31 juillet 2011

Appelés à servir



" Notre tendance humaine nous pousse à éviter ce qui est banal pour nous tourner vers le spectaculaire, mais ce n'est pas le style de Dieu. Un caractère chrétien démontré par les fruits de l'Esprit peut être tout aussi simplement visible dans les petites tâches que dans les grandes. La meilleure façon de découvrir la volonté de Dieu pour nos vies [est] de servir là où nous sommes. Beaucoup d'entre nous rencontrent des gens qui déclarent être appelés à faire de grandes choses pour Dieu. Néanmoins, en attendant que ces grandes choses se produisent, ils ne font rien. Ils ne sont pas disposés à faire quoi que ce soit qui serait "inférieur" à leur appel. Mais ce n'est pas le style de Dieu, il veut que nous commencions par être fidèles dans les petites choses ."
Floyd McCLUNG, Découvrez votre destinée, JEM, Burtigny, 1988.

samedi 30 juillet 2011

« Comment résumeriez-vous votre vie en quelques mots ? »


L'évangéliste et pasteur Billy Graham (1918), qui consacra sa vie à servir Dieu, fut interviewé alors qu’il était très malade un jour
. Lorsqu’on lui posa la question : « Comment résumeriez-vous votre vie en quelques mots ? », il répondit simplement, « Je suis un pécheur ayant besoin de la grâce et du pardon de Jésus. »

vendredi 29 juillet 2011

Le retour du Christ


« Si je crois au retour de Christ, c’est également à cause des signes annonciateurs que mentionne l’Écriture (la Bible). Je ne suis pas prophète et n’ajoute pas un grand crédit à ceux qui tentent de fixer une date précise pour le retour de Christ ; la Bible dit que nous n’en savons ni le jour ni l’heure. »

James D.Kennedy
Pourquoi je crois,
Éditions Vida (épuisé),
page 165.

jeudi 28 juillet 2011

Les efforts perpétuels


" Les efforts perpétuels de l'homme pour se prendre en main, aussi intense soient-ils, aboutissent à l'asservissement le plus intolérable qui l'empêche d'atteindre l'objectif qui lui était fixé.
La vraie liberté de l'Homme ne réside pas dans un pouvoir sans entrave à diriger sa vie, que ce soit dans un sens politique ou dans un sens stoïque. Elle se trouve dans une vie avec Dieu, conforme à l'intention originelle de Dieu pour l'Homme. Il ne l'acquiert qu'en renonçant à lui-même. Paradoxalement, l'Homme libre ne s'appartient pas à lui-même. Il appartient à celui qui l'a affranchi."
J. Blunk

mercredi 27 juillet 2011

Motivé pour faire sa volonté ?

« Si notre objectif est de découvrir la volonté de Dieu et de l'accomplir est pur, notre prière aura pour résultat une redirection de notre motivation et un renforcement de notre objectif. La prière dirigée par l'Esprit est le moyen principal d'être orienté. A travers la prière, nous pouvons vérifier toute direction reçue. En l'absence de prière authentique dans l'Esprit, il y a peu d'expérience de l'orientation du Saint-Esprit. »

mardi 26 juillet 2011

La vie éternelle à ceux qui croient en Lui


"Oui, Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique. Ainsi, tous ceux qui croient en lui ne se perdront pas loin de Dieu, mais ils vivront avec lui pour toujours"
(Jean 3.16).

Dans nos moments les plus heureux, nous ne voulons pas mourir.

Le désir de mourir se fait sentir uniquement quand nos souffrances nous semblent insupportables. Ce que nous souhaitons réellement, dans ces moments-là, n’est pas la mort, mais un soulagement. Nous voudrions tant que les bons moments reviennent. Nous voudrions que la douleur s’en aille. Nous voudrions que nos biens aimés reviennent du tombeau. Nous voulons la vie et le bonheur…

Nous nous trompons nous-mêmes quand nous donnons un côté romantique à la mort, en la considérant comme l'apogée d'une vie bien vécue. Elle est une ennemie. Nous lui donnons des noms doux comme si c’était un moindre mal. Pourtant elle nous coupe des merveilleux plaisirs de ce monde. Le bourreau qui fournit le coup de grâce dans notre douleur ne veille pas à la réalisation de nos aspirations, mais marque la fin de l'espoir. Les aspirations du cœur humain sont vivre et être heureux.

Dieu nous a fait ainsi : "Il a donné aussi aux humains le désir de connaître à la fois le passé et l’avenir" (Ecclésiaste 3.11). Nous sommes créés à l’image de Dieu, et Dieu qui aime la vie, vit éternellement. Et nous vivrons éternellement. L’opposé de la vie éternelle est la condamnation éternelle. C’est l’enfer. Jésus en parle mieux que quiconque, et il a expliqué clairement, que rejeter la vie éternelle qu’il offrait, aurait comme conséquence de devoir affronter la colère de Dieu : "Celui qui croit au Fils a la vie avec Dieu pour toujours. Celui qui refuse de croire au Fils ne verra pas cette vie, mais la colère de Dieu restera sur lui" (Jean 3.36).

Et cette réalité demeure éternellement. Jésus disait : "Ils partiront pour recevoir une punition qui dure toujours. Mais ceux qui ont obéi à Dieu partiront pour recevoir la vie avec Dieu pour toujours" (Matthieu 25.46). C’est une indicible réalité qui montre l'importance du péché de traiter Dieu avec indifférence et mépris. Ainsi Jésus avertit : "Si ton œil te fait tomber dans le péché, arrache-le. Pour toi, il vaut mieux entrer dans le Royaume de Dieu avec un seul œil. C’est mieux que de garder les deux yeux, et d’être jeté dans le lieu de souffrance. Là, les vers ne meurent pas et la souffrance brûle toujours comme un feu" (Marc 9.47-48).

Ainsi la vie éternelle n’est pas simplement une extension de cette vie avec son lot de souffrance et de plaisir. Comme l’enfer est le pire résultat de cette vie, ainsi la vie éternelle en est la meilleure. Elle est le bonheur suprême et sans cesse croissant, où tous les péchés et les tristesses auront disparu. Tous ce qui est mal et nocif dans cette création déchue sera enlevé. Tout ce qui est bon - tout ce qui apporte la vérité et un bonheur éternel - sera préservé, purifié et rendu plus intense.

Nous serons changés pour être capable d’une dimension de bonheur que nous ne pouvions concevoir dans cette vie : "Il y a des choses que les yeux ne voient pas. Les oreilles ne les entendent pas, les êtres humains n’y ont jamais pensé. Eh bien, ces choses-là, Dieu les a préparées en faveur de ceux qui ont de l’amour pour lui" (1 Corinthiens 2.9). Cela est vrai pour chaque moment de la vie, maintenant et toujours. Car ceux qui mettent leur confiance en Christ savent que le meilleur est à venir. Nous allons voir la gloire de Dieu qui nous satisfait pleinement.

"Et la vie pour toujours, c’est te connaître, toi, le seul vrai Dieu, et connaître celui que tu as envoyé, Jésus-Christ" (Jean 17.3). C'est pour cela que Christ a souffert et qu'il est mort.
Pourquoi nous ne pas le saisir comme notre trésor, et vivre ? 
John Piper

lundi 25 juillet 2011

La conséquence de la Résurrection de Jésus


Un auteur inconnu raconte d'une manière très descriptive les changements survenus dans la vie des apôtres: « Le jour de la crucifixion, ils étaient pleins de tristesse; le premier jour de la semaine, de joie. A la crucifixion ils étaient désespérés; le premier jour de la semaine, leur cœur rayonnait de certitude et d'espoir.
Quand le message de la résurrection leur parvint pour la première fois, ils étaient incrédules et difficiles à persuader, mais une fois convaincus, ils ne doutèrent plus jamais.
A quoi attribuer le changement prodigieux opéré chez ces hommes en si peu de temps? Le simple enlèvement du corps hors du tombeau n'aurait jamais pu transformer leur esprit et leur caractère.
Trois jours ne suffisent pas pour faire naître une légende les affectant à ce point. Le processus de développement d'une légende demande du temps. C'est un fait psychologique qui exige une explication complète.

Pensez au peut-on au caractère des témoins, ces hommes et ces femmes qui donnèrent au monde l'enseignement éthique le plus élevé qu’il n’ait jamais connu et qui, même au dire de leurs ennemis, le pratiquaient dans leur propre vie.
Pensez à l'absurdité psychologique consistant à imaginer une petite bande de poltrons vaincus, tapis un jour dans une chambre haute et transformés quelques jours plus tard en une compagnie qu'aucune persécution ne pouvait réduire au silence.
Puis tenter d'attribuer ce changement spectaculaire à rien de plus convaincant qu'un misérable mensonge qu'ils auraient essayé d'imposer au monde! Cela n'aurait tout simplement aucun sens.»

« Bien plus qu’un charpentier » par Josh McDowell
© Campus pour Christ, p. 26

dimanche 24 juillet 2011

Le vieux chrétien et ses enfants


Je fais ma joie de ta parole comme celui qui trouve un grand trésor : Psaume 119.162

Un vieux chrétien, sentant sa mort prochaine,
Fit venir ses enfants, leur parla dans sa peine :
“ Gardez-vous, leur dit-il de jeter cette Bible
Que nous ont laissée nos parents.
Un trésor est caché dedans.
Je ne sais pas à quelle page,
Mais avec un peu de courage
Vous le trouverez
Sans trop vous fatiguer.
Peut-être pas demain,
Mais j’en suis certain,
Vous découvrirez le secret,
Sans déception ni regret.
Tournez ses pages,
Lisez, comparez, réfléchissez,
Cherchez et relisez son message.
Ne laissez nulle place
Où vos yeux ne passent et repassent. ”
Le père mort, et dans l’espoir de découvrir de quoi mieux vivre,
Les enfants épluchent le Livre
Du début à la fin.
Du soir au matin
Ils assimilent ce texte saint,
Si bien qu’au bout d’un certain temps
Ils s’écrient en chantant :
“ Le trésor, c’est Jésus, le Fils de Dieu,
Mort pour nous ouvrir les cieux. ”
D’argent, point de caché ;
Mais le père fut sage
De les avoir incités à chercher dans ces pages
Le secret du pardon de leurs péchés.
Charles Rick
d’après “ Le laboureur et ses enfants ” de Jean de La Fontaine.

samedi 23 juillet 2011

Vieillir avec grâce


Si même notre homme extérieur dépérit, toutefois l'homme intérieur est renouvelé de jour en jour... Nous avons un édifice de la part de Dieu, une maison qui n'est pas faite de main, éternelle, dans les cieux. 2 Corinthiens 4. 16 ; 5. 1
« Pour envisager la vieillesse avec sérénité, il faut posséder la joie que donne la foi », disait Saint Augustin. La vieillesse du professeur d'histoire de la philosophie Ernest Naville (1816-1909) illustre cette affirmation. Cet universitaire suisse se préoccupait de moins en moins de lui-même, dans sa joie de se rapprocher de l'éternité :
« Je commence chacune de mes journées, écrivait-il, comme si ce devait être la dernière.
Lorsque nous passons par les ombres d'ici-bas, pensons à la maison du Père, à cette rencontre avec le Christ crucifié, ressuscité, glorifié ; ce sera un rayon de lumière dans les ténèbres de la vie...
Mais pour que la maison du Père nous soit ouverte, il faut que nous ayons d'abord été purifiés de nos péchés. Le Crucifié nous a apporté le pardon. Le Ressuscité veut nous envoyer la force pour vaincre le mal ; il la demande pour nous.
Pourquoi Jésus de Nazareth est-il sorti vivant du tombeau ? Parce qu'il est le Prince de la vie. Sa résurrection garantit la nôtre ; elle nous enseigne que la mort est une des grandes fonctions de la vie, le passage à un mode d'existence supérieur à notre existence actuelle ; c'est la fin du pèlerinage de la terre et l'entrée dans la véritable patrie...
La sortie du tombeau n'est pas seulement la preuve de la mission de Jésus, c'est le triomphe sur la mort pour ceux qui sont unis à Lui, c'est la mise en évidence de la vie et de l'immortalité. »
Source : La Bonne Semence

vendredi 22 juillet 2011

“C'est pour la liberté que Christ nous a libérés”


« Après avoir pardonné, vous entrez dans un processus. C'est un effort conjugué de Dieu et de vous-même. On n'oublie pas tout avec un claquement de doigts, même si la délivrance est parfois immédiate.
Par exemple, certains arrêtent de fumer sans trop d'effort, alors que d'autres ont besoin de patchs de nicotine pendant longtemps encore ! Les vieilles habitudes ont la vie dure, et renoncer à l'amertume signifie :

1.
Renouveler votre décision de pardonner aussi longtemps que des pensées de vengeance traversent votre esprit.
2.
 Rester dans la paix jusqu'à ce que la place libérée par l'amertume, les regrets et les désirs de vengeance soit entièrement prise par le Saint-Esprit.
3.
 Abandonner d'anciennes relations nuisibles, ainsi que les personnes qui vous reparlent sans cesse de vos vieilles blessures. Changer soi-même parmi des gens qui ne changent pas peut leur montrer la nécessité de changer eux-mêmes, mais cela peut aussi les effrayer.
4.
 Songer que tout comme le salut est une expérience immédiate suivie d'un processus de sanctification, le pardon est un acte immédiat qui doit être suivi d'un processus de guérison.
5.
 Vivre une vie dégagée de tout ressentiment.
C'est un choix qui en appelle une série d'autres. Mais chaque fois, le choix devient plus facile et nous éloigne un peu plus du ressentiment.

Paul a dit : “C'est pour la liberté que Christ nous a libérés” (
Galates 5.1). Chaque fois que nous libérons quelqu'un, nous devenons plus libres. C'est un principe spirituel garanti qui a fait ses preuves et qui est confirmé par les Écritures ».
Kristin Armstrong

jeudi 21 juillet 2011

Adorer Dieu

L'adoration implique d'attribuer l'absolue majesté, la grandeur et la bonté de Dieu notre Père, pour faire une interruption de notre être intérieur et le tourner vers Dieu dans une totale adoration.
Michael Cassidy

mercredi 20 juillet 2011

Un Dieu qui lave les pieds


Lisez : Jean 13.1-5

« [Jésus] versa de l'eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint..» Jean 13.5

Des questions au sujet de l’existence de Dieu ont souvent troublé Herbert Arthur Hodges (1905-1976), brillant jeune professeur de philosophie à l’Université d’Oxford. Un jour, tandis qu’il se promenait dans la rue, il est passé devant un magasin d’art. Son attention a été attirée par un tableau bien simple exposé dans la vitrine. Il montrait Jésus s’agenouillant pour laver les pieds de ses disciples.

Hodges connaissait l’histoire relatée dans Jean 13 : Dieu incarné lavant des pieds humains. Mais soudain, la signification profonde de cette scène a saisi le cœur de ce jeune philosophie. Dieu- Dieu ! – qui s’humilie pour accomplir la tâche la plus vile ! Il s’est dit : Si Dieu est ainsi, alors ce Dieu sera mon Dieu ! La vue de ce tableau est un des événements qui ont amené Hodges à abandonner sa vie au Dieu véritable : le Dieu qui lave les pieds.

En lisant Jean 13 attentivement, nous voyons que Dieu est bien le Dieu qui lave les pieds. Son amour sacrificiel insondable pour nous devrait nous pousser, nous aussi, à nous abandonner à lui.

Auteur inconnu

mardi 19 juillet 2011

Faire la volonté de Dieu (1)



"Quand la volonté de Dieu rencontre la volonté de l'homme, une des deux doit mourir."
Addison Leitch

lundi 18 juillet 2011

Un concept abstrait ?


Le théologien anglais James Montgomery Boice nous dit : « La souveraineté de Dieu n’est pas un concept abstrait qui est dépourvu de toute valeur, mais c’est la doctrine qui donne de la valeur et de la substance à toutes les autres. »

dimanche 17 juillet 2011

J’avais soif de spirituel


Guillaume
: "J’ai cherché la vérité dans la philosophie et les spiritualités orientales. Toute ma vie, on ne m’avait parlé que d'élever son âme pour devenir dieu..."
[ publié dans le magazine Croire et vivre n° 67 - juin 2008 ]
J'ai eu une petite enfance heureuse dans une belle maison à la campagne, près de Bordeaux. J'avais des parents, la santé et tout semblait bien parti. Malheureusement, l'enfer a commencé au moment de mon adolescence. Mes parents ont raté l'affaire dans laquelle ils s'étaient lancés et la conséquence, c'est qu'ils ont divorcé. Mon père a sombré dans l'alcool et la misère, tout seul, puis un long et dégradant cancer l'a retranché de ce monde. J'étais en troisième.
Comme une éponge
J'étais catholique par étiquette: j'avais fait du catéchisme et allais à la messe tous les dimanches, mais sans en retenir la moindre parcelle. Parallèlement, ma mère m'emmenait tous les samedis après-midi à une séance de médium et de guérisseur! Sans que je m'en rende compte, j'ai commencé à m'imprégner de l'atmosphère. En fait, j'étais une éponge et tout ce que j'ai vécu pendant mon adolescence s'est incrusté en moi.
Pratiquant les arts martiaux, je me suis plongé dans la culture orientale, que je finissais par mieux connaître que celle de mon pays. Mais à partir de ces années, ma vie est devenue de plus en plus horrible. La nuit, j'étais terrifié. J'ai découvert l'angoisse. La solitude et le chagrin m'ont également assailli.
Alors j'ai cherché la vérité à travers tout ce qui se présentait à moi : philosophie, ésotérisme, spiritualités. À 16 ans, je voulais partir dans un ashram en Inde pour trouver un maître. En pleine crise d'identité, je recherchais partout la réincarnation pour comprendre ce que j'avais fait pour mériter tant de souffrances. Mais bien loin d'être exaltants, tous les chemins que j'ai pu prendre se sont révélés être un labyrinthe. Quand j'ai pris conscience de cela, la folie avait commencé à poindre dans ma vie; je me réservais le suicide comme dernière porte. Mais je m'étais promis avant ça de me battre jusqu'au bout pour trouver l'éveil et être en paix.
Une solution venue d’où je ne l’attendais pas
Un jour, on m'a offert une petite bible de poche. Je n'avais jamais lu ce livre et il me rebutait, sans que je sache trop pourquoi. Cette année-là, en même temps, je me suis fait un ami chrétien. Il a été le premier à me parler de Jésus-Christ, qui était très différent de celui que je croyais connaître. Alors, intrigué, je suis allé à un groupe d'étudiants chrétiens. Au début je me suis moqué d'eux. Comment voulaient-ils m'apprendre quelque chose avec un seul livre, à moi qui en avais lu des centaines? Mais j'étais prêt à essayer ça encore. Qu'avais-je à perdre? Je voyais ma vie comme un immense champ de bataille et de ruines et je ne savais plus vers qui me tourner.
Alors je me suis mis à lire la Bible. Au début, c'était très dur; je n'y comprenais rien. Surtout, c'était très différent de tout ce que j'avais pu lire auparavant. Puis j'ai décidé de rencontrer un pasteur. Il m'a expliqué alors le pardon pour la présence du mal en moi que Dieu voulait m'offrir et la nouveauté de vie que Jésus-Christ donne. Et un jour, j'ai pris conscience que j'étais effectivement pécheur (c'est-à-dire que j'avais le mal en moi). J'ai compris que c'était cela qui m'empêchait d'accéder à la vérité. J'ai accueilli le Christ venu me sauver, mourir à ma place et me réconcilier avec Dieu. Et l'éveil que je cherchais s'est produit. La paix que je voulais trouver s'est présentée à moi. Depuis, j'apprends à découvrir la grâce de Dieu, à connaître Jésus et à l'aimer.
Toute ma vie, on ne m'avait parlé que de hauteurs, d'être appelé à devenir dieu. Mais j'ai rencontré la vérité au plus bas.

samedi 16 juillet 2011

La prière d'un pasteur


Je me confie en toi, Seigneur
car je sais que tu es un Dieu fidèle pour tous ceux qui se confient en toi. Quand je suis dans les ténèbres,tu es ma vie; quand je suis en prison,tu es avec moi; quand les hommes me maudissent,tu me bénis; quand ils m'affligent,tu me rassures: quand ils me battent,tu me relèves; et même si je marche dans la vallée sombre, tu seras toujours avec moi.
Menno Simons (1496-1561)

vendredi 15 juillet 2011

L'amour de Dieu en nous


"Gardons dans nos cœurs la joie de l'amour de Dieu et partageons cette joie de nous aimer les uns les autres comme Il aime chacun de nous.
Que Dieu nous bénisse. Amen."
Mère Térésa

jeudi 14 juillet 2011

Une donnée historique primordiale


Il faut bien reconnaître que la croyance en Dieu a été jusqu'à aujourd'hui une donnée permanente de l'histoire des hommes.
Jean Bruhat, historien français (1905-1983)

mercredi 13 juillet 2011

Une maxime biblique

Le poète néerlandais Bilderdijk a écrit : "Dieu prend soin de nous avec la providence la plus exceptionnelle."
Corrie Ten Boom, Reflets de la gloire de Dieu,page 22

mardi 12 juillet 2011

Le but de Satan avec les hommes


Satan recherche toujours à injecter le poison (du péché) dans nos cœurs pour discréditer la bonté de Dieu - spécialement en connexion avec ses commandements. Voilà ce qui se trouve derrière tout ce qui est mal, les désirs sexuels et la désobéissance. Un mécontentement avec notre position et notre partie, une envie irrésistible de quelque chose que Dieu a sagemment gardé pour nous. Rejettez toute suggestion que Dieu est excessivement sévére avec vous. résistez avec la plus grande aversion de tout ce qui vous amène à douter de l'amour de Dieu et de sa bienveillance envers vous. N'autorisez rien qui remet en question l'amour de Dieu le Père envers son enfant
Arthur W. Pink

Satan is ever seeking to inject that poison into our hearts to distrust God's goodness - especially in connection with his commandments. That is what really lies behind all evil, lusting and disobedience. A discontent with our position and portion, a craving from something which God has wisely held from us. Reject any suggestion that God is unduly severe with you. Resist with the utmost abhorrence anything that causes you to doubt God's love and his lovingkindness toward you. Allow nothing to make you question the Father's love for his child.
Arthur W. Pink

lundi 11 juillet 2011

Quel attitude adopter face à la Bible ?


"Le mystère de la Bible devrait nous enseigner à la fois notre insignifiance et notre grandeur, produisant l'humilité et animant l'espérance."
William J. Toms

dimanche 10 juillet 2011

Le livre indestructible


Février 303 : l'empereur romain Dioclétien émet un décret qui constitue une déclaration de guerre, non pas à un de ses ennemis, mais à un livre : la Bible. Ce décret indique que toute personne possédant ce livre sera mise à mort ainsi que les membres de sa famille. Chaque Bible trouvée fut brûlée et de nombreux chrétiens périrent. Dioclétien était persuadé d'avoir atteint son objectif : extirper de la surface de l'empire le livre des chrétiens. Sur une Bible en lambeaux, il fit élever une colonne avec l'inscription : “Le nom des chrétiens a été éteint”.
Dioclétien se trompait totalement. Vingt-deux ans plus tard, un autre empereur romain, Constantin, converti au christianisme, charge Eusèbe de faire exécuter 50 copies de la Bible complète.
Pourquoi Dioclétien n'est-il pas parvenu à éradiquer la Bible ? Parce qu'elle est la Parole de Dieu et que Dieu lui-même veille sur sa Parole. Au fil des siècles, elle a survécu au ravage du temps et aux pires persécutions. Aujourd'hui ce livre est édité chaque année, en partie ou en totalité, par dizaines de millions d'exemplaires. C'est le livre le plus lu, le plus traduit, le plus vendu. De tous les livres existant dans les bibliothèques, c'est le livre qui a eu le plus d'influence, qui a apporté le plus de réconfort. Il a transformé d'innombrables vies. Il peut transformer la vôtre. Chaque jour, nous vous proposons de découvrir un des nombreux messages qu'il contient. Par sa Parole, le Dieu d'amour s'adresse à chacun de nous.
Source : La Bonne Semence

samedi 9 juillet 2011

La joie de Jenny Lind


Cette cantatrice suédoise (1820-1887) a écrit : "Les épreuves… un sujet de joie complète…La vie a autant de joie que de douleur, mais je préfère la douleur, car il y a en elle une sublime grandeur, même quand le cœur est tout rempli de peines. C'est alors seulement que nous sentons combien nous sommes pauvres sur la terre et riche dans le ciel."

vendredi 8 juillet 2011

Un monde qui progresse


"Tout ce qui est fait de grand dans le monde est fondé sur l'espoir."
Martin Luther King (1929-1968), pasteur baptiste et défenseur des droits civils aux Etats-Unis.

jeudi 7 juillet 2011

L'Evangile de Jésus selon Louis Leprince-Ringuet


Physicien, membre de l'Académie Française

« Je trouve dans le message du Christ une telle grandeur, une telle sagesse révolutionnaire dans l’amour des autres, dans le dépassement auquel il nous convie …

Je trouve une telle force dans l’Evangile pour briser les carapaces d’égoïsme, de routine, de lâcheté qui nous recouvrent à longueur de journée …

Je trouve une telle grandeur dans la possibilité pour chacun d’entre nous, même immobilisé sur un lit d’hôpital, d’intervenir en faveur des autres ...

Je trouve une telle vie dans l’attitude chrétienne d’espérance dans les épreuves qui jalonnent votre existence, auxquelles personne n’échappe, ni vous ni moi …

Je trouve un tel stimulant pour la recherche, la science, et aussi pour le progrès intellectuel et spirituel, qui me permettent d’aller vers plus de vérité.

Oui, je trouve dans le message de l’Evangile un tel potentiel de joie et d’audace, un tel sens de la vie, que ce message porte pour moi le sceau de la vérité.

La vie, avec tout ce qu’elle recèle de complexe, d’évolutif, de mouvant, de bon et de mauvais, mais aussi de ses espoirs et de ses ardeurs, est illuminée par la personne du Christ. »

C'est un témoignage si fort sur l'impact qu'a eu l'Evangile pour cette personne qui l'a découvert que j'ai souhaité vous le faire partager.

Sébastien, membre du GBU d'Angers

mercredi 6 juillet 2011

La raison de vivre d'un fabricant de boutons


Un chrétien, fabricant de boutons, fut interrogé par des non chrétiens: "Qui êtes-vous, et que faites-vous ?", lui demanda-t-on.
 
Il répondit: "Je suis un homme justifié, et dirigé vers la gloire, et je vends des boutons chemin faisant". 
Il faisait son métier pour gagner honnêtement son pain, mais son vrai but était d'obtenir la gloire éternelle en Jésus Christ.
Auteur inconnu

mardi 5 juillet 2011

Manque d’ambition.


Un étudiant aborde Charles Spurgeon, le prédicateur anglais bien connu du 19ème Siècle, à la fin d’un de ses prédications : « J’ai bien compris qu’il faut un jour que je rencontre personnellement le Christ et que je change de vie ».
Spurgeon s’étonne : « Un jour ? Et pourquoi pas aujourd’hui ?
»
Réponse un peu embarrassée : « Avant,
je voudrais vivre un peu ».
Charles Spurgeon réplique alors: « Vous manquez d’ambition, jeune homme. Moi, à votre
place, je voudrais vivre pleinement tout de suite et non pas vivre un peu en attendant ».

lundi 4 juillet 2011

Dieu a-t-il crée l'homme ? Un philosophe répond

"Je n'ai pas une assez haute idée de l'humanité en général et de moi-même en particulier pour imaginer qu'un Dieu ait pu nous créer. cela ferait une bien grande cause, pour un si petit effet ! Trop de médiocrité partout, trop de bassesse, trop de misère, comme dit Pascal, et trop peu de grandeur. Comment un Dieu aurait-il pu vouloir cela ? Croire en Dieu ce serait péché d'orgueil ; l'athéisme est une forme d'humilité. C'est se prendre pour un animal, comme nous sommes en effet, et nous laisser la charge de devenir humains".

André COMTE-SPONVILLE (XXe siècle), Pensées sur l'athéisme, Albin Michel, 1999
Comment réagis-tu face à l'argumentation de ce philosophe humaniste athée ?

dimanche 3 juillet 2011

Les retards de Dieu


F. B. Meyer a dit: "Quel chapitre on pourrait écrire sur les retards de Dieu! C'est le mystère de l'art d'instruire les esprits humains afin qu'ils acquièrent le meilleur tempéra-ment possible. Que d'examens de conscience, d'analyses de motifs, d'épreuves de la Parole de Dieu, d'exaltations de l'âme. [...] Toutes ces choses sont associées aux moments difficiles d'attente, qui sont, toutefois, importants sur le plan spirituel."

samedi 2 juillet 2011

Ce que Jésus apporte


“On demandait à un enfant de la campagne pourquoi Jésus était important dans sa vie. Il répondit : A présent, quand je ne me sens pas bien, je me sens mieux que lorsque je me sentais bien avant de connaître Jésus.”
J.K. Gressett

vendredi 1 juillet 2011

Le globe terrestre

L'astronome Athanase Kircher (1601-1680) était un croyant convaincu. On raconte qu'un jour, un de ses collègues, qu'il savait être incroyant, lui rendit visite. Il remarqua, dans la chambre du savant, un globe terrestre exécuté avec un soin et une précision si remarquables qu'il attira son attention.

"Qui a fait ce globe ? demanda-t-il.
- Personne, répliqua l'astronome.
- Voyons, ne plaisante pas.
- Il s''est fait tout seul, affirma, très sérieusement son ami.
- Allons, tu me fais marcher. Donne-moi une réponse raisonnable.
- Tu ne peux pas croire que ce globe s'est fabriqué lui-même, tu as bien sûr raison. Et tu penses que le grand globe terrestre qu'il représente s'est créé tout seul ?"
Le collègue eut la bouche fermée.
Les cieux racontent la gloire de Dieu et l'étendue annonce l'ouvrage de ses mains. (Psaume 19, 1)
Dieu en la main duquel est ton souffle ... tu ne l'as pas glorifié. (Daniel 5, 23)