Pierre Lagrange, archéologue catholique qui a passé 50 ans en Palestine pour comparer chaque détail fourni par les Evangiles aux données réelles des mœurs, de l’histoire et de l’archéologie dit :
« Le bilan de mon travail, c’est qu’il n’existe pas d’objections techniques s’opposant à la véracité des Evangiles. Tout ce qu’ils rapportent, jusqu’aux moindres détails, peut être précisément et scientifiquement vérifié ».
« Le bilan de mon travail, c’est qu’il n’existe pas d’objections techniques s’opposant à la véracité des Evangiles. Tout ce qu’ils rapportent, jusqu’aux moindres détails, peut être précisément et scientifiquement vérifié ».
Nous pourrions énumérer de nombreux exemples où l’archéologie a justement permis d’éclaircir et de valoriser le texte biblique. John Mac Arthur par exemple cite les découvertes sur le roi Salomon et sur les Hittites qui ont renforcé la crédibilité de la Bible. Voilà ce qu'il a écrit dans le magazine français Le Point :
« Ce rayonnement planétaire est d’autant plus impressionnant que la Bible, faisant fi de toutes les découvertes archéologiques ou philologiques, se montre inoxydable. La défaite des idéologies, le galop de l’athéisme ne semble en rien diminuer son succès. A ce jour, tout ce que l’on sait du Livre va étonnamment dans le même sens, et démontre invariablement que l’ancestrale Ecriture résiste impeccablement au temps et aux théories. »
« Ce rayonnement planétaire est d’autant plus impressionnant que la Bible, faisant fi de toutes les découvertes archéologiques ou philologiques, se montre inoxydable. La défaite des idéologies, le galop de l’athéisme ne semble en rien diminuer son succès. A ce jour, tout ce que l’on sait du Livre va étonnamment dans le même sens, et démontre invariablement que l’ancestrale Ecriture résiste impeccablement au temps et aux théories. »