Relatant le départ de son mari pour la patrie céleste, la veuve du célèbre écrivain protestant Agrippa d’Aubigné écrit : "Il eut très bonne connaissance jusque quelques heures avant qu’il mourût. Le mercredi, tout le jour, il sommeillait et s’éveillait en riant, élevant les mains au ciel. Il nous a rendu grand témoignage de la joie qu’il sentait. Quand il faisait des difficultés de pouvoir prendre nourriture, il disait : Ma bien-aimée, laisse-moi partir en paix ; je veux aller manger du pain céleste".
Texte écrit par Paul Ettori, pasteur à Paris.