« 27
avril 1988. Un avion, avec son plein de passagers, n'est plus qu'à
trente minutes de sa destination, l'île hawaïenne de Maui. Soudain,
un bruit assourdissant : la partie supérieure de la cabine est
arrachée, à plus de 6 000 m d'altitude. Face à une mort imminente,
nombre de passagers crient de peur. D'autres crient à Dieu… un
Dieu auquel plusieurs disent pourtant ne pas croire.
Trente
minutes plus tard, c'est le miracle. Le pilote R. Schornstheimer
réussit à faire atterrir l'avion sans que personne n'ait été
blessé. Les passagers soulagés s'embrassent. Certains pleurent de
joie, d'autres poussent des hourras. «On a eu de la chance !»
s'écrient plusieurs. Étrange ! Qui pense maintenant à Dieu ? –
Le pilote. Il a pu dire à la conférence de presse qui a suivi : «La
main de Dieu a guidé l'avion».
Lors
de catastrophes, les hommes crient à Dieu… quand le danger est là.
Si l'issue est favorable, ils parlent souvent de chance ou de hasard.
Dieu est oublié. Mais si un désastre arrive, Dieu est immédiatement
accusé : «Comment Dieu peut-il permettre cela ? Et vous l'appelez
un Dieu d'amour ?»
«La
main de Dieu a guidé l'avion», a dit le pilote. Il ne s'attribuait
pas le mérite d'avoir réussi l'atterrissage. Il savait que Dieu
l'avait aidé à accomplir cet exploit. Savez-vous que ce grand Dieu
vous connaît personnellement ? Il vous aime, il a donné Jésus
Christ pour vous sauver. Voulez-vous venir à lui et lui dire :
«Merci d'avoir voulu me sauver» ?
Auteur inconnu