L’historien
Philippe Schaff en 1913 résume en ces mots judicieux le caractère
unique de la Bible et de celui auquel elle rend témoignage:
«Sans argent et sans armes, ce Jésus de Nazareth a vaincu plus d’hommes qu’Alexandre, César, Mahomet et Napoléon; sans avoir fait d’études supérieures et sans avoir acquis de connaissances particulières, il a projeté sur Dieu et sur l’homme plus de lumière que tous les philosophes et savants réunis; sans formules rhétoriques, il a prononcé des paroles de vie comme personne avant lui ni personne après lui, paroles qui ont produit des effets inconnus de tout autre orateur ou poète. Sans avoir écrit lui-même une seule ligne, il a donné matière à plus de sermons, de discours, de discussions, de doctrines, d’art et de louanges que toute la cohorte des grands hommes de l’Antiquité et des temps modernes» (cité par Josh Mc Dowell).
«Sans argent et sans armes, ce Jésus de Nazareth a vaincu plus d’hommes qu’Alexandre, César, Mahomet et Napoléon; sans avoir fait d’études supérieures et sans avoir acquis de connaissances particulières, il a projeté sur Dieu et sur l’homme plus de lumière que tous les philosophes et savants réunis; sans formules rhétoriques, il a prononcé des paroles de vie comme personne avant lui ni personne après lui, paroles qui ont produit des effets inconnus de tout autre orateur ou poète. Sans avoir écrit lui-même une seule ligne, il a donné matière à plus de sermons, de discours, de discussions, de doctrines, d’art et de louanges que toute la cohorte des grands hommes de l’Antiquité et des temps modernes» (cité par Josh Mc Dowell).