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dimanche 31 octobre 2010

Une réalité indéniable



" Le Christianisme ne nie pas la réalité du mal et n’essaie pas de se cacher devant l’horreur causée par le mal. Les Chrétiens n’osent pas minimiser le mal ou se réfugier derrière des euphémismes. Mais nous ne pouvons accepter que le mal aura le dernier mot. Le dernier mot sera l’accomplissement parfait de la grâce et de la justice de Dieu."
R. Albert Mohler Jr.
Source : washingtonpost.com et Newsweek's 'On Faith' Web site

samedi 30 octobre 2010

Viens dans mon coeur, Jésus.

Quelqu'un a dit : "Quand Christ habite un cœur, le monde n'a plus de place. C'est la force venant d'une affection nouvelle pour le Seigneur !"

vendredi 29 octobre 2010

Ce que Jésus peut apporter dans nos vies


Quelqu'un a écrit
: ' Ni le progrès social, ni l’aisance matérielle ne suffisent à satisfaire toutes les aspirations de l’être humain. Cela est vrai dans le monde entier. Jésus a dit que la vie de l’homme ne consiste pas en abondance de biens :
“ Puis il leur dit: Gardez-vous avec soin de toute avarice; car la vie d'un homme ne dépend pas de ses biens, fût-il dans l'abondance. ”.
(Luc 12:15)'

jeudi 28 octobre 2010

Oubliez les inquiétudes


Vous avez peut-être déjà participé à une expérience où on vous a donné une expression comme " Voiture rouge ", puis on vous a demandé de l'oublier, plus la " voiture rouge " dominait vos pensées. Ce genre d'exercice montre qu'on ne peut jamais oublier quelque chose en se concentrant dessus.

L'inquiétude, réaction naturelle aux soucis de la vie, est comme cela. Beaucoup d'entre vous passent des nuits d'insomnie à tenter de régler des problèmes complexes, et tout ce que nous parvenons à accomplir, c'est à les ancrer davantage dans notre esprit. La bible dit qu'au lieu d'être appesantis par nos soucis, nous devrions les confier à Dieu. L'apôtre Pierre, lui, l'exprime ainsi : 1 Pierre 5:7. Jésus dit à ses disciples de ne pas s'inquiéter des nécessités de la vie, parce que " Votre père céleste sait que vous en avez besoin " Matthieu 6:32
Pour oublier nos soucis, nous devons nous concentrer sur la bonté et la bienveillance de Dieu, et non sur les problèmes qui nous tourmentent. Alors, nous pourrons dire avec le psalmiste : "Quand les pensées s'agitent en foule au dessus de moi, tes consolations réjouissent mon âme." Psaumes 94:19
Plus vous pensez à la bonté de Dieu, moins vous pensez à vos soucis.

mercredi 27 octobre 2010

L´homme peut-il vivre sans Dieu ?

Ravi Zacharias.jpg
« L´homme peut-il vivre sans Dieu ? Bien sûr que oui physiquement parlant ! Peut-il vivre sans Dieu de manière raisonnable ? La réponse est non, parce qu'il serait obligé de nier toute loi morale, d'abandonner tout espoir, de renoncer à toute signification et de courir le risque de ne pas retrouver la bonne voie s'il s'était trompé. La vie donne souvent trop de preuves contraires. » 
Ravi Zacharias, extrait de L´homme peut-il vivre sans Dieu ? et paru aux Éditions Farel.

mardi 26 octobre 2010

La pratique du pardon (Billy Graham)

On raconte l’histoire d’un vieux chrétien qui, excité apparemment au-delà de toute mesure par la méchanceté persistante d’un voisin, déclara publiquement qu’il « le tuerait». Son ennemi entendit parler de ses intentions et attendit sardoniquement de voir ce que ferait ce vieillard inoffensif. Mais, au lieu de rendre le mal pour le mal, le vieux chrétien cherchait toutes les occasions de lui faire du bien. Au début, son attitude était un peu risible, presque agaçante, mais quand enfin le chrétien risqua sa vie pour sauver la femme de son ennemi qui se noyait, leur animosité disparut.
« Vous avez fait ce que vous aviez l’intention de faire, dit son ennemi, vous m’avez tué, ou plutôt vous avez tué l’homme que j’étais. Et maintenant, que puis-je faire pour vous ? »Le monde sait bien reconnaître un véritable acte chrétien ! Il n’a pas besoin de plus de christianisme, mais de plus de chrétiens qui mettent en pratique la tolérance et le pardon chrétiens.

lundi 25 octobre 2010

Une véritable repentance


Le général William Booth, fondateur de l'Armée du Salut, a donné une juste définition de la repentance lorsqu'il déclare : "Le premier signe et le plus certain d'une vraie repentance, c'est l'abandon complet du mal dont on prétend se repentir". Sans repentance, pas de vie nouvelle. (Luc 13,5; Actes 2,38 et 26,20)

dimanche 24 octobre 2010

L'argent selon Martin Luther


"Avoir de l'argent et du bien n'est pas un péché, mais ne le laisse pas devenir ton maître ; qu'il te serve, et que tu sois son maître"
Martin Luther.

samedi 23 octobre 2010

"Quelle chance"


Jean Rostand, savant français athée, dit un jour à Jean Guitton, un philosophe croyant :
« Quelle chance vous avez d’être croyant. Parce que vous croyez en Dieu vous pouvez l’oublier, tandis que moi qui n’y crois pas j’y pense sans cesse ! »

vendredi 22 octobre 2010

Où était le trésor ?

C'était une maison pauvre et une pauvre maison. Les parents ne cessaient de se disputer devant les enfants terrorisés. Un chrétien du village entra un jour chez ces gens, juste au moment d'une de ces querelles.
"Ah, Monsieur, s'excuse le père, voyez-vous, notre problème c'est le manque d'argent. Alors chaque dépense est l'occasion d'une dispute."
Apercevant une grosse Bible sur un étagère, le visiteur déclare d'un ton convaincu : "Mes amis, vous avez pourtant chez vous un trésor. Vous pourriez être la famille la plus heureuse du village".
Le visiteur avait l'air sérieux. Sur ces mots mystérieux, il partit. L'homme et la femme regardèrent partout, mais point de trésor. Ce monsieur s'est moqué de nous, pensèrent-ils. Mais un beau matin, les yeux de la femme se posent sur la Bible : Serait-ce le trésor en question ?

Vite elle essuie la poussière, ouvre le livre négligé tant d'années. Les premiers mots qui frappent ses regards sont ceux qu'a jadis soulignées sa mère : "La loi de ta bouche est meilleure pour moi que des milliers de pièces d'or ou d'argent" (Psaume 119, 72). "C'est bien cela." Elle se met à lire avec un intérêt croissant.
Quand son mari rentra, elle lui dit : "Le trésor, eh bien, je l'ai trouvé : il est dans ce livre ; lisons-le ensemble". Ce qu'ils firent pour leur bonheur et celui de leur foyer.

Avez-vous déjà lu la Bible ?

jeudi 21 octobre 2010

Une seule manière de vivre

Il n'existe aucune autre manière de vivre pieusement et en juste qu’en s’en remettant à Dieu.
Jean Calvin

mercredi 20 octobre 2010

Vivez-vous dans la plénitude de sa bénédiction ?


"Et je sais qu’en allant auprès de vous, j’irai dans la plénitude de la bénédiction de Christ."
Romains 15.29 (Darby)
Vivez-vous dans la plénitude de sa bénédiction ? La bénédiction de Dieu, c’est sa puissance surnaturelle : sa grâce. Chacun de nous a expérimenté une mesure de sa bénédiction, mais je crois fermement qu’il désire vous faire accéder à un niveau totalement nouveau.
Ne vous contentez pas de votre situation actuelle.
Dieu tient en réserve pour vous des promesses et des perspectives auxquelles vous n’avez même pas encore songé. Ce que vous avez expérimenté auparavant n’est qu’une infime partie de ce qu’iI vous réserve dans l’avenir. Sachez que Dieu aime se surpasser. Il veut ouvrir des portes devant vous et mettre en évidence des talents et des capacités que vous n’étiez même pas conscients de posséder... Rappelez-vous que le Dieu que nous servons est un Dieu d’abondance. Il est le Dieu de la surabondance. Il veut non seulement pourvoir à vos besoins, mais également vous donner suffisamment pour que vous soyez en bénédiction aux autres. C’est ce qu’on appelle vivre dans la plénitude de la bénédiction. Ne vous contentez pas de votre situation actuelle. La situation économique, votre passé ou ce que les autres pensent ou disent ne déterminent pas votre destinée. Votre destinée est dans les mains du Dieu Tout-puissant. Il désire que vous puisiez une plus grande mesure de sa bénédiction et que vous expérimentiez la vie abondante qu’il tient en réserve pour vous ! Une prière pour aujourd’hui Père céleste, je viens devant toi aujourd’hui avec un cœur ouvert et humble, prêt à recevoir tout ce que tu as pour moi. Enseigne-moi à mener une vie qui te soit agréable, afin que je puisse être un exemple de ton amour autour de moi. Au nom de Jésus. Amen.
Joël Osteen

mardi 19 octobre 2010

Assurance du salut.



Robert Bruce (roi d'Écosse, 1274-1329), le matin de sa mort, déjeuna comme d'habitude avec un œuf : Je crois que j'ai encore faim, dit-il à sa fille, apporte m'en encore un! Tandis qu'on le lui préparait, l'expression de son visage devint très sérieuse: Ma fille, s'écria-t-il, voici le Maître qui m'appelle! - Son regard s'était voilé. Il demanda sa Bible et pria sa fille de l' ouvrir au chapitre 8 de l'épître aux Romains.
Comme il ne pouvait plus voir, il lui dit: Mets mon doigt sur ces mots : Je suis assuré que rien ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu en Jésus-Christ. 
- Quand ce fut fait, il dit: Mon doigt y est-il bien? 
- Oui, père. 
- Maintenant que Dieu te soit en aide, ma fille. J'ai déjeuné avec toi sur la terre ; je souperai ce soir avec notre Seigneur Jésus-Christ.
Après avoir dit ces mots, il expira.

lundi 18 octobre 2010

« Je n’arrive pas à comprendre comment Dieu peut me pardonner."


Dans les années 1960, une très belle femme de la haute société vint un jour rendre visite à un prédicateur célèbre et sa femme. Elle s’était convertie à Jésus-Christ lors d’une réunion dans une église et elle était transformée, radieuse. Elle avait déjà appris des dizaines de versets bibliques par cœur et elle était tellement remplie de Jésus-Christ que le couple l’écouta pendant deux heures leur rendre un témoignage touchant. Elle ne cessait de dire : « Je n’arrive pas à comprendre comment Dieu peut me pardonner. J’ai été une telle pécheresse, je ne peux simplement pas comprendre l’amour de Dieu »
Auteur inconnu

dimanche 17 octobre 2010

Anecdotes sur la fidélité de Dieu (2)


Sir Wilfred Grenfell, médecin missionnaire au Labrador, se retrouva en train de dériver sur un bloc de glace, après avoir été précipité à la mer. Il tua ses chiens en leur épargnant toute souffrance, se fit un manteau de leur fourrure, installa un fanion de détresse, puis s’allongea et s’endormit. Plus tard il déclara : “Il n’y avait rien à craindre, j’avais fait tout ce que je pouvais, le reste était entre les mains de Dieu."
Source : Donald Campbell, Daniel, Decoder of Dreams, p. 20.

samedi 16 octobre 2010

La nécessité de l’obéissance

Le triple dessein de la Bible est d’informer, d’inspirer la foi et de nous amener à l’obéissance.
Tout ce qui est utilisé pour atteindre d’autres buts est faux et peut même nous nuire.
Les saintes Ecritures (la Bible) nous feront du bien seulement si nous venons à elles avec :
· un esprit ouvert pour être enseigné.
· un cœur tendre pour croire.
· Une volonté soumise pour obéir.
(A.W. Tozer)

vendredi 15 octobre 2010

L'impact de l'Evangile dans le coeur humain


Un pasteur a écrit : « J'ai connu un jeune homme qui, après avoir compris quelle importance l'Evangile revêtait pour lui, me disait avec une parfaite simplicité : c'est comme si je commençais seulement à vivre, tout me semble nouveau, tout me paraît plus beau, tout me paraît grand, je jette un nouveau regard sur la vie. Je me souviens encore d'une autre personne qui avait aussi progressé dans sa démarche de foi après un passage très difficile, et qui me parlait ainsi en citant une parole des Actes : c'est comme si mes yeux s'étaient ouverts et que j'avais découvert tout un monde que je ne soupçonnais pas et que je n'aurais pas pu imaginer... C'est la Parole de Dieu, la vie du Christ Ressuscité qui nous a permis de voir les choses, les situations d'une manière différente ; nous constatons à notre grand étonnement, que cela était pourtant ainsi auparavant et que nous n'avions pas réussi à le discerner... C'est cela l'effet de la Bonne Nouvelle. »

jeudi 14 octobre 2010

Les réservoirs de Dieu (2)

La science actuelle ne décrit pas une conception biblique du monde. Cependant, elle nous aide à comprendre autrement l'action créatrice de Dieu sans pour autant dénaturer la Révélation. Pour nous, la nature est un « système écologique » vivant par lui-même sans que Dieu n'intervienne nécessairement. Mais cela n'est pas une raison de nier l'existence de Dieu. Au contraire plutôt que d'être une des multiples causes qui expliquent, sans plus, les effets de l'eau dans la nature, Dieu est celui qui, par sa parole, fonde et soutient toute la création pour notre salut. Ici nous rejoignons tout à fait la foi biblique.

Dieu dit : «Qu'il y ait un firmament au milieu des eaux et qu'il sépare les eaux d'avec les eaux!» Dieu fit le firmament et il sépara les eaux inférieures au firmament d'avec les eaux supérieures. Il en fut ainsi. Dieu appela le firmament « ciel ». Il y eut un soir, il y eut un matin: deuxième jour. Dieu dit : « Que les eaux inférieures au ciel s'amassent en un seul lieu et que le continent paraisse! » Il en fut ainsi. Dieu appela « terre » le continent : Il appela «mer» l'amas des eaux Dieu vit que cela était bon. (Genèse 1, 6-10).  
Benoît Miller

mercredi 13 octobre 2010

Les réservoirs de Dieu (1)

Dans le commencement des origines, le souffle de Dieu, tel un aigle qui tournoie, planait au-dessus de l'abîme des eaux. Ces eaux informes, où régnait le chaos, ont été organisées par la parole créatrice de Dieu. Elles ont été séparées en deux réserves distinctes pour que naisse la vie. La conception biblique du monde comprend ainsi les « eaux d'en haut », maintenues par un firmament solide comme une coupole de verre, et les « eaux d'en bas », maintenues par la surface de la terre. La cause des phénomènes naturels comme la pluie, la sécheresse et les inondations s'explique donc par l'ouverture ou la fermeture de ces deux réserves.

Dieu, le Créateur, dispose de ces masses d'eau comme il l'entend. Il contrôle, pour ainsi dire, la clé des robinets. C'est lui qui régit constamment les lois de la nature en ouvrant ou en fermant, selon sa volonté, ces robinets. Par le fait même, l'eau devient ou l'expression de la bienveillance de Dieu envers l'humanité ou celle de sa colère. Les douces pluies, la rosée du matin, les puits, les sources et les rivières sont une bénédiction de Dieu qui abreuve ses créatures sur la terre. Les raz-de-marée, les inondations, les ouragans et les sécheresses manifestent l'aspect terrifiant de la mort. Plus qu'un simple élément de la nature sans couleur, sans odeur et sans goût, l'eau symbolise la puissance de Dieu qui donne la vie et la reprend à son gré. L'eau évoque essentiellement un rapport intime entre Dieu et les êtres humains.

Benoît Miller

mardi 12 octobre 2010

La demande du philosophe à Alexandre le Grand


Alexandre le Grand voulait récompenser un philosophe qui lui avait rendu un grand service.
“Tu peux me demander ce que tu veux” a dit Alexandre le Grand.
Le philosophe a pris cette offre au sérieux et dit au trésorier royal qu’il voulait 10 000 livres d’or.
Choqué par une demande aussi importante, le trésorier refusa, et il est allé ensuite en colère voir Alexandre le Grand.
“Cet homme demande trop. Sa requête n’est pas raisonnable.”
Alexandre a écouté patiemment et ensuite il lui dit de donner au philosophe ce qu’il a demandé.
“Il m’a honoré de trois façons. Premièrement, il a cru à ma parole. Deuxièmement, il a cru à ma richesse. Troisièmement, il a cru à ma bonne volonté, pour faire ce que j’ai dit que je ferais. Donne-lui l’argent. Il m’a honoré par sa grande foi dans mes paroles.” (
www.annuairechretien.com)

lundi 11 octobre 2010

Témoignage de David Berkowitz (partie 1)



Je m'appelle David Berkowitz. Je vous écris, en tant que prisonnier, d'une prison à sécurité maximum dans le nord de l'État de New York. En 1977, je fus arrêté pour une série de crimes identifiés comme les meurtres du «fils de Sam». J'ai reçu une sentence «à vie sans libération conditionnelle» et je suis en prison depuis plus de vingt ans. Je suis un meurtrier et j'ai versé le sang de personnes innocentes. J'ai causé beaucoup de chagrin et de maux de tête à plusieurs et j'en suis profondément désolé. Je rendais un culte aux démons à un moment donné. J'ai fait le choix insensé de m'impliquer dans un groupe s'amusant à jouer avec la sorcellerie. Au moment de mon adhésion, je cherchais seulement l'amitié et je désirais me trouver une fille «cool». Alors que je cherchais l'amour et la compagnie, j'ai, au contraire, trouvé la mort et la destruction.

Je suis né en 1953 et j'ai grandi dans le quartier Soundview dans le Bronx. Ma naissance était un accident car je suis né d'une femme célibataire ayant une relation adultère avec un homme marié. Dès qu'elle s'est découverte enceinte, elle a tout arrangé pour me donner à un couple dès ma naissance. Ce couple m'a adopté plus tard et, même s'ils étaient des gens simples, travaillant durement et ne possédant pas grand chose, ils m'ont prodigué de l'amour et ont essayé de m'élever du mieux qu'ils pouvaient. Mais j'avais plusieurs problèmes mentaux et émotionnels. Personne ne sait pourquoi, mais j'avais de la difficulté à m'adapter à la vie. C'est peut-être votre cas aussi. Même quand j'étais un petit enfant, j'étais sauvage et rebelle. Il y avait définitivement un mauvais esprit en moi. Quelquefois, j'agissais bizarrement, cassant des meubles dans l'appartement de mes parents. Mon père devait me retenir au plancher jusqu'à ce que ces instincts destructeurs me quittent. J'avais une rage explosive en moi. Alors que je grandissais, j'étais très rebelle à l'école aussi. Je séchais souvent les cours et je me battais fréquemment. J'ai volé à peu près tout ce qui n'était pas cloué au plancher. J'ai vécu comme un hors-la-loi et j'ai causé tellement de chagrin à mes parents que des fois, je les ai vus s'effondrer et pleurer. Ils ont versé des larmes amères à cause de ma conduite. Je remercie Dieu pour l'amour de mes parents, mais même leur amour ne pouvait me réprimer. Je flânais dans les rues allumant des feux. Je me sentais seul et misérable et, pour être honnête avec vous, j'ai souvent considéré le suicide. Je détestais ma vie. J'ignorais pourquoi j'agissais ainsi. Je méprisais mes parents. Je ne croyais pas en Dieu. Je voulais seulement mourir. Et plus que toute autre chose, je maudissais le jour de ma naissance! D'une façon ou d'une autre, je me suis débrouillé pour compléter mon école secondaire, ce que plusieurs de mes amis n'ont pas réussi. Un de mes meilleurs amis est mort à l'âge de quinze ans. Nous allions boire sur le toit des blocs appartements. Un jour, il a essayé de traverser de l'autre côté, sur un autre bâtiment. Nous étions tous «partis» à cause de la drogue. Robert a sauté par-dessus le mur au mauvais endroit et est tombé six étages plus bas vers la mort. Ç'aurait pu être moi car nous sautions toujours d'un bâtiment à l'autre. Je ne pourrais même pas commencer à vous dire le nombre de fois que j'ai joué un tour à la mort. Et encore là, je détestais vivre. JE SUIS DEVENU UNE BOMBE AMBULANTE À RETARDEMENT Ma mère est morte en 1967, alors que j'avais quatorze ans. J'étais déréglé et insensé de son vivant. Maintenant que la personne que j'aimais le plus était morte, je suis devenu une bombe ambulante à retardement. Je bouillonnais de haine. Je déambulais dans les rues et, parfois, je ne revenais pas à la maison avant le lever du jour. Mon père m'aimait, mais j'étais incontrôlable. J'ai joint l'armée en 1971 spécialement pour échapper à la vie dans le Bronx, mais aussi parce que je me sentais seul. La plupart des gars avec qui j'ai grandi étaient soit en prison, soit décédés. Je voulais tellement me faire une place quelque part. Rien n'avait de sens pour moi. Je suis revenu à New York après trois ans de service. J'avais mon propre appartement mais je n'avais pas d'amis intimes. J'ai rencontré des gars dans une «party» dans le Bronx, peu de temps après. Ils m'ont invité dans un boisé où, disaient-ils, beaucoup de gens se «gelaient» et avaient du bon temps. J'y suis allé. J'ai rencontré des personnes comme moi à cet endroit. J'avais vingt et un ans et je pensais que c'était plaisant. Ils faisaient des incantations et fumaient du «pot». Avec le temps, j'ai découvert que j'aimais ce groupe. J'ignorais ce qu'était le culte aux démons. Je pensais que des gens faisaient cela, des centaines d'années passées, durant l'âge des ténèbres. Cela ne semblait pas mauvais ni dangereux. Je voulais seulement des amis et je ne pensais pas qu'il existait un Dieu qui nous aimait. Au fur et à mesure, cependant, quelques-uns des dirigeants ont désiré franchir des étapes plus avancées pour glorifier les puissances des ténèbres. Je les ai suivis comme un insensé. Nous avons allumé des feux et sacrifié des animaux. Ensuite, nous sommes allés jusqu'à sacrifié des humains. Cela semble si incroyable, mais au moment où les meurtres ont commencé, j'étais déjà un membre consacré du groupe. En retournant en arrière, aujourd'hui, je vois que Satan avait complètement pris possession de mes pensées. Il m'avait menti. Il m'avait promis le bonheur et la puissance. Je devais l'adorer. Mais le diable n'est jamais à la hauteur. À la fin, j'ai été accusé de six homicides. Aussi loin que je peux me souvenir, j'étais en colère. Et après avoir été trimbalé en cour, j'étais encore plus en colère quand je suis entré en prison. Je me suis retrouvé à Attica, l'une des prisons les plus dangereuses des États-Unis. Je suis passé à deux doigts de la mort là-bas, lorsqu'un autre prisonnier a essayé de me tuer avec un rasoir. Alors que les années se sont écoulées, j'ai abandonné l'idée de rester positif et de garder espoir. Je pensais que c'était la fin de la vie, que je n'avais aucun espoir ni aucun avenir. Plus tard, j'ai été transféré dans une autre prison. J'ai essayé de m'adapter en continuant à purger ma peine. Un jour, alors que je marchais dans la cour, un autre détenu s'est approché avec un grand sourire au visage et m'a dit que Jésus-Christ m'aimait beaucoup. J'ai pensé en moi- même: «Qui est ce malade?». Il m'a dit avoir été envoyé par Dieu personnellement pour me laisser savoir qu'Il se souciait de ma vie.

dimanche 10 octobre 2010

Se soucier


« Se soucier est une vertu ; entretenir son souci est un péché, parce qu’une telle anxiété ne montre pas une confiance en Dieu mais en nous ».
J. J. Muller

samedi 9 octobre 2010

La vraie prière

Un pasteur a dit : «Le plus grand résultat de la prière n'est pas la délivrance du mal, ou l'obtention d'une chose désirée, mais la connaissance de Dieu. Toute vraie prière cherche Dieu lui-même, car avec Lui on a tout ce qu'on on a de besoin».

vendredi 8 octobre 2010

La paix, ce profond désir de l'humanité



Si la paix s'installe un jour, elle ne pourra être authentique que si chaque individu fait d'abord la paix en soi-même, extirpe tout sentiment de haine pour quelque race ou quelque peuple que ce soit, ou bien domine cette haine et la change en autre chose, peut-ètre même à la longue en amour ou est-ce trop demander? C'est pourtant la seule solution.

Etty Hillesum (27 ans)  Ecrivaine allemande d'origine juive  né en 1914 et morte à Auschwitz le 30 novembre 1943.

jeudi 7 octobre 2010

Science et christianisme vont-ils ensemble ?


«Parfois on entend cette opinion, que nous vivons au siècle du spatial, que nos connaissances de la nature se sont tellement amplifiées que nous pouvons renoncer à croire en Dieu. Il n’en est certes pas ainsi. Seule une foi renouvelée en Dieu peut amener la transformation nécessaire qui peut sauver le monde de la catastrophe. Science et religion sont comme deux soeurs et non une contradiction ».
Werner von Braun. 1912 – 1977

D’origine allemande, il s’installe aux USA. Créateur des lanceurs spatiaux américains.

mercredi 6 octobre 2010

Un désir à travailler

« Le désir de chacun devrait être de travailler toute sa vie, même une fois à la retraite, et de s’investir (en fonction bien entendu de son état de santé et des forces restantes) dans une forme de service quel qu’il soit. » 
John Stott.

mardi 5 octobre 2010

Dieu n'est pas mort

Dieu n'est pas mort
Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.
Matthieu 16. 16
Vous vous êtes tournés des idoles vers Dieu, pour servir le Dieu vivant et vrai.
1 Thessaloniciens 1. 9

Le Dieu vivant

« Dieu est mort ». C'est ce que proclamait Nietzsche, ce philosophe allemand ... mort lui-même depuis près de 100 ans. Le blasphème a été recopié plus d'une fois en mai 1968 sur les murs des lycées et des universités : « Dieu est mort ». Dieu aurait pu, par un jugement soudain, montrer qu'il était le Dieu vivant, le Dieu éternel. Il a gardé le silence.
En réalité, il est vrai que Jésus, le Fils de Dieu, est mort, cloué sur une croix, voici bientôt deux mille ans. Il est mort, mais il est aussi ressuscité et remonté au ciel, il est maintenant à la droite de Dieu. Grâce au sacrifice de son Fils, Dieu sauve tous ceux qui croient (1 Corinthiens 1. 21).
Quand Jésus était sur la croix, les hommes de son temps l'insultaient et se moquaient de lui comme beaucoup aujourd'hui. Ils lui jetaient ce défi : « Si tu es Fils de Dieu, descends de la croix » (Matthieu 27. 40). Quelle folie ! Bien sûr qu'il pouvait descendre de la croix aussi facilement qu'il sortira du tombeau trois jours plus tard. Ce ne sont pas les clous qui pouvaient le retenir. Savez-vous ce qui le retenait ? C'était son amour pour les hommes, pour vous et pour moi. Il avait accepté de subir à notre place le châtiment de Dieu pour nos fautes. Il voulait nous arracher à la puissance du diable et nous rendre heureux pour toujours.
Source : La Bonne Semence

lundi 4 octobre 2010

La foi authentique


La foi authentique est un fruit, une œuvre ou un don du Saint Esprit de Dieu (Galates 5.22; 2 Thessaloniciens 1:11; I Cor. 12:19), par lequel une pauvre âme est rendue capable - par la puissante opération de Dieu (Col.2:12) sur son péché et son misérable état- de se saisir de la justice, du sang, de la mort, la résurrection, l'ascension, l'intercession, et de la seconde venue du Fils de Dieu qui a été crucifié hors des portes de Jérusalem pour la vie éternelle (Jean 3:16-18 comparé à Matthieu 3:17; Galates 2:20; Romains 5:8-10; Romains 3:25; Actes 16:31; Hébreux 13:12) selon ce qui est dit en Hébreux 11:1: " Or la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas." C'est à dire que la foi voit, saisit et salue (Hébreux 11:13) les choses qu'on espère, comme si elle étaient présentes. Oui, elle en fait une certitude pour l'âme. Par conséquent, dit l'apôtre, c'est une preuve ou un témoignage de ces choses qui ne peuvent encore être vues avec les yeux du corps, choses obtenues par le sang de l'homme Jésus Christ, (Hébreux 9:14)

JOHN BUNYAN, (1628-1688)

dimanche 3 octobre 2010

IL N'Y A PERSONNE COMME JESUS


Voici les paroles d'un chant africain sur Jésus.

Il n' y a vraiment personne comme Jésus
Il n' y a vraiment personne comme Jésus
Il n' y a vraiment personne comme Jésus
Il n' y vraiment personne comme Lui


J'ai marché marché, personne personne
J'ai tourné tourné, personne personne
J'ai fouillé fouillé, personne personne
Il n'y a vraiment personne comme Lui.

samedi 2 octobre 2010

Accepter la volonté de Dieu

Georges et Helen Jesze disent dans leur livre J’ai vaincu mes soucis : « Il y a un prix à payer pour faire la volonté de Dieu mais ce prix est beaucoup plus élevé quand nous ne la faisons pas ».
Rechercher la volonté de Dieu n’aurait aucun sens si nous ne le faisions pas avec l’intention de l’accepter, donc d’y obéir.

vendredi 1 octobre 2010

Un moment de rencontre


L'adoration chrétienne implique une rencontre par laquelle Dieu nous parle et nous témoigne son amour, et par laquelle nous lui offrons nos louanges et remerciements, cherchons son pardon et renouvelons nos engagements, demandons son aide et lui confions notre avenir.
Geoffrey Wainwright