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lundi 31 octobre 2011

La joie d'Alfred Boegner

Voici ce qu'a écrit le pasteur Alfred Boegner (1851-1912) : " Que de bénédictions perdues pour avoir repoussé ou fuit la souffrance ! Dans chaque souffrance que Dieu nous envoie, il y a une bénédiction ou une occasion de chute, selon que nous l'acceptons avec amour, ou que nous la repoussons ou que nous la fuyons avec colère. Compte si tu le peux, toutes les souffrances contre lesquelles tu t'es révolté, toutes les croix que tu as rejeté loin de toi ; toutes les contrariétés qui, loin de t'apprendre la douceur et la patience, t'ont irrité et porté au murmure, compte-les, puis dis-toi : autant de grâces que j'ai rejetées, autant de bénédictions que j'ai foulées aux pieds, autant de joies que j'ai perdues, car toute croix apporte sa joie, et toute épreuve a son fruit béni. Un des reproches adressés par Dieu au méchant qui lui rend un culte charnel c'est de haïr la correction. A force de révolte on peut lasser Dieu, qui cesse alors d'éprouver, de corriger, d'émonder l'âme. Celle-ci retrouve le calme, mais quel calme ! Quelle paix ! Et que la fournaise allumée par Dieu valait mieux !"
André Denjean

dimanche 30 octobre 2011

Tout arrive-t-il par hasard ?

On a demandé à Max Planck (1858-1947), Prix Nobel de physique, s'il croyait en Dieu. 
Voila sa réponse :  « Dans la vie quotidienne, y a-t-il un immeuble sans architecte ? Du pain sur la table sans la main invisible du boulanger ? Une auto sans mécanicien ? Une table sans menuisier ? Une œuvre sans artiste ? Qui oserait dire que des bouts de bois se sont rassemblés tout seuls, qu'une toile s'est tendue toute seule, que des couleurs se sont répandues sur la palette, que les écailles du papillon se sont imbriquées seules les unes dans les autres sur ses ailes ? Le hasard est-il capable de reconstituer un Concorde mis en pièces détachées dans un hangar ? »

samedi 29 octobre 2011

le fondement de la foi chrétienne




Le théologien Visser't HOOFT a dit : « II est grand temps que les chrétiens découvrent le fondement essentiel de leur foi, à savoir que Jésus-Christ n'est pas venu apporter sa contribution à l'effort religieux de l'humanité, mais qu'en lui Dieu réconciliait le monde avec lui-même »

vendredi 28 octobre 2011

Une vie avec de bons fondements


Daniel Webster (1782-1852)
Il fut l'un des hommes d'État américain les plus importants lors de la période qui précéda la Guerre de Sécession.
" Si on travaille sur le marbre cela va périr,
Si on travaille sur le brasse le temps va l’effacer,
Si on érige des temples, les années vont le réduire en poussière,
mais si on travaille sur les âmes immortelles des hommes,
Si on y imprègne le principe élevé de la crainte de Dieu,
ce sera une empreinte que le temps
ne peut effacer, empreinte de laquelle peut briller la gloire éternellement."
(Daniel Webster)

jeudi 27 octobre 2011

Deux vérités à comprendre

La vérité de Dieu juge les choses crées à partir de l'amour et la vérité de Satan juge celles crées à partir de la jalousie et de la haine.
Dietrich Bonhoeffer

God's truth judges created things out of love, and Satan's truth judges them out of envy and hatred.
Dietrich Bonhoeffer

mercredi 26 octobre 2011

Un réconfort


Que ton espérance du ciel domine ta peur de la mort. Pourquoi craindre de mourir, toi qui espères vivre en mourant !
William Gurnall (1617-1679), auteur anglais
Source : Ron Rhodes, 1001 Unforgettable Quotes About God, Faith, and the Bible.

Let thy hope of heaven master thy fear of death. Why shouldst thou be afraid to die, who hopest to live by dying!
William Gurnall (1617-1679), English author
Source : Ron Rhodes, 1001 Unforgettable Quotes About God, Faith, and the Bible.

mardi 25 octobre 2011

Ce qui compte le plus

Il est si facile d'être tellement attachés aux choses du monde que notre enthousiasme pour le retour de Christ diminue. Nous voulons réaliser certains objectifs personnels, acquérir un certain degré de prospérité matérielle, ou continuer de nous adonner à divers plaisirs qui, sans être malsains, ne nous distraient pas moins d'une vie centrée sur le ciel. Nous nous surprenons à espérer secrètement que le Seigneur ne revienne pas trop vite afin que nos vies ne soient pas interrompues par cet événement.
Le retour de Christ devrait pourtant être l'interruption qui trouve chez nous le meilleur des accueils. Qu'est-ce qui compte le plus: mes objectifs personnels, ou la restauration de la justice de ce monde ? La réalisation de mes projets, ou l'établissement du règne parfait de Christ ? Mes plaisirs, ou la véritable joie céleste que chaque chrétien connaîtra dans son royaume où nous serons libérés des effets de la tentation et du péché ?
extrait de «Jésus et l'espérance de son retour» (Tim Lahaye et Jerry Jenkins)

lundi 24 octobre 2011

Le péché existe-t-il ?

Francis Schaeffer a dit : “ L’homme est anormal. Un changement s’est produit dans le temps et l’espace. Fait à l’image de Dieu et non programmé, l’homme s’est détourné volontairement de son propre point de référence. L’homme actuel n’est plus ce qu’il était à l’origine : il est dénaturé. Si le péché existe, il est possible d’expliquer que l’homme soit cruel sans que Dieu soit mauvais. S’il n’existe pas, il n’y a pas d’espoir de solution. Et se battre contre le mal dans la société n’a aucun sens. ”
Extrait de Dieu, ni silencieux, ni lointain, Schaeffer Francis, Ed. Telos

dimanche 23 octobre 2011

Une vie changée


(Jésus dit : ) Voici, je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu'un entend ma voix et qu'il ouvre la porte, j'entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi. Apocalypse 3. 20
Une vie changée
Carl Lewis, athlète hors du commun, a été l'homme le plus rapide du monde en battant le record du 100 mètres. Il a remporté neuf médailles d'or et détient trois titres olympiques consécutifs de saut en longueur. Au cours d'une interview, il déclara :
« En juin 1981, j'ai fait une expérience qui a changé ma vie. Je participais aux championnats américains d'athlétisme en Louisiane, lorsque Willy, un ami proche, athlète de niveau mondial au saut de haies, m'a invité à l'église.
Je croyais être chrétien, puisque j'avais toujours fréquenté l'église avec mes parents. Mais comme la plupart des gens, j'avais une idée fausse de ce qu'était un vrai chrétien.
Le prédicateur a parlé de l'amour de Dieu envers les hommes. Il nous a raconté la venue de Jésus Christ sur la terre, sa vie sans péché, sa mort sur la croix et sa résurrection. Il nous a engagés à avoir une relation personnelle avec Jésus le Sauveur.
Au cours de la réunion, on nous a posé la question suivante : “Si tu mourais aujourd'hui, es-tu sûr d'aller au ciel ?” Je savais que je devais me mettre en règle avec Dieu, recevoir Jésus dans ma vie.
Ce fut un tournant pour moi. J'ai accepté Jésus comme mon Seigneur. J'ai aussi trouvé beaucoup d'amis chrétiens pour me soutenir, et m'encourager à garder la bonne direction, celle qui mène à Dieu.»
Source : La Bonne Semence

samedi 22 octobre 2011

Aimer ses ennemis en tant de guerre : un récit authentique


On trouve illustré, dans l'un des classiques de la littérature issue de la Deuxième Guerre mondiale, l'idéal chrétien du pardon.

Dans l'incroyable récit d'Ernest Gordon, Miracle sur la rivière Kwai, il raconte sa capture alors qu'il s'échappait de Sumatra après la chute de Singapour. Avec d'autres prisonniers de guerre, il lui fallut marcher dans la jungle pour bâtir le célèbre pont sur la rivière Kwai. C'est là qu'un miracle eut lieu. Le Saint-Esprit remplaça la haine que ces hommes éprouvaient pour leurs ennemis par de la compassion, comme le décrit cet épisode :
Nous fumes dirigés sur une voie de garage pendant très longtemps. Nous nous trouvions sur la même voie que plunsieurs wagons de Japonais blessés. Ils étaient seuls et sans soins. (...)
lls étaient en état de choc. Je n'avais jamais vu des hommes aussi sales. Leurs uniformes étaient incrustés de boue, de sang et d'excréments. Leurs blessures, gravement infectées et purulentes, grouillaient de vers. (. . .)
Les blessés nous regardaient tristement, assis avec la tête appuyée contre les wagons, attendant la mort avec fatalisme. (...)
Sans un mot, la plupart des officiers de ma section ouvrent leur sacs, sortent une part de leur ration et un ou deux chiffons et, leur gourde d'eau à la main, s'approchent du train japonais pour essayer de les aider. Nos gardiens veulent nous en empêcher, en hurlant : '' pas de pitié! Pas de pitié!", mais nous les ignorons et, nous mettant à genoux près de nos ennemis, nous leur donnons de la nourriture et de l'eau, nous les avons nettoyes et panses leurs plaies, nous les sourions et leur adressons un mot aimable. Lorsque nous les quittons, les cris d'"Arigatto'' (merci) résonnent à nos oreilles.
Source - Ernest Gordon, Miracle on the River Kwai (Miracle sur la rivière Kwai) , Wm. Collins Sons & Co., Ltd., Londres, 1963, p. 132, 163.
Quel est l'antidote du Christ au désir de vengeance?
Mt 5.38-42. Ernest Gordon regardait ses camarades avec étonne-ment. Dix-huit mois auparavant, ils se seraient volontiers unis pour détruire leurs ravisseurs si ces derniers étaient tombés entre leurs mains. " Maintenant, ces mêmes hommes soignaient les blessures de leurs ennemis. lls avaient fait l'expérience d'un moment de grâce, ici, dans ces wagons tachés de sang. Dieu avait abattu les barrières de leurs préjugés et leur avait donné le désir d'obéir à son commandement : " Tu aimeras ".
Miracle on the River Kwai. Wm Collins Sons & Co., ltd., Londres, 1963, p. 163, 164.

vendredi 21 octobre 2011

La valeur des hommes pour Dieu

Dans le monde actuel, Dieu n’abandonne pas les hommes, bien au contraire, il fait tout pour sauver le maximum de vies.”(auteur inconnu)

jeudi 20 octobre 2011

Catéchisme d'Heidelberg : Notre unique consolation

Extrait de : Confession et Catéchismes de la Foi Réformée, Labor et Fides, 1986.

Introduction Question 1: Quelle est ton unique consolation dans la vie et dans la mort? 
C'est que, de corps et d'âme, tant dans la vie que dans la mort (Rm 14.7-8), j'appartiens, non pas à moi-même (1 Corinthiens 6.19), mais à Jésus-Christ, mon fidèle Sauveur (1 Corinthiens 3.23), qui, par son sang précieux (1 Pierre 1.18-19), a parfaitement payé pour tous mes péchés (1 Jean 1.7; 2.2) et m'a délivré de toute la puissance du diable (1 Jean 3.8). Il me garde si bien (Jean 6.39) qu'il ne peut pas tomber même un cheveu de ma tête sans la volonté de mon Père céleste (Matthieu 10.29-31; Luc 21.18) et que même toutes choses doivent concourir à mon salut (Romains 8.28). C'est pourquoi il m'assure par son Saint-Esprit d'avoir la vie éternelle (2 Corinthiens 1.20-22; Ephésiens 1.13-14; Romains 8.16) et me donne la volonté et la disposition de vivre désormais pour lui en l'aimant de tout cœur (Romains 8.14). 
Q. 2: Combien de choses dois-tu savoir pour vivre et mourir bienheureux avec cette consolation? 

Trois choses (Luc 24.46-48; 1 Corinthiens 6.11; Tite 3.3-7). Premièrement, combien sont grands mon péché et ma misère (Jean 9.41; 15.22). Deuxièmement, comment je suis délivré de tous mes péchés et de ma misère (Jean 17.3). Troisièmement, quelle reconnaissance je dois à Dieu pour cette délivrance (Ephésiens 5.8-11; 1 Pierre 2.9-10; Romains 6.12-13).

mercredi 19 octobre 2011

Une foi contagieuse

" La vraie foi, c'est comme la variole. Quand on l'a, on la passe aux autres, et ça se répand. "
Charles Studd, missionnaire anglais du 20éme Siècle

mardi 18 octobre 2011

Le "plus" de Dieu


Le théologien allemand Gunther Bornkamm a écrit : "Avoir la foi, c'est compter avec confiance sur le fait que la puissance de Dieu n'est pas au bout d'elle-même lorsque les possibilités humaines sont épuisées."
Extrait de Qui est Jésus de Nazareth ?, Le Seuil, 1973, page 151

lundi 17 octobre 2011

La résurrection de Jésus : du doute à la certitude (1)

1- Thomas Arnold

Spécialiste profane de l'histoire romaine :
"J'ai eu l'habitude pendant de nombreuses années, d'étudier l'histoire ancienne, d'examiner et d'évaluer les preuves avancées par ceux qui ont écrit à son sujet. Eh bien, je ne connais aucun fait dans l'histoire de l'humanité qui puisse mieux être établi par toutes sortes de preuves et mieux compris des personnes avides de vérité, que le signe que Dieu lui-même nous a donné de la mort et de la résurrection du Christ".
(Sermons on the christian life - its hopes, its fears and its close, p324 ; T.Arnold)

dimanche 16 octobre 2011

Humilité et Prière

Edward Payson, un pasteur américain du 19ème Siécle a écrit ces lignes :

Il est naturel pour l'homme, depuis sa tendre enfance, de crier au secours lorsqu'il se trouve dans une situation de danger ou de détresse, s'il suppose qu'il se trouve quelqu'un dans les environs qui entende ses cris et puisse venir le secourir. Ainsi, tout homme qui ressent sa propre dépendance d'avec Dieu, et son besoin des bénédictions que seul Dieu peut accorder, se jettera dans la prière à Dieu. Il sentira que la prière est non seulement un devoir mais aussi son plus grand privilège.
L'homme qui, de fait, refuse ou néglige de prier, qui considère la prière non comme un privilège, mais comme une tâche ennuyeuse et inutile, dit pratiquement d'une façon tout à fait sans équivoque : "Je ne suis pas dépendant de Dieu ; je ne veux rien de ce qu'Il peut donner ; et par conséquent, je ne viendrai pas à Lui, ni de demanderai rien de Ses mains. Je ne Lui demanderai pas de couronner mon travail de succès, car je suis capable - et j'y suis déterminé- d'être l'architecte de mon propre avenir. Je ne Lui demanderai pas d'être mon propre enseignant et mon guide. Je ne Lui demanderai pas de me fortifier et de me soutenir, car je suis fort par la vigueur et les ressources de ma propre volonté. Je ne Lui demanderai pas Sa protection, car je suis capable de me protéger moi-même. Je n'implorerai ni Sa miséricorde pleine de pardon, ni Sa grâce sanctifiante car je n'ai besoin ni de l'une ni de l'autre. Je ne réclamerai pas Sa présence et Son aide à l'heure de la mort. Car je suis capable de rencontrer et de saisir à bras le corps, sans soutien, le roi des terreurs, et d'entrer, intrépide et seul, dans n'importe quel monde inconnu où Il m'introduira." C'est là le langage tenu par tous ceux qui négligent la prière.

samedi 15 octobre 2011

Conseil pratique pour savoir la volonté de Dieu

Dans son livre 'Comment découvrir la volonté de Dieu', George Sweeting a écrit : "Souvent les différentes étapes pour connaitre la volonté de Dieu viendra à nous dans les circonstances normales de la vie, à travers les portes ouvertes et fermées. Mais faites attention en allant sur ce terrain à ne pas donner à cela plus de considération que cela ne le mérite. Satan peut aussi ouvrir et fermer des portes d'opportunité. Rassemblez tous les faits et cherchez dans la prière la pensée de Dieu."

Traduction de George Sweeting writes in How to Discover the Will of God: 'Often guidance in the will of God will come to us in the normal circumstances of life, through open and closed doors. But be careful not to give this area more consideration than it deserves. Satan can also open and shut doors of opportunity. Gather all the facts, and prayerfully seek the mind of God.'

vendredi 14 octobre 2011

Jésus : la solution divine au péché

Le pasteur Henry Halley a écrit : "Le péché dû être puni, Dieu Lui-même prit sur Lui la punition pour le péché de l'homme, en la personne de Christ".
Source : Henry H. Halley, Manuel Biblique de Halley: Commentaire biblique, abrégé, Miami, Editions Vida, 1982, p.651.

jeudi 13 octobre 2011

Le bon Dieu


Qu'est-ce que les gens veulent dire quand ils disent: "Je n'ai pas peur de Dieu parce que je sais qu'Il est bon"?. Ceux qui disent ça ne sont donc jamais allés chez le dentiste ?
C.S. Lewis (Apprendre la mort, Éd. Cerf, trad. J. Prignaud et T. Radcliffe, p.73)

mercredi 12 octobre 2011

Dans une heure


Le 7 mars 1932 mourait à Paris le président de la République Paul Doumer, assassiné alors qu'il visitait une vente organisée par les écrivains combattants.
Le jour même, il avait eu à sa table un homme politique qui lui demandait d'intervenir à la chancellerie de la Légion d'honneur pour faire obtenir la dignité de commandeur à un grand savant français.
" - Tout de suite, dit le président. Pendant que vous prenez votre café, je vais écrire la lettre.
- Oh ! Ce n'est tout de même pas si pressant ! dit son convive.
- On ne sait jamais, répliqua Paul Doumer, je peux mourir demain qui sait,même dans une heure. "
Il fit la lettre. Une heure après, le président tombait sous le couteau meurtrier.
Une heure ! Il a avait eu conscience que sa vie ne pouvait durer qu'une heure et n'avait pas voulu exposer à ce hasard la chose qui lui tenait à cœur.
Il reste l'affaire capitale à laquelle le président, hélas, ne pensait pas et à laquelle ne pensent point tant de ceux qui peuvent mourir en une heure, à savoir tous les hommes : être réconcilié avec Dieu. Ne tardez point d'une heure à croire en l'Evangile du Dieu sauveur.

Source : Journal chrétien Pentecôte Septembre 2010

mardi 11 octobre 2011

Face à la mort


Quelques instants avant de mourir, le grand écrivain français Paul Claudel (1868-1955) tient à rassurer sa famille par ces termes : 'Qu'on me laisse tranquille... Je n'ai pas peur'.

lundi 10 octobre 2011

Ce que n'est pas l'Evangile

" L'Evangile n'est pas un système philosophique ou métaphysique qui propose des théories ou des hypothèses. L'Evangile est une lumière intérieure, une lumière projetée sur tous les événements de cette vie, une lumière qui donne l'assurance profonde que tout à un sens et que, au-delà des apparences, le plan de Dieu est en marche et réussira. La vie triomphera, l'amour vaincra."
Claude Parizet

dimanche 9 octobre 2011

Jésus pour résumer toutes les grâces


Pensée du matin, du pasteur Alfred Boegner 21 décembre 1879.

Jésus pour la fin de l'année 1879. Jésus pour résumer toutes les grâces. Jésus pour effacer tous les péchés. Jésus comme preuve et comme manifestation de cet amour qui emporte tout péché, toute faute, tout mauvais souvenir dans l'abîme, qui permet d'oublier, de se reposer, plein de confiance, entre les bras du Père.

Et Jésus, comme mot d'ordre de cette année nouvelle.

Jésus, dans la grâce duquel il faut demeurer. C'est le premier devoir, l'essentiel. Etre assis à ses pieds, chaque matin recevoir sa grâce.

Jésus, qu'il faut apprendre à connaître, car en lui, nous avons vu Dieu. Le connaître, connaître Dieu, c'est lire dans son cœur. C'est connaître aussi les hommes et l'amour que Dieu a eu pour eux.

Jésus qu'il faut suivre jour après jour, toujours de plus près, comme un vrai disciple.

Jésus qu'il faut. apporter aux autres, tout entier, vivant. Non des livres, non des traités, non une doctrine, mais une personne vivante, Jésus.

samedi 8 octobre 2011

Un amour réciproque


Andrew Murray a écrit : « Ce que l’amour du Père fut pour Jésus, sera l’Amour pour nous. »

vendredi 7 octobre 2011

Le temps de la grâce

" Il y a des moments où il ne suffit plus de prier; il faut agir. Ou plutôt il faut que la prière devienne un acte, un acte de confiance spirituelle, non seulement pour le passé que la grâce de Dieu efface, mais pour l'avenir, et surtout pour le présent qu'elle peut assurer. L'heure est venue de saisir la grâce par un acte de foi et de reprendre l'épée pour le combat de chaque jour."
Alfred Boegner

jeudi 6 octobre 2011

Sois mon maitre !

L'adoration est ce processus par lequel nous plaçons Dieu à la première place dans notre vie.
Bruce Leafbad 

mercredi 5 octobre 2011

La doctrine de la Trinité est-elle importante pour moi ?



- Les trois personnes de la Trinité existaient, s'aimaient et communiquaient entre elles bien avant que l'univers ne soit créée.

- « Une seule image, une seule représentation, un seul modèle ne peut suffire : il faut les trois modèles essentiels si nous voulons garder les lignes de base de notre compréhension chrétienne de Dieu.
Le premier modèle est celui d'un Dieu transcendant qui se trouve au-delà du monde dont il est la source et le Créateur.
Le deuxième est le visage humain de Dieu révélé dans la personne de Jésus Christ.
Le troisième est celui d'un Dieu immanent qui est présent et actif dans sa création. »
(Alistair McGrath, Understanding the Trinity)

- C'est le Dieu trinitaire qui répond aux besoins psychologiques de l'homme. En psychologie, on apprend que l'homme a trois besoins fondamentaux : il a besoin de repères (qui il est, d'où il vient et ou il va) ; il a besoin d'un modèle, il a besoin d'un auxiliaire pour y arriver. Pour les chrétiens, Dieu est le repère, Jésus un modèle et l'Esprit Saint notre auxiliaire. Ainsi la Trinité répond aux besoin psychologiques de tout être humain.

- La doctrine de la Trinité me concerne en ce qu'elle enseigne que tout acte de la révélation de Dieu a de façon inhérente un caractère triple, ce qui exige que nous pensions à la nature de Dieu en termes trinitaires. Dans le Nouveau Testament, pratiquement chaque doctrine (le baptême, la grâce, le salut, l'électuion, l'éthique, l'adoration, l'unité) est décrite en termes trinitaires. Si nous voulons comprendre Dieu et toutes les doctrines relatives à Dieu, il nous faut penser de cette manière.

Ce texte est extrait du livre "Sujets brûlants" utilisé dans le contexte des parcours Alpha : www.coursalpha.fr

mardi 4 octobre 2011

QUE CROYEZ-VOUS ?



Francis Collins (1950)
Généticien américain
Francis Collins a obtenu un doctorat en chimie physique, de l'université de Yale, et est ensuite entré à l'école de médecine. Lors de son stage dans un hôpital de Caroline du Nord vers la fin des années 1970, une patiente mourante lui a souvent parlé de sa foi en Christ. Il rejetait l'existence de Dieu, mais il ne pouvait ignorer la sérénité de cette femme.
Un jour, elle lui a demandé : « Que croyez-vous ? » Pris de court, il a rougi en bégayant : « Je n'en suis pas certain. » Quelques jours après, la dame est morte.
Curieux et mal à l'aise, le jeune médecin s'est rendu compte qu'il avait rejeté Dieu sans examiner comme il faut les preuves.
Il a donc commencé à lire la Bible et les écrits de l'auteur chrétien C. S. Lewis.
Un an plus tard, il est tombé à genoux et a donné sa vie à Jésus-Christ.
Le catalyseur ? Une question sincère posée par une dame âgée dont le cœur physique défaillait, mais dont l'amour pour les autres était très fort.

lundi 3 octobre 2011

"Que pensez-vous de Charles Spurgeon ?"


Un jeune homme était venu entendre Charles Spurgeon (
1834-1892). Arrivé en retard, il ne trouva pas de place où s'asseoir. Un placeur lui céda son siège et lui demanda en retour une faveur: "J'aimerais que vous me disiez ce que vous pensez de mon pasteur, Charles Spurgeon". Après le message, alors que la foule se dissipait, le placeur trouva le jeune homme et lui demanda: "Eh, que pensez-vous de mon pasteur, Charles Spurgeon ?" Le jeune homme répondit: "Qui ?" Et le placeur de répliquer: "Charles Spurgeon, le grand prédicateur. Celui que vous venez d'écouter pendant près de deux heures". "Ah oui," dit-il, "Je ne me rappelle pas grand chose de lui. Il était tellement effacé par la présence de Jésus."

dimanche 2 octobre 2011

Seulement un livre ?


« La Bible n’est pas uniquement un livre que je peux comprendre ; c’est un livre qui me comprend. »
Émile Cailliet, écrivain et théologien français du XXe siècle.

samedi 1 octobre 2011

Une réalité à vivre


" Nous manifestons notre amour pour Dieu en nous aimant les uns les autres."
(auteur inconnu)