Le grand pilote anglais Donald Campbell, rendu célèbre par ses nombreux exploits réalisés à bord de son aéroglisseur, le fameux « Blue-Bird » forma l’ambitieux projet de battre le propre record du monde de son père, un record qui était de 144 km/h, qu’il détenait depuis quelques années déjà, de crainte que d’autres plus rapides ne le lui ravissent.
Il mit tout en œuvre pour le réaliser. La préparation s’effectua avec beaucoup de soins, la date fut fixée au mercredi 4 Janvier 1967. Le lieu choisi fut le lac de Coniston en Angleterre.
En s’élançant sur l’eau ce matin-là, il déclara : « Ce sera mon dernier exploit je veux battre mon propre record de vitesse sur l’eau, et après cela, je me retirerai de la compétition.». Ce furent ses dernières paroles.
Il avait battu le record en filant grand train à plus de 200 km/h. On lui conseilla de s’arrêter mais il voulut faire un dernier tour. Ignorant délibérément les conseils d’arrêter, il fit son dernier tour. Soudain l’appareil décolla brusquement, fit plusieurs tonneaux et, reprenant contact avec la surface de l’eau, explosa littéralement.
On ne retrouve pratiquement rien du pilote.
Il avait dit « après cela », mais ce fut sa propre mort. « Il était passé de l’apogée dont il rêvait, écrivit l'Illustrated London News du 14 Janvier 1967, non au néant, mais à la solennelle réalité de l’au-delà … » Etait-il prêt ? Car Dieu dit : « après la mort, vient le jugement. »
Il s’était bien préparé pour son exploit mais il ne l’était pas pour l’essentiel, sa rencontre avec Dieu.
Y as-tu déjà pensé ?
Auteur inconnu
Il mit tout en œuvre pour le réaliser. La préparation s’effectua avec beaucoup de soins, la date fut fixée au mercredi 4 Janvier 1967. Le lieu choisi fut le lac de Coniston en Angleterre.
En s’élançant sur l’eau ce matin-là, il déclara : « Ce sera mon dernier exploit je veux battre mon propre record de vitesse sur l’eau, et après cela, je me retirerai de la compétition.». Ce furent ses dernières paroles.
Il avait battu le record en filant grand train à plus de 200 km/h. On lui conseilla de s’arrêter mais il voulut faire un dernier tour. Ignorant délibérément les conseils d’arrêter, il fit son dernier tour. Soudain l’appareil décolla brusquement, fit plusieurs tonneaux et, reprenant contact avec la surface de l’eau, explosa littéralement.
On ne retrouve pratiquement rien du pilote.
Il avait dit « après cela », mais ce fut sa propre mort. « Il était passé de l’apogée dont il rêvait, écrivit l'Illustrated London News du 14 Janvier 1967, non au néant, mais à la solennelle réalité de l’au-delà … » Etait-il prêt ? Car Dieu dit : « après la mort, vient le jugement. »
Il s’était bien préparé pour son exploit mais il ne l’était pas pour l’essentiel, sa rencontre avec Dieu.
Y as-tu déjà pensé ?
Auteur inconnu