Edith Piaf (1915-1963), cette célèbre vedette de la chanson française interpréta au sommet de sa gloire « Non, rien de rien, non je ne regrette rien. »
Venu des couches populaires, elle avait connu le succès, les triomphes. Dans les années 1950, les foules l’adulaient, les grands de ce monde lui accordaient audience et l’invitaient dans leurs résidences princières.
C’était alors les innombrables voyages autour de la planète, les somptueuses réceptions, les honneurs, la fortune, bref : le summum de la gloire.
Elle cherchait l’amour et le bonheur et collectionna les aventures masculines pendant des années, alimentant les rubriques des journaux quant à ses déboires sentimentales.
Mais un jour arriva, où malade et seule, elle écrivit une lettre dans laquelle elle révélait sa véritable situation. En voici quelques extraits :
« Il y a un moment où l’on est obligé de faire le point avec soi-même et si l’on a pas vécu pour rien. J’ai gaspillé mes forces, ma santé, ma fortune ! Et lorsqu’on m’annonça que j’étais perdue pour la chanson, j’ai compris que tout était fini. J’ai connu la peur, la peur de mourir seule, sans personne, parce qu’abandonné de tous. »
« Mon Dieu ! Que je regrette aujourd’hui, comme je voudrais pouvoir tout recommencer à zéro, combien je voudrais poser ma tète sur une épaule amie et fermer les yeux, me reposer enfin. »
Et la lettre se terminait par ces mots : « A tous, je demande pardon, ne pleurez pas ! » Quel triste constat d’échec. Pourtant il y a une réponse. Elle était là, dans la personne de Jésus-Christ le Fils bien aimé de Dieu qui envoyé ici-bas pour le monde qu’il voulait sauver a dit : « Venez à moi vous tous qui êtes fatigué et chargés et je vous donnerais le repos … »
Mais s’était-elle tournée vers Lui ? L’Histoire ne le dit pas.
Auteur inconnu
