Cela semble inconcevable pour notre raison humaine limitée puisque comprendre (= prendre avec), c'est unir. Comprendre le mal serait donc l'intégrer dans l'harmonie issue de Dieu, ce qui est impossible.
Le mal est a-normal, il ne devrait pas être, il est injustifiable, incompréhensible. Mais nous pouvons comprendre que nous ne pouvons pas comprendre le mal. Nous avons seulement à le combattre.
Est-ce faire preuve de faiblesse intellectuelle que d'avouer notre incapacité à le comprendre ? Est-ce une démission de notre raison ? Nous ne le croyons pas. Constater que le mal existe, et qu'il est injustifiable reste un mystère, acceptons-le humblement.
En disant clairement que le mal est une réalité, mais que Dieu est souverain, et que de plus il est bon, nous parlons par la foi, et cette foi glorifie Dieu.
C'est à la croix où Jésus meurt crucifié que nous retrouvons ces trois grandes vérités bibliques : la réalité abominable du mal, la souveraineté divine, car tout cela est arrivé selon le conseil arrêté et la prescience de Dieu, et sa bonté infinie pour tous les hommes.
« A la croix, le mal est vaincu par l'extrême de l'amour dans l'accomplissement de la justice », dit Henri Blocher, pasteur et théologien français actuel.
Le mal est a-normal, il ne devrait pas être, il est injustifiable, incompréhensible. Mais nous pouvons comprendre que nous ne pouvons pas comprendre le mal. Nous avons seulement à le combattre.
Est-ce faire preuve de faiblesse intellectuelle que d'avouer notre incapacité à le comprendre ? Est-ce une démission de notre raison ? Nous ne le croyons pas. Constater que le mal existe, et qu'il est injustifiable reste un mystère, acceptons-le humblement.
En disant clairement que le mal est une réalité, mais que Dieu est souverain, et que de plus il est bon, nous parlons par la foi, et cette foi glorifie Dieu.
C'est à la croix où Jésus meurt crucifié que nous retrouvons ces trois grandes vérités bibliques : la réalité abominable du mal, la souveraineté divine, car tout cela est arrivé selon le conseil arrêté et la prescience de Dieu, et sa bonté infinie pour tous les hommes.
« A la croix, le mal est vaincu par l'extrême de l'amour dans l'accomplissement de la justice », dit Henri Blocher, pasteur et théologien français actuel.