Les chariots de feu - Hugh Hudson
1924, deux athlètes britanniques triomphent aux Jeux Olympiques de Paris. Outre l’exploit sportif, une fine analyse des raisons profondes qui les ont conduits là. Harold Abrahams est juif et court pour combattre l’adversité qu’il a vécue à l’université de Cambridge. Eric Liddell est écossais, fils d’un missionnaire en Chine, court pour la gloire de Dieu.
1924, deux athlètes britanniques triomphent aux Jeux Olympiques de Paris. Outre l’exploit sportif, une fine analyse des raisons profondes qui les ont conduits là. Harold Abrahams est juif et court pour combattre l’adversité qu’il a vécue à l’université de Cambridge. Eric Liddell est écossais, fils d’un missionnaire en Chine, court pour la gloire de Dieu.
Vous connaissez ce très beau film de Hugh Hudson sur l'athlétisme ?
Eric Liddell, alors qu’il vient une nouvelle fois d'emporter une course, déclara ces paroles étonnantes. Deux choses essentielles : D'abord, que les hommes ne peuvent vivre sans courir, et ensuite, qu’une seule course vaut vraiment la peine d’être courue sur cette terre. Oui, tout le monde court.
Nous passons notre vie à courir après l’estime de leurs semblables pour certains, le bonheur, la gloire, l’amour ou la fortune pour d’autres. Harold Abrahams courait pour la gloire.
Nous passons notre vie à courir après l’estime de leurs semblables pour certains, le bonheur, la gloire, l’amour ou la fortune pour d’autres. Harold Abrahams courait pour la gloire.
Mais cette course que nous courons vaut-elle vraiment la peine d’être courue ? En cas de victoire, que remporterons-nous ? Et pour quels buts ?
Une course veut la peine d’être couru, a dit Liddell : C’est la course de la foi. Dieu nous a créé pour un but : c’est qu’un jour nous choisissons enfin la bonne course. Celle qui mène à Dieu.
Personne ne peut nous y inscrire de force. Tous pourtant, nous pouvons faire partie aujourd’hui des sélectionnés. Il suffit pour cela de commencer à concentrer notre attention sur Jésus et ce qu’il a fait pour nous.
Si nous commençons cette course, alors Jésus nous aidera à la finir, chacun courant à son rythme et à sa manière « dans son couloir ».
Mais cette course exige de notre part une chose ; ne plus regarder en arrière et abandonner totalement nos vies à Dieu.
La récompense pour les vainqueurs ? Dieu Lui-même et le vrai bonheur sans limite en tout temps. Le champion Eric Liddell a dit : « Dieu, notre créateur, n’est pas un rabat-joie. C’est un Dieu d’amour, au contraire, qui ne désire qu’une chose : notre plein épanouissement, la seule source de toute joie véritable »C’est pourquoi il nous invite à le rechercher dès maintenant, avec cette assurance que, si nous cherchons réellement, nous le trouverons. Cette course mène à Dieu et, par conséquence, à la vie éternelle.
Une course veut la peine d’être couru, a dit Liddell : C’est la course de la foi. Dieu nous a créé pour un but : c’est qu’un jour nous choisissons enfin la bonne course. Celle qui mène à Dieu.
Personne ne peut nous y inscrire de force. Tous pourtant, nous pouvons faire partie aujourd’hui des sélectionnés. Il suffit pour cela de commencer à concentrer notre attention sur Jésus et ce qu’il a fait pour nous.
Si nous commençons cette course, alors Jésus nous aidera à la finir, chacun courant à son rythme et à sa manière « dans son couloir ».
Mais cette course exige de notre part une chose ; ne plus regarder en arrière et abandonner totalement nos vies à Dieu.
La récompense pour les vainqueurs ? Dieu Lui-même et le vrai bonheur sans limite en tout temps. Le champion Eric Liddell a dit : « Dieu, notre créateur, n’est pas un rabat-joie. C’est un Dieu d’amour, au contraire, qui ne désire qu’une chose : notre plein épanouissement, la seule source de toute joie véritable »C’est pourquoi il nous invite à le rechercher dès maintenant, avec cette assurance que, si nous cherchons réellement, nous le trouverons. Cette course mène à Dieu et, par conséquence, à la vie éternelle.
Article écrit par Samuel, un membre du Groupe Biblique Universitaire d'Orléans.