Voici une pensée de l'Empereur Napoléon I qui est intéressante de citer ici :
« J'ai passionné les multitudes qui mouraient pour moi... mais il y fallait ma présence, l'électricité de mon regard, mon accent, une parole de moi; alors j'allumais le feu sacré dans les cœurs. Le Christ, Lui seul, est parvenu à élever le cœur des hommes jusqu'à l'invisible, jusqu'au sacrifice du temps et de l'espace. Lui seul demande à travers dix-huit siècles ce qui est le plus difficile d'obtenir, ce qu'un sage demande vainement à quelques amis, un père à ses enfants, une épouse à son époux, un frère à son frère, en un mot, le cœur. C'est là ce qu'Il veut pour Lui. Il l'exige absolument, et Il l'obtient tout de suite. Quel miracle!À travers le temps et l'espace, l'âme humaine avec toutes ses facultés, devient une annexe de l'existence du Christ. Tous ceux qui croient sincèrement en Lui ressentent cet amour admirable, surnaturel, phénomène inexplicable, Impossible aux forces de l'homme, feu sacré dont le temps, ce grand destructeur, ne peut ni user la force, ni limiter la durée. Moi, Napoléon, c'est ce que j'admire davantage, parce que j’y ai souvent pensé. C'est ce qui me prouve absolument la divinité du Christ. »
(Mémoires de Ste-Hélène.)