« Tu es grand, et tu opères des prodiges ; toi seul, tu es Dieu » (Psaumes 86.10)
«Béni soit le Seigneur chaque jour. Quand on nous accable, Dieu nous délivre. Dieu est pour nous le Dieu des délivrances. Et l’Éternel Dieu peut nous garantir de la mort » (Psaumes 68.20-21)
David Brainerd, missionnaire parmi les Indiens d’Amérique du Nord, est né en 1718 et mort en 1747. Sa vie a été courte mais pleinement remplie. Il était orphelin à l’âge de 14 ans. Déjà à l’âge de 7 ou 8 ans, il fit une expérience avec Jésus, et à 13 ou 14 ans, il se donna totalement à lui.
Il fut aussi marqué par le grand Réveil de 1739 – 1745. Il fit des études, puis, en 1742, il prit une paroisse parmi les Congrégationalistes. Dès 1743, il alla comme missionnaire apporter l’Évangile aux Indiens. Son ministère parmi eux n’a duré que 4 ans, mais des centaines d’Indiens passèrent des ténèbres à la lumière. Toujours faible de santé et très malade vers la fin de sa vie, il prit l’habitude de considérer la mort plutôt comme une délivrance des épreuves de son corps et de son âme.
Malgré toutes ses souffrances, il vécut aussi des choses merveilleuses et de nombreuses délivrances de la mort dont voici un récit :
« Il évangélisait une tribu païenne parmi les plus opposées à la prédication de l’Évangile. Quelque peu découragé, il s’était retiré sous sa tente pour prier pour ces gens. Or, il ne savait pas que plusieurs d’entre eux avaient résolu de le tuer. Ils s’étaient approchés en rampant de sa tente et maintenant, avant de se jeter sur lui, ils l’observaient par une fente de la toile.
Ils virent ainsi Brainerd à genoux, les yeux fermés, les mains levés vers le ciel ; mais ils virent aussi un serpent de l’espèce la plus venimeuse, un grand cobra, qui s’était avancé derrière le dos de l’homme.
Les Indiens virent le reptile se dresser, tout prêt à mordre, puis soudain détourner la tête et se glisser hors de la tente. Stupéfiés, ils renoncèrent immédiatement à leur projet. Ils allèrent raconter à toute la tribu ce qu’ils avaient vu.
Alors les dispositions de ces hommes changèrent complètement. Dès ce jour, ils ouvrirent leurs oreilles et leur cœur à la prédication de l’Évangile. Des conversions se produisirent. Plus tard, ils racontèrent à Brainerd ce qui avait motivé leur changement d’attitude.
Ainsi, il avait échappé à une double mort : morsure du serpent, lances des indiens. Et en même temps, toute une tribu s’était ouverte à l’Évangile » (Anecdotes par André Thomas-Bres, p 177-178).
Cela nous incite à rendre gloire au Tout-puissant auquel appartiennent les cieux et la terre, au Souverain, le Roi des rois. Comme Brainerd, il nous a appelés à vivre, et à témoigner que Jésus-Christ est notre Sauveur et Seigneur. Nous avons, nous aussi, le privilège d’apporter « L’Évangile de la gloire du Dieu bienheureux » (1 Tim 1.11).
David Brainerd disait : "Oh, une heure avec Dieu dépasse tous les plaisirs et tous les délices de ce bas monde".
«Béni soit le Seigneur chaque jour. Quand on nous accable, Dieu nous délivre. Dieu est pour nous le Dieu des délivrances. Et l’Éternel Dieu peut nous garantir de la mort » (Psaumes 68.20-21)
David Brainerd, missionnaire parmi les Indiens d’Amérique du Nord, est né en 1718 et mort en 1747. Sa vie a été courte mais pleinement remplie. Il était orphelin à l’âge de 14 ans. Déjà à l’âge de 7 ou 8 ans, il fit une expérience avec Jésus, et à 13 ou 14 ans, il se donna totalement à lui.
Il fut aussi marqué par le grand Réveil de 1739 – 1745. Il fit des études, puis, en 1742, il prit une paroisse parmi les Congrégationalistes. Dès 1743, il alla comme missionnaire apporter l’Évangile aux Indiens. Son ministère parmi eux n’a duré que 4 ans, mais des centaines d’Indiens passèrent des ténèbres à la lumière. Toujours faible de santé et très malade vers la fin de sa vie, il prit l’habitude de considérer la mort plutôt comme une délivrance des épreuves de son corps et de son âme.
Malgré toutes ses souffrances, il vécut aussi des choses merveilleuses et de nombreuses délivrances de la mort dont voici un récit :
« Il évangélisait une tribu païenne parmi les plus opposées à la prédication de l’Évangile. Quelque peu découragé, il s’était retiré sous sa tente pour prier pour ces gens. Or, il ne savait pas que plusieurs d’entre eux avaient résolu de le tuer. Ils s’étaient approchés en rampant de sa tente et maintenant, avant de se jeter sur lui, ils l’observaient par une fente de la toile.
Ils virent ainsi Brainerd à genoux, les yeux fermés, les mains levés vers le ciel ; mais ils virent aussi un serpent de l’espèce la plus venimeuse, un grand cobra, qui s’était avancé derrière le dos de l’homme.
Les Indiens virent le reptile se dresser, tout prêt à mordre, puis soudain détourner la tête et se glisser hors de la tente. Stupéfiés, ils renoncèrent immédiatement à leur projet. Ils allèrent raconter à toute la tribu ce qu’ils avaient vu.
Alors les dispositions de ces hommes changèrent complètement. Dès ce jour, ils ouvrirent leurs oreilles et leur cœur à la prédication de l’Évangile. Des conversions se produisirent. Plus tard, ils racontèrent à Brainerd ce qui avait motivé leur changement d’attitude.
Ainsi, il avait échappé à une double mort : morsure du serpent, lances des indiens. Et en même temps, toute une tribu s’était ouverte à l’Évangile » (Anecdotes par André Thomas-Bres, p 177-178).
Cela nous incite à rendre gloire au Tout-puissant auquel appartiennent les cieux et la terre, au Souverain, le Roi des rois. Comme Brainerd, il nous a appelés à vivre, et à témoigner que Jésus-Christ est notre Sauveur et Seigneur. Nous avons, nous aussi, le privilège d’apporter « L’Évangile de la gloire du Dieu bienheureux » (1 Tim 1.11).
David Brainerd disait : "Oh, une heure avec Dieu dépasse tous les plaisirs et tous les délices de ce bas monde".
Source : Henri LÜSCHER
1 commentaire:
Porter l'Evangile aux Indiens au 18e n'était pas chose facile, mais avec Dieu comme soutien cela a été facilité.
Enregistrer un commentaire