"A chacun sa vérité !" est le credo "post-moderne". Mais est-ce vrai ? Est-il réellement possible de penser ce que l'on veut ? Au risque d'attrister quelques personnes, cet article montre qu'un hippocampe est bien un hippocampe même dans un monde "post-moderne". S'il est une chose qui reste totalement sacrée dans ce 21è siècle, c'est la liberté individuelle. Chacun doit avoir le droit de penser ce qu'il veut, de faire ce qu'il veut. Du moment que ça lui fait du bien il n'y a pas de problème, à condition bien sûr que ça ne nuise pas au bien-être des autres. Mais comme parmi les humains "non-fascisant" il y a tout de même des visions du monde radicalement différentes, on a inventé une expression très post-moderne : "à chacun sa vérité". Cet aphorisme est une sorte de pacte de non-agression entre individus pas d'accord, il permet de ne pas avoir à dire à l'autre qu'il a tort... cependant, malgré ses airs respectables, il n'en demeure pas moins une détestable escroquerie intellectuelle ! Il n'existe pas plusieurs vérités : soit une chose existe, est réelle, soit elle ne l'est pas. Une petite définition très simple de la Vérité : "Si je dis de ce qui est que ça est ou de ce qui n'est pas que ça n'est pas, je dis vrai. Mais si je dis de ce qui est que ça n'est pas ou de ce qui n'est pas que ça est, je ne dis pas vrai." Donc, au delà de tout problème de perception, quand deux personnes ne sont pas d'accord au sujet d'un fait, d'un problème il n'y a pas 36 solutions : soit une des deux a raison et l'autre tort, soit les 2 ont torts ! Mais en aucun cas les deux ne peuvent avoir "leur vérité" alors que leurs avis sont antagonistes. Si je considère que ma table basse est en fait un four à micro-onde ou que mon voisin est en fait la panthère rose, je ne pense pas qu'on me dira "tu as ta vérité et je la respecte" ; on me présentera plutôt un psychiatre qui arrivera peut-être à me sortir de mon délire ! Il existe une vérité objective. Même si pour certains sujets nous la cherchons à tâtons, même si des questions culturelles ou historiques viennent brouiller les cartes, cette "vérité conforme à la réalité" ne peut pas être évitée sous prétexte de respect ou de tolérance. Il est complètement possible d'être tolérant tout en pensant qu'on a raison et que l'autre a tort. Il est totalement envisageable de respecter l'autre même quand on est horripilé par ses convictions. La tolérance, ce n'est pas l'indifférence ou le consensus mou. La tolérance, c'est le vrai dialogue au cours duquel on appelle un chat "un chat". Parce qu'à force de ne pas appeler un chat "un chat" on finit par croire que c'est un chien ! Et là ce n'est pas de la tolérance, c'est du n'importe quoi. Recherchez LA Vérité, ne vous défilez pas, gardez vos yeux ouverts : ça pourrait bien vous sauver la vie. C'est un certain Jésus qui l'a dit ...
Tu te poses des questions sur Dieu ? Tu as entendu parler de Jésus ? Quant à la Bible, tu sais que c'est un livre chrétien. Tu veux en découvrir sur ces trois sujets et bien d'autres encore. Ce blog te propose de réfléchir sur ces sujets et plein d'autres encore. Fais-toi ta propre opinion sur les textes de ce blog. Et surtout n'hésite pas à laisser un commentaire pour les articles. Ton avis compte. Ce blog est géré par le Groupe Biblique Universitaire d'Angers.
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jeudi 13 août 2009
A chacun sa vérité !
"A chacun sa vérité !" est le credo "post-moderne". Mais est-ce vrai ? Est-il réellement possible de penser ce que l'on veut ? Au risque d'attrister quelques personnes, cet article montre qu'un hippocampe est bien un hippocampe même dans un monde "post-moderne". S'il est une chose qui reste totalement sacrée dans ce 21è siècle, c'est la liberté individuelle. Chacun doit avoir le droit de penser ce qu'il veut, de faire ce qu'il veut. Du moment que ça lui fait du bien il n'y a pas de problème, à condition bien sûr que ça ne nuise pas au bien-être des autres. Mais comme parmi les humains "non-fascisant" il y a tout de même des visions du monde radicalement différentes, on a inventé une expression très post-moderne : "à chacun sa vérité". Cet aphorisme est une sorte de pacte de non-agression entre individus pas d'accord, il permet de ne pas avoir à dire à l'autre qu'il a tort... cependant, malgré ses airs respectables, il n'en demeure pas moins une détestable escroquerie intellectuelle ! Il n'existe pas plusieurs vérités : soit une chose existe, est réelle, soit elle ne l'est pas. Une petite définition très simple de la Vérité : "Si je dis de ce qui est que ça est ou de ce qui n'est pas que ça n'est pas, je dis vrai. Mais si je dis de ce qui est que ça n'est pas ou de ce qui n'est pas que ça est, je ne dis pas vrai." Donc, au delà de tout problème de perception, quand deux personnes ne sont pas d'accord au sujet d'un fait, d'un problème il n'y a pas 36 solutions : soit une des deux a raison et l'autre tort, soit les 2 ont torts ! Mais en aucun cas les deux ne peuvent avoir "leur vérité" alors que leurs avis sont antagonistes. Si je considère que ma table basse est en fait un four à micro-onde ou que mon voisin est en fait la panthère rose, je ne pense pas qu'on me dira "tu as ta vérité et je la respecte" ; on me présentera plutôt un psychiatre qui arrivera peut-être à me sortir de mon délire ! Il existe une vérité objective. Même si pour certains sujets nous la cherchons à tâtons, même si des questions culturelles ou historiques viennent brouiller les cartes, cette "vérité conforme à la réalité" ne peut pas être évitée sous prétexte de respect ou de tolérance. Il est complètement possible d'être tolérant tout en pensant qu'on a raison et que l'autre a tort. Il est totalement envisageable de respecter l'autre même quand on est horripilé par ses convictions. La tolérance, ce n'est pas l'indifférence ou le consensus mou. La tolérance, c'est le vrai dialogue au cours duquel on appelle un chat "un chat". Parce qu'à force de ne pas appeler un chat "un chat" on finit par croire que c'est un chien ! Et là ce n'est pas de la tolérance, c'est du n'importe quoi. Recherchez LA Vérité, ne vous défilez pas, gardez vos yeux ouverts : ça pourrait bien vous sauver la vie. C'est un certain Jésus qui l'a dit ...
mercredi 12 août 2009
Obéissance et foi
mardi 11 août 2009
La vie chrétienne, c'est quoi ?
lundi 10 août 2009
dimanche 9 août 2009
Repli salutaire
samedi 8 août 2009
"La vie a-t-elle un sens ?" par Jonathan Chaintrier (partie 3)
vendredi 7 août 2009
Le Christianisme, c’est bien, mais ... (partie 3)
II. Ce dont les gens bien ont besoin, c’est un sauveur. C’est ce que Jésus va montrer à cet homme. Jésus avait à sa disposition plusieurs façons de montrer à cet homme qu’il n’était pas aussi parfait qu’il ne le prétendait. Il aurait pu expliquer à cet homme que ce n’était pas vrai, qu’il n’avait pas respecté tous ces commandements dès sa jeunesse. Puisque Jésus savait tout, il aurait pu lui dire les différents moments où il n’avait pas honoré son père et sa mère. Ou alors, Jésus aurait pu mieux expliquer que dans ces commandements, Dieu n’exigeait pas seulement de nous qu’on s’y conforme de façon externe, mais aussi de manière intérieure.
jeudi 6 août 2009
Notre monde actuel vu par Martin Luther King

mercredi 5 août 2009
Comment prier ?
mardi 4 août 2009
L'expérience de la "Tour" par Martin Luther

J'avais été saisi par un désir, certes étonnant, de connaître Paul dans l'épître aux Romains, mais ce qui avait jusque là constitué un obstacle n'était pas un sang différent dans les entrailles, mais un seul mot, qui se trouve au chapitre I : "La justice de Dieu est révélée en lui l'Évangile". Je haïssais, en effet, ce terme "justice de Dieu", que j'avais appris, selon l'usage et la coutume de tous les docteurs, à comprendre philosophiquement comme la justice formelle et active, par laquelle Dieu est juste et punit les pécheurs et les injustes.
lundi 3 août 2009
100 % Dieu, 100% homme
Nous ne pouvons connaître Dieu, à moins qu'il se révèle à nous. Quoique nous fassions, nous aboutissons dans l'obscurité. cherchant un Dieu que nous savons être là, mais que nous ne pouvons trouver. Mais Dieu ne nous a pas laissés dans l'obscurité pour toujours. Il s'est révélé lui-même de quatre façons principales suivantes:
Dans la Création - tout le monde le voit.Dans la conscience humaine - tout le monde en a une.
Dans sa parole écrite, la Bible - ce n'est pas connu de tout le monde
En son Fils, Jésus-Christ - ce n'est pas compris de tout le monde.
dimanche 2 août 2009
Jésus a-t-il vraiment existé ? (partie 5)
Pline le Jeune, en qualité de gouverneur de la Bithynie, légat de l'empereur Trajan de Rome, demanda à l'empereur quelle était la meilleure façon de procéder avec les chrétiens. Cet échange de correspondance ayant eu lieu au plus tard quarante ans après la mort de l'apôtre Paul, sa lettre constitue donc un document classique obligeant tous ceux qui ne croient pas au récit biblique de la vie de Jésus-Christ à admettre que celui-ci a réellement vécu, que ce fut un grand maître, qu'il fit des disciples dévoués, dont la vie devait être si différente de celle des païens qu'elle attirerait l'attention des empereurs romains eux-mêmes.
samedi 1 août 2009
vendredi 31 juillet 2009
Pas Lui, Seigneur
La foi de Corrie en Christ était restée forte, même au moment de dégradation lorsque elle et les autres femmes étaient présentées toutes nues devant , des hommes cruels, gardes de prison.
La guerre est maintenant terminée et Corrie s’était consacrée pour parler de l’amour de Christ et son pardon dans les églises.
Un jour, en 1947, au cours d’un service à l’église de Munich, Corrie était stupéfait de voir l’homme du SS qui était son ancien garde de prison lorsque elle et les autres femmes étaient ligotées sous la pluie comme un bétail.
“Il m’aborda…» Que je suis reconnaissant à votre message de penser que… tel que tu l’as dis il a lavé tous mes péchés !
Sa main s’était étendue pour serrer la mienne. Et moi qui avait souvent prêché … la nécessité de pardonner, retins ma main à côté. Aussi comme la nerveuse pensée vindicative bouillonnait en moi, je revis leurs péchés.
Jésus Christ est mort pour cet homme, vais-je demander plus que cela ? «Seigneur Jésus» ai-je prié, pardonne- moi et aide moi à lui pardonner.
J’essayais de sourire, je m’efforçais à avancer ma main. Je ne le pus. Je ne sentais rien pas même la moindre chaleur d’amour. Alors j’expirai une prière silencieuse : «Jésus je ne peux pas pardonner cet homme ; donne-moi ta force de pardon»
Comme je prenais sa main, une chose étrange se passa. De mon épaule tout au long de mon bras jusque dans ma main, un courant semble passé de moi en lui, pendant que dans mon cœur s’explose un amour à cet étranger qui m’avait pratiquement traumatisé»
Et ainsi je découvris que ce n’est pas sur notre pardon non plus sur notre bonté que s’accroche la délivrance du monde mais au contraire sur les siens.
«Lorsqu’il nous dit d’aimer nos ennemis, il nous donne en même temps avec le commandement, l’amour lui-même”.
(The Hiding Place, Fleming H. Revell Co.)
jeudi 30 juillet 2009
mercredi 29 juillet 2009
Avec nous dans la peine !
mardi 28 juillet 2009
Spectateurs ou acteurs ?
lundi 27 juillet 2009
Une création qui défie toute logique.
Un homme de science demanda un jour à un vieux prédicateur pourquoi la version biblique de la création défiait tout sens de la logique.
Avec un sourire narquois, le vieil homme répondit : “Si Dieu est arrivé de nulle part, c’est qu’il n’existait rien encore d’où Il eût pu venir. Et venant de nulle part, Il s’est tenu debout sur rien du tout,puisque rien n’existait où Il eût pu poser les pieds. Et là,debout sur rien, Il tendit la main et attrapa quelque chose, là où il n’y avait rien à attraper vu que rien n’existait encore. Puis Il accrocha ce quelque chose au néant et lui intima l’ordre de rester en place et personne n’osa contredire Dieu, vu qu’il n’y avait encore personne dans le néant pour le contredire. C’est alors que Dieu sourit et se dit : “C’est très bien ainsi !”
dimanche 26 juillet 2009
Quelques pensées sur l'Evangile (3)
samedi 25 juillet 2009
Dwight L. Moody, prédicateur évangéliste (1837-1899)
1. Introduction
Un jour, plusieurs églises organisent une rencontre pour parler de Dieu avec l’évangéliste D. L. Moody.
Au même moment, un groupe de 5,000 personnes s’était organiser pour venir à la rencontre des églises et contredire le prédicateur.
Moody a prêché un message sur l’importance de construire notre vie sur le rocher de Dieu.
Il a partagé plusieurs expérience de sa vie qui démontrait que Dieu était vivant.
Il a affirmé que Dieu était la fondation la plus fiable.
Plusieurs personnes étaient touchées.
D. L. Moody a confronté ses auditeurs sur leur vie, leur foyer, leur coeur.
C’est alors que M. Moody a demandé à ceux qui voulait entendre parler de Jésus Christ de rester sur place et il a invité les autres à sortir.
Mais personne n’est sorti, tout le monde voulait rester.
Alors M. Moody a commencer à expliquer qu’il fallait croire en J-C pour être sauver.
Après avoir expliqué ce que voulait dire croire, il a invité ses auditeurs l’exprimer à haute voix.
Il a demandé « s’il y a quelqu’un ici qui veut croire, qu’il dise simplement; je veux croire. »
Une cinquantaine d’hommes l’on dit à voix haute.
Mais les cinq mile autres ont resté le cour dur.
Il a encore répété l’invitation; « s’il y a quelqu’un ici qui veut croire, qu’il dise simplement; je veux croire, je le veux. »
Encore les mêmes cinquante homme ont répété: « je veux croire.
C’est alors que quelqu’un de la salle qui était venu pour contredire le prédicateur a dit: « je ne peux pas ».
Tout de suite, M. Moody a dit qu’il avait raison de dire, je ne peux pas.
Ce n’est pas nous qui pouvons le faire mais c’est Dieu qui le fait au travers nous.
Tout ce que nous pouvons faire c’est dire: « Je veux croire » et Dieu s’occupe du reste.
Le monde se divise en deux, entre ceux qui veulent croire et ceux qui ne veulent pas croire.
Il a demandé à la foule: « qui ne veux pas croire? »
Personne n’a répondu à la grande joie de M. Moody.
Il a de nouveau demandé qui voulait croire.
Tout a coup, avec larmes, plus de cinq cent hommes se sont levé et ont dit qu’ils voulaient croire; « je veux, je veux ».
La bataille était gagné, le climat à tout changé.
Dans les huit jours qui ont suivi, plus de 2,000 de ces hommes ont accepté J.C. comme leur sauveur personnel.
Alors que cinq mile hommes voulaient contredire le prédicateur, plus de 2,000 se sont convertie.
vendredi 24 juillet 2009
Le but ultime des bénédictions
Forts de cette connaissance, nous devrions être remplis d’un immense sens d’appartenance et d’humilité. Chaque croyant peut aider les autres à connaître et à comprendre le seul vrai Dieu. Non seulement chacune de ses bénédictions nous profite personnellement, mais elle se veut un outil pour réaliser son plan. Par contre, il arrive que nous ne recevions pas ce que nous souhaitons parce que cela ne contribuerait pas à l’exécution des projets de Dieu. Lorsque nos requêtes s’inscrivent dans le cadre des intentions à long terme du Seigneur, il peut nous utiliser grandement.
jeudi 23 juillet 2009
Le violoncelliste myope
Au début du 20ème siècle, il y avait un grand chef d’orchestre qui s’appelait Toscanini aimé et respecté par tout le monde. Il était à l’origine violoncelliste mais il ne pouvait pas lire des notes pendant qu’il jouait parce qu’il était myope. Pour ne pas faire des fautes, il était obligé d’apprendre par cœur toute la partition. Les autres musiciens ont joué avec la partition mais il a tout appris par cœur avant de jour. Pourquoi ? Parce qu’il n’avait pas de bonne vue... Un jour, le chef d’orchestre est tombé malade et devait hospitalisé à la veille de concert et quelqu’un parmi les autres devait diriger cet orchestre.
mercredi 22 juillet 2009
Un sacrifice parfait
Un pasteur a dit : "La résurrection de Jésus-Christ nous donne la garantie que Dieu a accepté la sacrifice expiatoire de Son Fils. La garantie nous est aussi donnée qu'Il justifie, par la foi, tous ceux qui, en pécheurs repentants, L'accceptent comme Sauveur et Seigneur de leur vie."
mardi 21 juillet 2009
Sören Kierkegaard parle de la Croix
Craintif devant la vie, je cherche mon refuge dans le crucifié. Je le prie de me délivrer du malin et de moi-même.»
lundi 20 juillet 2009
Ne pas trop attendre
dimanche 19 juillet 2009
La fidélité de Dieu par Francis BAILET (partie 1)
Publié le mardi 12 mai 1998 dans le magasine Croire et Servir
Les attributs de Dieu sont l’objet des louanges des croyants. Son amour, sa grandeur, sa sainteté, sa puissance sont souvent mentionnés dans leurs prières. Sa fidélité semble l’être beaucoup moins. Il n’en est pas ainsi dans les Ecritures : les prophètes, les psalmistes et les apôtres exaltent souvent la fidélité de Dieu. Mettons-nous à leur école.
Moïse : Rendons gloire à notre Dieu ! C’est un Dieu fidèle. (Dt 32.3,4).
Néhémie : Tu as été juste dans tout ce qui nous est arrivé, car tu t’es montré fidèle (Né 9.33).
Esaïe : L’Eternel est fidèle (Es 49.7).
Jérémie : Oh que ta fidélité est grande ! (Lm 3.23).
Ethan le psalmiste : Ma bouche fera connaître ta fidélité. Ta fidélité est célébrée dans l’assemblée des saints (Ps 89.2,6).
David : Je célèbre ton nom à cause de ta fidélité (Ps 138.2). Sa fidélité dure à toujours (Ps 117.2). La parole de l’Eternel est droite. Toutes ses œuvres s’accomplissent avec fidélité (Ps 33.4).
Paul : Celui qui vous a appelés à la communion de son Fils est fidèle (1 Co 1.9).
QU’EST-CE QUE LA FIDÉLITÉ DE DIEU ?
La fidélité d’une personne c’est son attitude qui consiste à remplir ses engagements, à tenir ses promesses. Elle est attachement, constance, persévérance. C’est la définition du dictionnaire. Mais une définition reste abstraite. Les psalmistes ont trouvé des mots, des images pour parler de la fidélité de Dieu :
Sa bonté atteint jusqu’aux deux, sa fidélité jusqu’aux nues ( Ps 36.6). Sa fidélité environne le Seigneur ( Ps 89.9). Sa fidélité est un bouclier et une cuirasse (Ps 91.4). Les œuvres de ses mains sont fidélité (Ps 111.7).
Dans les Psaumes bonté et fidélité sont souvent associées. Notez en particulier : Ta bonté et ta fidélité me gardent toujours (Ps 40.12). La bonté et la fidélité se rencontrent (Ps 85.11). Bonté et fidélité sont devant ma face (Ps 89.15). // est beau d’annoncer le matin ta bonté et ta fidélité pendant les nuits (Ps 92.3).
Voir aussi : Ps 57.4 - Ps 61.8 - Ps 88.11 - Ps 89.1,24,25,33 - Ps 98.3 - Ps 100.5- Ps 108.4 - Ps 117.2 - Ps 138.2.
La méditation des Ecritures nous fait découvrir l’importance de la fidélité de Dieu. Lorsque Moïse gravit la montagne pour recevoir les commandements, il fit une expérience très particulière que nous rapporte le livre de l’Exode : L’Eternel descendit dans une nuée, se tint là auprès de lui, et proclama le nom de l’Eternel. Et l’Eternel passa devant lui, et s’écria : L’Eternel, l’Eternel, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère, riche en bonté et en fidélité, qui conserve son amour jusqu’à mille générations, qui pardonne l’iniquité, la rébellion et le péché, mais qui ne tient point le coupable pour innocent, et qui punit l’iniquité des pères sur les enfants et sur les enfants des enfants jusqu’à la troisième et à la quatrième génération / (Exode 34.5-7).
Dieu est riche en bonté et en fidélité. Il y a continuité dans ce qu’il est, dans ce qu’il dit et dans ce qu’il fait. Son nom même exprime cette continuité. Son nom est « Y H V E », mot intraduisible, rendu par l’ETERNEL ou le SEIGNEUR. L’apôtre Jean nous a transmis la même révélation : JE SUIS l’alpha et l’oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était et qui vient (Ap 1.8).
Malachie, le dernier livre de l’Ancien Testament, nous rapporte cette déclaration : Je suis l’Eternel ; je ne change pas ; et vous, enfants de Jacob, vous n’avez pas été consumés (Mal 3.6). L’apôtre Jacques écrit : II n’y a en Dieu ni changement, ni ombre de variation (Jc 1.17). L’épître aux Hébreux proclame très fort : Jésus-Christ est le même, hier, aujourd’hui et éternellement (Hb 8.13).
samedi 18 juillet 2009
Foi et tribulation

vendredi 17 juillet 2009
La vrai foi en Dieu, c'est quoi ?

La foi est sérénité et abandon de soi en présence de celui que l'on reconnaît comme bon (c'est à dire Dieu).
La foi est une déclaration de confiance, même si les circonstances que nous traversons semblent démentir la bonté de Dieu. Avoir la foi, c'est voir l'invisible et avoir une connaissance qui dépasse toute connaissance humaine vérifiable.
Par la foi, nous savons pertinemment que Dieu peut et veut nous conduire jusqu'à la victoire finale.
jeudi 16 juillet 2009
La grâce, une deuxième chance
Par la croix, le Seigneur nous accorde une deuxième chance de connaître une relation aimante avec lui. Quand nous croyons en Christ, il déverse son amour inconditionnel, sa grâce, sur nous.
Comment la définir? La foi accepte le verdict du Seigneur selon lequel tous sont des pécheurs incapables d’expier leurs fautes et en besoin d’un Sauveur. Elle croit que Jésus nous a rachetés par sa mort, que Dieu a accepté son sacrifice et qu’en vertu de celui-ci, il nous a pardonné.
La foi véritable nous portera à lui prêter allégeance et à le servir de tout cœur.
Avant d’être sauvés, nous étions ses ennemis, condamnés à la mort éternelle. Lors de notre conversion, Dieu nous adopte comme siens et nous fait désormais jouir de sa faveur.
Saisissez la deuxième chance qu’il vous accorde et suivez-le avec passion.
Magazine en Contact
mercredi 15 juillet 2009
Imagine, de John Lennon
Cette chanson de John Lennon (son plus grand tube mondial) est extrêmement intéressante à lire et à comprendre. Ecrit dans les années 1970 avec l'idéologie "Peace and Love" (l'amour et la paix) en tête, ce texte te semble-t-il encore possible, réaliste ou impossible ?