
C.S. Lewis, écrivain anglais mort en 1968
Tu te poses des questions sur Dieu ? Tu as entendu parler de Jésus ? Quant à la Bible, tu sais que c'est un livre chrétien. Tu veux en découvrir sur ces trois sujets et bien d'autres encore. Ce blog te propose de réfléchir sur ces sujets et plein d'autres encore. Fais-toi ta propre opinion sur les textes de ce blog. Et surtout n'hésite pas à laisser un commentaire pour les articles. Ton avis compte. Ce blog est géré par le Groupe Biblique Universitaire d'Angers.
Il en va de même dans notre relation avec Dieu. Nos péchés non avoués, nos manquements, notre culpabilité qui nous séparent de Dieu. Et tant et aussi longtemps que ces barrières se dresseront entre Dieu et nous, nous croirons que Dieu nous a abandonné, qu’Il est à des millions de kilomètres de nous, ou même qu’Il n’existe pas. Mais pire encore, si nous ne confessons pas nos péchés, et si nous ne recevons pas le pardon de Dieu, nous devrons en payer le prix, car la conséquence du péché c’est la mort spirituelle et éternelle, c’est à dire que nous serons séparés de Dieu à tout jamais, la seule source de vie, de paix et d’amour. Par notre refus de recevoir le pardon de Dieu, nous nous condamnons nous-mêmes à passer éternellement notre vie en enfer.
Dieu nous aime tous tellement qu’Il a payé le prix pour tous les péchés que nous avons commis. C’est ainsi qu’il y a deux mille ans, Dieu nous a donné son Fils unique Jésus-Christ, et afin que nous ayons le pardon gratuit et complet pour nos péchés il est mort à notre place sur la croix. Mais si nous le refusons, alors le pardon ne vaut rien.
Ainsi, c’est par choix et non par un coup de dés que nous choisissons notre destiné, non seulement terrestre, mais aussi notre vie éternelle. Nous avons trois choix:
Tout comme George Wilson, nous pouvons refuser le pardon apporté par la mort de Jésus sur la croix, et choisir de payer nous-mêmes le prix pour nos péchés;
Nous pouvons ignorer ce pardon, refuser de faire quoi que ce soit pour l’obtenir, et de plus, payer nous-mêmes le prix pour nos péchés;
Ou nous pouvons accepter le pardon de Dieu et le don de la vie éternelle.
Il ne suffit pas de croire que Dieu existe ou que Jésus est mort sur la croix pour nous sauver, Satan le croit aussi ! Sans doute que George Wilson croyait au pardon qu’on lui offrait, mais cela ne l’a pas sauvé. Il en va de même du pardon que Dieu a pour nous tous, il ne devient efficace que si nous l’acceptons. Et vous pouvez dès maintenant accepter ce pardon. Il vous suffit de priez Dieu, de reconnaître que vous avez besoin de Jésus, de confesser humblement vos fautes et d’inviter Son Fils Jésus-Christ à entrer dans votre vie et de le recevoir comme votre Sauveur et Seigneur. Si vous n’avez jamais fait cette prière, pourquoi ne pas la faire maintenant?
1. Tiré de Moody Monthly.
2. Adapté de Parables, Etc.
3. Ephésiens 2:8-9 (Paraphrasé).
http://fr.actsweb.org/ne_suffit1.php
Dans les années 1830, George Wilson, fut arrêté et trouvé coupable de délits fédéraux, soit du vol de la paie des employés de l’état, et d’avoir tué un gardien. Il fut condamné à mort, mais à cette époque, la peine de mort soulevait beaucoup de tollés, à un point tel que l’affaire fut portée à l’attention du président Andrew Jackson, afin que celui-ci gracie George Wilson. Le président lui accorda le pardon, mais George Wilson le refusa.
Une telle situation ne s’était jamais présentée, alors on demanda à la Cour Suprême de statuer, à savoir si une personne avait ou non le droit de refuser un pardon présidentiel. Le juge en chef John Marshall fit part de la décision suivante des juges: "Un pardon ne vaut en soi que la valeur du papier sur lequel il est écrit, et sa seule et unique valeur est déterminée par celui qui reçoit le pardon. Et même, si nous ne pouvons comprendre les raisons qui ont motivé son choix, et puisque George Wilson a refusé le pardon, George Wilson doit donc être exécuté."2
Deux hommes! Un qui en tentant désespérément de sauver son fils, écarta le seul homme qui aurait pu l’aider. Et l’autre condamné à mort, mais qui refuse le pardon, payant ainsi de sa vie pour ses crimes.