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samedi 19 mai 2012

Allié ou ennemi ?

" Dieu n'est pas contre nous à cause de notre péché. 
Il est avec nous contre notre péché !"
Auteur inconnu 


vendredi 18 mai 2012

La meilleure traduction de la Bible


(Aux chrétiens de Corinthes, l'apôtre Paul dit : ) Notre lettre, c'est vous : elle est écrite dans nos cœurs, connue et lue par tous les hommes ; car vous êtes manifestés comme la lettre de Christ,... écrite non avec de l'encre, mais par l'Esprit du Dieu vivant.
2 Corinthiens 3. 2, 3

On demandait à un étudiant en théologie quelle traduction de la Bible il trouvait la meilleure. Sans hésitation, il répondit : “C'est celle de ma mère. Elle ne connaissait ni l'hébreu ni le grec, mais sa vie de chrétienne a été pour moi la meilleure des traductions de la Bible. C'était une traduction vivante. On pouvait lire en elle ce que la Bible dit”. Cette chrétienne imitait donc son Maître, Jésus Christ. En introduisant l'évangile qui porte son nom, Luc en donne le résumé : “Tout ce que Jésus commença de faire et d'enseigner” (Actes 1. 1). Faire d'abord, enseigner ensuite. Montrer par ses actes la réalité de ses convictions.

Source : La Bonne semence

jeudi 17 mai 2012

L'athéisme selon Victor Hugo

"L'athéisme dresse contre Dieu un procès-verbal de carence"

Victor Hugo

Ecrivain français (19ème Siècle)

mercredi 16 mai 2012

Le pire péché humain

Un écrivain a dit : « Le pire péché que l’on puisse commettre contre les gens n’est pas de les haïr, mais plutôt d’être indifférent à leur égard ; c’est cela la plus cruelle inhumanité. »

mardi 15 mai 2012

La Bible vous attend


«Une des caractéristiques des livres scientifiques, c’est qu’ils sont très vite démodés et doivent être remplacés par de nouveaux.
C’est une cause de fierté que les progrès scientifiques soient assez rapides dans tous les domaines pour rendre les livres scientifiques périmés pour la génération qui suit. En réalité, chaque livre technique commence à être dépassé avant que l’encre soit sèche sur ses pages.
Bien qu’elle traite des sujets les plus grands et les plus importants –tels que la vie, la mort, le bien, le mal- la Bible est toujours la meilleure et la seule autorité.
Sur des tels points, les siècles de progrès, d’avancement des connaissances ne peuvent rien ajouter à ce que dit la Bible, toujours nouvelle et adaptée aux besoins du jour. En fait, elle n’est pas dépendante de la science. Le progrès technique ne peut la dépasser. Les générations se succèdent et chacune trouve la Bible qui l’attend, comme une inépuisable mine de connaissances sur les questions essentielles de la vie. »
D’après Philippe MauroLa parole qui vit.
Au seuil du vingt et unième siècle, la Bible est aussi actuelle qu’au premier siècle. Elle répond aux questions essentielles que chaque génération n’a pu manquer de se poser. La Bible est à votre disposition aujourd’hui. Comme beaucoup de ceux qui vous ont précédés, cherchez-y les vérités essentielles et indémodables dont vous avez besoin pour votre vie et pour votre avenir éternel.
Extrait de « Vivre aujourd’hui » 200342, chemin de Lautagne – 26000 VALENCE

lundi 14 mai 2012

La fin de John Knox


En 1572, à soixante-sept ans, le fidèle réformateur protestant écossais terminait sa carrière.

"Jamais encore, disait-il à ceux qui veillaient dans sa chambre, le diable ne m'avait livré un combat pareil à celui que je viens de soutenir. Souvent, il avait placé mes péchés devant moi pour m'effrayer. Maintenant, il a changé de tactique. Ce vieux serpent rusé a voulu me persuader que je mérite le ciel parce que j'ai été fidèle dans mon service. Mais, Dieu soit béni, j'ai pu repousser cette tentation en lui répondant: "Par la grâce de Dieu, je suis ce que je suis" (1 Corinthiens 15, 10). Maintenant, j'ai remporté la victoire et je serai bientôt dans le lieu où il n'y a plus de combat. Joie et repos dans le Seigneur".

Voici encore une de ses dernières recommandations à son secrétaire:

"Lisez-moi, chaque jour que j'ai encore à vivre, le chapitre 12 de l'évangile de Jean, le chapitre 53 d'Esaïe, et surtout le chapitre 14. de Jean, car c'est là que j'ai jeté l'ancre pour la première fois, et là que mon âme est encore ancrée maintenant".

Le 24 novembre 1572, vers onze heures du soir, il poussa un soupir et dit: "C'est le moment!".

Son secrétaire s'approcha de lui: "Maître, pensez aux promesses consolantes du Seigneur, que vous nous avez si souvent répétées. Puisque vous ne pouvez plus parler, faites-nous un signe pour nous montrer que vous vous reposez entièrement sur l'œuvre du Seigneur Jésus".

John Knox leva la main, et peu de temps après son âme entra dans le repos.


dimanche 13 mai 2012

La foi


Ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi, la foi au Fils de Dieu qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi.

Galates 2. 20
Le mot “foi” est souvent employé d'une manière inappropriée. Certains déclarent avoir foi en telle ou telle chose, en la science, par exemple. D'autres n'hésitent pas à dire : “J'ai foi en moi !” D'autres considèrent la foi chrétienne comme une croyance simpliste et sans fondement.
La Bible déclare la force et la substance de la foi : “La foi est l'assurance de ce qu'on espère, et la conviction de réalités qu'on ne voit pas” (Hébreux 11. 1). Elle ne dépend pas de choses visibles, c'est une conviction appuyée sur ce que Dieu a dit : “La foi vient de ce qu'on entend... par la parole de Dieu” (Romains 10. 17). Elle nous fait recevoir avec confiance et soumission les vérités qu'il nous révèle. Elle se traduit en actes.
La foi tient pour certain que Jésus Christ est Dieu, qu'il est mort crucifié pour expier nos péchés, qu'il est ressuscité et monté au ciel, et qu'il va bientôt revenir chercher tous ceux qui auront cru en lui.
La foi est le seul moyen pour échapper à la perdition, et être sauvé (Romains 10. 9). Elle est le seul moyen pour être accepté par Dieu : “Sans la foi il est impossible de lui plaire” (Hébreux 11. 6), car ne pas croire ce que Dieu déclare, c'est le tenir pour menteur. Par elle nous sommes rendus justes (Romains 5. 1), notre cœur est purifié (Actes 15. 9)et notre vie est en sécurité (1 Pierre 1. 5).
Par la foi, le croyant est rendu capable d'accomplir des œuvres agréables à Dieu (Hébreux 11).
Être sauvé par la foi, c'est un don de Dieu (Éphésiens 2. 8). Il l'accorde à tous ceux qui le lui demandent. Accepter ce que Dieu dit, ce qu'il donne, c'est avoir la foi.
Source : La Bonne Semence

samedi 12 mai 2012

Etre en souci

Être en souci est stupide. La Bible dit : « Ne vous inquiétez de rien ». Si vous êtes en souci, vous désobéissez. … En fait si la Bible est vraie – et elle l'est- la crainte, le souci, l'anxiété remettent en cause la fidélité de Dieu. Nous semblons alors dire : « Dieu, tu ne dis pas la vérité. ». Or Philipiens 4,19 dit « Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse avec gloire, en Jésus-Christ ».
Corrie Ten Boom, Reflets de la gloire de Dieu,page 31


vendredi 11 mai 2012

Quand un malheureux crie

Le cri du pauvre monte jusqu'aux oreilles de Dieu mais n'atteint pas celles de l'homme.
Anonyme

jeudi 10 mai 2012

La vraie reconnaissance


John Wesley avait environ 21 ans quand il partit étudier à l'université d'Oxford. Il venait d'une famille chrétienne, était intelligent et bien de sa personne. A cette époque, il était un peu snob et sarcastique.
Une nuit cependant, un événement commença à changer le cœur de Wesley. Alors qu'il parlait à un porteur de bagages, il découvrit que le pauvre homme n'avait qu'un seul manteau et qu'il vivait dans de si pauvres conditions qu'il n'avait même pas de lit. Pourtant, cette personne était inhabituellement joyeuse, pleine de gratitude envers Dieu.

Wesley, quelque peu immature, se moqua sans tact de l'infortune de cet homme. « Pour quelles autres raisons remerciez-vous Dieu ? » demanda-t-il avec un brin de sarcasme.
Le porteur sourit et, dans un esprit d'humilité, répondit avec joie : « je le remercie de ce qu'il m'a donné la vie et un corps, un cœur pour l'aimer, et, par dessus tout, un constant désir de le servir ! ».
Profondément touché, Wesley reconnut que cet homme connaissait la signification de la vraie reconnaissance.
De nombreuses années plus tard, en 1791, John Wesley était allongé sur son lit de mort à l'âge de 88 ans. Ceux qui l'entouraient réalisaient à quel point il avait retenu cette leçon de remercier Dieu en toutes circonstances.
Malgré son extrême faiblesse, il commença à chanter un cantique : « Je prierai mon Créateur tant que je respirerai. »

mercredi 9 mai 2012

La grande surprise


Dans un train régional allemand, deux hommes parlaient de l'au-delà. L'un d'eux affirmait avec assurance qu'après la mort tout est fini. L'autre en était moins sûr et avançait de prudentes objections.

Assis dans le même compartiment, un vieux paysan suivait la discussion avec intérêt. Son visage buriné portait les marques d'une vie de travail et de peine, mais aussi de réflexion et d'harmonie intérieure.

Le premier interlocuteur se mit à claironner : “Si quelqu'un veut encore croire à ces vieilles histoires, libre à lui. Il peut bien y croire jusqu'à sa fin. Aurait-il le courage de s'exprimer ici ? Mais pour moi, ce qui est certain, c'est que quand on est mort, on est bien mort, et qu'aucune porte ne s'ouvrira sur l'au-delà... Ou alors ce sera la surprise !”

À ce moment-là, le vieil homme ne put plus se contenir. “Si j'ai bien entendu, dit-il d'une voix profonde comme s'il se parlait à lui-même, on a débité de belles sornettes ! On pense que celui qui est mort et bien mort peut encore être surpris ? Tout n'est donc pas fini… Et cette surprise pourrait bien être celle d'un incroyant, en particulier de celui que nous venons d'entendre… Quand il mourra, et que s'ouvrira pour lui la porte de l'Éternité devant Dieu, je pense bien que là, ce sera vraiment la grande surprise. Et on ne pourra pas plaisanter.”

Le silence tomba d'un coup sur le compartiment ; personne n'avait plus envie de rire.

mardi 8 mai 2012

Voir Dieu


"Je voudrais voir votre Dieu", disait l'empereur romain Trajan (53-117 après Jésus Christ) à un rabbin juif.

"Aucun mortel ne peut le regarder" répondit celui-ci.

Comme l'empereur insistait, le rabbin ajouta : "Essayez alors de commencer par regarder un de ses ambassadeurs"; et il engagea l'empereur à observer le soleil par un ciel sans nuage.

"Je ne peux pas, avoua Trajan, la lumière m'éblouit".

"Si vous ne pouvez contempler la gloire d'une de ses créations, comment supporteriez-vous la gloire de son Créateur, qui est d'une magnificence incomparable, et que le langage humain ne peut décrire ?"

lundi 7 mai 2012

Deux éléments importants du christianisme

Alister McGrath écrit dans son livre Jeter des ponts page 164 : « Tout au long de l’histoire, le christianisme a considéré la résurrection et l’incarnation comme des éléments essentiels à sa propre compréhension historique ; toute tentative d’éliminer ou de modifier radicalement ces doctrines aboutirait à une forme de christianisme en rupture de continuité avec les formes historiques qui ont accompagné son développement. »
Il dit aussi page 169 " Un christianisme qui rejette l’incarnation de Dieu en Jésus-Christ n’est pas en mesure de placer de façon convaincante la personne de Jésus-Christ au centre de la foi chrétienne. »
C’est en s’appuyant sur cette réalité que le message de l’Evangile, la bonne nouvelle, sera prêché dans le monde entier. C'est pourquoi il dit page 170 : « La foi en la résurrection et en l’incarnation a favorisé le développement et l’expansion du christianisme, et continue de le faire. La vitalité, la profondeur et l’enthousiasme de la foi chrétienne dépendent finalement de ces doctrines. »
Car quelle serait la crédibilité d’une « nouvelle naissance » qui exclurait l’incarnation du Fils de Dieu mort pour nos péchés ?
Article écrit par Delphine, membre du GBU d'Orléans

dimanche 6 mai 2012

La vie de prière (2)


Quelqu’un a dit:
« L’acte essentiel de la prière ne consiste pas à faire plier la volonté de Dieu devant la nôtre, mais à faire plier notre volonté devant la sienne. L’idée juste de la prière d’un chrétien n’est pas: « Seigneur, fais pour moi ce que je veux », mais « Seigneur, fais en moi, avec et par moi, ce que tu veux! »

samedi 5 mai 2012

Jésus, un Sauveur vivant


Jésus qui était de Nazareth, vous savez comment Dieu l'a oint de l'Esprit Saint et de puissance, lui qui a passé de lieu en lieu, faisant du bien ... lui qu'ils ont aussi fait mourir ... mais Dieu l'a ressuscité le troisième jour. Actes 10. 38-40
Jésus, un personnage extraordinaire
A sa naissance, il effraye un roi ; encore tout jeune, il surprend les théologiens les plus savants ; adulte, il montre qu'il commande à la nature en marchant sur les vagues et en imposant le calme à la mer démontée.
Il ne possède ni champ de blé ni navire de pêche, mais il nourrit cinq mille personnes avec une telle abondance qu'on remplit ensuite douze corbeilles avec les restes des pains et des poissons.
Il guérit les malades sans aucun médicament et ne réclame rien pour ses services. Il fait marcher les boiteux, rend la vue aux aveugles, chasse les démons, ramène des morts à la vie.
Il n'a écrit aucun livre et pourtant toutes les bibliothèques du monde racontent ce qu'il a fait.
Quand il est abandonné par Dieu, la nature, œuvre de ses mains, réagit à cette douleur unique dans l'histoire : la terre se couvre de ténèbres. Quand il meurt, elle tremble. Trois jours après, il sort du tombeau.
Quoique près de deux mille ans se soient écoulés depuis sa mort sur la croix et sa résurrection, il vit toujours, proclamé Seigneur par Dieu lui-même, reconnu par les anges, redouté par les démons et adoré par ceux qu'il a sauvés.
Jésus est-il pour toi un Sauveur vivant ?
Source : La Bonne Semence 2000

vendredi 4 mai 2012

Bertrand Russel dit pourquoi il ne croit pas en Dieu



Quand on interrogeait Bertrand Russell, le brillant philosophe athée, sur ce qu’il dirait au jour du jugement quand Dieu lui demanderait : « Pourquoi n’as-tu pas cru en Moi ? »


Russell répondait : « Je lui rétorquerais : "Il n’y avait pas assez de preuves ! Pas assez de preuves !"»
Es-tu d'accord avec la réponse de Bertrand Russel ?
Merci d'avance pour ta réponse.

jeudi 3 mai 2012

Des athées parlent de la Bible (1)


Friederich Nietzsche (1844-1900)
"Par delà le bien et le mal" dans « le phénomène religieux »
« Dans l'Ancien Testament juif, le livre de la justice divine, on trouve des hommes, des choses et des paroles d'un si grand style que les textes sacrés des Grecs et des Hindous n'ont rien à mettre en regard. On est saisi de crainte et de respect en présence de ces vestiges prodigieux de ce que l'homme était jadis. »

mercredi 2 mai 2012

Si semblable et pourtant si différent


Un pasteur a écrit ces lignes : "Jésus est venu sur la terre comme un homme. Rien dans son apparence ne le différenciait des autres. Beaucoup ne voyaient en lui que le fils d'un charpentier dont on connaissait la famille. Pourtant sur cet homme, le ciel s'est ouvert et Dieu a déclaré : “Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai trouvé mon plaisir”.
Même si la plupart de ses contemporains ne l'ont pas distingué, Jésus Christ était différent des autres hommes. Seul homme conçu du Saint Esprit, dans le ventre de Marie, Jésus, Fils de Dieu, était sans péché. Il était à la fois pleinement homme et pleinement Dieu.
Pleinement dévoué à la volonté de Dieu son Père qui l'avait envoyé, il apportait l'amour divin, même à ceux qui cherchaient à le faire souffrir. Alors que l'orgueil, la haine et l'égoïsme caractérisent l'humanité tout entière, Lui s'est dévoué durant toute sa vie, humblement et sans se lasser, pour soulager les misères qu'il rencontrait. Ses paroles, son comportement, mettaient à nu la méchanceté de l'homme, en sorte qu'on a tout fait pour se débarrasser de lui. On l'a crucifié entre deux brigands. Cloué sur une croix, il a accepté de mourir pour sauver ceux qui étaient perdus.
Mais il est ressuscité et éternellement vivant, et chaque croyant peut lui dire : “Tu es plus beau que les fils des hommes” (Psaume 45. 2)."

mardi 1 mai 2012

Sören Kierkegaard parle de Dieu

«Je me suis rendu compte que j’avais de moins en moins de choses à dire, jusqu’au moment où, finalement, je me suis tu. Dans le silence, j’ai découvert la voix de Dieu.»
Sören Kierkegaard
Philosophe et théologien danois (1813-1855)

lundi 30 avril 2012

La différence entre la science et le christianisme


«Voici la grande différence entre la science et le christianisme: en science, il faut expérimenter pour croire; dans le christianisme, il faut croire pour expérimenter» (Mel Tari).

dimanche 29 avril 2012

Une seule vie


Un poète a dit : "Ce n'est que lorsque le temps, d'une main implacable, a arraché la moitié des pages du livre de la vie humaine, pour allumer les brasiers de la passion, que l'homme commence à se rendre compte que les feuillets qui restent à vivre ne sont plus très nombreux."

samedi 28 avril 2012

La main invisible de Dieu

Un théologien a dit : "La difficulté que nous éprouvons à voir la main de Dieu en toutes choses est l'un des plus grands obstacles à la paix de notre vie intérieure.
Les choses où nous pouvons voir la main de Dieu renferment toujours un baume consolant qui adoucit la blessure qu'elle fait, tandis qu'il n'y a qu'amertume dans les épreuves qu'infligent les hommes."

vendredi 27 avril 2012

La résurrection de Jésus : du doute à la certitude (5)


5- Simon Greenleaf

Expert en matière de preuves. A publié "traité sur la loi des preuves". Ce traité est considéré comme l'un des plus importants de tous les écrits publiés sur la procédure judiciaire.
Il a examiné la valeur des preuves historiques de la résurrection de Jésus-Christ ; il leur a appliqué les principes retenus dans son traité sur les preuves. Il en conclut qu'il existe plus de preuves historiques de la résurrection de Jésus-Christ qu'il n'en existe pour aucun autre événement de l'histoire.
" S'IL Y A SUFFISAMMENT DE PERSONNES VIVANTES AU MOMENT OÙ UNE INFORMATION SUR UN ÉVÈNEMENT EST PUBLIÉE ET QUE CES PERSONNES SONT SOIT TÉMOINS OU PARTICIPANTS DE L'ÉVÈNEMENT, ON PEUT ÉTABLIR LA VALIDITÉ D'UN ÉVÈNEMENT SÉCULIER''.
(An examination of the testimony of the 4 evangelists by the rules of evidence admistrated in the courts of justice ; S. Greenleaf).

jeudi 26 avril 2012

LA TRANSFUSION


Pendant la guerre du Vietnam, une fillette de 8 ans, vivant dans un orphelinat, venait d’être grièvement blessée par un éclat d’obus.
Les premiers soins lui furent prodigués par un médecin et une infirmière, tous deux Américains.
Mais les blessures et la perte de sang nécessitaient de toute urgence une transfusion sanguine. Le médecin et son infirmière se regardaient désolés, impuissants, car leur groupe ne correspondait pas à celui de la jeune victime. On chercha parmi les enfants, car il fallait faire vite : qui voudrait donner son sang pour sauver une petite fille qui allait mourir ?
Une petite main se leva : « Moi » dit un gamin. Le nécessaire est alors fait : vérification, même groupe. On put alors entreprendre la transfusion salutaire… et l’enfant fut sauvée…
Plus tard, on interrogea le jeune garçon : « Pourquoi as-tu accepté de donner ton sang pour la petite fille ?Parce qu’elle est mon amie, répondit-il.
Touchante et sublime déclaration, qui nous invite à tourner les yeux vers la croix où Jésus est mort, où notre ami, donneur, répandit le sien pour la rémission des péchés et le salut du monde, et il le fit par amour pour nous.
Existe-t-il un plus grand amour que celui de notre Dieu ? Il a donné son sang pour nous sauver.
Jules DEPIERRE
Source : Trésor Quotiden

mercredi 25 avril 2012

La Bible, un livre pour notre temps pour connaitre Jésus


Est-il possible de croire encore en Jésus Christ 2 000 ans après sa naissance ?

Est-il possible d'évoquer un Créateur quand les découvertes scientifiques sont souvent employées pour affaiblir la notion de Dieu ?
Peut-on souligner les besoins moraux de l'homme quand le monde s'organise pour satisfaire avant tout ses besoins matériels ?
Le mot « péché » a-t-il encore un sens quand la morale semble se fonder sur les sondages d'opinion ?
Ces questions trouvent des réponses toujours valables dans la Bible, la Parole de Dieu, une parole éternelle, un livre qui ne se démode pas.
Non, la foi chrétienne n'est pas le refuge de faibles ou de nostalgiques du passé, mais elle est la part de beaucoup d'hommes et de femmes, jeunes ou âgés, décidés à regarder en face la réalité, dans le monde, certes, mais d'abord en eux-mêmes.
La foi n'est pas non plus comme une illumination qui tomberait sur certains privilégiés, mais elle est l'acceptation consciente du message de l'amour divin qui s'adresse à tous.
Placé devant les témoignages positifs de Dieu, celui qui répond un « oui » personnel à Jésus Christ découvre sa véritable place sur la terre... et dans le ciel.
« Moi, dit Jésus, je suis le chemin, et la vérité, et la vie » (Jean 14. 6).
Ce chemin, y as-tu déjà pensé ?
Source : La Bonne Semence

mardi 24 avril 2012

Profondeur immense

" Le vrai péché s'élève à un tel degré que nous ne pouvons absolument pas soupçonner son existence. Il est comme la note la plus basse de l'orgue : si profonde que nul ne l'entend."
Arthur Machen

lundi 23 avril 2012

Un pardon sans condition


" Jésus dit que ceux qui vivent selon le pardon de Dieu doivent l'imiter. Une personne dont le seul espoir est que Dieu ne retiendra pas ses fautes contre lui perd son droit à retenir les fautes des autres contre eux."
David Jeremiah

" Jesus says that those who live by God's forgiveness must imitate it. A person whose only hope is that God will not hold his faults against him forfeits his right to hold others' faults against them."
David Jeremiah

dimanche 22 avril 2012

Un dialogue


Ninutius Félix, né en Afrique au début du troisième siècle, avait été un avocat et un orateur distingué à Rome.
Il écrivit un plaidoyer pour le christianisme sous forme de dialogue entre deux amis, l'un chrétien et l'autre païen. Ce dernier présente ses raisons en faveur du paganisme, et ses arguments contre le christianisme. Le chrétien répond. Il admet d'abord le fait que les chrétiens n'avaient que du mépris pour les dieux des païens :
"Premièrement, vous les fabriquez, puis vous les nettoyez, vous les frottez et les défendez vous-mêmes, pour ensuite les craindre et les adorer. Si nous passons en revue tous vos rites, les uns ne peuvent qu'exciter le rire, les autres inspirer la pitié".D'un autre côté, voici comment il parle du Dieu des chrétiens : "Lorsque vous élevez les yeux vers les cieux, et que vous contemplez les œuvres de la création qui vous entourent, comment n'y pas voir clairement et avec évidence l'existence d'un Dieu infiniment intelligent qui anime, fait mouvoir, soutient et gouverne toute la nature ?" Puis il parle du soleil et de la lune, de la lumière et des ténèbres, et de l'ordre admirable des saisons ; des sources et des fleuves qui coulent vers l'océan. Il passe ensuite en revue le monde des animaux, et enfin il arrive à l'homme et à sa merveilleuse structure. "Tout, dit-il, proclame un divin Auteur, et cet Auteur de toutes choses n'est d'autre que le Dieu des chrétiens."
Auteur inconnu

samedi 21 avril 2012

Napoléon 1er et la Bible.


Se serait-on douté que la Bible fut le livre de prédilection de Napoléon 1er (1769-1821) pendant sa captivité à l'île d'Elbe ? On vient de retrouver l'exemplaire du Saint Livre qu'il avait alors entre les mains. C'est une Bible d'une édition très ordinaire, ornée de grossières gravures de bois ; sur le dos est grave un N surmonte de la couronne impériale.
D'après le correspondant de L'Echo de Paris, cette Bible aurait été trouvée dans le sanctuaire de la Madona del Monte qui domine l'île d'Elbe et près duquel Napoléon séjourna dix-sept jours.
L'empereur y a souligné maints passages qui traduisent son état d'âme pendant les premiers jours de son exil. En voici quelques-uns dont nous donnons la traduction française (la Bible en question est en italien) :
« Mon âme est saisie de tristesse, veillez avec moi. - je frapperai le berger, et les brebis du troupeau seront dispersées. - Chargez-vous de mon joug et apprenez de moi, car je suis doux et humble de cœur. - Si Dieu est avec nous, qui sera contre nous ? »

vendredi 20 avril 2012

Dieu est patient

Il donne à la plupart des gens une longue vie. Mais tôt ou tard, la mort nous rattrape. William Hendricksen l’a très bien dit : « Dieu est patient. Mais sa patience ne dure pas à jamais. Un jour – et seul Dieu sait quand ce jour arrivera pour toi – l’occasion d’être sauvé(e) te sera enlevée. La personne qui remet tout au lendemain, mourra dans ses péchés et sera perdue à jamais ».
(William Hendricksen, New Testament Commentary. Gospel of Luke, Baker Book House, 1978, page 696)
Source : http://cms.unpoissondansle.net/?p=626