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mardi 30 juin 2009

Jésus selon un astronaute

Charles Duke (né en 1935) Astronaute américain d'Apollo XVI. L'un des 12 hommes qui ont marché sur la lune.
"Marcher sur la lune fut pour moi une expérience extraordinaire. Mais marcher avec Jésus-Christ, Fils de Dieu, voilà ce qui remplit vraiment ma vie. Maintenant et pour l'éternité."

lundi 29 juin 2009

Un monde sans amour et sans Dieu

Nikolaus LENAU (1802-1850)
Poète autrichien.


"Sans amour et sans Dieu, ah ! que cette route est horrible ! Dans les ruelles souffle un vent glacé... Le monde entier n'est que tristesse et désespoir."

dimanche 28 juin 2009

Les chariots de feu


Les chariots de feu - Hugh Hudson
1924, deux athlètes britanniques triomphent aux Jeux Olympiques de Paris. Outre l’exploit sportif, une fine analyse des raisons profondes qui les ont conduits là. Harold Abrahams est juif et court pour combattre l’adversité qu’il a vécue à l’université de Cambridge. Eric Liddell est écossais, fils d’un missionnaire en Chine, court pour la gloire de Dieu.

Vous connaissez ce très beau film de Hugh Hudson sur l'athlétisme ?

Eric Liddell, alors qu’il vient une nouvelle fois d'emporter une course, déclara ces paroles étonnantes. Deux choses essentielles : D'abord, que les hommes ne peuvent vivre sans courir, et ensuite, qu’une seule course vaut vraiment la peine d’être courue sur cette terre. Oui, tout le monde court.
Nous passons notre vie à courir après l’estime de leurs semblables pour certains, le bonheur, la gloire, l’amour ou la fortune pour d’autres. Harold Abrahams courait pour la gloire.

Mais cette course que nous courons vaut-elle vraiment la peine d’être courue ? En cas de victoire, que remporterons-nous ? Et pour quels buts ?
Une course veut la peine d’être couru, a dit Liddell : C’est la course de la foi. Dieu nous a créé pour un but : c’est qu’un jour nous choisissons enfin la bonne course. Celle qui mène à Dieu.
Personne ne peut nous y inscrire de force. Tous pourtant, nous pouvons faire partie aujourd’hui des sélectionnés. Il suffit pour cela de commencer à concentrer notre attention sur Jésus et ce qu’il a fait pour nous.
Si nous commençons cette course, alors Jésus nous aidera à la finir, chacun courant à son rythme et à sa manière « dans son couloir ».
Mais cette course exige de notre part une chose ; ne plus regarder en arrière et abandonner totalement nos vies à Dieu.
La récompense pour les vainqueurs ? Dieu Lui-même et le vrai bonheur sans limite en tout temps. Le champion Eric Liddell a dit : « Dieu, notre créateur, n’est pas un rabat-joie. C’est un Dieu d’amour, au contraire, qui ne désire qu’une chose : notre plein épanouissement, la seule source de toute joie véritable »C’est pourquoi il nous invite à le rechercher dès maintenant, avec cette assurance que, si nous cherchons réellement, nous le trouverons. Cette course mène à Dieu et, par conséquence, à la vie éternelle.
Article écrit par Samuel, un membre du Groupe Biblique Universitaire d'Orléans.

samedi 27 juin 2009

Quelques pensées sur l'Evangile (2)


« Christ m’a envoyée pour prêcher l’Evangile, et c’est Lui qui s’occupe du résultat».
Mary Slessor

" Des millions de gens n’ont jamais entendu parler de Jésus. Des centaines de millions de gens n’ont vu un missionnaire qu’une seule fois dans leur vie et ne connaissent rien de notre Seigneur. Devons-nous les laisser périr? Pouvons-nous nous mettre au lit et dormir, pendant que la Chine, l’Inde, le Japon et d’autres nations sont perdues? Sommes-nous lavés de leur sang? N’ont-ils aucune plainte à formuler contre nous?
Nous devrions tourner le problème et nous demander non pas: « Puis-je prouver que je dois y aller?»
Mais: «Puis-je prouver que je ne dois pas y aller?» "
Charles H. Spurgeon

vendredi 26 juin 2009

Méditer … selon la Bible.


« Fais-moi comprendre la voie de tes préceptes, et je méditerais sur tes merveilles. » Psaume 119, 27.
« Mes yeux ont devancé les veilles de la nuit pour méditer ta Parole. » Psaume 119,48. 
 Le verbe « méditer » signifie « soumettre à une longue et profonde réflexion » (Le Petit Robert). Il s’agit de penser avec attention, de se concentrer pour y réfléchir. Aussi le croyant est-il invité à méditer le texte de la Bible afin de s’en laisser pénétrer et ainsi d’en retirer un profit réel pour sa vie de chaque jour. Le terme de méditation est employé par ceux qui s’adonnent aux religions orientales et à des pratiques telles que le yoga. 
Il s’agit, par exemple, de répéter un mot en le prononçant des lèvres, ou de fixer sa pensée ou son regard avec intensité. L’objectif serait de faire le vide en soi avec tous les dangers qui en découlent : rester avec soi, avec son vide. Ce n’est pas cela la méditation chrétienne. Celle-ci est une véritable réflexion libre qui engage toute notre intelligence éclairée par l’Esprit de Dieu. 
C’est une méditation spirituelle dans laquelle notre esprit est en relation avec Dieu par sa Parole. Nous sommes alors à l’écoute de Dieu. Cette parole vivante, reçue par la foi, (la confiance en Dieu) nous tourne vers le Seigneur et nous amène à rejeter le mal et à faire le bien. Elle nous conduit à l’adoration de Dieu, du vrai Dieu, non pas du Dieu de notre imagination. 
Une telle méditation ne nous tourne pas exclusivement vers nous-mêmes, elle dirige nos regards, nos pensées, vers Jésus-Christ qui nous apporte « la grâce et la vérité » (Jean 1,17). C’est une libération et une ouverture vers la vie nouvelle avec Lui. 
 Texte issu du calendrier « La Bonne Semence 2007 »

jeudi 25 juin 2009

D’où vient le mal ?


Un pasteur a écrit : "La Bible nous apprend ce qu’est le mal. Elle le caractérise, le constate, le dénonce, dans toute sa laideur, et cela afin de nous amener à l’avoir en horreur.
C’est pourquoi l’histoire qu’elle retrace de l’humanité est si sombre et si triste. Dieu a voulu pour notre bien que nous puissions prendre connaissance de toute la misère dans laquelle nous sommes tombés ; et les récits des horreurs que les hommes ont commises devraient nous ouvrir les yeux. Les pages qui contiennent ces récits frappent comme une massue sur la tête de ce colosse qui s’appelle l’orgueil humain.
La Bible nous montre d’abord le mal à son origine, dans un être mystérieux, Satan. Puis elle nous dit que le Mal est un principe introduit dans l’homme par la désobéissance initiale à Dieu, principe qui se transmet de père en fils, parce que, depuis Adam, il fait pour ainsi dire partie de notre patrimoine génétique.
La Bible appelle "le péché" ce principe de mal, et les actes qu’il produit sont "les péchés", mais elle ne confond jamais le principe et les actes. Que les actes mauvais procèdent de ce mauvais principe, Jésus le déclare : "Du cœur viennent mauvaises pensées, meurtres, adultères, fornications, vols, faux témoignages, injures" (Matthieu 15.19). Et il confirme qu’on reconnaît l’arbre à ses fruits (Matthieu 7.17, 18)."
Quel est ton avis sur cette explication ?

mercredi 24 juin 2009

Anecdotes sur la fidélité de Dieu


Au cours d’un moment particulièrement éprouvant de son travail à la mission intérieure de Chine, Hudson Taylor écrivit à sa femme : “Il nous reste vingt-cinq cents – et toutes les promesses de Dieu ! »
Source : W. Wiersbe, Wycliffe Handbook of Preaching & Preachers, p. 242.

mardi 23 juin 2009

Un gouffre immense

" Plus clairement nous voyons le gouffre infini entre la gloire de Dieu et notre péché; plus grande sera notre appréciation de sa grâce et de son amour, déversés pour combler ce gouffre afin de nous racheter."
Dave Hunt

lundi 22 juin 2009

La pensée d'Origène


Toute science vient de Dieu.
Origène, un chrétien ayant vécu au 2ème Siècle de notre ère.

dimanche 21 juin 2009

Renaître et vivre

« Christ est ressuscité, il est vraiment ressuscité ». (Luc 24,34). A la lecture de la Bible, nous nous rendons compte que dés le début, l'idée même de la résurrection de Jésus a été mal acceptée. Les disciples eux-mêmes n’arrivaient pas à y croire ! Quand Jésus s'est montré bien vivant à un Thomas sceptique, il lui a reproché : « Ne sois pas un incrédule, mais crois. »
Le seul moyen d’accéder à la joie profonde de Pâques, c'est la foi. C'est quand je laisse tomber toutes mes incompréhensions, mes réticences, mes limites toutes humaines pour m'abandonner à Dieu dans la foi, que je peux recevoir la vie nouvelle en Jésus-Christ. Je comprends alors, que la victoire du Christ sur la mort est la garantie du pardon de mes péchés, et que ce n'est pas la folie qui a le dernier mot, mais l'amour de Dieu. Je comprends aussi la réalité de la vie nouvelle et éternelle qui s'ouvre à moi. 
Dés aujourd'hui, parce que Christ est vivant, une résurrection spirituelle peut s'opérer en vous et chasser de votre cœur tout désespoir, toute crainte, toute tristesse. Renaître, vivre, c'est possible. Nombre d'hommes et de femmes ont déjà expérimenté ce renouveau parce que Christ est ressuscité, qu'il est vraiment ressuscité. 

Auteur inconnu

samedi 20 juin 2009

L'homme qui sauva son ennemi de la mort !

Peter Miller était un pasteur baptiste américain durant la Révolution américaine (18éme Siècle) et il prêchait la Parole de Dieu dans son église à Éphrata en Pennsylvanie.
Un homme vint l'écouter plusieurs fois quand il parlait, mais cette homme, à force d'écouter se mit à détester le pasteur. Il s'appelait Michael Wittman et dans le village on l'appela "l'ennemi de Miller".

Peu après cela, le pays dans lequel ils vivaient entra en guerre et cette homme fut enrôlé par l'armée, mais il fut un mauvais soldat il fut même un traitre et il fut condamné à mort!

Lorsque le pasteur Miller apprit cela, il quitta aussitôt son village pour rejoindre le Général Washington,son ami, et lui demander la grâce de l'homme qui le détestait.
Peter Miller voyagea 70 miles à pied jusqu’à Philadelphie pour plaider la vie du traître.
Arrivé au lieu voulu, il parvint à parler au général, celui-ci lui répondit:
- "Non, Peter," répondit le Général Washington. "Je ne peux t’accorder la vie de ton ami. C'est impossible, votre ami est un grand coupable."
- Mais c'est n'est pas mon ami, dit le pasteur, je n'ai pas de plus grand ennemi que lui !

Le Général Washington regarda le pasteur et vit que ses chaussures étaient couvertes de poussière.
- Quoi! dit-il, tu as parcouru une si longue distance pour sauver la vie de votre ennemi ?!
Il réfléchit un instant.
" Alors... je t'accorde sa grâce... mais dépêchez-vous !Tu dois porter cette lettre signée de ma main à l'endroit où ton ennemi va être exécuté avant que la sentence ne soit effectué !

Peter Miller partit très vite en espérant arriver à temps, il courut le plus qu'il le put et, quand il arriva enfin, il était épuisé de fatigue ! Très ému, il tendit le papier de la grâce à son ennemi.

L'homme fut très étonné de ce que le pasteur avait fait pour lui, de l'amour qu'il a montré, pour lui... son ennemi...

Cela ne vous rappelle pas une autre histoire? Celle de Jésus... Il n'avait rien fait de mal, pourtant il a été cloué sur un croix ! Pourquoi ? Pour porter tout le mal que nous avons fait. En mourant sur la croix, cela signifiait: "je te pardonne, parce que je t'aime."

Peter Miller a suivi cette exemple, il a pardonné à son pire ennemi, sans chercher à savoir pourquoi est-ce-que celui-ci le détestait ! Il a fait même mieux que ça... Il s'est démené pour que son ennemi est la vie sauve! C'est un bon exemple que celui de Jésus pour notre vie, non ?

vendredi 19 juin 2009

Si Dieu ne s’était jamais fait chair, alors ...


Si Dieu ne s’était jamais fait chair, il ne pourrait ni nous racheter, ni nous révéler sa promesse de la vie éternelle. Ce n’est qu’en devenant comme nous que Dieu peut nous rendre comme lui, en restaurant en nous son image.
Irénée, in 444 Surprising Quotes about Jesus (Bethany House, 2006)

jeudi 18 juin 2009

Nous devons prêcher la Parole de Dieu


" Nous devons prêcher la Parole de Dieu et pas notre propre parole. Prêcher notre propre parole, c'est comme effectuer un détournement spirituel, une réappropriation de la direction divine pour tirer les choses dans notre direction et pour nos objectifs personnels."
Auteur inconnu

mercredi 17 juin 2009

Le Christianisme, c’est bien, mais ... (partie 1)


Le Christianisme, c’est bien, mais… je suis déjà quelqu’un de bien : pourquoi aurais-je besoin d’un sauveur ?

Le message du Christianisme peut se résumer en une toute petite phrase : « Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver des pécheurs ». Imaginez la scène suivante : vous vous promenez dans Paris, sur les quais, le long de la Seine. Au moment de passer sous le Pont Neuf, un individu vous jette une bouée de sauvetage en vous criant : « Attrape la bouée de sauvetage pour être sauvé de la noyade ». Qu’est-ce que vous feriez dans ce cas là ? 
Moi, je me dirais que cette personne est complètement tarée : je ne risque pas de me noyer en ayant mes deux pieds sur la terre ferme, et je n’ai certainement pas besoin d’une bouée de sauvetage. Maintenant, imaginez que quelqu’un vous pousse dans la Seine alors que vous ne savez pas très bien nager. Vous commencez à vous affoler, à vous débattre. Vous êtes emporté par le courant, vous buvez la tasse. Et là, au moment de passer sous le Pont Neuf, un individu vous jette une bouée de sauvetage en vous criant : « Attrape la bouée de sauvetage pour être sauvé de la noyade ». Qu’est-ce que vous feriez dans ce cas là ? Vous attraperiez la bouée de sauvetage, et une fois les pieds sur la terre ferme, vous remercieriez votre sauveur. C’est un peu pareil avec le Christianisme. 
Si on se dit qu’on est déjà quelqu’un de bien, alors le fait que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver des pécheurs ne semblera pas s’appliquer à nous. Mais si on sait qu’on n’est pas quelqu’un d’assez bon, alors le message du christianisme nous semblera tout d’un coup beaucoup plus pertinent. Et ce que nous dit la Bible, c’est que même si on est déjà quelqu’un de bien, on a quand même besoin d’un Sauveur. Et j’aimerais vous le montrer à partir d’un épisode tiré de la vie de Jésus qu’on trouve dans l’Evangile de Jésus-Christ rapporté par Saint-Luc au chapitre 18, verset 18 à 27. C’est l’histoire de quelqu’un de bien sous tout rapport. Il n’a jamais trompé sa femme, il n’a tué personne, il n’a jamais rien volé, il n’a jamais menti contre son prochain pour lui faire du mal, il respecte ses parents, bref, c’est déjà quelqu’un de bien. Et pourtant, Jésus va lui montrer que même s’il est déjà quelqu’un de bien, il n’est pas assez bon et qu’il a quand même besoin d’un sauveur. 
Voici ce que nous dit la Parole de Dieu dans ce passage : ‘Un chef interrogea Jésus et dit : « Bon maître, que dois-je faire pour hériter de la vie éternelle ? ». Jésus lui répondit : « Pourquoi m’appelles-tu bon ? Personne n’est bon, si ce n’est Dieu seul. Tu connais les commandements : Tu ne commettras pas d’adultère ; tu ne commettras pas de meurtre ; tu ne commettras pas de vol; tu ne porteras pas de faux témoignage ; honore ton père et ta mère ». « J’ai respecté tous ces commandements dès ma jeunesse », dit-il. Après avoir entendu cela, Jésus lui dit : « Il te manque encore une chose : vends tout ce que tu as, distribue-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi ». Lorsqu’il entendit ces paroles, l’homme devint tout triste, car il était très riche. Voyant qu’il était devenu tout triste, Jésus dit : « Qu’il est difficile à ceux qui ont des richesses d’entrer dans le royaume de Dieu ! 
En effet, il est plus facile à un chameau de passer par un trou d’aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu ». Ceux qui l’écoutaient dirent : «Qui donc peut être sauvé ? » Jésus répondit : « Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu ».’ J’aimerais vous montrer trois choses dans ce texte. Premièrement, ce dont les gens bien ne veulent pas : un sauveur. Deuxièmement, ce dont les gens bien ont quand même besoin : un sauveur. Et troisièmement, ce que Dieu donne même aux gens bien : un sauveur. http://www.chaunyps.fr/15072008/le-christianisme-c%e2%80%99est-bien-mais%e2%80%a6-je-suis-deja-quelqu%e2%80%99un-de-bien-pourquoi-aurais-je-besoin-d%e2%80%99un-sauveur-lc-1818-27/#more-385

mardi 16 juin 2009

Heureux celui qui ...


Nul n’est heureux comme un vrai chrétien.
Blaise Pascal

lundi 15 juin 2009

Hommage involontaire




Un jeune incrédule attaquait le christianisme à cause de la mauvaise conduite de certains chrétiens.
Un chrétien qui se trouvait là l'interrompit par une question imprévue :
- Vous êtes-vous jamais étonné qu'un incroyant se conduise mal ?
Le jeune homme avoua n'y avoir jamais pensé.
- Vous le voyez donc, vous reconnaissez que le christianisme se propose de régénérer les hommes, puisque vous vous attendez à trouver les chrétiens meilleurs que les autres.Sans le vouloir, vous faites au christianisme le meilleur compliment. Le jeune homme eut la bouche fermée.
Exiger des chrétiens une conduite supérieure à celle de ceux qui ne le sont pas, c'est reconnaître toute la valeur de l'enseignement de Christ.
" Soyez donc parfaits comme votre Père Céleste est parfait "
(Evangile de Matthieu chapître 5 verset 48)
" Conduisez-vous d'une manière digne de l'Evangile de Christ "
(Epître aux Philippiens chapître 1 verset 27)
Extrait du livre d'André THOMAS-BRES "Anecdotes qui font réfléchir" (Editions J.V.B.)

dimanche 14 juin 2009

Deux choix



Aujourd'hui, Dieu donne à chacun d'entre nous un choix quand nous faisons face aux défis de la vie . Nous pouvons délibérément choisir de suivre et de nous reposer dans Sa vérité et ses promesse ou nous pouvons choisir d'abandonner nos pensées pour l'inquiétude inutile et le stress en résultant qui apporte l'inquiétude. Josué 24:15 
Katherine Walden 

Today, God gives each of us a choice as we face life's challenges. We can deliberately choose to follow him and rest in His truth and promises or we can choose to surrender our minds to pointless worry and the resulting stress that worry brings. Joshua 24:15 
Katherine Walden

samedi 13 juin 2009

"Qui a fait Dieu ? "

Un jour, le journaliste Ludovic Kennedy faisait une interview du pasteur américain Billy Graham pour la BBC. Il lui posa cette question : "Qui a fait Dieu ?" Sa réponse fut simple : "Personne".
Il est auto crée, Dieu tire de lui-même son existence.
Auteur inconnu

vendredi 12 juin 2009

La communion avec Dieu (Philippiens 3.7-10)

Dieu a créé la race humaine pour qu’elle soit en relation avec lui. Il désirait que nous jouissions du même genre de communion avec lui qu’Adam et Ève. Quand le péché est apparu, tout a changé. La relation intime que Dieu souhaitait entretenir avec les humains a été rompue, et cette rupture nous a été transmise de génération en génération. 

Nous savons pourtant que l’histoire ne s’arrête pas là. Jésus est venu mourir à notre place, nous accorder le pardon des péchés et restaurer notre relation avec le Père. Dieu adopte comme enfants tous ceux qui ont mis leur foi en Christ; ils lui appartiennent pour toujours.
Il arrive cependant que le zèle de certains se refroidisse; la lecture de la Bible et la fréquentation habituelle d’une Église ne font pas partie de leurs activités régulières. D'autres essaient de se concentrer sur le Seigneur, mais permettent aux choses de la terre de les distraire. Avec le temps, ils choisissent le connu et le confort. Malheureusement, ils n’éprouvent pas le contentement paisible que Dieu veut leur accorder. Cependant, ceux qui font 

jeudi 11 juin 2009

La croisiére (partie 2)


Oui, en enfer il n’entendrait plus les chants de grâce de ces chrétiens, mais il y aurait un autre concert : les imprécations et les clameurs de damnés ! Voir les humains aller en enfer ce n’est pas le plan, ni la volonté de Dieu, qui au contraire veut que toutes Ses Créatures soient sauvées et viennent à la connaissance de la vérité. L’enfer, quant à lui, a été préparé pour le diable et ses anges, ainsi que pour tous ceux qui se seront identifiés à lui, en refusant le merveilleux salut par Jésus-Christ, formeront la triste cohorte des maudits pour l’éternité. Mais, pour ceux qui auront accepté Jésus comme leur Sauveur, ce sera le ciel avec des chants de louanges et de reconnaissances. Toi, quel concert préfères-tu entendre durant l’éternité ?
Choisis bien, car l’éternité c’est long ! Très long !
Source : Trésor Quotidien 2001

mercredi 10 juin 2009

Etre riche

Dans les années 1970, un pasteur connu et sa femme rendirent visite à des amis en Jamaïque. Ils furent invités dans la maison d’un américain qui était l’un des hommes les plus riches du monde. Il avait 77 ans. Il dit à ce pasteur : « Je suis très malheureux, je suis misérable ». Il avait tout ce que l’argent peut donner à un homme pour le rendre heureux. Mais il était pauvre. Une heure plus tard, ils rencontrèrent le pasteur d’une toute petite église. Lui aussi avait plus de 70 ans mais il était en train de danser. Il avait un sourire radieux. Il déclara : « Je n’ai pas plus de deux sous en poches mais je suis l’homme le plus heureux du monde. » Être riche spirituellement et matériellement sont deux choses différentes.
Auteur inconnu

mardi 9 juin 2009

"La vie a-t-elle un sens ?" par Jonathan Chaintrier (partie 1)


Prédication donnée le 31/03/2008 à Paris Ecclésiaste 3 (La Bible du Semeur) 
Un temps pour toute chose 
1 Il y a un temps pour tout et un moment pour toute chose sous le soleil. 
2 Il y a un temps pour naître et un temps pour mourir, un temps pour planter, et un temps pour arracher le plant, 
3 un temps pour tuer et un temps pour soigner les blessures, un temps pour démolir et un temps pour construire. 
4 Il y a aussi un temps pour pleurer et un temps pour rire, un temps pour se lamenter et un temps pour danser, 
5 un temps pour jeter des pierres et un temps pour en ramasser, un temps pour embrasser et un temps pour s'en abstenir. 
6 Il y a un temps pour chercher et un temps pour perdre, un temps pour conserver et un temps pour jeter, 7 un temps pour déchirer et un temps pour recoudre, un temps pour garder le silence et un temps pour parler, 8 un temps pour aimer et un temps pour haïr, un temps pour la guerre et un temps pour la paix. 
L'œuvre de Dieu est parfaite 
9 Quel avantage celui qui travaille retire-t-il de la peine qu'il se donne? 
10 J'ai considéré les différentes occupations auxquelles Dieu impose aux hommes de s'appliquer. 
11 Dieu fait toute chose belle en son temps. Il a implanté au tréfonds de l'être humain le sens de l'éternité. Et pourtant, l'homme est incapable de saisir l'œuvre que Dieu accomplit du commencement à la fin. 
12 Aussi ai-je conclu qu'il n'y a rien d'autre qui soit bon pour lui que jouir du bonheur et se donner du bon temps durant sa vie. 13 Car, si quelqu'un peut manger et boire et jouir du bonheur au milieu de son dur labeur, c'est un don de Dieu. 
14 Je sais que tout ce que Dieu fait demeurera toujours: il n'y a rien à y ajouter, et rien à en retrancher. Et Dieu l'a fait ainsi pour qu'on le révère. 
15 Ce qui est aujourd'hui, a déjà été dans le passé, et ce qui sera dans l'avenir a déjà été, et Dieu fait revenir ce qui a disparu. Le mal sur la terre 
16 J'ai encore constaté autre chose sous le soleil: à la place du droit, il y a la méchanceté, et à la place de la justice, il y a la méchanceté. 
17 Je me suis dit en moi-même: «Dieu jugera le juste et l'injuste, car pour chaque chose et pour chaque acte, il y a un temps pour le jugement.» 
18 Je me suis dit en moi-même que Dieu éprouve les hommes afin de leur montrer qu'ils ne valent guère mieux que les bêtes. 
19 Car, après tout, le sort des humains est identique à celui des bêtes. Ils meurent les uns comme les autres. Un même souffle les anime tous. L'homme n'a aucun avantage sur l'animal, car tout passe. 
20 Tout va vers une même destination: tout a été tiré de la poussière et tout retourne à l'état de poussière[a]. 
21 Qui peut dire ce qu'est l'esprit de l'homme, celui qui se dirige vers le haut et ce qu'est le souffle de la bête, celui qui descend en dessous de la terre[b]? 
22 J'ai compris qu'il n'y a pour l'homme rien de bon sinon de jouir de ses œuvres, car telle est la part qui lui revient. En effet, qui donc le fera revenir pour qu'il voie ce qui sera après lui? 

Notes Ecclésiaste 3:20 Voir Genèse 3.19. 
Ecclésiaste 3:21 Autre traduction: qui sait si l'esprit de l'homme monte vers en haut et si le souffle de la bête descend en dessous de la terre? Ces mots souffle et esprit traduisent le même terme hébraïque.

lundi 8 juin 2009

Une couverture du Time : " Dieu est-il mort "




Time magazine a publié un article 8 Avril 1966 sous le titre "Is God Dead?" (« Dieu est-il mort ? »). Cette article provoqua de nombreuses lettres de protestations.
Dans cette article, des théologiens de différentes religions s'exprimèrent sur cette question.
Pour vous, ce titre est-il vrai ou mensonger ? Vos avis nous intéresse.
“Dieu est mort” (Nietzsche).
“Nietzsche est mort” (Dieu).

dimanche 7 juin 2009

Citations sur la volonté de Dieu (3)

Dans son livre "L'avenue de la louange", Don Gosset dit : "Vous ne serez jamais tout à fait heureux tant que vous ne serez pas au centre de la volonté de Dieu. La volonté de Dieu est bonne et douce. C'est son plan pour votre vie. Dieu veut toujours le meilleur pour vous et ce qui contribuera à votre plus grand bonheur".

samedi 6 juin 2009

Le concept dynamique du pardon



Le pardon est un concept dynamique qui produit un changement radical. Il refuse le déterminisme fataliste qui fige les situations. Il reconnait la réalité du mal,de l'erreur et de l'injustice, mais il s'efforce d'adopter en face de l'erreur une attitude génératrice de solutions nouvelles. En particulier, le pardon s'approche du mal et de l'erreur, non en proposant une paix à n'importe quel prix, ni avec l'intention de détruire radicalement le malfaiteur, mais avec la volonté de reconstruire le futur à la lumière de l'erreur, d'une manière aussi créative que possible. 
David Atkinson, Peace in our time

vendredi 5 juin 2009

Rêve inspiré


Votre rêve doit venir de Dieu, et de Dieu seul. Il existe une grande différence entre les objectifs personnels que vous souhaitez définir pour votre vie et la vision que Dieu peut vous avoir accordée. Lorsque votre rêve vient de Dieu, il s'accomplira. Vous n'avez pas à vous faire de souci, vous n'avez pas à orchestrer les évènements; Dieu fournira les ressources nécessaires et les portes s'ouvriront au bon moment. Vos pas seront dirigés par Lui. 
Bob Gass

jeudi 4 juin 2009

Nouvelle relation


Avant d'avoir une nouvelle relation avec Dieu, il faut avoir une nouvelle relation avec le péché. 
Paul Washer

mercredi 3 juin 2009

Jésus a-t-il vraiment existé ? (partie 3)


Le témoignage des historiens romains.
Comme les écrits de Pausanias et d'Appien, parmi les historiens grecs, ainsi que ceux de Tite-Live, Paterculus, Valère-Maxime, Justin et Florus, parmi les historiens latins, embrassent une période antérieure à celle du règne de Tibère, il n'est pas étonnant qu'ils n'aient pas parlé du christianisme. Mais Tacite qui n'appréciait guère le christianisme, raconte les persécutions cruelles que Néron infligeait aux chrétiens. On le range parmi les premiers historiens profanes de l'antiquité pour ce qui est de l'exactitude et de la justesse du jugement. Il naquit vers l'an 54 de notre ère. Dans le livre 15 des Annales, il raconte comment un bruit courut qui accusait Néron de l'incendie de Rome; puis il écrit au paragraphe 44 ce qui suit:
" Pour étouffer cette rumeur, Néron fournit des accusés et infligea les supplices les plus raffinés à des gens haïs pour leurs abominations, auxquels la foule donnait le nom de chrétiens. Tacite ajoutait cette précision: "Ce nom [chrétiens] leur vient de Christ, qui, sous Tibère, fut livré au supplice par le procurateur Pontius Pilatus. Réprimée sur le moment, cette exécrable superstition perçait de nouveau, non seulement dans la Judée, berceau du mal, mais à Rome même. "On ajouta des moqueries de toutes sortes à leurs supplices: c'est ainsi que, couverts de peaux de bêtes, Ils mouraient déchirés par des chiens, ou bien on les clouait à des croix, ou encore ils étaient voués au feu, et brûlaient pour servir de lumière nocturne quand s'éteignait la lumière du jour". Mais ils ne cédaient pas! (Annales, livre XV, paragraphe 44.)

Il suffisait d'offrir de l'encens à l'empereur pour échapper à ces traitements cruels. Mais les premiers chrétiens ne faisaient pas de compromis.

mardi 2 juin 2009

La double dimension de la prière


Un pasteur a dit «
Quand nous nous mettons à prier, nous avons l’impression que nous prenons l’initiative. Mais la prière est toujours une initiative de Dieu en nous. »

lundi 1 juin 2009

Le pardon et l'amour d'un père


On raconte cette histoire en Espagne, d'un père et de son fils adolescent qui avaient des rapports tendus. Un jour le fils se sauva de la maison. Cependant, le père parti à la recherche de son fils rebelle. Finalement à Madrid, dans un dernier effort désespéré pour le retrouver, le père fit paraître une annonce dans le journal. L'annonce disait : "Cher Paco, retrouve-moi devant le bureau du journal à midi. Tout est pardonné. Je t'aime. Ton père."
Le lendemain, à midi, devant le bureau du journal, il y avait 800 "Paco" qui se sont présentés. Chacun d'eux avait cru que c'était leur père qui leur avait écrit, et ils étaient venus chercher le pardon et l'amour de leur père.

ANNUAIRECHRETIEN.COM