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vendredi 31 juillet 2009

Pas Lui, Seigneur

1892-1983
Evangéliste et écrivaine chrétienne
Corrie ten Boom était l’une des rares femmes qui ont survécu à la torture et humiliation de Ravensbruck … un camp de prisonniers, Nazi.
La foi de Corrie en Christ était restée forte, même au moment de dégradation lorsque elle et les autres femmes étaient présentées toutes nues devant , des hommes cruels, gardes de prison.
La guerre est maintenant terminée et Corrie s’était consacrée pour parler de l’amour de Christ et son pardon dans les églises.
Un jour, en 1947, au cours d’un service à l’église de Munich, Corrie était stupéfait de voir l’homme du SS qui était son ancien garde de prison lorsque elle et les autres femmes étaient ligotées sous la pluie comme un bétail.
Corrie rappelle cet incident dans son livre, The hiding Place :
“Il m’aborda…» Que je suis reconnaissant à votre message de penser que… tel que tu l’as dis il a lavé tous mes péchés !
Sa main s’était étendue pour serrer la mienne. Et moi qui avait souvent prêché … la nécessité de pardonner, retins ma main à côté. Aussi comme la nerveuse pensée vindicative bouillonnait en moi, je revis leurs péchés.
Jésus Christ est mort pour cet homme, vais-je demander plus que cela ? «Seigneur Jésus» ai-je prié, pardonne- moi et aide moi à lui pardonner.
J’essayais de sourire, je m’efforçais à avancer ma main. Je ne le pus. Je ne sentais rien pas même la moindre chaleur d’amour. Alors j’expirai une prière silencieuse : «Jésus je ne peux pas pardonner cet homme ; donne-moi ta force de pardon»
Comme je prenais sa main, une chose étrange se passa. De mon épaule tout au long de mon bras jusque dans ma main, un courant semble passé de moi en lui, pendant que dans mon cœur s’explose un amour à cet étranger qui m’avait pratiquement traumatisé»
Et ainsi je découvris que ce n’est pas sur notre pardon non plus sur notre bonté que s’accroche la délivrance du monde mais au contraire sur les siens.
«Lorsqu’il nous dit d’aimer nos ennemis, il nous donne en même temps avec le commandement, l’amour lui-même”.


(The Hiding Place, Fleming H. Revell Co.)

jeudi 30 juillet 2009

Une question de temps

"Nous avons tout l'éternité pour célébrer nos victoires, mais seulement une courte heure pour les gagner."
Jack Hanes

mercredi 29 juillet 2009

Avec nous dans la peine !


"L'affliction montre la puissance du sang de Christ, quand il donne la paix dans une heure de peine, quand il peut rendre heureux dans la maladie, la pauvreté, la persécution et la mort. Ne soyez pas surpris si vous souffrez, mais glorifiez Dieu." 
Robert Murray McCheyne

mardi 28 juillet 2009

Spectateurs ou acteurs ?


Un pasteur a écrit : « L'adoration n'est pas un sport de spectateurs. Elle engage la célébration active de Dieu de la part des participants. Nous voyons dans l'expérience d'Ésaïe, qu'il était un participant actif et non un spectateur passif dans la rencontre qu'il avait avec Dieu. Dans l'adoration l'auditoire c'est Dieu, les gens sont les acteurs et le conducteur de louange est le souffleur. Dans la louange, il n'y pas de place pour les observateurs vautrés dans leur fauteuil; pas de place pour les milliers de spectateurs assis dans les gradins en regardant "la partie" - chacun est sensé être sur le terrain. »


lundi 27 juillet 2009

Une création qui défie toute logique.

Un homme de science demanda un jour à un vieux prédicateur pourquoi la version biblique de la création défiait tout sens de la logique.

Avec un sourire narquois, le vieil homme répondit : “Si Dieu est arrivé  de nulle part, c’est qu’il n’existait rien encore d’où Il eût pu venir. Et venant de nulle part, Il s’est tenu debout sur rien du tout,puisque rien n’existait où Il eût pu poser les pieds. Et là,debout sur rien, Il tendit la main et attrapa quelque chose, là où il n’y avait rien à attraper vu que rien n’existait encore. Puis Il accrocha ce quelque chose au néant et lui intima l’ordre de rester en place et personne n’osa contredire Dieu, vu qu’il n’y avait encore personne dans le néant pour le contredire. C’est alors que Dieu sourit et se  dit : “C’est très bien ainsi !

dimanche 26 juillet 2009

Quelques pensées sur l'Evangile (3)



«Ne laissez personne vous tromper en vous laissant croire que les enfants sont trop jeunes pour pouvoir suivre Jésus». 

«La bonne nouvelle ne tombe pas du ciel comme la pluie tombe des nuages, mais elle est portée par les mains des hommes et des femmes à qui Dieu l’a envoyée». Jean Calvin

samedi 25 juillet 2009

Dwight L. Moody, prédicateur évangéliste (1837-1899)


1. Introduction


Un jour, plusieurs églises organisent une rencontre pour parler de Dieu avec l’évangéliste D. L. Moody.
Au même moment, un groupe de 5,000 personnes s’était organiser pour venir à la rencontre des églises et contredire le prédicateur.

Moody a prêché un message sur l’importance de construire notre vie sur le rocher de Dieu.
Il a partagé plusieurs expérience de sa vie qui démontrait que Dieu était vivant.
Il a affirmé que Dieu était la fondation la plus fiable.

Plusieurs personnes étaient touchées.
D. L. Moody a confronté ses auditeurs sur leur vie, leur foyer, leur coeur.
C’est alors que M. Moody a demandé à ceux qui voulait entendre parler de Jésus Christ de rester sur place et il a invité les autres à sortir.

Mais personne n’est sorti, tout le monde voulait rester.
Alors M. Moody a commencer à expliquer qu’il fallait croire en J-C pour être sauver.
Après avoir expliqué ce que voulait dire croire, il a invité ses auditeurs l’exprimer à haute voix.
Il a demandé « s’il y a quelqu’un ici qui veut croire, qu’il dise simplement; je veux croire. »
Une cinquantaine d’hommes l’on dit à voix haute.
Mais les cinq mile autres ont resté le cour dur.

Il a encore répété l’invitation; « s’il y a quelqu’un ici qui veut croire, qu’il dise simplement; je veux croire, je le veux. »
Encore les mêmes cinquante homme ont répété: « je veux croire.
C’est alors que quelqu’un de la salle qui était venu pour contredire le prédicateur a dit: « je ne peux pas ».

Tout de suite, M. Moody a dit qu’il avait raison de dire, je ne peux pas.
Ce n’est pas nous qui pouvons le faire mais c’est Dieu qui le fait au travers nous.
Tout ce que nous pouvons faire c’est dire: « Je veux croire » et Dieu s’occupe du reste.
Le monde se divise en deux, entre ceux qui veulent croire et ceux qui ne veulent pas croire.
Il a demandé à la foule: « qui ne veux pas croire? »
Personne n’a répondu à la grande joie de M. Moody.

Il a de nouveau demandé qui voulait croire.
Tout a coup, avec larmes, plus de cinq cent hommes se sont levé et ont dit qu’ils voulaient croire; « je veux, je veux ».
La bataille était gagné, le climat à tout changé.
Dans les huit jours qui ont suivi, plus de 2,000 de ces hommes ont accepté J.C. comme leur sauveur personnel.
Alors que cinq mile hommes voulaient contredire le prédicateur, plus de 2,000 se sont convertie.

vendredi 24 juillet 2009

Le but ultime des bénédictions


" Dieu aime nous bénir. Nous devons cependant comprendre que, ce faisant, son but dépasse notre entendement. Il désire faire beaucoup plus que de nous rendre heureux, paisibles, prospères et de nous garder du mal. 
Dieu ne veut pas que ses bénédictions s’arrêtent à nous, mais qu’elles se répandent aux autres puisque cela correspond à ses desseins pour la terre entière.
Dieu nous bénit afin que nous fassions connaître son salut, ses voies et sa justice à toute nation et à tout groupe ethnique sur la terre. Il aperçoit toujours la vue d’ensemble en agissant, même tandis qu’il œuvre dans notre vie.

Forts de cette connaissance, nous devrions être remplis d’un immense sens d’appartenance et d’humilité. Chaque croyant peut aider les autres à connaître et à comprendre le seul vrai Dieu. Non seulement chacune de ses bénédictions nous profite personnellement, mais elle se veut un outil pour réaliser son plan. Par contre, il arrive que nous ne recevions pas ce que nous souhaitons parce que cela ne contribuerait pas à l’exécution des projets de Dieu. Lorsque nos requêtes s’inscrivent dans le cadre des intentions à long terme du Seigneur, il peut nous utiliser grandement.

Quand Dieu nous bénit, il ne fait pas seulement quelque chose pour nous, mais il œuvre en nous et par nous afin de toucher les autres. 
Ne laissons pas les joies et les réconforts des bénédictions nous cacher leur but ultime. Demandons au Seigneur comment nous pouvons nous en servir pour amener d’autres personnes à lui."
Auteur inconnu 


jeudi 23 juillet 2009

Le violoncelliste myope


Au début du 20ème siècle, il y avait un grand chef d’orchestre qui s’appelait Toscanini
aimé et respecté par tout le monde. Il était à l’origine violoncelliste mais il ne pouvait pas lire des notes pendant qu’il jouait parce qu’il était myope. Pour ne pas faire des fautes, il était obligé d’apprendre par cœur toute la partition. Les autres musiciens ont joué avec la partition mais il a tout appris par cœur avant de jour. Pourquoi ? Parce qu’il n’avait pas de bonne vue... Un jour, le chef d’orchestre est tombé malade et devait hospitalisé à la veille de concert et quelqu’un parmi les autres devait diriger cet orchestre. 
Mais seul Toscanini qui a appris par cœur la partition. Lorsqu’il a commencé à diriger, alors la puissance de la direction géniale cachée a été révélée. Dès lors, il vivait une vie d’un grand chef d’orchestre mondial. Tout cela était possible car Dieu lui a permis une écharde comme la myope très grave. 
Plus tard, Toscanini a fait un témoignage ainsi. « Je remercie Dieu, ma force, lors de ma faiblesse. Il ne faut pas se plaindre d’une situation défavorable. Parce que une bonne situation ne donne toujours pas un bon résultat. Adam a été corrompu dans une ambiance excellente comme Eden. Il faut remercier pour des larmes. Lorsqu’on voit Dieu avec les yeux aux larmes, on le voit plus clairement. Dieu est près de nous pour nous protéger et nous donner la force au jour de nos détresses. » 
Toscanini n’a pas dit qu’il a réussi par sa direction excellente et par sa génialité musique. Mais il a dit qu’il pouvait devenir un chef d’orchestre grâce à la puissance de Dieu et à l’écharde comme la myope, et il a rendu la gloire à Dieu.

mercredi 22 juillet 2009

Un sacrifice parfait

Un pasteur a dit : "La résurrection de Jésus-Christ nous donne la garantie que Dieu a accepté la sacrifice expiatoire de Son Fils. La garantie nous est aussi donnée qu'Il justifie, par la foi, tous ceux qui, en pécheurs repentants, L'accceptent comme Sauveur et Seigneur de leur vie."

mardi 21 juillet 2009

Sören Kierkegaard parle de la Croix

Le philosophe Sören Kierkegaard (1813-1855) a beaucoup médité sur la croix.
Il a écrit ceci:
«Pour moi, la croix est suffisante: j’y vois la révélation de l’amour; j’y découvre aussi le reflet de moi-même, à savoir que je suis homme et comme tel, pécheur... Celui que la race humaine crucifie est le Rédempteur; appartenant à la race humaine, je découvre que moi aussi j’ai besoin d’un Sauveur...
Craintif devant la vie, je cherche mon refuge dans le crucifié. Je le prie de me délivrer du malin et de moi-même.»

On raconte que Jean-Sébastien Bach, au moment où il composa sa Passion selon saint Matthieu, arrivé au récit de la crucifixion, s’écria: «Dieu, abandonné de Dieu! Qui peut saisir ce mystère?»

lundi 20 juillet 2009

Ne pas trop attendre

 



"La confession de péché réclame l'instantanéité car le péché durcit avec le temps et risque de se propager, de proliférer."
Xavier LAVIE

dimanche 19 juillet 2009

La fidélité de Dieu par Francis BAILET (partie 1)


Publié le mardi 12 mai 1998 dans le magasine Croire et Servir


Les attributs de Dieu sont l’objet des louanges des croyants. Son amour, sa grandeur, sa sainteté, sa puissance sont souvent mentionnés dans leurs prières. Sa fidélité semble l’être beaucoup moins. Il n’en est pas ainsi dans les Ecritures : les prophètes, les psalmistes et les apôtres exaltent souvent la fidélité de Dieu. Mettons-nous à leur école.

Moïse : Rendons gloire à notre Dieu ! C’est un Dieu fidèle. (Dt 32.3,4).
Néhémie : Tu as été juste dans tout ce qui nous est arrivé, car tu t’es montré fidèle (Né 9.33).
Esaïe : L’Eternel est fidèle (Es 49.7).
Jérémie : Oh que ta fidélité est grande ! (Lm 3.23).
Ethan le psalmiste : Ma bouche fera connaître ta fidélité. Ta fidélité est célébrée dans l’assemblée des saints (Ps 89.2,6).
David : Je célèbre ton nom à cause de ta fidélité (Ps 138.2). Sa fidélité dure à toujours (Ps 117.2). La parole de l’Eternel est droite. Toutes ses œuvres s’accomplissent avec fidélité (Ps 33.4).
Paul : Celui qui vous a appelés à la communion de son Fils est fidèle (1 Co 1.9).

QU’EST-CE QUE LA FIDÉLITÉ DE DIEU ?

La fidélité d’une personne c’est son attitude qui consiste à remplir ses engagements, à tenir ses promesses. Elle est attachement, constance, persévérance. C’est la définition du dictionnaire. Mais une définition reste abstraite. Les psalmistes ont trouvé des mots, des images pour parler de la fidélité de Dieu :

Sa bonté atteint jusqu’aux deux, sa fidélité jusqu’aux nues ( Ps 36.6). Sa fidélité environne le Seigneur ( Ps 89.9). Sa fidélité est un bouclier et une cuirasse (Ps 91.4). Les œuvres de ses mains sont fidélité (Ps 111.7).

Dans les Psaumes bonté et fidélité sont souvent associées. Notez en particulier : Ta bonté et ta fidélité me gardent toujours (Ps 40.12). La bonté et la fidélité se rencontrent (Ps 85.11). Bonté et fidélité sont devant ma face (Ps 89.15). // est beau d’annoncer le matin ta bonté et ta fidélité pendant les nuits (Ps 92.3).

Voir aussi : Ps 57.4 - Ps 61.8 - Ps 88.11 - Ps 89.1,24,25,33 - Ps 98.3 - Ps 100.5- Ps 108.4 - Ps 117.2 - Ps 138.2.

La méditation des Ecritures nous fait découvrir l’importance de la fidélité de Dieu. Lorsque Moïse gravit la montagne pour recevoir les commandements, il fit une expérience très particulière que nous rapporte le livre de l’Exode : L’Eternel descendit dans une nuée, se tint là auprès de lui, et proclama le nom de l’Eternel. Et l’Eternel passa devant lui, et s’écria : L’Eternel, l’Eternel, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère, riche en bonté et en fidélité, qui conserve son amour jusqu’à mille générations, qui pardonne l’iniquité, la rébellion et le péché, mais qui ne tient point le coupable pour innocent, et qui punit l’iniquité des pères sur les enfants et sur les enfants des enfants jusqu’à la troisième et à la quatrième génération / (Exode 34.5-7).

Dieu est riche en bonté et en fidélité. Il y a continuité dans ce qu’il est, dans ce qu’il dit et dans ce qu’il fait. Son nom même exprime cette continuité. Son nom est « Y H V E », mot intraduisible, rendu par l’ETERNEL ou le SEIGNEUR. L’apôtre Jean nous a transmis la même révélation : JE SUIS l’alpha et l’oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était et qui vient (Ap 1.8).

Malachie, le dernier livre de l’Ancien Testament, nous rapporte cette déclaration : Je suis l’Eternel ; je ne change pas ; et vous, enfants de Jacob, vous n’avez pas été consumés (Mal 3.6). L’apôtre Jacques écrit : II n’y a en Dieu ni changement, ni ombre de variation (Jc 1.17). L’épître aux Hébreux proclame très fort : Jésus-Christ est le même, hier, aujourd’hui et éternellement (Hb 8.13).

samedi 18 juillet 2009

Foi et tribulation



La foi éprouvée apporte l'assurance dans la vie expérimentée. Vous n'auriez pas pensé que votre propre faiblesse vous aurait amené à passer à travers les fleuves; vous n'auriez jamais connu la puissance de Dieu si vous n'aviez été emporté comme par les flots de la mer. 

La foi augmente avec la tribulation. La foi est précieuse, et ses épreuves le sont aussi. Que ceci cependant ne décourage pas ceux qui sont jeunes dans la foi. Vous aurez assez d'épreuves sans les rechercher. La pleine mesure vous sera donnée amplement en temps utile. Cependant si vous ne pouvez pas vous réclamer d'une longue expérience, rendez grâce à Dieu pour la grâce que vous avez; louez le degré de sainte confiance que vous avez atteint. Marchez selon cette règle, et vous bénéficierez de plus en plus de la bénédiction de Dieu, jusqu'à ce que votre foi puisse déplacer les montagnes et vaincre des impossibilités. 
Auteur inconnu


vendredi 17 juillet 2009

La vrai foi en Dieu, c'est quoi ?


Tremper Longman III
La foi est sérénité et abandon de soi en présence de celui que l'on reconnaît comme bon (c'est à dire Dieu).
La foi est une déclaration de confiance, même si les circonstances que nous traversons semblent démentir la bonté de Dieu. Avoir la foi, c'est voir l'invisible et avoir une connaissance qui dépasse toute connaissance humaine vérifiable.
Par la foi, nous savons pertinemment que Dieu peut et veut nous conduire jusqu'à la victoire finale.

jeudi 16 juillet 2009

La grâce, une deuxième chance

La Bible peint un triste tableau de l’humanité : elle est morte dans ses péchés, mérite le jugement de Dieu et est sujette à la séparation éternelle d’avec lui (Éphésiens 2.1-3). 
Par la croix, le Seigneur nous accorde une deuxième chance de connaître une relation aimante avec lui. Quand nous croyons en Christ, il déverse son amour inconditionnel, sa grâce, sur nous.

Par la grâce, nous sommes justifiés, ce qui signifie que Dieu nous déclare innocents. La mort de Jésus sur la croix nous rachète de nos péchés dès notre conversion. Toutes nos désobéissances, passées, présentes et futures, nous sont pardonnées. (NDLR: après s'être repentis de ses péchés)
On obtient son pardon par la foi véritable en Jésus-Christ. 
Comment la définir? La foi accepte le verdict du Seigneur selon lequel tous sont des pécheurs incapables d’expier leurs fautes et en besoin d’un Sauveur. Elle croit que Jésus nous a rachetés par sa mort, que Dieu a accepté son sacrifice et qu’en vertu de celui-ci, il nous a pardonné. 
La foi véritable nous portera à lui prêter allégeance et à le servir de tout cœur.
La grâce nous procure également la paix avec le Seigneur. 
Avant d’être sauvés, nous étions ses ennemis, condamnés à la mort éternelle. Lors de notre conversion, Dieu nous adopte comme siens et nous fait désormais jouir de sa faveur.
En nous faisant don de la grâce, Dieu nous offre une deuxième chance. Plutôt que d’attendre le jugement qui nous revenait de droit, nous entrons en sa présence par la foi en Christ (Romains 15.7) et devenons membres de sa famille (Romains 8.15). 
Saisissez la deuxième chance qu’il vous accorde et suivez-le avec passion.
Magazine en Contact

mercredi 15 juillet 2009

Imagine, de John Lennon


Cette chanson de John Lennon (son plus grand tube mondial) est extrêmement intéressante à lire et à comprendre. Ecrit dans les années 1970 avec l'idéologie "Peace and Love" (l'amour et la paix) en tête, ce texte te semble-t-il encore possible, réaliste ou impossible ?
Merci d'avance pour ton avis.
Voici la traduction de ce chant
Imagine qu'il n'y ait pas de paradis 
C'est facile si tu essaie 
Pas d'enfer entre nous, 
Seulement le ciel entre nous, 

Imagine tous les gens vivant aujourd'hui 
 Imagine qu'il n'y ait plus de pays, 
Ce n'est pas difficile à faire, 
Rien pour mourir ou être tué, 
Et pas de religion aussi, 

Imagine tous les gens, 
Vivant la vie en paix. 
Tu vas dire que je suis un rêveur 
Mais je ne suis pas le seul 
J'espére qu'un jour tu penseras comme nous, 
Et le monde sera uni. 

Imagine qu'il n'y ait plus de propriétés, 
Je me demande si tu peux, 
Plus besoin d'être avide ou d'avoir faim, 
Une fraternité humaine, 

Imagine tous les gens 
Partageant tout le monde. 
 Tu vas dire que je suis un rêveur 
Mais je ne suis pas le seul 
J'espére qu'un jour tu penseras comme nous, 
Et le monde sera uni. 

Paroles originales du chant Imagine there's no heaven, It's easy if you try, No hell below us, Above us only sky, Imagine all the people living for today... Imagine there's no countries, It isnt hard to do, Nothing to kill or die for, And No religion too, Imagine all the people living life in peace... You may say I'm a dreamer But I'm not the only one I hope someday you'll join us And the world will live as one. Imagine no possesions, I wonder if you can, No need for greed or hunger, A brotherhood of man, Imagine all the people Sharing all the world... You may say I'm a dreamer,but I'm not the only one, I hope some day you'll join us, And the world will live as one.

mardi 14 juillet 2009

Courte réflexion sur le temps

Quand Sir William Russell (1639-1683) fut conduit à l'échafaud, il sortit sa montre de sa poche, la tendit au médecin qui l'assistait, et lui dit :
"Voulez-vous vous charger de cette montre et la garder ? Je n'en ai plus besoin, car j'ai maintenant affaire avec l'éternité."

lundi 13 juillet 2009

Contrastes


Mais Jésus (sur la croix), ayant jeté un grand cri, expira... Le centurion qui était là en face de lui, voyant qu'il avait expiré en criant ainsi, dit : Véritablement, cet homme était Fils de Dieu.
Marc 15. 37-39
Jésus... interrogea ses disciples : … Et vous, qui dites-vous que je suis ? Simon Pierre répondit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.
Matthieu 16. 13-16
Contrastes
“À cette époque vécut Jésus, un homme exceptionnel car il accomplissait des choses prodigieuses” (Flavius Josèphe, 1er siècle).
L'historien retient donc que Jésus, un homme parmi les hommes de son temps, fit des choses qui dépassent les normes humaines. Bien des siècles plus tard, le croyant qui lit les évangiles s'émerveille de ce contraste entre l'humanité et la divinité de Jésus Christ.
Un chrétien le souligne ainsi : “Celui qui est le pain de vie (Jean 6. 35)a commencé son ministère en ayant faim (Luc 4. 2). Celui qui est la source d'eau (Jean 4. 14)a terminé son ministère sur la croix en ayant soif (Jean 19. 28). Comme homme, Christ a eu faim, mais comme Dieu, il a nourri les affamés (Matthieu 14. 19-21). Il a été fatigué (Jean 4. 6), mais il est notre repos (Matthieu 11. 28). Il a payé l'impôt (Matthieu 17. 27), mais il est le Roi (Jean 18. 37). Ses opposants ont affirmé qu'il avait un démon (Jean 8. 48), mais il chassait les démons (Matthieu 12. 22). Il a prié (Matthieu 14. 23), mais il entend nos prières (Psaume 6. 9). Il a pleuré (Jean 11. 35), et il sèche les larmes (Apocalypse 21. 4). On l'a conduit comme un agneau à l'abattoir (Ésaïe 53. 7), mais il est le bon Berger (Jean 10. 14). On l'a vendu pour trente pièces d'argent (Matt. 26. 15), mais il rachète les pécheurs (1 Pierre 1. 18-20). Il a donné sa vie (Jean 10. 15)et en mourant, il a détruit la mort (2 Timothée 1. 10)”.Hier, l'humble charpentier de Nazareth, demain, le Roi des rois devant qui tout genou se pliera (Philippiens 2. 9-11).
Source : La Bonne Semence 2007

dimanche 12 juillet 2009

"La vie a-t-elle un sens ?" par Jonathan Chaintrier (partie 2)



Jonathan Chaintrier Licence de théologie en 2008 à la Faculté Libre de Théologie Evangélique de Vaux sur Seine (78)
Prédication donnée le 31/03/2008 à Paris « Je veux mourir », voila les paroles de Chantal Sébire il y a quelques semaines. Qui est-elle ? Cette dame a fait l’actualité en France au mois de Février. Cette ancienne professeur des écoles, âgé de 52 ans, qui était atteinte d’une grave tumeur. Cette maladie la faisait terriblement souffrir physiquement. Et moralement aussi, car le regard des autres, cela fait mal. Ca fait très mal. Et la souffrance était telle que cette dame a cherché à mettre fin à tout cela, elle a fait appel à un médecin pour ne pas guérir. Pour ne pas vivre mais pour mourir. Est-ce que vous vous rendez compte ? Les circonstances de la vie ont fait que cette dame a été amenée à chercher à mettre fin à ses souffrances pour mourir. D’habitude, lorsque je vais chez le médecin, c’est pour aller mieux, pour vivre. Mais dans quel monde vit-on ? Le monde dans lequel nous vivons a-t-il un sens ? La vie a-t-elle un sens ? Si oui, quel est-il ? Quel est le sens de la vie ? Vous êtes-vous déjà posé cette question ? Que vous inspire le temps qui passe ? Ma grand-mère de 70 ans a l’habitude de dire : « plus ça passe, plus ça passe ». Que vous inspire le temps qui passe inexorablement ? Que vous inspire la vie que vous avez vécue ? Où en êtes dans vos ambitions ? Si vous êtes chrétien, si vous croyez en Jésus, où en êtes dans votre vie avec Dieu ? Si vous n’êtes pas chrétien, où en êtes vous dans votre vie ? Pour l’Ecclésiaste, c’est le moment du bilan, c’est la critique de la cinquantaine, on pourrait dire çà. Je ne sais pas si vous êtes familier avec le livre de l’Ecclésiaste, mais avec le livre des Proverbes et le livre de Job, il fait partie d’une catégorie de l’Ancien Testament qu’on appelle les livres de la sagesse. L’auteur de l’Ecclésiastes, on ne sait pas qui, a suffisamment vécu pour parler du sens de l’existence et le caractère frustrant, absurde de la condition humaine. Vous connaissez sûrement ce fameux refrain : « Vanité des vanités, tout est vanité. », « Tout est dérisoire, autant courir après le vent, tout a déjà été découvert », « Rien de nouveau sous le soleil ». Il faut trouver le bonheur. L’auteur réfléchit dans ce chapitre sur le temps, il y consacre même un poème Vous avez remarquez la répétition du refrain, poème que l’on pourrait intituler : « Il y a un temps pour tout ». I. Il y a un temps pour tout. (versets 1 à 8) Naître, mourir, planter, arracher, tuer, guérir, démolir, construire, pleurer, rire, se lamenter, danser, lancer des pierres, ramasser des pierres, embrasser, s’éloigner des embrassades, chercher, perdre, gagner, jeter, déchirer, coudre, se taire, parler, aimer, détester, faire la guerre, faire la paix. Il y a un temps pour chacune de ces actions. Les moments de la vie se succèdent avec leurs événements contraires. Soyons réalistes. Certaines circonstances de la vie posent problème. La vie en elle-même manque cruellement de permanence et de satisfaction. Certains moments semblent passer à la vitesse de la lumière et d’autres semblent s’éterniser. La réalité apporte son lot de malheur et de bonheur. Elle nous amène même à faire des choses contradictoires mais c’est inévitable. On lit un journal et on le jette le soir. On achète une machine à laver, une cafetière, une théière, et puis quelques années après, on jette tout pour racheter exactement la même chose. On acquière un animal de compagnie et puis, quelques années plus tard, on est obligé de l’endormir parce qu’il est malade et que même le vétérinaire ne peut rien. Et je vous laisse imaginer la complexité de la chose quand il s’agit d’une personne humaine qui est touché. Il y a un temps pour tout et c’est dramatique mais l’auteur de l’Ecclésiaste ne s’arrête pas là. Heureusement car il y a aussi un Dieu.

samedi 11 juillet 2009

Une maxime riche de sens

"Que de foi il faut pour accepter de ne pas comprendre les desseins de Dieu!" (auteur inconnu)

vendredi 10 juillet 2009

Libre de tout faire ?

" Il ne suffit de se demander 'Est-ce que la Bible m'autorise à me servir de ces bonnes choses dans le monde ?' Tu dois aussi te demander 'Cela va-t-il servir la gloire de Dieu' et ' Cela va-t-il édifier mes frères et sœurs en Christ ? ' " 
Walter J. Chantry 

"It is not enough to ask yourself, "Does God's Word permit me to use these good things of the world?" You must also inquire, "Will it serve the glory of God?" and, "Will it edify my fellow Christians?"" 
Walter J. Chantry

jeudi 9 juillet 2009

Notre seule justice parfaite


" Ce doit être notre base et notre ancrage, que Christ est notre seule justice parfaite." 
Martin Luther


mercredi 8 juillet 2009

Le Christianisme, c’est bien, mais ... (partie 2)


I. Ce dont les gens bien ne veulent pas, c’est un sauveur.
La religion naturelle de l’homme, c’est de considérer l’entrée au paradis comme un examen : si on fait les choses assez bien, si on a la moyenne, alors Dieu nous acceptera au paradis. C’est exactement la manière d’aborder les choses que l’on trouve dans ce texte. V.18 : ‘Un chef interrogea Jésus et dit: «Bon maître, que dois-je faire pour hériter de la vie éternelle ?»’. Voyez comment il formule sa question : « que dois-je faire pour hériter de la vie éternelle ?». Cet homme avait l’impression de pouvoir y arriver par lui-même. Il s’adresse à Jésus pour savoir quels sont les critères qu’il faut remplir pour hériter de la vie éternelle, pour mériter son paradis. 
Il veut juste savoir sur quoi il va être noté, et ensuite il va faire ce qu’il faut pour y arriver. Cet homme nous ressemble, il est comme nous. Sa mentalité est la nôtre, il agit sur le principe du dicton ancien « Aide-toi et le ciel t’aidera » ou encore sur celui du slogan de Nike : « Just do it ! Fais-le ! ». C’est pour cette raison que les gens bien ne veulent pas d’un sauveur : ils croient qu’ils peuvent y arriver par leur propres moyens, ils croient qu’ils sont assez bons pour obliger Dieu à les accepter, ils croient qu’ils sont assez forts pour réussir l’examen d’entrée au paradis. 
Alors que fais Jésus ? Il va lui répondre en lui montrant qu’il n’est pas quelqu’un d’aussi bien que ce qu’il pense. D’abord, au v.19 : Jésus lui répondit : Pourquoi m’appelles-tu bon ? Personne n’est bon, si ce n’est Dieu seul’. En disant cela, Jésus oblige cet homme à préciser par le mot bon. On utilise le mot bon ou bien un peu de la même façon qu’on utilise le verbe aimer ou adorer. On dit à la fois « j’aime la pizza » et « j’aime ma femme », « j’adore le chocolat » et « j’adore Dieu ». Cet homme pensait être bon, mais bien sûr il n’était pas bon comme Dieu est bon. Alors Jésus le force à comparer la bonté de Dieu avec sa propre bonté : « Tu crois être quelqu’un de bon ? Alors compare ta bonté avec la bonté de Dieu pour voir si tu es vraiment bon. Dieu seul est bon ». Et c’est ce que Jésus nous demande à nous aussi : « Vous pensez être quelqu’un de bien ? Mais est-ce que tu t’es comparé à Dieu avant penser que tu es quelqu’un de bien ? Dieu seul est bon ». Si on se compare à Dieu, si on sait qu’on devrait être aussi parfait que Dieu est parfait, alors on a tout de suite moins tendance à croire qu’on est quelqu’un de bien. C’est seulement après avoir fait cela que Jésus présente à cet homme ce qu’il doit faire, au v.20 : ‘Tu connais les commandements : Tu ne commettras pas d’adultère ; tu ne commettras pas de meurtre ; tu ne commettras pas de vol; tu ne porteras pas de faux témoignage ; honore ton père et ta mère’. Voilà ce qu’il faut faire. Et c’est là que les gens bien pensent qu’ils sont en bonne voie et qu’ils n’ont pas besoin d’un Sauveur. 
L’homme de cette histoire pense qu’il a les moyens de réussir l’examen d’entrée au paradis, il pense que s’il observe de manière extérieure tous ses commandements, il gagnera son paradis. Car voici la réponse qu’il fait à Jésus au v.21 : ‘«J’ai respecté tous ces commandements dès ma jeunesse», dit-il’. Jésus va le montrer dans la suite du texte : cet homme se trompait sur lui-même. Il n’était pas quelqu’un d’aussi bien que ce qu’il pensait. Mais dans son orgueil, il s’aveuglait sur sa condition réelle. Et ce qu’il ne voulait surtout pas, c’était un sauveur. Il voulait y arriver par lui-même. Il croyait qu’il était assez bon, qu’il avait les capacités en lui-même pour aller à Dieu. Il voulait être son propre sauveur, et ne pas dépendre de quelqu’un d’autre pour hériter de la vie éternelle. Il ne voulait pas d’un sauveur. Ce dont les gens bien ne veulent pas, c’est un sauveur. Pourtant :

mardi 7 juillet 2009

L'Esprit fraternelle de la prière




"Si la nécessité nous contraint à prier pour nous-mêmes, la charité fraternelle nous exhorte à prier pour les autres."
Jean Chrysostome (344-407), père de l'église grecque du IVème siècle, évêque de Constantinople

lundi 6 juillet 2009

Dieu ne se prouve pas, il se rencontre


Serge Tarassenko (1935) est ingénieur-physicien.
Il a été employé au Commissariat à l’Energie Atomique depuis 1956 à sa retraite. Il est écrivain-conférencier chrétien depuis 1987.

Orateur sur le thème général “Connaissance scientifique et Foi chrétienne” 
depuis 1967. Il a aussi participé à des émissions radio et télévision, par des exposés, des débats, des témoignages. Il  a écrit de nombreux articles et témoignages dans des revues spécialisées et magazines divers. Il est retraité depuis 1996.

La Bible nous rappelle que ce n’est pas par le poids de l’évidence scientifique, mais: « c’est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu » (Hébreux 11 : 3).

Les limites de la science :

Dans un grand quotidien récent nous avons lu, à la rubrique « la vie scientifique », la déclaration suivante : « La science reste impuissante devant le mystère de la vie qui hante l’homme depuis la nuit des temps. D’où vient la vie ? Processus évolutif chimique, naturel et inéluctable où les briques de la vie se sont assemblées petit à petit ? Ou intervention divine ? Nul ne peut encore aujourd’hui apporter une réponse scientifique. » Reconnaissons qu’une telle affirmation est frustrante : La science explore l’espace et fait des découvertes prodigieuses dans les domaines de l’univers… elle a emmené l’homme sur la Lune et explore les frontières du système solaire. Elle peut modifier le code génétique des cellules organiques. Elle nous ouvre les yeux sur le monde des apparences. Et pourtant elle nous laisse sans réponse face aux questions simples et logiques que tout être humain se pose : Pourquoi suis-je sur terre ? Quelle est la véritable origine de tout ce qui existe? Tant que cette science humaine limitée ne pourra répondre à ces questions, le problème de l’existence de Dieu ne sera jamais élucidé.

Mais pourquoi est-on si sûr que la science ne peut pas montrer que Dieu existe ?

Pour répondre à cette question, étudions de plus près la méthode scientifique. La quasi-totalité des scientifiques est très peu disposé à reconnaître qu’une chose est prouvée jusqu’à ce qu’ils en soient sûrs. Pour ce faire, ils procèdent pas à pas au moyen de ce que l’on appelle la méthode scientifique. Mais voyons donc son fonctionnement. D’abord on rassemble les données obtenues par l’expérience et par l’observation. Ensuite on analyse, on suggère par la suite une hypothèse (en d’autres termes « cela pourrait être ainsi ») et plus tard une théorie (« cela doit être ainsi »). D’autres scientifiques doivent alors vérifier la théorie, et cela peut entraîner un réajustement ou un rejet de cette dernière. C’est ainsi que du point de vue scientifique ces dernières doivent être reconnues pour vrai jusqu’à ce que l’on prouve leur fausseté. En clair, la science observe la Terre et se pose des questions sur son origine, il y a une transformation, formation et assemblage, réaction entre éléments (Big-bang) pour que le monde soit tel qu’il est actuellement. Elle analyse donc la situation et formule une hypothèse quant à la création. Puis la science admet comme hypothèse que Dieu n’existe pas pour prouver que finalement tout peut très bien être apparu tel qu’aujourd’hui par un phénomène d’évolution. Or l’homme peut se tromper, son raisonnement n’est pas fiable car si l’on attend de prouver la fausseté de l’hypothèse pour l’abandonner alors l’existence de Dieu ne sera jamais révélée puisque précisément Dieu a décidé de ne pas donner de preuves. Mais dieu est formel, il ne donnera pas de signe cette génération d'homme. La parole nous dit dans:
Luc ch. 11 v29 : "cette génération est une génération mauvaise. Elle peut chercher un signe, on ne lui donnera pas d'autre signe que JONAS".

En effet le NINIVITES qui étaient des pécheurs n'avaient pas reçu d'autres signes divins que la venue de JONAS qui les invitait à se repentir.

dimanche 5 juillet 2009

L'amour de Dieu vu par Albert Schweitzer



" Au milieu de l'océan, il y a le Gulfstream, de l'eau chaude qui coule de l'équateur au pôle. Demandez à tous les savants comment il est physiquement concevable qu'un courant d'eau chaude coule, comme entre deux rives, au milieu de l'océan, mobile dans l'immobilité, chaud dans le froid. Ils ne peuvent pas l'expliquer. Ainsi en est-il du Dieu d'amour…, laissons- nous saisir et emporter par ce courant."
Albert Schweitzer (1875-1965)
Philosophe, musicien, musicologue et médecin missionnaire français. Prix Nobel de la paix en 1952


samedi 4 juillet 2009

Libération

Dieu peut libérer du fardeau le plus lourd, mais la repentance doit être totale.
Anonyme

vendredi 3 juillet 2009

Jésus a-t-il vraiment existé ? (partie 4)


D'autres écrivains romains, tels que Suétone, Pline le Jeune, Sénèque et Juvénal, Lucien, Celse, font allusion aux disciples du Christ et à l'expansion du christianisme. Ces premiers prédicateurs chrétiens n'étaient pas des hommes extrêmement instruits selon les critères du monde cultivé de l'époque. Les membres du Sanhédrin remarquèrent que les apôtres Pierre et Jean étaient "des hommes sans instruction et des gens ordinaires"(Ac 4:13). A propos de Jésus lui-même, "les Juifs [...] s'étonnaient et disaient: "Comment cet homme sait-il les lettres, alors qu'il n'a pas fait d'études?" (Jn 7:15).
On retrouve ces idées chez les historiens profanes: "Celse, le premier écrivain à s'en prendre au christianisme, s'en moque parce que des ouvriers, des cordonniers, des cultivateurs, les plus ignorants et les plus rustres des hommes, sont les prédicateurs zélés de l'évangile ("Allgemeine Geschichte der christlichen Religion und Kirche, par August Neander, 1842, vol. 1, p. 120). Au dire d'Origène, Celse lui-même a reconnu que "ce n'étaient pas uniquement les gens simples qui étaient amenés par la doctrine de Jésus à adopter sa religion". Effectivement de nombreux nobles romains sont devenus chrétiens.

jeudi 2 juillet 2009

Dieu parle-t-il ?


Les cieux racontent la gloire de Dieu... Il n'y a point de langage, il n'y a point de paroles ; toutefois leur voix est entendue.
Psaume 19. 1, 3
La prophétie n'est jamais venue par la volonté de l'homme, mais c'est poussés par l'Esprit Saint que de saints hommes de Dieu ont parlé.
2 Pierre 1. 21

Dieu ne peut être connu que s'il se révèle à nous. « Prétends-tu sonder les pensées de Dieu, parvenir à la connaissance parfaite du Tout-Puissant ? » (Job 11. 7). La réponse est non, bien sûr. Acceptons alors humblement nos limites de créatures et commençons par écouter notre Créateur.
Dieu se révèle d'abord par la nature. Observons simplement un ciel étoilé, sa diversité et sa beauté et nous percevons quelque chose de la gloire de celui qui l'a créé. A travers la création, Dieu montre sa puissance et son intelligence sans limites. « Ce qu'il y a d'invisible en Dieu, c'est-à-dire à la fois sa puissance éternelle et sa divinité, se discerne au moyen de l'intelligence, d'après les choses créées» (Romains 1. 20).
De plus, Dieu a parlé dans un livre : la Bible. Les écrivains qui l'ont rédigé étaient des prophètes inspirés de Dieu. Dans l'Ancien Testament (la première partie de la Bible), on trouve environ 4000 fois des expressions comme « Dieu parla », « Dieu ordonna », ou « Dieu dit ».
Aucun autre livre n'a annoncé avec détail des événements futurs qui se sont ensuite accomplis. En outre, la Bible possède une puissance. Durant les siècles, ils sont innombrables ceux qui ont fait l'expérience qu'elle est une parole vivante qui a transformé leur vie, parce qu'ils l'ont acceptée, non comme la parole des hommes, mais ainsi qu'elle l'est véritablement, comme la parole de Dieu (1 Thessaloniciens 2. 13).
Source : La Bonne Semence

mercredi 1 juillet 2009

Partenaires d'action

"Nous sommes en danger d'oublier que nous ne pouvons pas faire ce que Dieu fait, et que Dieu ne fera pas ce que nous pouvons faire." 
Oswald Chambers